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Citations de Laurence Plumey (18)


Effectivement, on pourrait penser que nous maîtrisons nos choix alimentaires, mais en fait il n’en est rien. On nous commande de faire ces choix et ce on est très mystérieux. Il se cache dans notre cerveau. Il sait tout, il voit tout et il commande tout. Allez, on va essayer d’en savoir plus sur ce mystérieux commandeur. Tu viens, Robert ? Ça va un peu te changer de ton petit confort de vie. Je t’emmène là-haut, dans les circonvolutions nacrées et mystérieuses du grand cerveau.
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On peut toujours s’accorder une certaine latitude de 5 à 10 kg (en plus), mais pas plus. Si ce n’est pour une notion de confort et de bien-être (notion très subjective), ce doit l’être pour une notion de santé (notion objective), car les études sont claires. Au-delà de 30 (IMC correspondant à l’obésité), le risque de maladies cardiovasculaires et de cancers augmente beaucoup.
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Je voulais juste vous dire que tous ces gens qui disent du mal de ceux qui sont « gros », ce sont des imbéciles et des ignorants. Y feraient bien de lire ce livre, parce qu’y sauraient mieux tout ce que ces personnes endurent et toute la force de caractère que ça demande. Moi je voudrais leur dire « bravo » !
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La lipectomie. C’est un acte chirurgical pratiqué par un chirurgien plastique qui consiste à retirer localement les excédents de peau relâchée et les amas graisseux qui y sont fixés, après un amaigrissement important. La qualité de la lipectomie dépend de la qualité du chirurgien. Il faut donc bien se renseigner au préalable, si vous ne voulez pas le Z de Zorro en guise de cicatrice abdominale. De plus, ce sont des interventions délicates nécessitant en général une anesthésie générale, car l’anesthésie locale est rarement possible, et dont les effets ne se verront pas avant deux ou trois mois. Le galbe définitif se verra environ au bout de six mois et la cicatrice ne sera stabilisée (c’est-à-dire sans inflammation ni adhérences) qu’au bout d’un an. Alors, patience, patience et patience.
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De tout cela, il faut retenir que le gras de l’alimentation est la nourriture préférée de nos adipocytes. Plus on mange gras, et plus on engraisse. Tout apport de graisse qui dépasse nos besoins de 60 à 80 g par jour se retrouve stocké dans notre capital d’adipocytes, à moins que nous ayons l’idée d’aller nous défouler, vers la quatrième ou cinquième heure qui suit le repas, pendant au moins une heure, auquel cas le gras consommé est réquisitionné pour servir de carburant aux muscles. Ouf ! Dans ce cas, on empêche le stockage.
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Tout cela démontre une chose. Il faut arrêter de penser que les gens qui sont en surpoids sont des gros gourmands, faibles devant la tentation culinaire. Ce sont, le plus souvent, des personnes qui sont porteuses de mutations génétiques qui les prédisposent à la prise de poids quand elles vivent dans un environnement d’abondance. Et nous y sommes ! Nous mangeons au-dessus de nos moyens. La société nous tente avec des produits beaucoup trop caloriques comparativement au faible niveau de dépense énergétique auquel cette même société nous condamne, de par son organisation.
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Un enfant trop gros à l’âge de 10 ans le restera dans 70 % des cas à l’âge adulte. Les parents ne doivent donc pas penser que l’enfant va s’affiner en grandissant.
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Regarde un autre exemple : le syndrome de Prader-Willi. C’est une maladie génétique qui touche près d’un enfant pour 7 000 naissances et qui est due à une mutation au niveau du chromosome 15. À la naissance, l’enfant manque de tonus. Il souffre ensuite d’un retard psychomoteur et d’un retard de croissance. Jusqu’à 3 ans, l’enfant mange peu et est plutôt maigre. À partir de 3 ans, il retrouve de l’appétit mais sur fond d’accès anormalement compulsifs pendant lesquels il dévore tout ce qu’il trouve. Ces enfants deviennent donc très vite obèses.
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Il y a de toute évidence une transmission héréditaire car, nous le savons bien, il y a des familles de gens en surpoids comme des familles de gens plutôt maigres.
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La vitamine D. C’est une des rares vitamines à être lipophile, c’est-à-dire à être soluble dans le gras. On retrouve souvent peu de vitamine D dans le sang de patients obèses car elle est piégée dans leur tissu adipeux et donc inefficace pour le corps. C’est pourquoi il faut souvent les supplémenter en vitamine D.
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Il y a d’ailleurs une maladie innée chez l’homme qui s’appelle la « lipoatrophie » : il n’y a pas un poil de graisse dans le corps. « Formidable », direz-vous ! Eh bien, pas du tout, car ces personnes ont de nombreux problèmes de santé : du diabète, trop de mauvais cholestérol dans le sang, du gras dans le foie (la stéatose). Elles ont les mêmes problèmes qu’une personne en situation d’obésité massive. Tout cela a une explication : quand le gras ne peut pas aller dans le tissu adipeux, il va ailleurs et c’est bien là le problème, car les autres organes ne sont pas faits pour accueillir du gras. Ils tombent malades quand ils en sont gorgés.
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Quand vous allez chez le boucher, vous tombez (ou pas) en admiration devant une imposante côte de bœuf et sa belle couche de graisse bien jaune. Eh bien chez nous, c’est pareil. Certes, la côte est plus petite, mais le gras est tout aussi jaune.
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Quant à l’insuline utilisée dans le traitement du diabète de type 1, soit chez l’enfant soit chez l’adulte dans la continuité de l’aggravation d’un diabète de type 2, son utilisation excessive peut faire prendre du poids. Car, en excès elle peut provoquer des hypoglycémies qui seront corrigées par la consommation de sucre et de produits sucrés. Par ailleurs, en cas d’utilisation d’une pompe à insuline, la liberté de manger ce que l’on veut au prétexte qu’il suffit de s’injecter davantage d’insuline après le repas pour éviter les hyperglycémies est une cause fréquente de prise de poids. Dans tous les cas de figure, la prise de poids n’est pas souhaitable chez un diabétique (sauf pour corriger une perte de poids), car elle ajoute un facteur de risque cardiovasculaire à une maladie qui en est déjà un. Il faut, dans ce cas, en discuter avec le patient pour corriger d’éventuelles erreurs de comportement.
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L'eau est notre boisson de référence,car c'est bien d'eau dont notre corps a besoin ,et uniquement d'eau. En effet ,vous perdez environ 2.5 à 3 litres d'eau tous les jours,et pour ne pas vous déshydrater ,il vous faut exactement compenser cette perte .
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Le glucose est notre principal carburant.Quand il vient à manquer,le taux de glucose dans le sang baisse ;avant de faire un malaise hypoglycémique ,votre cerveau vous envoie un signal de faim. Il est temps de manger des glucides 'entre autres) qui,digérés procureront au corps le glucose dont il a besoin.
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Tout est poison,rien n'est poison ;c'est la dose qui fait le poison.
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En somme ,sans glucose nous n'allons pas plus loin ,c'est la panne de carburant!
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Nous devons garder notre libre arbitre pour faire les bons choix et,pour cela ,il faut savoir et comprendre pour bien agir.
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