La famille de Michael s'agrandit une fois de plus. J'ai apprécié les parodies des contes et aussi celle de la planète des chats. C'est très drôle.
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Le second tome tient bien les promesses contenu dans le premier tome. Le monde dans lequel évolue l'héroïne se complexifie et certains apparences se révèlent bien différentes de ce qu'elles semblaient être au départ.
Les situations comiques continuent à alimenter le récit, laissant au second plan tout l'habillage (si je puis m'exprimer ainsi) érotique du manga.
L'auteur s'en donne à cœur joie. Il y a une sorte de jubilation dans l'incongruité des situations qu'il met en scène.
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Un premier tome très drôle où les situations comiques l'emporte sur le coté érotique. J'ai également apprécié l'esthétique des corps féminins, très XVIIIème, des formes généreuses loin des canons de la beauté que nous impose notre époque.
Les situations comiques se succèdent sans cesse et la créativité de l'auteur ne semble pas avoir de limite, d'autant qu'il plonge dans un arrière-plan culturel très différent du judéo-christianisme.
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Un premier tome hilarant. Certaines planches sans dialogues se regardent encore et encore.
Tous les défauts, qualités et pitreries des chats sont mis en avant de façon juste et tendre.
A lire absolument!
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Après "Gon", le terrible et affectueux bébé dinosaure, voici un nouveau pensionnaire de la ménagerie manga : Michael, un chat à la fois tendre et exigeant, roublard et trouillard, indispensable et envahissant, en un mot comme en cent : un chat. Ce premier volume se présente sous la forme d’un recueil de courts récits mettant en scène le susdit animal, ou tout du moins une de ses incarnations. En effet, on y voit Michael gros, Michael chaton, Michael changer de maître, Michael mourir même, mais ne dit-on pas que les chats ont neuf vies ? Et même s’il meurt, c’est encore pour revenir hanter l’esprit de son meurtrier. Les traditions japonaises ont donc leur place ici, comme ce yakuza tout honteux de préférer les chats aux chiens comme son statut le laisserait penser. Peut-être est-il un des habitués du « Café Michael », endroit bien étrange, aux murs vitrés derrière lesquels des chats vont et viennent pour le plus grand plaisir des clients.
La fascination des hommes pour les chats est des plus évidentes. On peut ainsi assister à l’interrogatoire de Michael dans un commissariat, accusé d’avoir chapardé des sardines. Mais quand on est chat, policier ou suspect, il est bien difficile de garder son sang froid quand une mouche entre dans la pièce. On pense à Lewis Trondheim et à la version remaniée de "La Mouche", qu’il a un temps publiée dans la revue japonaise Morning, dont est aussi issue Michaèl (La Mouche et Michael", non ce n’est pas un cross-over! ). Et si l’éventualité d’une hybridation humain/félin vous intrigue, allez-donc faire un tour sur la planète des chats.
Mais l’aspect le plus drôle de "Michael ?!" ce sont en fait ces séquences muettes constituées de petites cases où l’on suit l’animal dans sa facétieuse progression le long d’une rambarde, tâpi dans l’herbe d’un pré. Ces quasi-diagrammes sont d’une efficacité redoutable. Le petit format de l’album, celui d’un livre de poche, force le regard à une certaine minutie pour apprécier pleinement les mouvements des personnages et l’on réalise une fois de plus qu’un strip sans bulle nécessite plus d’attention qu’une planche bavarde. Mais, sachant que les mangas se veulent une lecture rapide de salle d’attente, on peut se poser une question : le lecteur japonais profite-t-il réellement du récit dans ses moindres détails ? Bien évidemment la réponse est oui pour deux raisons principales : le savoir faire de Kobayashi, qui ne surcharge jamais ses cases, et les habitudes des lecteurs qui repèrent rapidement les indices du mouvement. La grammaire du manga est différente de celle du comics, elle-même différente de la BD européenne. Et cet album d’une lecture des plus plaisantes se révèle être une bonne première expérience pour ceux encore réfractaires à cette tradition narrative.
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Michael, "le chat dansant" vous fera rire tout au long du manga avec des petites histoires courtes humoristiques.
Un manga comique, qui nous fait passer de bons moment.
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Avec ce quatrième tome, la série s'achève avec un essoufflement qui transparaissait déjà dans le tome 3. J'espérais un retour au souffle des deux premiers tomes, tant pis...
La série reste quand même d'un bon niveau, et le comique, même s'il est moins flagrant vers la fin, demeure l'un des atouts majeurs de cette quadrilogie au final très originale.
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C'est à partir de ce tome que la série perd une partie de son attrait: l'humour. Dorénavant, les situations comiques sont laissées au profit d'une exploration systématique des situations érotiques.
L'auteur prend plaisir à nous montrer son héroïne dans des situations incongrues où prévaut malgré tout le passage à l'acte. La psychologie est donc plus sommaire.
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