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Critiques de Marion Dapsance (5)
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Qu'ont-ils fait du bouddhisme ?

L'auteure part de l'origine du Bouddhisme et de ses multiples courants asiatiques pour en arriver à sa découverte par les occidentaux et le détournement de sa doctrine. En fait, il s'agit d'une véritable condamnation en règle du bouddhisme, de ses avatars occidentaux et surtout de la méditation telle qu'elle est pratiquée en occident.

Pour moi qui suit un adepte de cette pratique, ce fut un choc salutaire. Il est toujours très bien de se remettre en question sur ses croyances et ses valeurs. On en sort souvent renforcé. L'auteur éreinte copieusement Matthieu Ricard, Frédéric Lenoir, Christophe André, Fabrice Midal... qui transmettent en France l'idée (fausse selon l'auteure) que le Bouddha était plus philosophe que religieux et font de la méditation la thérapie de tous les maux. C'est vrai qu'on aime bien, en occident, l'idée d'un Bouddha un peu New-age, entouré partout de petites fleurs de lotus et de petites bougies parfumées. L'auteure nous rappelle au contraire que le bouddhisme est une doctrine religieuse très stricte, avec ses propres contradictions (qui ont donné les différents courants de pensées) et que la méditation est, au départ, le moyen de parvenir à l'éveil, pour échapper aux souffrances du monde. Loin, bien loin, des courtes séances de méditation prônées par les auteurs pré-cités qui réduisent le bien-fait de la pratique à une thérapie anti-stress, utilisées à des fin mercantiles par les chefs d'entreprise de tous poils pour augmenter leurs bénéfices.

Bon ! Je continuerai à méditer sur les conseils de mon prof de yoga, pour me ressourcer, m'échapper de la marche folle du monde, car ça me fait du bien. Ce livre n'est pas une révélation. Je savais déjà plus ou moins de manière informelle, tout ce que l'auteure dénonce. Mais elle a eu le mérite de remettre les choses à leur place.
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Qu'ont-ils fait du bouddhisme ?

Lorsque les occidentaux s’intéressent à un truc qui n’a pas poussé sur leur sol, ce n’est jamais pour de nobles raisons. D’ailleurs, si les orientaux pouvaient eux aussi s’intéresser à quelque chose qui ne vient pas de chez eux, on devrait aussi se méfier. Mais nous parlons ici de bouddhisme et il nous échoit de respecter le thème.





Le Bouddha est devenu à la mode chez les occ. en plein contexte de déchristianisation. Le voyage l’ayant rendu aseptisé et lisse comme les révolutionnaires de 1789 et des époques suivantes, on ne retint de lui que les caractères qui allaient servir du mieux que possible à appuyer les velléités de laïcisation du moment. A la poubelle tout ce qui était bizarre et qui rappelait l’irrationalité de nos textes religieux les plus poussiéreux. Du neuf ! Du faux ! Une répétition qui n’ait pas l’air d’en être une. Bouddha comme porte-parole des idées laïques dans l’air du temps, cela impliquait de faire l’impasse sur toutes les données qui ne confirmaient pas l’idéologie scientifique, complémentaire de l’idéologie laïque, instruments toutes deux du mythe moderne du progrès. On minimisa donc l’importance de certaines petites histoires comme celle selon laquelle Bouddha serait né de l’aisselle de sa mère, qu’il aurait affronté des démons pendant la nuit qui précéda son éveil, qu’il n’en avait rien à foutre d’abolir ou non la société des castes, qu’il n’a pas laissé d’enseignements écrits, qu’il a suscité des courants doctrinaux divergents et parfois élitistes, qu’il répugnait aux illusions vectrices de contentement personnel, etc. Bref, on passa sous silence quelques éléments biographiques qui auraient pu laisser planer le doute que Bouddha n’était pas aussi cool qu’on l’aurait aimé. Qu’il rappelait même, par certains aspects, la vieille injustice judéo-chrétienne.





Non seulement les occidentaux ont retenu ce qui leur plaisait de ces histoires pour soutenir leurs propres mythes civilisationnels qu’ils ne reconnaissaient plus comme tels mais, de plus, quelques orientaux plus malins que les autres, disons ceux qui d’entre eux avaient commencé à flairer le bon filon et qui connaissaient suffisamment bien la mentalité occidentale pour la caresser dans le sens du poil, contribuèrent à l’adaptation nullivore du Bouddha aux attentes républico-fraternelles de la démocratie nouvelle. L’histoire est bien sûr plus compliquée que ça, et Marion Dapsange l’explique bien, car enfin, ces orientaux-là ne se seraient jamais intéressés à l’ignorance métaphysique des occidentaux s’ils n’avaient pas été forcés de plonger la tête à plein nez dans le bousin.





