Si vous échouez, ne vous blâmez pas, ne vous découragez pas. C’est normal, c’est humain. Faites preuve de patience, recommencez tout à zéro, marquez une pause de réflexion, et lancez-vous à nouveau dans la bataille.
N’oubliez jamais que, quels que soient vos objectifs, ce sont seulement les premières semaines ou les premiers mois qui vont exiger un gros effort de votre part. Par la suite, quand vous serez parvenus à convertir de nouvelles habitudes en routines, tout deviendra plus facile. Beaucoup de persévérance et un peu de patience sont les clés de votre réussite.
Le bon moment n’existe pas dans la vie. Il y aura toujours quelque chose qui cloche, un problème à régler, un surcroît de travail, une maladie, un ami dans la merde, des difficultés administratives ou financières, la naissance d’un enfant, le décès d’un proche, une crise quelconque… Le bon moment, il ne faut pas l’attendre, mais se le créer, sachant que dans l’absolu, il n’existe pas.
Un homme qui n’a pas de projets vit un peu au jour le jour sans avoir une vision globale et à long terme de son existence. Cela signifie implicitement qu’il accepte que sa vie ne soit qu’une éternelle répétition jusqu’à la fin de ses jours.
Ne vous arrêtez jamais ! La ligne d’arrivée n’existe pas, seul le chemin est important, alors assurez-vous qu’il soit pavé de belles et grandes découvertes.
Tout changement positif, majeur et durable ne peut survenir sans un minimum de travail, d’implication et de réflexion. A un moment donné, il faut savoir ce que l’on veut : subir sa vie et pleurnicher, c’est facile et immédiat, ou la reprendre en main et accomplir de grandes et belles choses, mais cela nécessite de se sortir les doigts du cul. Rien ne vous tombera du ciel, soyez en certain !
Avoir des projets est vital. Sans projet, la vie n’a pas de sens, si ce n’est celui de survivre, se divertir et procréer, un combo (aujourd’hui) insuffisant pour les êtres éduqués, exigeants et intelligents que nous sommes.
Les gens fantasment sur une vie palpitante, mais la peur de sortir de leur zone de confort les empêche d’esquisser le moindre mouvement dans cette direction. Ne soyez pas comme eux, la vie est courte et les regrets rendent aigri.
Une vie sans agenda, c’est comme conduire sans GPS ou carte routière : on finit par tourner en rond.