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Critiques de Kotetsuko Yamamoto (85)
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Koi to wana

Petit changement de lecture et de genre avec ce yaoi tendre et doux.

Masaki a été persécuté dans son enfance et pour ne plus revivre ça, il a choisi de trouver un protecteur au lycée. Il passe ainsi son temps avec Satoyama dont la famille est respectée, afin de ne plus être persécuté par les autres, même si pour cela il doit lui offrir son corps.

Sa façon de penser est sombre et peu encline à l’estime de soi. Aimer ne fait pas partie de son vocabulaire et il pense ne pas être amener à vivre ce sentiment jusqu’au jour où il croise Aihara dans le bus.

Celui-ci le chambre sur un suçon qu’il a dans le cou. Et puis petit à petit leur relation va changer. Aihara est plutôt considéré comme un jeune délinquant du fait de la réputation de yakusa de sa famille. Il fait peur à ses camarades et est peu apprécié. Pourtant Maki se sent attiré par lui et c’est ce sentiment nouveau pour lui qui va faire émerger un courage qu’il ne pensait pas avoir.

Ce manga est un yaoi soft et cependant très mature par les sentiments qu’il dégage.

Maki et son peu d’estime face à Aihara sûr de lui sont les parfaits opposés qui s’attirent.

Maki semble considéré tous les autres garçons de la même façon et la gentillesse ou la tendresse d’Aihara le trouble et l’amène à l’aimer.

Pourtant son passé le bloque et parfois ses réactions restent indignes des sentiments qu’il ressent.

Petit à petit leur relation va les amener à changer, à se confier mais surtout à faire ressortir le meilleur d’eux-mêmes.

Aihara a beau être de prime abord taciturne et froid, il cache une compréhension et une tendresse peu commune envers Maki. Il essaie de le faire sortir de sa coquille et parfois les touches d’humour allègent un peu l’ambiance qui n’est pas toujours rose.

De gros doutes les traversent, enfin surtout Maki, qui a du mal à vivre son amour au grand jour mais surtout à grandir et à oublier les persécutions du passé.

Habitué à être utilisé il ne comprend pas le refus d’Aihara de faire l’amour avec lui alors que leur relation entame le premier mois. Il est fragile émotionnellement mais surtout faussé dans sa vision des choses par ce passif qu’il s’est forgé.



C’est donc un manga vraiment bien fait niveau sentiment et les deux autres histoires de ce recueil ne font que nous convaincre de la plume de l’auteur pour les relations homosexuelles mais surtout leur complexité. Il a le don de nous donner envie de les secouer ou les cajoler pour les aider à trouver le bonheur. Les personnages sont tendres et fragiles ou forts et cependant secrets mais chacun trouve le chemin de notre cœur et sait se faire apprécier.

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Like the Beast, tome 1



Yamamoto Kotetsuko est une auteure de Boy's Love que j'affectionne pour ses couples mignons, aux histoires tendres et souvent drôles. Et Like the Beast est mon préféré, mon "manga doudou" pour les coups de blues tant c'est léger, fun et les deux héros sont attachants.



En effet, le résumé pourrait laisser penser à une histoire d'amants maudits, cela pourrait être sombre et compliqué et... pas du tout ! Tomoharu et Aki se moquent bien des difficultés, ils sont amoureux et c'est tout ce qui compte à leur yeux. Deux amoureux idiots comme dirait une amie qui se reconnaîtra !



Et si leur histoire fonctionne, c'est grâce à leurs personnalités. Aki est un yakuza adorable - oui c'est bizarre dit comme ça mais c'est un fait -, impulsif, excessif dans la colère comme dans l'enthousiasme, son caractère est aussi flashy que ses vêtements hideux - son principal défaut. Tomoharu lui est gentil avec tout le monde indifféremment, n'a peur de personne, il est en fait assez bizarre ! Mais grâce à cette étrangeté il ne rejette pas la confession d'Aki, le laisse entrer dans sa vie et - évidemment - tombe amoureux à son tour.



La dynamique de leur couple est teintée de respect et d'égalité. Ici, pas de clichés d'un personnage plus efféminé dominé par l'autre, au contraire Aki est d'une énergie dévastatrice, et parfois Tomoharu a du mal à suivre - que ce soit son appétit sexuel ou ses raisonnement tordus. Réciproquement, Aki ne cherche pas à changer son partenaire, même si leur vie serait simplifiée s'il quittait la police, il l'aime vraiment tel qu'il est. Autre point que j'apprécie : il s'agit d'une relation entre deux adultes. Si j'aime aussi les histoires avec des ados sans expérience, c'est rafraîchissant de suivre des adultes bien dans leur peau et leurs désirs.



