Ce n'est pas un manga pour les âmes sensibles car être homme au foyer c'est dur, exigeant et violent.
S'occuper de son foyer, c'est un univers impitoyable où seuls les plus déterminés et les plus forts réussissent. Tatsu l'a compris mais son apprenti Masa est encore très loin de respecter cette voie si exigeante et si éprouvante. Tatsu devra faire face à des ennemis redoutables comme un robot (aspirateur) ou d'anciens adversaires comme Torajirou dans un combat épique (dont on ne connait toujours pas le nombre de like).
Cela me fait penser aux cours de Kateika et de Kakeibo au Japon pour apprendre les arts ménagers et la gestion d'un budget.
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Bon, ce n'est pas le plus folichon de tomes en terme d'humour, moi qui rigole facilement. La battle de rap ... que fait-elle ici ? L'auteur tente des traits d'humour et pour une fois, celui-ci ne m'a pas forcément plu. Tous les chapitres ne se valent pas, ce fut une drôle de lecture mais pas dans le bon sens !
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Malgré une folie débordante avec l'association des femmes au foyer du quartier, j'ai trouvé que ce tome était en-dessous des précédents. C'est rigolo mais j'ai moins éclaté de rire que d'habitude, c'est bien dommage. Je me demande jusqu'où l'auteur est prêt à nous emmener et comment il arrive encore à imaginer des scénarios après 10 tomes au Japon !
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Bon, j'avoue, je passe toujours un très bon moment avec Tetsu. Les situations sont vraiment drôles et bien pensées. On joue sur son look, sa manière d'être et ses habitudes d'homme au foyer : j'ai vraiment bien rigolé ! Qu'on se le dise, ce n'est pas un titre ayant un potentiel d'évolution fou mais qu'est-ce que je passe un sacré moment de rigolade, l'auteur va loin mais je le suis ! XD
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Alors que le tome 2 fut bien drôle et plein d'énergie, celui-ci fait retomber un petit peu le soufflet. Les cadrages sont toujours aussi funs avec des visages improbables de Tatsu dans des situations de la vie quotidienne plutôt cocasses. Quelques personnages apparaissent comme sa jumelle du milieu, (cette rencontre fut drôle dans le supermarché qu'elle tient), son ancien boss en amour pour son chien ... Tout ça avec la possibilité de jouer le rôle de serveur et de prof de tâches ménagères, cela amène des opportunités folles de voir l'immortel en action. On remarque un peu plus la présence de la femme de Tatsu, passionnée et dynamique. J'ai passé un bon moment de détente car ce tome fait sourire, humour à suivre !
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J'ai vraiment rigolé comme une baleine. L'auteur et son traducteur français sont géniaux pour jouer sur les situations et les mots. Quand on passe un moment sans s'ennuyer et en rigolant, je ne vois pas trop pourquoi s'en plaindre. C'est délirant, il n'y a pas de fil conducteur particulier et le seul objectif est de passer un moment de détente et de rigolade. Pari réussi, ça m'a motivée pour lire le suivant !
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Alors qu'actuellement le marché sentimental vend et glorifie des Bad Boys couillons tous plus cons, immatures et hyper-violents les uns que les autres, ça fait du bien de voir exactement l'inverse ici. Du moins, c'est plaisant de voir un homme, Tatsu dit "L'immortel", qui pourrait bien continuer à être le yakuza sanguinaire et dominant qu'il a été choisir de faire autre chose de sa vie et s'offrir le rôle de l'homme au foyer, encore sous-estimés de nos jours. Qui a dit que porté un tablier rend moins sexy?
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas un manga avec une trame narrative continue, mais bien une suite de scène du quotidien. Peut-être cela va-t-il changer éventuellement, mais pour le moment, c'est ce que nous avons.
Ce qui fait l'humour de ce manga tient autant du changement de vocation du personnage principal que sa déformation professionnelle. On ne change pas ses vieilles habitudes du jour au lendemain, ce qui crée toujours une ambiguïté quand aux actions que Tatsu pose. On aura droit à des "transactions" qui ont l'air douteuses, mais qui se révèlent concerner des plants d'herbes fines, ou des hyperboles spontanées, quand Tatsu propose de s'infliger des blessures et des châtiments aux proportions grandement exagérée pour de banals maladresses, tel le yakuza à l'honneur bafoué. Non, mais quelle diva, ce Tatsu...
Un autre élément humoristique revient au décalage physique de Tatsu, qui a des expressions sanguinaires et une aura dangereuse alors qu'il socialise ou tente de se donner une expression décontractée - ce qu'il fait assez moyennement vu sa gueule de motard au sourire de requin. Su ce plan, ce sont davantage les illustrations et les jeux de lumière qui font le travail. En outre, il a les attributs physiques et allure générale qui n'aident en rien: sa carrure imposante, sa démarche intimidante, ses tatouages un peu ostentatoires, son costume noir et ses lunettes de soleil.
