[...] Mais Gisaburo ne prisait pas moins ces nuits plus que tout. Les plus belles choses, disait-il toujours, vivent une nuit et s' évanouissent avec le matin. C'est ce que les gens appellent le monde flottant : c'était un monde, Ono, dont Gisaburo connaissait toute la valeur.
Novembre 1949, p. 247