Bien sûr leur situation les obligent à garder leur relation discrète, et n'est pas sans apporter son lot d'ennuis. Enlèvements, acceptation d'un policier par la famille d'Aki et diverses autres péripéties ponctuent leur histoire, et l'on ne s'ennuie jamais avec eux.



Si vous cherchez un titre "feel-good", mignon, sans prise de tête mais pas niais pour autant, Like the Beast est un choix idéal !


Lien : https://opaledefeu.jimdo.com..
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Et demain ce sera quoi, tome 7

On reprend donc immédiatement à la suite du tome précédent, alors que Kirara et Ken ont enfin réussi à devenir intime le jour de l’anniversaire de Ken. Si on va encore avoir des moments tendres avec le couple principal, le tome va mettre plus en avant les personnages secondaires. D’un côté, il y a Hanawa qui, très amoureux d’Omaeda, souhaite le protéger même s’il se considère comme un faible. Il s’est fait tabasser et les agresseurs lui ont ordonné de ramener Omaeda à leur prochaine rencontre pour qu’ils puissent lui donner une leçon, mais Hanawa veut s’occuper de ça tout seul… De l’autre, on suit l’évolution lente de Kyôichi, le frère de Ken, avec son ami Shû. Si le pauvre Shû semble souffrir d’un amour à sens unique, Kyôichi manque clairement de tact… Je pense qu’il faudra être patient pour que leur relation se concrétise !



C’est, pour moi, encore un tome réussi que j’ai beaucoup aimé lire ! S’il y a toujours autant d’humour et de tendresse, il y a aussi pas mal d’action ici, de quoi dynamiser le récit ! Les personnages sont toujours aussi attachants. J’aime particulièrement Ken qui me fait toujours bien rire. Il n’a jamais dit autant de choses si adorables à Kirara, mais c’est toujours avec une expression flippante !



Le couple dont j’ai le plus aimé le développement ici est celui de Kyôichi et Shû. Si Shû est plutôt réservé et responsable, notamment parce qu’il doit élever sont neveu, Kyoichi est juste ingérable ! Il y a une scène du malaise ultime avec lui qui ne se cache même pas pour espionner Ken et Kirara, ça montre à quel point il est à côté de tout quand il s’agit de comprendre les gens ! Alors, s’il n’essaie pas de changer, ça ne va pas passer avec Shû qui semble plus adulte, plus responsable mais aussi plus vulnérable.



J’ai donc beaucoup apprécié ma lecture de cette série qui me plaît toujours autant. De manière générale, j’aime beaucoup les œuvres de Kotetsuko Yamamoto que je trouve variées, simples, douces, attachées au quotidien et très drôles ! J’attends donc avec impatience la suite, peut-être que l’on aura des rapprochements, et que Kirara arrivera enfin à acheter son collier de couple ringard !

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Le bonheur du démon, tome 2

Ce deuxième tome reprend presque immédiatement à la suite du précédent. Maintenant qu’il vit chez Gonzô, le grand-père de Fukutomi, on retrouve Emu très occupé à travailler. Il effectue plein de petits boulots différents et gagne beaucoup plus d’argent en une semaine qu’il aurait pu en gagner en un mois à la supérette. En plus, les gens sont toujours très gentils avec lui. Fukutomi, très inquiet, veut passer plus de temps avec Emu et arrive doucement à se rapprocher de lui, mais Emu ne souhaite toujours pas s’investir plus avec lui tant qu’il est endetté.



Comme pour le précédent tome, j’ai beaucoup aimé celui-ci ! On change de cadre et à travers les mésaventures d’Emu, on a le droit à beaucoup de scènes touchantes, drôles et même de l’action ! Emu commence à s’ouvrir de plus en plus aux autres et à compter sur eux.



Fukutomi est également un peu plus développé ici. Fils d’une famille aisée, il a toujours eu beaucoup d’opportunités et de facilités, mais en réalité il est assez perdu pour son avenir. Il ne sait absolument pas ce qu’il veut faire après la fac, à part être avec Emu. La fin du tome le concernant m’a bien fait rire, peut-être qu’il trouvera sa voie de cette façon !