Même les gouvernements occidentaux commencent à s’intéresser au phénomène puisqu’ils investissent du fric (sans doute beaucoup plus que la raison ne l’exigerait) afin d’évaluer l’efficacité scientifique de la pratique de la méditation. Le Mind and Life Institute s’est creusé la ciboulette, se demandant si la méditation avait des effets positifs sur la santé, et s’est emparé du tibétain comme prototype de l’homme parfait dont l’humanité aurait besoin pour assurer la survie de son espèce. Il devrait être évident que lorsqu’une espèce s’inquiète au sujet de sa survie, elle est bonne pour le crématorium. Si on entend parler de cette branlette méditative de Causette à Causeur, on entend en revanche beaucoup moins parler de la méta-analyse (« Meditation Programs for Psychological stress and well-being », Comparative Effectiveness Reviews, n°124, 2014) portant sur près de 20 000 études cliniques et scientifiques et concluant à l’inefficacité de la méditation en termes de réduction du stress et de l’anxiété tels qu’ils se développent dans nos fringantes start-up créatrices de bore-out. Chut, il faut créer de nouveaux emplois dans les entreprises.





Qu’ont-ils fait du bouddhisme ? nous demande M.D. Ils en ont fait autre chose mais en gardant le même nom. Difficile d’inventer encore quelque chose de nouveau. Il y a déjà tant de films, de livres et de bandes dessinées. L’avantage du faux bouddhisme, c’est qu’il permet à de fausses personnes de s’intéresser au faux amour. Son désavantage, c’est tout ce que l’on peut induire de la phrase précédente.

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Qu'ont-ils fait du bouddhisme ?

Le bouddhisme ne serait pas une philosophie positive pour booster notre mental, exploiter au maximum nos capacités intérieures insoupçonnées et faire le plein de spiritualité pour construire une individualité libre, heureuse et épanouie !😨💔 Et Bouddha serait quelqu'un de très négatif qui ne veut pas profiter de la vie! Il aurait même dit des choses misogynes !😱😱



Tout ça est évidement à prendre avec des pincettes, j'ai des gros doutes !🤔

Et si l'autrice était simplement une raciste anti-asiatiques ???😡🤮 C'est possible, je ne suis pas naïve ! Les gens méchants ça existe, eh oui ! 😥😥😥

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Les dévots du bouddhisme



Dans un contexte où les affaires navrantes ne cessent de se multiplier autour de centres occidentaux dévolus au bouddhisme tibétain, le livre de Marion Dapsance a le mérite d'ouvrir la boîte du débat au grand jour. Contrairement à l'étude de Cécile Campergue parue il y a cinq ans, plus universitaire et plus difficile d'accès, le ton journalistique et vivant de cette immersion anthropologique a fait mouche. Grands chevaux et paroles de lucidité sont de sortie dans les milieux concernés. On aimerait que la vague atteigne le rivage des médias nationaux… Tant de situations désastreuses et de dégâts humains ont été générés par des enseignants sans garde-fous, à l'aura garantie par l'exposition ostensible de photos prises en compagnie du Dalaï Lama et autres références fantasmées ou reconnues.



J'avoue que le clou du spectacle a été la liste de tout ce que doit absolument contenir le sac du lama pour aller de sa cabane à son sommet de méditation. À défaut de folle sagesse, c'est le fou rire qui m'a été révélé en un instant. Et ce d'autant plus que j'ai parcouru ce même chemin un jour d'accès libre. Niveau inspiration, je préfère m'en remettre à mon chat. C'est un roi de la détente, du lâcher-prise et du sens de l'adaptation. Niveau conscience, la balle est dans notre camp.



Il est temps d'effriter la statue du Bouddha d'or.




Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Les dévots du bouddhisme

“Saga” d'un « Iktomi Rinpoché » tibétain ...

Je ne souhaitais pas vraiment lire cette « enquête » de Marion Dapsance, le propos me  “touchant” de trop près sans doute ! Ma compagne l'ayant rapporté de la « Médiathèque » de Toulouse, je l'ai lu tout de même...  !

Dès la “première de couverture”, le ton est donné … c'est « l'Inversion » de la Tradition ! « La mise à l'envers d'un endroit ! »

Bien qu'anthropologue en activité Marion Dapsance nous livre là plutôt un contenu d'enquête de type “journalistique” en personne “avertie” du sujet, avec un regard parfois amusé, tantôt quelque peu pamphlétaire, qui donne une certaine  envolée à ce qu'elle nous narre … avec la persistance typographique de “dalaï-lama” sans majuscule … amusant, mais “petit” !