Tatsu a une personnalité pourtant charmante, quoiqu'un peu intense par moment. Ultra-maniaque-perfectionniste qui n'en rate pas une pour se donner des défis, Tatsu semble mettre autant de rigueur et de passion dans son nouveau rôle que dans l'ancien. Et il s'en sort admirablement, je trouve. Il est en autre empathie, très serviable, stratégique et toujours volontaire pour aider ses voisins, ce qu'il fait avec une élégance qui peut dégénérer en effrayante efficacité. Surtout, on ne sent à aucun moment que sa nouvelle vie le fait sentir moins "mâle". Un détail qui a son importance, parce que cela fait coexister "virilité" avec "domesticité" et ça, c'est nouveau!
Le filon conducteur des scènes table donc sur son adaptation à sa nouvelle vie, ponctué parfois de gaffes complètement inattendues ou étonnamment puériles. Parfois, on sent les mauvaises habitudes reprennent le dessus, mais heureusement, il peut compter sur son épouse.
Celle-ci est d'ailleurs assez simple, quand on la regarde - je dis cela dans le bon sens et je me maudis d'avoir encore oublié son prénom - je ne suis pas douée avec les prénoms. Bref. C'est une femme de bureau qui a ses manies et ses habitudes, citoyenne en apparence sans histoires et d'un tempérament égal. Je l'apprécie ce personnage, elle a quelque chose de très classe moyenne et donc de près de nous. C'est pour l'avoir épousée que Tatsu a choisi de ranger ses histoires de gang. Elle semble en outre parfaitement saisir les singularités de son époux et ne lui laisse pas le temps de se faire du mal ( dans ses excès de zèle d'honneur, par exemple). Bref, ils font un couple qui semble solide, complice et dont les petits conflits sont de ceux qu'ont les vrais couples. Parfois, la simplicité à plus d'intérêt que les couples torturés et éternellement instables que je croise beaucoup trop souvent dans la culture ces temps-ci. Et je signale que leur relation est saine, basée sur le respect, l'égalité, la complicité et la tendresse. Comme quoi tous les Bad Boys ne sont pas condamnés à être des trou-de-cul, pour un peu qu'ils s'en véritablement donnent la peine. Merci Tatsu!
Aussi, je note que les personnages secondaires aussi sont appelés à bousculer les conventions. Des anciens membre de gang qui se convertissent aussi en divers rôles plus tempérés et conventionnels, des femmes au foyer beaucoup plus débrouillardes et actives qu'elles en ont l'air, et quelques autres cas atypiques qui croisent la route de l'ancien yakuza. Ces interactions donnent souvent de drôles de situations.
En même temps, le manga me donne l'impression de valoriser la vie domestique et sociale du citoyen moyen, ce qui, en soit, n'est pas une mauvaise chose. Ça a un côté léger et apaisant. On parlera de fitness, de cuisine, de ces saletés de bidules que les écrans nous vendent, des soldes où les gens deviennent de vrais furies, de voisinage, de jardinage et de vie de couple. Tranquille, drôle et léger, pourtant atypique. Ça me rappelle mon premier gelato au concombre- fameux en passant!
Parfois, on a besoin d'un truc léger juste commodément étonnant, comme durant une pause dîner ou un après-midi à bouquiner tranquille. C'est le genre de manga qui s'y prête très bien, tout en promouvant des modèles masculins non-toxiques, la vie à la maison - qui n'est pas de tout repos! - et combinant deux univers qui, en principe, ne se rencontrent pratiquement jamais.
Côté dessin, c'est propre et bien fait. Les personnages ont une belle apparence et des proportions relativement calibrées. Visuellement, c'est plaisant et les scènes d'actions sont dynamiques. Il pourrait y avoir une meilleure fluidité dans les transitions, mais globalement, je trouve ce manga agréable visuellement.
Pour un lectorat seinen adulte - Pas tant que ce soit violent, du moins dans le premier tome - mais ce sont les sujets qui sont davantage adulte. Mais si cela intéresse les jeunes adultes et les ados, ça peut convenir.
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j ai bien aimer se manga le recit est bien le manga est marent facile a lire pour les dysorthographique est il est inspirent a lire il ma tout de suite atirer je trouve juste domage que la suite ne reprent pas a la fin du 1
mais bon manga dans l emsemble je le recomande vivement
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C'est un manga très drôle que j'ai connu par sa version animée. C'est assez bien adapté. Nous suivons un ancien membre de gang devenu une légende qui a raccroché les gants lorsqu'il s'est marié pour devenir homme au foyer. Nous suivons donc son quotidien : la fabrication du bento de sa femme, le ménage, les courses et aussi ses interactions avec les voisins, les vendeurs, ou les anciens yakuzas qui le rencontrent dans la rue.
C'est hilarant, ce sont des petites scènes de la vie en quelques pages, on dévore rapidement le manga !
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Je lis très peu de manga mais le résumé de celui-ci m'a plu et il était disponible à la médiathèque. Si vous voulez passer un bon moment, rire et vous détendre, ce manga est fait pour vous !
Une vraie tranche de vie hilarante et un personnage tellement décalé ! J'ai bien aimé mais ce qui ne m'a pas plu : les chapitres se succèdent sans fil conducteur... J'ai tenté le tome 2 mais le format est identique donc je m'arrête là.