Le personnage qui m’a le plus surprise ici c’est Kizumi, le collecteur de dettes. En plus d’être trop fort et d’avoir un charisme certain (même s’il ne bas pas Gonzô), il est étonnement gentil et surtout plutôt mystérieux ! Vu le respect qu’on lui montre, j’ai l’impression qu’il a beaucoup de poids dans une organisation pas très légale… comme des yakuzas… A voir par la suite !



Ce second tome est donc tout aussi réussi que le premier, que ce soit pour l’histoire ou les graphismes, j’ai adoré ! Et ça donne, évidemment, très envie de lire la suite. Les publications sont tellement longues, c’est dur d’attendre… Il faudra patienter au moins jusqu’à septembre pour la suite, il me tarde vraiment !
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Le bonheur du démon, tome 1

Série la plus récente de la prolifique Kotetsuko Yamamoto, Le Bonheur du démon, compte pour l’instant deux tomes (dont le troisième sort en septembre prochain) qu’il fallait absolument que je me procure. Je n’ai pour l’instant jamais été déçue avec les yaoi de la mangaka, ce sont toujours des histoires bienveillantes, drôles et qui abordent des sujets plus sérieux avec beaucoup de justesse et de simplicité. Ici, j’ai été surprise par le fait que l’histoire soit plus sombre que les autres séries que j’ai lues jusqu’à présent.



Pour résumer, Emu n’a jamais vraiment eu de chance dans la vie depuis qu’il est né. Sa mère l’a abandonné, son père buvait, il a toujours connu la pauvreté, il a dû arrêter le lycée, et à la mort de son père il écope de sa dette de cinq millions de yens qu’il doit rembourser alors que sa seule source de revenu provient de son boulot dans une supérette. Toujours très digne, Emu n’a jamais laissé personne l’aider. Mais un soir, il tombe par hasard sur un ancien camarade de classe, Fukutomi, qui insiste fortement pour l’aider avant de lui faire une déclaration. Mais Emu ne peut pas se laisser aller dans une relation tant que son énorme dette n’a pas été remboursée. Alors, pour la première fois de sa vie, il accepte d’être aidé et décide de suivre le grand-père de Fukutomi qui l’emmène chez lui à la campagne et lui donne des petits boulots mieux payés.



J’ai vraiment beaucoup aimé ce premier tome ! L’histoire d’Emu est très touchante, et bien que ce soit plus sombre que ce à quoi je m’attendais, on ne tombe pour autant pas dans le tragique. Les gens qui vont l’entourer sont, pour la plupart, bienveillants et bien intentionnés.



Mais il est vrai que l’histoire d’Emu est bien triste. Seul et pauvre toute sa vie, son seul moment de joie, quand il peut aller au lycée, est gâchée par ses camarades qui stigmatisent sa pauvreté. Il ne sera pas vraiment harcelé, mais il sera mis à part et soupçonné de vol, on lui fait bien sentir qu’il n’est pas à sa place ici. C’est vraiment cruel, et à cause de ça Emu ne finira pas sa scolarité alors qu’il en a les capacités. Je trouve ce personnage très intéressant et touchant. Il fait pitié, mais malgré tout ce qui lui arrive, il reste particulièrement digne. Il refuse la charité et veut vivre sans impliquer qui que ce soit dans ses problèmes. Solitaire, il devra apprendre à compter sur les autres, chose qu’il n’a jamais pu faire jusqu’à présent. On va donc le voir progressivement mûrir, apprendre à différencier la pitié de la gentillesse et à faire confiance.



Concernant Fukutomi, j’avoue l’avoir trouvé agaçant. Il débarque par hasard, s’implique dans ce qui ne le regarde pas et se confesse de nulle part. Cependant, au fil des pages, on voit qu’en fait il est simplement gentil et désintéressé. Mais j’ai préféré son grand-père, qui a tellement de charisme !



On retrouve ici certains thèmes chers à la mangaka, comme la vie quotidienne, le Japon traditionnel comme décors (ici une brasserie de saké), une romance simple et mignonne, la vie dans une petite ville et bien-sûr l’humour très présent ! C’est donc un premier tome réussi pour cette jeune série. Que ce soit pour l’histoire ou bien pour les personnages, j’ai beaucoup aimé ma lecture. Cette série vaut le coup !
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Like the beast, tome 12

Voilà un tome qui m’a un peu moins captivée car une bonne partie du manga s'attarde sur un autre couple que Ueda & Aki. Certes, l'histoire globale reste sympa mais n'apporte pas grand chose à nos personnages principaux. Quant à la seconde partie, elle est fort drôle et on retrouve le côté absurde et comique du gentil yakusa qu’est Aki.
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A boring man

Une petite histoire sympathique mais assez classique. Ce n'est pas le meilleur manga de cette mangaka. Le charadesign reste très sympa.
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Encore une nuit blanche, tome 1

Une petite histoire touchante fidèle aux code de Kotetsuko Yamamoto, valeur sûre dans le manga yaoi.
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Let's pray with the priest, tome 2

Un deuxième tome tout aussi agréable à lire que le premier : )



L'auteur met en avant le premier rendez-vous entre nos deux héros, donnant lieu à des scènes cocasses et tendres à la fois. Toujours beaucoup de simplicité entre les personnages, même si les premiers doutes et questionnements apparaissent (mais cela reste léger et frais).



