Kôji Kôno

Toujours aussi percutant, l'inspecteur Kurokochi ne laisse jamais entrevoir ses véritables intentions pour le plus grand plaisir des lecteurs. On reste attentif à tous les détails (texte et dessins compris) afin d'essayer de trouver la solution sans jamais y arriver.

Je me demande vraiment où nous emmènera la suite de ce manga.
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Un opus que j'ai trouvé inutilement complexe. Habituellement, l'auteur, par sa narration, nous perd un peu et nous rattrape pour un final savoureux. Cette fois j'ai eu du mal à me raccrocher aux branches, la faute à une intrigue un peu convenue. Reste, le personnage de Kurokôchi toujours aussi fascinant.

Un manga policier original qui traite de la corruption par le biais d'un personnage ambigu mais intelligent, qui semble combattre le mal par le mal. Si le dessin n'est pas des plus réjouissants, le scénario est assez alambiqué pour nous tenir en haleine sur plusieurs tomes... Alors l'inspecteur Kurokôchi : ripoux ou pas ? A vous de vous faire une idée !

Ce tome signe la fin de l'arc autour du casse des 300 millions de yens et de l'assemblée du Cerisier. Les mangakas réussissent à introduire rapidement une nouvelle affaire dans les mêmes milieux et avec des connections avec la première sans que cela paraisse catapulté.

j'aimerai bien retrouvé un peu plus le côté cynique et blasé de l'inspecteur dans les prochains tomes.
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Ce dernier tome de la série est une pure merveille. Les retournements de situation et révélations s'enchaînent pour faire frémir le lecteur jusqu'à la toute dernière page. L'inspecteur Kurokôchi n'aura jamais changé même à la fin. Il a gardé ce côté fourbe, un brin loufoque et surtout jouant ses propres lois, qu'il avait depuis le début.



De manière générale la série est vraiment de qualité, offrant une intrigue entre enquête policière classique, espionnage international et critique politique. Le tout avec un brin d'irrévérence et d'humour.
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Revoilà notre duo face à des interrogations. Et si le nouveau membre des Quatre Cents Coup les avait manipulé? Et si le père de Seike était vraiment un bon policier calomnié? Une fois que l'on croit être arrivé au bon endroit voilà qu'il faut accepter la défaite. Mais ils n'ont pas perdu la guerre, juste une bataille. Car le prochain combat va être beaucoup plus rude car une attaque nucléaire est en jeu. Et au Japon, plus qu'ailleurs, on ne rigole pas avec ça. Il faut avoir toutes les données pour avancer et gagner. Vont-ils y arriver? On n'en doute pas un seul instant. Seulement voilà, nous voilà piqué au vif pour connaître la méthode, les pièges, les freins... Tout cela va être très prometteur de corruption, de dessous de table, de chantage... Notre héros a trouvé un être encore plus pourri que les autres et sa tête doit tomber. Même si au final, il ne risque pas grand chose même si son nom viendrait aux oreilles de la presse. Quand on a un réseau, ce dernier ne veut pas que des informations se perdent avec les privilèges qui vont avec. Même Seike joue un agent double tout en prenant du plaisir. Takashi Nagasaki montre avec beaucoup d'habileté l'étendue de la crasse humaine qui doit protéger les citoyens lambda. Cette fiction s'inspire de faits réels ce qui rend les choses plus terrifiantes. Est-ce différent chez nous? Surement. Le pouvoir ne rend pas les gens meilleurs. Kôji Kôno de son côté se montre toujours aussi précis dans son graphisme. Le coup de coeur ne change pas avec les gros plans de la tête d'ahuri de notre inspecteur roublard. Vivement la suite.
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On sent bien que l'étau se resserre dans cet avant dernier tome de la série. L'inspecteur Kurokôchi apparaît comme un presque héros, affranchi de tout lien hiérarchique dans une police corrompue à la solde du politicien et meurtrier sanguinaire Sawatari. Les deux hommes semblent se livrer bataille par coup de poker interposé ce qui donne forcément un bon nombre de rebondissements !

J'attends avec impatience la conclusion de cette série qui, vu le talent de Nagasaki et Kôno, devrait largement être à la hauteur de mes attentes.

