Citations de Linda Kage (108)
Un câlin ? Un putain de câlin ?
C'était pire que demander si on pouvait s'envoyer en l'air sur la banquette arrière de sa voiture. Le sexe pouvait être impersonnel, des mains baladeuses, des baisers voraces, des corps qui se tamponnaient. Rien de plus qu'un besoin primaire qui se retrouverait satisfait.
Les câlins contenaient de l'affection, du réconfort, de l'émotion, de la bienveillance. Un câlin ne pouvait pas être impersonnel.
je t’aime et étrangement c’est la chose la plus facile que j’aie jamais eu à admettre
-une de mes préférées dit: « Faites chaque jour quelque chose qui vous effraie ». Alors je me disais que la chose effrayante à laquelle je veux m’attaquer aujourd’hui, c’est… toi.
Gracen Lowe était devenu mon ennemi préféré
J’adorais quand il parlait de sa petite amie. Les hommes qui adoraient ouvertement leur moitié étaient , à mes yeux, la crème de la crème
- est-ce possible de savoir qu’on est en sécurité avec une personne lorsqu’on la rencontre pour la première fois ?
-Je n’arrêtais pas de me dire que je devais garder les mains libres au cas où je devrais prendre la fuite ou me battre. Alors je ne me suis pas arrêtée pour en acheter.
-Bon sang El, souffla Parker, me lançant une grimace pleine de compassion. Je déteste que ton cerveau raisonne de cette façon.
-Tu me ramènes jusqu’à ma voiture, n’est-ce pas?
-Oh que oui, grogna-t-il. J’ai vraiment besoin de ta protection parce que ce mec me fout les jetons.
Quand je ris doucement à sa blague, il se rapprocha de moi.
-Dis-moi que tu connais des mouvements badass d’arts martiaux.
Merde, j’étais vraiment un gros ringard. Pas étonnant que les mecs se foutent constamment de ma gueule, disant que je n’aurais jamais perdu ma virginité si je n’avais pas une si jolie gueule. Je savais que j’étais un gros nul niveau drague. C’était super humiliant. Mais les niveaux d’inaptitude dont je faisais preuve en présence de Yellow étaient pires que d’habitude.
-Tu sais ce que je veux dire par là, rétorqua-t-il sèchement. On fait partie du groupe. Du cercle. Nos parents sont plus proches que s’ils partageaient le même sang. Admets-le. On fait partie de la même famille, baby doll… J’ai dit non, Bella. Toi et moi n’allons pas coucher ensemble. Pas maintenant. Jamais. Pigé?
Je m’arrêtai net et serrai les dents, sentant la pilule du rejet passer difficilement.
-Je suis perdue depuis que j’ai mis fin à mes fiançailles. Je ne savais pas que j’étais le genre de personne qu’on pourrait duper si facilement. Je pensais que j’étais une badass maligne et perspicace, capable de repérer les menteurs et les mecs infidèles, mais je suis juste une nana idiote et naïve. Et pa… pardon. Je suis désolée d’avoir tout gâché entre toi et moi.
-Je ne peux pas la perdre. Je craque tellement pour elle.
Elle était la professeure de génie mal fagotée qui cachait ses espoirs et ses rêves romantiques. J’étais le tombeur, le joueur de football vedette, qui travaillait d’arrache-pied pour sauver sa pauvre famille fauchée. Quel duo nous formions ! J’avais l’impression d’être un vrai con. Elle n’était pas juste un morceau de fruit que je voulais goûter parce qu’elle m’était interdite.
La femme allongée à côté de moi était une accro aux romances. Étrange ! J’avais été incapable de le remarquer pendant les leçons qu’elle donnait. Elle paraissait si clinique et professionnelle quand elle enseignait. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle était le genre de femme qui rêvassait.
Mon sexe palpita dans mon jean, douloureux à force d’appuyer contre l’arrière de ma braguette. Après m’être réajusté, je jetai un coup d’œil à Aspen pour vérifier une nouvelle fois si elle allait bien.
Embrasser était une affaire propre. J’avais su qu’il fallait parfois embrasser une femme toute la nuit jusqu’à ce qu’elle finisse par me supplier d’en avoir plus. Je pouvais le faire jusqu’à ce que mes lèvres soient engourdies et qu’il soit impossible de dire à qui était quelle langue. Trouver une fille qui embrassait parfaitement était comme trouver une mine d’or. Et Aspen Kavanagh était la meilleure de toutes.
Je la portai jusqu’au lit. Une fois qu’elle fut doucement allongée sur le dos, elle me sourit et retira ses chaussures à talons d’allumeuse. Quand elle tendit ses deux bras, je fus attiré contre elle. Sans réfléchir aux conséquences, à la morale ni aux règles, je grimpai sur elle et j’écrasai nos bouches l’une contre l’autre.
Sérieusement, je ne voulais pas fouiller sous sa jupe, mais sa robe s’était en quelque sorte naturellement relevée quand elle avait passé ses jambes autour de moi. Lorsque je saisis une poignée de ses fesses magnifiques, j’eus entre les mains sa culotte en dentelle noire plutôt que sa jupe. Ma main se trouva comme obligée de continuer d’explorer entre ses jambes jusqu’à trouver un tissu mouillé, trempé par sa propre excitation glissante. Elle était prête pour moi. Elle avait douloureusement envie de moi. À partir de ce moment-là, je fus plus ou moins foutu.
C’est juste que… j’aime te regarder. J’aime le son de ta voix. Ta façon de marcher. Ta façon de sourire et d’écarter tes mèches de tes yeux. Mais je ne me remettrai jamais de la façon dont tu aimes ta famille, pour laquelle tu ferais n’importe quoi. J’aimerais qu’un jour quelqu’un puisse m’aimer ainsi.
La sensation de ses doigts sur moi était comme une décharge électrique. Puissante, étonnante. Une montée d’hormones et une accélération de mon pouls.
L’entendre dire que je l’avais rendue mouillée et excitée fit craquer tous les liens de mon contrôle, comme si des lames de couteaux coupaient une mèche de mes cheveux.