La fin du tome se centre davantage sur le frère de Yuji, qui laisse apparaître ses failles. On commence à mieux saisir sa psychologie, et ce n'est pas pour me déplaire : )



Une série qui se lit avec grand plaisir, et dont a envie de connaître la suite !
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Let's pray with the priest, tome 1

Un manga simple et prévisible dans son histoire mais les personnages sont attachants. Je l'ai lu avec plaisir.
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Like the Beast, tome 1

Une très bonne surprise que ce manga, qui allie humour et tendresse, et même un soupçon d'action !



Les personnages, loin des clichés que pourraient véhiculer leurs "postes" respectifs (yakuza et policier) sont extrêmement attachants, et surprenants. Leur couple est une bouffée d'air frais, et je me suis vraiment régalée à les voir ensemble, ainsi qu'en compagnie des personnages secondaires, absolument truculents chacun à leur façon : )



J'espère de tout coeur que la suite sera publiée rapidement en France, car ces 6 premiers tomes se dévorent littéralement ! Et on en redemande !
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Et demain ce sera quoi, tome 3

Un nouvel élève vient d’intégrer la classe de Kirara et Ken. Il s’agit de Hanawa, un ancien ami de Ken avant qu’il ne déménage pour suivre son père. Hanawa se rappelle de son enfance avec Ken, tous les deux semblent assez proches pour que Kirara commence à être jaloux. Mais Hanawa veut juste retrouver son ancienne amitié, aussi il décide de devenir proche de Kirara à la place. C’est comme ça qu’il se retrouve obligé d’aller à un date avec Kirara et Omaeda. Ce dernier n’arrête pas de harceler Kriara qui décide de céder seulement cette fois en échange de la tranquillité de ses amis. Kirara arrivera-t-il à se débarrasser d’Omaeda ?



J’aime toujours autant cette série, toujours aussi cool ! Ici, bien que Kirara soit au centre de l’histoire, la romance avec Ken ne progressera pas beaucoup au profit des personnages secondaires. Déjà, il y a Omaeda qui commence à être lourd avec son harcèlement… Même s’il arrive à avoir un date avec Kirara, il ne comprend toujours pas ce qu’un « non » signifie… C’est un peu triste pour lui, mais au moins il va vite le comprendre ! Par contre, j’ai aimé que la mangaka le montre également sous un jour nouveau, plus classe, avec beaucoup de respect pour ses amis. Ça permet d’avoir un nouveau regard sur un personnage jusque-là insupportable, j’aime assez ! Concernant Hinawa, pour l’instant on n’en sait pas trop sur lui mais il m’a bien fait rire. Je pense qu’il va être un bon ami de Kirara par la suite.



On ne voit pas trop Ken dans ce tome, et quelque part tant mieux vu que je l’ai trouvé insupportable dans le précédent. Mais du peu qu’on le voit, il n’arrive toujours pas à être clair avec ses sentiments. Ça ne progresse donc toujours pas entre eux malgré un rapprochement physique… J’espère que le pauvre Kirara aura un peu plus de chance avec Ken à l’avenir !



Le tome se lit vraiment bien, entre l’action et l’humour, on ne voit pas le temps passé ! En tout cas j’ai beaucoup aimé cette lecture, et cette série sans prise de tête me plaît toujours autant.

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Et demain ce sera quoi, tome 1

Après avoir beaucoup aimé Like the beast et Le Bonheur du démon, je me lance dans une nouvelle série de la très prolifique mangaka Kotetsuko Yamamoto ! Et je dois dire qu’avec ce premier tome très prometteur, j’ai vraiment beaucoup aimé !



