Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Denver , le 13/01/1915
Mort(e) à : Denver , le 22/05/1981
Né(e) à : Denver , le 13/01/1915
Mort(e) à : Denver , le 22/05/1981
Biographie :
Lewis B. Patten est un auteur américain spécialisé dans le roman western. Il a également fait paraître des textes de littérature d’enfance et de jeunesse et des romans historiques. Il publie parfois sous les pseudonymes Lewis Ford, Lee Leighton et Joseph Wayne, ces deux derniers étant parfois utilisés quand il écrit en collaboration avec Wayne D. Overholser.
amorce sa carrière littéraire en publiant à partir de 1950 des dizaines de nouvelles westerns dans des pulps spécialisés dans ce genre. En 1951, il adopte le pseudonyme de Joseph Wayne pour publier son premier roman western The Snake Stomper. L’année suivante, il signe de son nom Massacre at White River, le premier de cent westerns, dont certains ne sont parus qu’après sa mort. Si plusieurs d’entre eux sacrifient à l’aventure, quelques titres sont de véritables romans policiers sur fond des décors de l'Ouest des États-Unis, notamment La Nuit des coyotes (1977) et Le Tueur de squaws (1978).
Quatre romans de Lewis B. Patten ont été adaptés au cinéma.
+ Voir plusLewis B. Patten est un auteur américain spécialisé dans le roman western. Il a également fait paraître des textes de littérature d’enfance et de jeunesse et des romans historiques. Il publie parfois sous les pseudonymes Lewis Ford, Lee Leighton et Joseph Wayne, ces deux derniers étant parfois utilisés quand il écrit en collaboration avec Wayne D. Overholser.
amorce sa carrière littéraire en publiant à partir de 1950 des dizaines de nouvelles westerns dans des pulps spécialisés dans ce genre. En 1951, il adopte le pseudonyme de Joseph Wayne pour publier son premier roman western The Snake Stomper. L’année suivante, il signe de son nom Massacre at White River, le premier de cent westerns, dont certains ne sont parus qu’après sa mort. Si plusieurs d’entre eux sacrifient à l’aventure, quelques titres sont de véritables romans policiers sur fond des décors de l'Ouest des États-Unis, notamment La Nuit des coyotes (1977) et Le Tueur de squaws (1978).
Quatre romans de Lewis B. Patten ont été adaptés au cinéma.
Source : Wikipedia
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Matt Wyatt regardait tristement par la fenêtre ruisselante. Le train n'arriverait pas avant une heure ou deux ; n'en eût-il tenu qu'à lui, il ne fût jamais arrivé. Car son entrée en gare donnerait le signal d'un déferlement de violence comme n'en avait jamais connu encore cette région du Nouveau-Mexique.
Elle déclencherait une guerre, limitée peut-être, comme il en allait de la plupart des guerres, mais bien assez grave à son gré comme à celui, d'ailleurs, du colonel Lafferty.
Une guerre insurrectionnelle, songeait amèrement Matt, une guerre qui, finalement, réduirait le colonel à ses véritables dimensions et détruirait ce qu'il restait de lui, de la même façon que la foudre anéantissait tout ce sur quoi elle s'abattait.
Elle déclencherait une guerre, limitée peut-être, comme il en allait de la plupart des guerres, mais bien assez grave à son gré comme à celui, d'ailleurs, du colonel Lafferty.
Une guerre insurrectionnelle, songeait amèrement Matt, une guerre qui, finalement, réduirait le colonel à ses véritables dimensions et détruirait ce qu'il restait de lui, de la même façon que la foudre anéantissait tout ce sur quoi elle s'abattait.
Une foule aveugle ne se raisonne pas
Farley avait failli se marier. Celle qu'il devait épouser avait été enlevée en même temps que Sarah Colfax. Elle n'avait pas survécu aux traitements des Cheyennes.
Le shérif avait donc, lui aussi, de bonnes raisons de haïr les Indiens. Cependant, il ne pouvait s'en prendre à la nation cheyenne tout entière à cause des atrocités d'une poignée d'hommes.
Le shérif avait donc, lui aussi, de bonnes raisons de haïr les Indiens. Cependant, il ne pouvait s'en prendre à la nation cheyenne tout entière à cause des atrocités d'une poignée d'hommes.
— Je vais vous dire ce qui s'est passé, Susan. Vous étiez dans le foin avec un garçon, et votre père vous a surpris. Le garçon a filé et vous avez eu tellement peur de la colère de votre père que vous lui avez menti. Vous lui avez dit que c'était Billy Pinto et qu'il vous avait violée ! Voilà.
un grognement semblable à celui d'une bête sauvage que l'on vient d'arracher au sommeil.
Foutez-moi le camp d'ici et ne revenez plus nous chatouiller les oreilles !
Daybright n'hésita qu’une fraction de seconde.
- Oui, je le jurerai. Ce garçon a été assassiné, aussi vrai que je me trouve devant vous en ce moment. Dolan se tourna vers le constable.
- Dès notre retour, Aragon, je vous inculperai d'homicide volontaire avec préméditation sur la personne de Willie Brundage.
- Vous ne pourrez jamais le prouver.
- C'est ce que nous verrons. Mais même si vous parvenez à échapper à la corde, vous perdrez votre poste de constable.
Un long silence suivit les paroles du shérif. On percevait la respiration haletante d'Aragon. Puis sa voix s'éleva dans la nuit, semblable à un grognement Iugubre :
- Si nous revenons, salaud ! Si nous revenons. - Nous reviendrons, Aragon, répondit le shérif d'une voix calme. En tout cas, certains d'entre nous reviendront ; et si vous n'êtes pas du nombre, c'est que vous l'aurez cherché.
- Oui, je le jurerai. Ce garçon a été assassiné, aussi vrai que je me trouve devant vous en ce moment. Dolan se tourna vers le constable.
- Dès notre retour, Aragon, je vous inculperai d'homicide volontaire avec préméditation sur la personne de Willie Brundage.
- Vous ne pourrez jamais le prouver.
- C'est ce que nous verrons. Mais même si vous parvenez à échapper à la corde, vous perdrez votre poste de constable.
Un long silence suivit les paroles du shérif. On percevait la respiration haletante d'Aragon. Puis sa voix s'éleva dans la nuit, semblable à un grognement Iugubre :
- Si nous revenons, salaud ! Si nous revenons. - Nous reviendrons, Aragon, répondit le shérif d'une voix calme. En tout cas, certains d'entre nous reviendront ; et si vous n'êtes pas du nombre, c'est que vous l'aurez cherché.
Custer arrivait et, en dépit de son attitude désinvolte à l'égard des ordres de ses supérieurs, il était très strict en matière de discipline. Si quelqu'un était capable de flanquer une tripotée à ces maudits Peaux-Rouges, c'etait bien lui
Lorsqu'il se remit debout, il était livide, abasourdi par le choc. Il contemple longuement sa famille. Antilope, sa femme. Petit Ecureuil, son fils, Sourire Radieux, sa fille. Tous trois tués au cours d'un massacre insensé, abominable.
La balle le frappa dans le dos, sectionnant la moelle épinière. Il ne sentit aucune douleur, à peine une sensation de vertige qui ne dura qu'une seconde ou deux. Morse rengaine son arme encore fumante. Huett sortit, en enjambant le cadavre de Harrow, et disparu dans l'ombre.
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