Sonam Gyaltsen alias Sogyal Lakar (de la famille Lakartsang*) est plus connu dans les “milieux” occidentaux du bouddhisme tibétain sous le vocable de : “Sogyal Rinpoche”. Nous avons croisé le chemin de ce “dignitaire” à deux reprises, en 1990 et 1991** ; une première fois donc dans l'entourage qui accompagnait Khyabjé Dilgo Khyentsé cet été-là à La Sonnerie en Dordogne, puisque celui-ci devait aller enseigner à « Rigpa-France » (Lérab Ling n'existait pas encore à l'époque) une dizaine de jours fin août 1990 et une seconde fois donc lors de la venue du Dalaï-Lama sur la Côte de Jor en Dordogne fin août 1991. 

Ce fut donc très anecdotique ; fondu dans la dimension d'événements (l'un 1990 est l'autre 1991) d'une telle ampleur, le premier assez confidentiel, le second très médiatisé,  Sogyal Lakar n'avait pas vraiment relevé notre attention particulière … 

Les années sont passées, nous nous étions éloignés de tous ces milieux en 1993, et son nom a commencé à faire surface dans les années 2007/2008 au gré d'événements qui commençaient d'agiter sérieusement la “communauté pratiquante” et sympathisante de France du “lamaïsme”, bouddhisme de forme tibétaine donc.

J'ai donc lu attentivement ce livre, qui confirmait la déviance de la dite Tradition dans nos contrées …

Sogyal Lakar incarne un “trickster” simiesque du maître tibétain Trungpa, caricature faisant penser à « Iktomi »*** de la tradition Lakota ;

« Iktomi Rinpoché » !



Au-delà du descriptif du “cheminement” de M. Dapsance, il se pose la question d'une instrumentalisation du « bouddhisme tibétain » en nos contrées d'occident, qui n'a pas de précédent … 

Il s'avère que ce qui s'est finalement présenté ne correspond à rien et est une curieuse création hybride des traditions culturelles himalayennes importées en nos contrées de façon impromptue, superficielle et totalement inadaptée ...

Des ambitions « d'écoles », de Lignées, de “maîtres” plus ou moins accomplis ont brouillé les cartes dans  une situation socio-politique tibétaine complexe  qui s'embourbe dans l'inextricable.

D'ailleurs le lapsus de  M. Dapsance (p. 184/185) concernant Le Dalaï-Lama et la Lignée Kamtsang Kagyu est éloquent !

« Le Dalaï-Lama, autorité spirituelle en tant qu'incarnation de la divinité Tchenrézig, bénéficie en effet d'une autorité limitée sur ce que font les lamas appartenant à d'autres lignées que la sienne. 

Il n'est d'ailleurs même pas à la tête de l'école Kagyu, à laquelle il appartient pourtant. Son autorité n'est donc pas celle d'un pape, et le fait qu'il s'affiche régulièrement avec tel ou tel enseignant bouddhiste ne vaut pas gage de légitimation au profit de ce dernier. » 

Il est évident qu'ici nous sommes dans l'imbroglio lamentable et la confusion des genres suite au schisme interne désastreux de la succession du XVIe Karmapa. 

Le  Dalaï-Lama est issu de l'ordre des Gelugpa (et non Kagyupa) et effectivement ne dirige pas cette école, toutefois il y désigne le  Gaden Tripa, maître de cette lignée (actuellement le 105e Jangtse Choejey Kyabje Jetsun Lobsang Tenzin Palsangpo depuis le 25 juin 2017). 

Mais comme il a pris sous son influence personnelle le XVIIe Karmapa présenté par le Taï-Sitoupa et Gyaltsapa après la mort tragique du jeune Djamgon Khongtrul en 1992 (Lodreu Tcheukyi Sengué Tenpaï Gotcha, né en 1954, tous les trois faisant partie des quatre régents du XVIe Karmapa), la confusion est compréhensible.

Nous voyons bien là les limites de ce qui peut être appréhendé par une personne « extérieure » aux subtilités internes des Lignées du Vajrayana tibétain …

Cela jette un peu une “ombre” sur ce compte rendu, par ailleurs fort intéressant.