À cause de sa petite taille et de son physique androgyne, on confond souvent Kirara avec une fille, à tel point que même sa mère le fait participer à des concours de beauté pour filles qu’’il remporte ! Sauf que pour le jeune garçon, très complexé par son apparence, c’est une vraie source de souffrance. Aussi, lorsqu’il rencontre ses nouveaux voisins, les frères Tosayamada, qui sont tout ce qu’il rêverait d’être, il décide de tout faire pour leur ressembler. Ken et Kyôichi, surnommés « les chiens enragés », sont très forts pour se battre et imposent le respect. Kirara va donc passer beaucoup de temps avec eux et, à mesure qu’ils grandissent ensemble, il va se découvrir des sentiments de plus en plus forts pour Ken. Mais espérer que Ken l’aime en retour semble impossible pour Kirara, d’autant plus que les frères sont homophobes… Kirara va-t-il réussir à passer à autre chose ?



On démarre doucement dans ce premier tome qui retrace l’enfance de Kirara jusqu’à sa première année de lycée. Plutôt introductive, l’histoire progresse néanmoins dynamiquement à travers le personnage de Kirara que j’ai trouvé très attachant ! On retrouve l’humour qui caractérise la plupart des séries de Kotetsuko Yamamoto, mais aussi beaucoup d’action.

Kirara est vraiment cool comme personnage, en tout cas je l’ai beaucoup apprécié. Plutôt innocent et bête, il est aussi gentil, loyal et courageux. Malgré son physique, il n’abandonne jamais l’idée de se démarquer et de devenir aussi fort que les frères Tosayamada. De ces derniers, ont en voit pas encore assez pour se faire un avis, mais en tout cas Ken est très taciturne, assez insupportable mais il semble cacher pas mal de choses. J’ai trouvé intéressant que la mangaka introduise des personnages homophobes, surtout quand on se doute qu’au moins l’un d’entre eux va changer par la suite. A voir comment cela va être traité dans les tomes suivants ! Il y a également beaucoup de personnages secondaires qui gravitent autour de Kirara et qui vont l’aider à grandir. Comme toujours avec Kotetsuko Yamamoto, il n’y a pas vraiment de « méchant » dans ses histoires, mais plutôt des personnages qui évoluent et qui sont bienveillants malgré leur apparence.



Concernant le dessin, on retrouve le trait de la mangaka, avec pas mal de cases d’action et de combats, ce qui change un peu de ce que j’ai lu d’elle avant. La romance progresse vraiment très doucement, on sent que ça va mettre du temps à se mettre en place pour construire une connexion profonde entre les personnages.



Aussi, j’ai beaucoup aimé ce premier tome et le personnage de Kirara ! On y retrouve le style de la mangaka, du « tranche de vie » avec beaucoup d’humour et des personnages attachants. Il me tarde beaucoup d’enchaîner avec la suite !

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Et demain ce sera quoi, tome 6

C’est avec grand plaisir que je retrouve Kirara et Ken dans la suite de leurs aventures ! De manière générale, j’aime beaucoup les mangas de Kotetsuko Yamamoto, qui sont toujours simples, plein d’humour avec des personnages incroyablement attachants. Ici, contrairement à d’autres séries de la mangaka, on suit les aventures de deux lycéens dont la relation prendra son temps pour s’installer.



Dans ce sixième tome, on retrouve donc Kirara et Ken qui sortent enfin ensemble et qui se rendent à leur premier date. Malheureusement pour eux, tout ne va pas se passer comme prévu lorsqu’ils tombent en pleine embuscade face à un groupe de délinquants qui veut se venger de Ken et qui blesse sérieusement Kirara ! Obligés d’interrompre leur date pour que Kirara se fasse soigner, ils vont au bar que tient le père de Ken. Seulement, alors qu’ils se croient seuls, Tarô, le petit-ami du père de Ken, les voit… Leur date est alors repoussé le jour de l’anniversaire de Ken, mais ce dernier ne peut finalement y aller tellement il est malade ! Vont-ils donc réussir à se rapprocher malgré tout ?



Si on rit beaucoup des mésaventures des personnages, et des situations absurdes qu’ils rencontrent, il y a également beaucoup de moments touchants et sérieux. Il y a bien sûr la romance entre Ken et Kirara qui est trop mignonne (Ah, Ken !), mais je trouve qu’il y a finalement beaucoup de sujets sérieux qui sont abordés simplement et avec beaucoup de justesse. Par exemple ici, l’apprentissage de la sexualité par Kirara, qui n’a vraiment aucune expérience et qui est très maladroit, est bien menée et sans jugement. On sent aussi l’importance d’une personne plus adulte et bienveillante à ses côtés, à savoir Tarô, pour le guider et l’aider. Ce qu’il y a de bien aussi c’est l’évolution des personnages. Si Ken et son frère s’affichent homophobes en réaction à leur père dès le début de la saga, ils évoluent et comprennent qu’ils avaient tort. La discussion qu’ils ont ici à ce sujet est très juste et on se rend compte qu’ils étaient juste des enfants.