Changement de dynamique dans ce nouveau tome où notre duo mène son enquête chacun de son côté. Leurs découvertes leur prouve que l'organisation mise en place existe depuis longtemps et reste toujours dynamique. Il faudra encore un peu de temps pour la détruire. Ce n'est pas grave, les policiers n'en manquent pas et vont tout faire pour rester en vie. Le poisson est tellement gros car financer à la fois le terrorisme et l'anti-terrorisme, c'est malin. D'ailleurs, n'est-ce pas vraiment le cas aussi actuellement dans le monde? Kurokôchi sait les vers du nez à qui de droit. Kôji Kôno montre encore son talent de dessinateur. Le graphisme peut dérouter celui qui sont habitués aux séries classiques comme Naruto, Kyo ou Dragon Ball. Mais il faut dire qu'il ni a rien de classique non plus dans l'excellent scénario Takashi Nagasaki. Le singulier dessin surtout avec cette gueule incroyable du policier qui montre sa fourberie, sa dérision et son sens de l'humour. Comment ne pas être emporté par cette caricature absurde et drôle? Sans omettre que cela contribue au côté obscur et très sombre du récit. Nous voulons savoir jusqu'où cela va aller et on ne va pas compter les morts. La justice a t'elle vraiment un sens? Doit-elle être honnête? A la fin de la série nous aurons notre une réponse. 
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L'épisode sert à mettre en place une société secrète, l'Assemblée du cerisier qui s'emploie à étouffer les scandales liés à la Police quitte à assassiner. Une société ultra puissante, qui s'en prend même à notre inspecteur et tente de le supprimer. Hormis cette tentative d'assassinat on suit surtout Seike, on en apprend plus sur son passé, notamment son père mort dans des conditions mystérieuses. Bref, la corruption à tous les étages, les Yakuzas, les sociétés secrètes puissantes, et au dessus de cette nasse notre inspecteur favori, plus pourri ou plus malin que les autres. C'est très bien fait, bien dessiné, j'en serai pour le 3ème tome.

On ne s’ennuie jamais aux côtés de Kurikôchi. La corruption est tellement présente que cela soit au niveau des politiques ou soit de la police qu’il existe énormément d’affaires que beaucoup voudraient qu’elles restent enterrer. Alors le scénariste, Takashi Nagasaki sait qu’il saura créer suffisamment d’histoire où nous emmener et titiller notre curiosité. Le lecteur aime bien le jeu du gentil et du méchant. Même si bien entendu, ici les frontières sont assez flous. Un groupe important et très influent vient de sortir de l’ombre et son influence semble ne connaître de limite. Avec ce flic ripou et le petit jeune Seike, qui semble très motivé à connaître la vérité, un scandale semble prochainement pointer le bout de son nez. Rien ne sera facile et la ruse deviendra obligatoire pour avoir des réponses. La mort soudaine et brutale devient un risque de tout instant. Tout est installé dans cet épisode pour nous pousser à poursuivre car on sait pertinemment qu’il va se passer des choses improbable et passionnante. Côté graphique, Kôji Kôno, nous surprend avec un graphique assez mature, précis et des plans improbables. Les gros plans sur la tête de Kurikôchi sont toujours aussi drôles et surprenants. Le gars porte la malhonnêteté sur son visage tout comme la clownerie. N’oublions pas l’humour est tout de même très présent au même titre que l’esprit polar, enquête, meurtres en tout genre.
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Toujours aussi intense, les différentes intrigues se croisent et montrent que la conclusion de la série n'est pas loin.

Kurokôchi est presque devenu un chevalier bienveillant, loin de l'image du flic pourri qu'il se coltinait... ce qui arrange bien ses affaires ;-)

Bref, vraiment hâte de voir ce que réserve les derniers tomes de la série.
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Les révélations et les rebondissements sont nombreux dans ce tome. Kurokochi fouille plus loin afin de comprendre quel est le but final des commanditaires de l'assassinat du Haut-Commissaire. La mort du père de l'Inspecteur Seike prend enfin sens dans un revirement inattendu. Et la fin du tome laisse présager le pire pour le pays si la police ne se décide pas à agir...
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Ce tome fait office de transition entre deux arcs d'intrigue et, alors que l'on croit avoir tout compris, fait apparaître de nouveaux éléments.

L'inspecteur Kurokochi reprend son rôle de flic véreux tandis que Seike prend du galon. Les partenaires d'hier ne semblent plus travaillés ensemble mais continuent à poursuivre le même objectif.
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THE END

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Si vous aimez les polars avec des flics pourris ce titre est fait pour vous.

On y suit Kurokôchi un flic qui à première vue semble pourri jusqu’à la moelle ! Il fait partie de la 2ème brigade d’investigation mais au début de l’histoire il semble passer plus de temps à faire chanter les gens qu’à bosser.

Il va faire la rencontre de Shingo Seike, un jeune policier très droit qui va halluciner du comportement de son aîné… Sa sale réputation est connue de tous et évidemment entre un flic véreux et un policier intègre, on imagine mal que les choses puissent bien se passer… Et pourtant… Sous son horrible masque de pourriture, Kurokôchi a un grand et noble projet, il veut faire tomber un politicien bien dégueulasse…

Au fils des tomes, les rebondissements se succèdent et on découvre plus en profondeur les motivations de l’inspecteur. On s’attache à lui même s’il est pas du tout fréquentable. D’autres personnages viennent étoffer l’enquête et eux aussi vont être attachants pour différentes raisons.



J’ai beaucoup apprécié ma lecture qui fait vraiment froid dans le dos. Il y a tout un côté manigance politique et complotisme, où les puissants se couvrent les unes les autres… Ça a titillé ma soif de justice !



