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Citations de Koyoharu Gotouge (144)


- Hé, qu'est-ce que tu portes ?
- Les restes de papy.
- Les restes ? Ça se mange ?
- NON ! T'ES DÉBILE OU QUOI ?!
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- S'il vous plaît... si je meurs, dites à ma femme Nezuko que je l'aime.
- C'est pas ta femme.
- Et que j'ai été un vrai héros... j'ai aimé Nezuko jusqu'à la fin...
- Il s'arrête jamais de parler lui...
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Rends-les-nous !
Le bras et la jambe ! Les vies !Tout !
Et si tu ne peux pas le faire...
TU SOUFFRIRAS UN MILLION DE MORTS EN COMPENSATION !
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- C'est comme si mon cœur jusqu'ici absent, s'était mis à battre. C'est donc ça, l'amour ? Comme tu es belle Shinobu-chan.
Ces sentiments existent donc bel et bien. Ça veut donc dire que le paradis et l'enfer existent aussi ?
Hey, Shinobu-chan, hey. Tu veux bien me suivre en enfer ?
- Va te faire foutre, connard.
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- GAAAAAGHH !! ÉTROOOON
ARRÊTE TES CONNERIES ET CRÈVE... REGARDE !!
CE QUE TU ME FAIS FAIRE !!
- Il... il a balancé un arbre !!
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GYAAAAAAAA ! QU'EST-CE QUE TU FAIS ? QUI T'ES TOI ?
C'EST PAS UN PEU TÔT POUR UNE CRÉMATION ?!
IL EST PAS ENCORE MORT ET TU LE BRÛLES DÉJÀ !
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IL Y A UN MONSTRE À TÊTE DE SANGLIER QUI EST EN TRAIN DE PÉTER TOUS LES MURS ET LES PLAFONDS !
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C’est bon, on a compris. Vous pourriez vous dépêcher d’aller brûler en enfer?
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Embrase-toi! Embrase-toi! Embrase-toi!! Fais brûler ton cœur!!!
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Ceux qui ne jalousent personne sont juste chanceux. Car en réalité, ils ont seulement eu la chance de ne jamais rencontrer une de ces personnes qui sont bénies par des dieux.
Quelqu’un qui ressemble à un soleil si ardent et vif qu’il consume tout ce qu’il touche.
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J'ai passé dix jours comme pris dans un brouillard à serrer le corps de ma femme et de mon enfant dans mes bras.
Jusqu'à ce qu'un guerrier sur les traces de démon me dise que je devais leur offrir une sépulture décente pour qu'ils reposent en paix.
Mon rêve était de mener une vie paisible avec ma famille. Je ne voulais qu'une petite maison. Je voulais dormir nos futons côte à côte à une distance où je pouvais voir le visage de ceux que j'aime, à une distance où il m'aurait suffi de tendre la main pour les toucher.
Ça m'aurait suffi. Mais mon vœu si simple ne sera jamais exaucé tant que les démons existeront dans ce si beau monde.
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Vous êtes fatigants !
Votre entêtement est épuisant. J'en ai plus qu'assez. Du fond de mon cœur, vous me dégoûtez.
Dés que vous ouvrez la bouche, c'est pour réciter la même litanie stupide : "Je veux venger mes parents, je veux venger mes enfants, je veux venger mes frères et sœurs..."
Vous avez survécu, ça devrait vous suffire. Vos proches ont été tués. Et alors ? Dites-vous que vous avez eu de la chance et retournez à vos vies d'avant.
Dites-vous qu'avoir été tués par moi, c'est comme avoir péri dans un cataclysme. [...] La pluie, le vent, les éruptions volcaniques, les séismes... même s'ils tuent beaucoup de gens, ça ne viendrait à l'idée de personnes de vouloir se venger d'une catastrophe naturelle.
[...] Pourquoi ne pas tourner la page... et vivre paisiblement en gagnant votre pain quotidien ? [...] Pourquoi ne la faites-vous pas, vous ? Je ne vois qu'une raison. Les chasseurs de démons sont un ramassis de lunatique.
Et j'en ai assez de perdre mon temps avec des lunatiques. C'est moi qui ai envie d'en finir.
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Je n'ai pas encore perdu. Je n'ai pas encore...
Même décapité, le corps entaillé, brisé... je refuse de reconnaître ma défaite. Que c'est laid. Quelle disgrâce !
Est-ce pour ça que j'ai vécu pendant des siècles ? Je ne voulais pas perdre ? Quitte à devenir un monstre hideux...? Je voulais devenir fort ? Au point de manger des êtres humains...? J ne voulais pas mourir ? Au point de m'abaisser à devenir cette pathétique créatures...?
Non, ce n'est pas ça. Je... je voulais juste...
Yoriichi... je voulais être toi.
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Aucun guerrier n'arrive à notre hauteur. Pour léguer notre souffle, c'est peine perdue. Les techniques que nous avons perfectionnées disparaîtrons avec nous.
Grand-frère, nous ne sommes pas si importants que cela. Nous ne sommes que des grains de poussière dans la longue, très longue histoire de l'humanité. A l'instant où nous parlons, ceux qui nous surpasseront poussent leur premier cri. Un jour, ils arriveront au même endroit que nous. Il est inutile de s'inquiéter. Peu importe quand le rideau se baissera sur nos vies...nous pourrons partir en paix.

N'est-ce pas là une pensée euphorisante, grand-frère ?
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Cette irritation qui me transperce le corps, du plexus solaire jusqu'à la pointe de mes cheveux, cette menace qui pèse sur ma vie et glace mon corps de l'intérieur. Cette sensation, comme si mon équilibre mental s'effondrait sous mes pieds, je les exècre. Cette sensation familière [...]
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ça me fout en rogne alors qu'il y a tant de gens qui souffrent qu'il y en ait d'autres qui sourient. Quelqu'un qui ne se salit jamais les mains ne risque jamais sa vie et se contente de donner des ordres à tout le monde depuis son piédestal, l'air tranquille.
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Étrangement, le contenu de ces testaments ce ressemble toujours beaucoup. [...] Il souhaitait que tous les êtres aimés puissent garder le sourire et vivre heureux jusqu'à la fin de leurs jours et que leur vie ne soit pas menacée de manière absurde. Même si à ce moment-là, nous ne sommes plus à leurs cotés, nous voulons qu'ils vivent. Nous voulons qu'ils survivent à tout prix.
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Sales humains !
Mous, fragiles, faibles !
Ils meurent tout de suite !
Ils se cassent et disparaissent pour toujours.
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Quoi qu'on puisse entreprendre, au début on est toujours un bébé dépendant de l'aide de notre entourage pour apprendre.
Il ne faut pas se comparer aux autres. C'est avec nous-même que nous nous battons toujours. L'important, c'est de devenir plus fort aujourd'hui que tu ne l'étais hier.
Si tu es capables de continuer pendant dix, vingt ans, tu pourras être fier de toi.
Et cette fois, ce sera à ton tour d'aider les autres.
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Tu as eu la délicatesse de me faire livrer mon repas...

Je te félicite Ubuyashiki !
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