Il n'y a pas de gens spéciaux. Il y a seulement des gens qui ont suffisamment de courage pour commencer à faire quelque chose, qui sont prêts à risquer d'échouer et qui continueront jusqu'à ce qu'ils en viennent à bout.
Savoir n'est pas pouvoir. C'est la mise en pratique du savoir qui donne du pouvoir.
Si votre vie est médiocre, c'est parce que vous êtes médiocre.
Quand on prend des décisions, ça ne fonctionne pas toujours comme on veut.
Dans la vie, ce n’est pas satisfaction-garantie-ou-argent-remis. Ça ne sert à rien de se plaindre. Il faut juste composer avec la situation.
Personne n’a la science infuse. Personne n’a le cerveau rempli au point
de ne plus pouvoir assimiler d’autres connaissances. Vous auriez intérêt
à lire, à écouter et à apprendre un peu plus chaque jour. Le savoir n’a
jamais été aussi abondant et accessible : les bibliothèques débordent de
livres ; il y a des librairies partout...
Vous auriez beau vouloir de toutes vos forces réussir, gagner plus d’argent et perdre du poids, il se peut très bien que vous n’arriviez qu’à échouer, perdre de
l’argent et engraisser. La volonté n’entre en ligne de compte que si vous êtes résolu, décidé, déterminé à faire ce qu’il faut pour atteindre vos objectifs.
Il est plus facile de se plaindre que d’agir, plus facile de blâmer autrui que de prendre ses responsabilités, regarder sa situation en face et améliorer son sort, plus facile de se vautrer dans ses ennuis que d’essayer de s’en sortir parce que ça attire la sympathie d’autres geignards et que ça nourrit l’échec.
Bâtissez la vie à laquelle vous aspirez en choisissant votre existence plutôt qu’en vivant par défaut. Prenez une décision, faites un plan, puis mettez-vous au travail et réalisez-le. En un mot, faites quelque chose de votre vie !
Les excuses sont des échappatoires. Elles ne vous empêchent pas de réussir : elles vous empêchent d’assumer vos responsabilités. Elles vous permettent de tenir les reproches loin de vous.
Le corps d’un adolescent, on le voit se transformer, devenir celui d’un homme. Mais l’esprit, le cœur ? L’évolution en suit le même cours, mais il faut la deviner, savoir quel instinct l’emporte, relever les cicatrices qui ne s’effacent pas comme sur le genou les traces du premier football, chercher à quel choc lointain ou à quelle tendance native fait écho une agressivité qui se révèle corriger une timidité excessive ou au contraire une dureté exagérée.