J’ai donc beaucoup aimé ce tome qui mêle beaucoup d’humour à la vie quotidienne, avec de jolis dessins et des personnages si attachants ! La suite va être dure à attendre, d’autant plus que la publication est longue… Il me tarde tellement de la lire !
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Encore une nuit blanche, tome 1

Rikiya Higuchi a 18 ans, il est timide et célibataire. Il rêve d’avoir un petit ami et va donc s’inscrire sur un site de rencontre gay mais, sa première rencontre ne se passe pas comme prévu et se retrouve piégé. C’est alors qu’il va involontairement faire appel à un démon qui lui vient en aide. Rikiya doit faire un vœux (chose qu’il fait) mais, le démon décide de rester avec lui.



Ce premier tome annonce la couleur des choses et donne extrêmement envie d’en savoir plus et de connaître la suite ! Endo (le démon) est un personnage que j’aime beaucoup même si il parait bizarre à certains moments il reste doux et chou !
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Like the beast, tome 11

Après plus d’un an à attendre, je suis contente de retrouver Ueda et Aki. Ils sont toujours aussi drôles et sympathiques, leurs aventures rocambolesques et mignonnes, surtout dans ce tome avec le bébé. Encore un tome super et je m’en vais enchaîner avec le 12.
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Mad Cinderella, tome 4

Ce tome est placé sous le signe de la sensualité pour nos deux héros. Bien que leur relation ait enfin franchi un cap, notre pauvre Sakuichi reste toujours aussi frustré !



Un nouveau personnage fait son apparition, et l'auteur nous laisse présager vers la fin de ce tome que tout ne sera peut-être pas si simple pour Sakuichi et Ryôta, même si, on n'en doute pas, tout se finira bien ; )
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Like the beast, tome 14

C'était trop bien encore une fois !

Si seulement cette série pouvait ne jamais s'arrêter XD

Un charmant petit volume, et toujours plein d'humour. En fait, je pensais vraiment que c'était la conclusion de l'histoire d'amour entre Aki et Ueda. A vrai dire, cela aurait été parfait, mais apparemment le manga continuera. J'avoue que je me demande ce que l'auteur va bien pouvoir raconter par la suite, mais bon, cela fait 14 tomes que l'intrigue aurait pu s'arrêter, et pourtant elle a réussi à faire en sorte de nous y intéresser pendant tout ce temps et je les ai tous dévoré. Alors vivement la suite !



Ok Tier.
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Like the Beast, tome 10

C'était mignon, et drôle, comme d'habitude.

Je ne sais plus vraiment quoi dire de plus sans me répéter, car chaque tome est aussi bon que le précédent.

Ah si ! Le caractère de Ueda est quelques peu déroutant parfois. Il est tellement bizarre ! Alors oui, c'est le principe de son personnage, mais quelques fois ça me gêne un peu ce côté que rien n'atteint... Aki est beaucoup plus normal bizarrement XD Et puis, il est trop mignon.



Hop, la suite !



OK Tier.
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Like the Beast, tome 1

Je crois que cette série était dernière, ou presque, dans ma liste de BL à lire.

Le policier et le yakuza, ça ne m'inspirait pas des masses comme pitch. Surtout que je venais juste d'enfin finir 'the 4th guard' qui n'était pas très bon dans l'ensemble, donc recommencer un long yaoï avec des yakuza...autant dire que j'y allais à reculons.

Hé bien, j'ai été agréablement surprise !

Ce volume m'a fait l'effet d'un vent de fraîcheur, bienvenu après mes précédentes lectures. Les personnages sont attachants dès le début, et très amusants. Aki est trop mignon, et cette façon de passer d'adorable à colérique en deux secondes et très drôle. D'ailleurs les dessins sont bien gérés, on a aucun mal à reconnaître les différents protagonistes (ouf !), les émotions passent bien, et il y a de jolies planches.

J'aime aussi le fait qu'il n'y ait pas certains clichés....mais non, l'auteur ne rentre pas dans les facilités scénaristes et mise plutôt sur les situations cocasses et le kawaii.

Et ça marche ! Je suis ravie de pouvoir dire que j'ai envie de lire la suite.



Ok Tier.
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