Ce titre illustre à merveille le dicton : la fin justifie les moyens… On voit ce que ça pourrait donner si un jour, un inspecteur était prêt à tout, même à perdre son honneur et sa vie pour une cause qu’il pense juste. Ça n’excuse pas son comportement durant des années où il va faire morfler des gens, mais on va dire que ça l’explique ! J’aimerais pas rencontrer ce genre de flic dans la vraie vie mais le suivre en manga c’était intéressant. Surtout que le fait que l’autre policier soit différent apporte un vrai plus.



Si vous cherchez à vous procurer la fin de la série, attendez-vous à trouver des tomes assez chers pour le moment parce que dans mes souvenirs, elle n’a jamais connu le succès qu’elle méritait et donc la fin n’a pas eu beaucoup de tomes publiés (mais on remercie la maison d’édition d’avoir été jusqu’au bout 🥳).



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Nous attendions avec impatience ce qui allait arriver à cette assemblée du cerisier au passé si ancrée historiquement. Maintenant nous connaissons toute l'histoire et nous sommes plus rassurés sur son avenir moins macabres. Un homme généreux va prendre la direction et les fonds iront vraiment pour aider les familles de policier mort au service. La corruption va être réduit à néant. Mais le nouveau boss va leur donner un nouvel os à ronger de taille. Cela a paru difficile d'arriver jusque là. Qu'est-ce que cela va t'il en être maintenant d'enquêter sur le meurtre du père de Shingo Seike sachant que la sécurité publique est impliquée jusqu'au cou? En plus, on commence déjà a nous donner des informations de haute importance. Que vient faire une secte dans cette histoire? Le vilain est vraiment de très haut niveau et a un vrai plaisir sadique. Le sang, la mort, les cadavres, il adore. Pourquoi la sécurité publique laisse faire? A quoi cet homme peut leur servir? ou qui connaît-il d'assez influent pour agir en toute tranquillité? Et on sait qu'il n'est pas mort car il a organisé une mise à mort exemplaire pour celui qui connaît son nom. L'humour est toujours de mise malgré les contextes morbides. Par exemple avec la scène où la nouvelle cheffe sexy de Shingo lui fait des avances pour aller chez lui afin de lui soutirer des informations. Elle doit garder un oeil sur lui. Il ne sait pas comment refuser. Par chance, un ancien yakuza gay vient lui sauver la mise et il récolte en plus son numéro de téléphone et son mail. Shingo le fait passer pour un indic. Une situation cocasse qui se complète aux visages assez caricaturaux des personnages surtout pour Kurokôchi. Comment ne pas adorer cette dérision totale? On ne peut pas. Nous voulons savoir comment le KGB peut-être lié à cette affaire et jusqu'où cela va. Un combat sans pitié s'annonce, qui va gagner? Qui est le moins scrupuleux des deux camps? On le saura bientôt.

Beaucoup de rebondissements dans ce tome ! L'étau se resserre autour de Kurokôchi comme de son ennemi et on ne sait franchement pas qui arrivera à tirer son épingle du jeu.

Il ne reste plus que 2 tomes avant la conclusion de la série et je serais bien incapable d'en prévoir ne serait-ce qu'un petit bout. J'ai donc hâte de voir ce que les mangakas nous réservent !
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Je ne sais pas pourquoi mais je m'étais mis en tête que ce 20e tome serait le dernier (il en reste encore trois en fait). aussi ma lecture a-t-elle été un peu plus mitigée que d'habitude. Pourtant on sent les derniers engrenages se mettent en place et on se demande si Kurokoshi arrivera à piéger le gros poisson qu'il recherche sans y laisser trop de plume ou de collègues...
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La partie est loin d'être gagné pour Kurokôchi qui joue ses dernières cartes afin de faire tomber Sawatari, un politicien ambitieux tueur en série.

On sent que la série est sur sa fin car les différents indices laissés au fil des tomes se rejoignent. Comme toujours Nagasaki livre un scénario bien ficelé. Je trouve juste dommage que l'inspecteur Seike soit laissé de côté...

Autant dire que j'attends la lecture du dernier tome avec impatience.
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Maintenant que les attentats ont été déjoués par l'élément perturbateur de la police, à savoir Kurokochi, il faut faire le ménage dans les rangs et ne pas faire de vague auprès du public. Seike a bien du mal à l'accepter et change de service.

Un nouvel adversaire encore plus puissant apparaît et une fois de plus Kurokochi apparaît comme le seul capable de l'affronter. Schéma classique dans le shonen, on a pourtant envie d'en connaître plus et surtout de voir sa défaite.
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Ce qui m'a le plus frappé dans ce premier tome est le dessin. Il s'inscrit dans un style plutôt réaliste excepté lorsqu'il s'agit des visages. L'auteur semble alors jouer avec leurs expressions en les exagérant énormément. Cela crée un effet étrange, pas forcément agréable visuellement. L'intrigue est pas mal, j'attends de lire la suite pour me prononcer plus nettement.