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Attention ! Yakusa en action ! Il pourchasse un chat qui a volé un poisson, et cette course-poursuite est épique. Cependant, quand il découvre pourquoi ce chat a volé un poisson, il abandonne.
Oui, il s'agit d'un quatrième tome, mais j'ai trouvé celui-ci particulièrement relevé, et pas seulement à cause de la scène d'ouverture. Tatsu veut bien faire, et est prêt à tout pour aider un ancien collègue, notamment en se renseignant soigneusement sur le tapioca.
Une série drôle et divertissante.
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Etre homme au foyer, c'est compliqué. Tatsu est prêt à tout pour prendre soin de sa femme, pour l'aider à rencontrer ses idoles, ou, plus simplement, pour l'aider à se détendre. Je rappelle d'ailleurs qu'avoir un chat sur les genoux est essentiel pour se relaxer.
Les aventures sont toujours aussi amusantes, mais parfois un peu répétitives. Certes, l'on en découvre un peu plus sur la femme de Tatsu, notamment, mais c'est vraiment tout. A voir comment la série va évoluer.
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J'ai trouvé ce tome 2 aussi drôle que le tome 1. Il faut dire que le décalage nait entre le personnage et les situations vécues. Rien n'est simple pour Tatsu, pas même l'achat d'une nouvelle voiture, parce qu'il ne voit pas l'usage d'une voiture de la même manière que nous, parce qu'il revit ce qu'il a fait au volant d'une voiture.
De même, être présenté à ses beaux-parents est une étape normale -sauf que Tatsu n'interprète pas forcément les questions de la même manière que nous.
Pourquoi, d'ailleurs, n'est-il plus yakusa ? Qu'est-ce qui l'a amené à changer ? L'on ne le sait pas vraiment. Cela n'enlève rien au plaisir de lecture ressenti.
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J'ai découvert cette série de manga grâce à PatiVore, une amie blogueuse. Tatsu et sa femme semblent avoir inversé les rôles, du moins de mon point de vue d’occidentale. Elle travaille énormément, s’investit pour son travail, tout en n’étant pas une très bonne ménagère (voir dans quel état se trouve leur logement quand elle veut organiser une fête d’anniversaire surprise pour son mari). Lui, par contre, cherche tous les moyens de se perfectionner dans son domaine, et je dois dire que c’est carrément flippant dès que Tatsu se retrouve un couteau à la main : j'ai toujours eu l'impression qu'il cherchait à tuer quelqu'un plutôt qu'à confectionner des plats innocents.
Les chapitres sont courts, et contiennent chacun une situation précise, développée jusqu'à son dénouement.
Une série agréable à lire, de par son décalage entre le personnage principal, et ce qu'il vit.
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L'histoire est sympa, le yakuza homme au foyer c'est plutôt incongru ! Les scènes quotidiennes sont plutôt rigolotes, et malgré le fait que certains lui cherchent des noises il ne réagit pas ! Ça va un peu dans tous les sens et je ne sais pas vraiment où ça va mener justement. Mais je vais lire le deuxième pour en savoir davantage !
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Un ancien yakuza qui change d’orientation et devient homme au foyer… C’est tellement improbable, tellement fou, que j’avais envie de découvrir ce manga qui proposait un pitch alléchant, intéressant, prometteur… Toutes les reconversions professionnelles sont possibles ? Ou pas…
Ma découverte de la première scène de vie mettant en scène notre ancien tueur des Yakuzas, Tatsu l’Immortel, m’a fait sourire.
L’homme, costume noir, lunettes de soleil, air mi-malheureux, mi-sérieux, est toujours vêtu de son tablier. Entre nous, il est flippant.
Maintenant, il se pique de faire de la cuisine et de le faire bien, comme s’il remplissait un contrat de ses anciens employeurs.
Alors oui, il y a de l’humour, je ne le nie pas. La scène avec son chat qui ruine tout son ménage était amusante. La preuve qu’un grain de sable pour enrayer une machine bien huilée et que notre tueur a dû connaître, dans son ancienne vie, des petits détails de rien du tout qui foutaient tout en l’air.
Oui, j’ai souri avec l’épisode du commercial, qui, devant un plat préparé par Tatsu, se remémore des bons souvenirs d’enfance. Mais ça devient un peu trop lourd avec le mec violent qui ressent des émotions avec une paire de gants, se rappelant, lui aussi, son enfance.
À force, j’ai eu l’impression que l’on poussait un peu trop la caricature, le gag lourd, le scénario poussif au possible, avec notre yakuza qui refuse toute violence et qui ne se consacre plus qu’à tenir son foyer du mieux possible, devant lui-même une caricature qui n’est plus drôle, à force.
Les chapitres ne sont que des petites scènes de vie, sans vraiment de cohérence entre eux, sans un fil conducteur, une histoire avec un squelette.
Ce n’est pas une mauvaise découverte, j’ai souri, le pitch est intéressant, mais il donne l’impression, après quelques chapitres, de tourner en rond, de se répéter et de ne pas avoir réellement de fil rouge, de fil conducteur.
Si les tomes suivants sont pareils, je ne pense pas continuer ma découverte de ce manga, qui, pourtant, était des plus intéressants.
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