Sogyal Lakar se “pose” en “pratiquant” de « Maïthuna », en héritier potentiel de Kunga Legpa'i Zangpo et Sangye Tsenchen (“Le Fou de Tsang” compilateur des célèbres « Cent mille chants » de l'hagiographie de Milarépa, de la « Lignée de Bouche à Oreille de Rétchoungpa » [Dordjé Drak]****) et autre Jowö Mati du Lhobrag, sauf que la “compassion active” de Kunley n'hésitait pas à tenter « l'impénétrable des vagins effondrés » de femmes d'âge bien mûr, ne réservant pas le “gland” de son pénis pourvoyeur “d'éveil” à destination exclusive de plus ou moins “jeunes péronnelles” … ! Nous sommes bien loin de la « fusionnelle complétude » de Dévî dont nous parle avec beauté Daniel Odier ***** ! En outre ces personnages en référence dans la tradition du Vajrayana étaient des “vagabonds”, plus ou moins sans le sou, tout comme le disciple de Do Khyentsé, Dza Patrul  (XIXe), dont Dilgo Khyentsé était un héritier direct et accompli lui ! ... tout comme Chhimed Rigdzin. 

D'ailleurs, Marion Dapsance, répond à ses détracteurs dans « La Croix », du 07/02/2017, que finalement : « … les Tibétains et les tibétologues savent très bien que ce "bouddhisme" mi-occidental mi-tibétain proposé par des "maîtres" comme Sogyal Rinpoché n'a pas grand chose à voir avec les traditions culturelles himalayennes. S'il y a quelque chose que ce livre "dénonce", c'est cette curieuse création hybride que ni les Tibétains ni les tibétologues ne reconnaissent. » Elle “égratigne” au passage les “promoteurs du bonheur” en occident, tel Matthieu Ricard ou Frédéric Lenoir ; Raphaël Liogier confirmait d'ailleurs dans un article, l'aspect fantasmagorique de la chose (http://www.hebdo.ch/hebdo/cadrages/detail/%C2%ABle-bouddhisme-qui-s%C3%A9duit-les-occidentaux-est-un-fantasme%C2%BB).

Ainsi, cet ouvrage met en perspective les travaux conséquent de Cécile Campergue (https://www.babelio.com/livres/Campergue-Le-maitre-dans-la-diffusion-et-la-transmission-du-/644762) “diabolisée” elle aussi, comme ayant eu des “fonds chinois” pour réaliser sa thèse ! 

Toute personne qui ose porter des questionnements sur se qui se passe à ce sujet dans les « centres tibétains de France » est aussitôt “dénoncé, stigmatisé” comme ayant des liens et des accointances avec le gouvernement de la « Chine Populaire ». Ce genre de méthode ne laisse pas de portes ouvertes au “dialogue”, d'ailleurs ils n'en veulent tout simplement pas ! Ils sont dans une attitude obtuse où ils croient  ne devoir rendre de comptes à personnes … un enfermement dans une forme de “samaya-mafia” … où l'omerta règne dans l'aveuglement d'une dévotion idiote, voire "débilitante" mais très rentable en terme de biens économiques vers les intéressé(e)s, le "business" ! (sans parler de ceux "en nature" et autres !) ; 1 roupie = 0,013 d'euro ! … bravo, bien !

« Coyote » ... pour vous servir !



« In my personal experience, there are two taboos in Buddhist organisations, both of which have merit and both of which can be used as manipulative tools. One of them is an injunction against gossip – useful when trying to establish a calm mental state, but also useful to prevent the circulation of critical comment.

The second is samaya – the bond of loyalty that is one of the key tenets of Tibetan Buddhism. It supports the relationship between teacher and neophyte, but it can be deployed unscrupulously as a threat – break your samaya and attract dire consequences to yourself and your loved ones.

Another factor is that acceptance into the inner circle around an important guru delivers high status within the organisation. Women are persuaded to view the master as a deity and to be compliant with his wishes and whims, to undertake a punishing workload and be available for sex on demand. They are separated from family and friends, discouraged from contact with the outside world and persuaded to see the organisation as family with the guru (confusingly as father-lover) in absolute power and control. By the time women realise they are being abused, exploited and embedded in a coercive cult, it is often too late for them to extricate themselves. Their investment is total and their chances of making lives for themselves beyond the organisation have dwindled into non-existence. »

https://www.theguardian.com/commentisfree/belief/2011/jul/01/lama-sex-abuse-sogyal-rinpoche-buddhist

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3 août 2017

Communiqué suite au scandale lié à Sogyal Rinpoché

publié le jeudi 3 août 2017, par UBF

Le maître du bouddhisme tibétain nyingmapa, Sogyal Rinpoché est visé par des accusations concordantes , qui, tel que nous en avons connaissance et telles qu’elles sont énoncées, ne correspondent en aucun cas à l’éthique bouddhiste et se révèlent injustifiables à tous points de vues.

Dans l’attente qu’une évolution heureuse soit établie, l’Union Bouddhiste de France suspend la qualité de membre de Rigpa Lérab Ling et Rigpa France.

L’UBF exprime avec sincérité et compassion tout son soutien spirituel aux personnes concernées par cette affaire et à la communauté internationale de cette école.

http://www.bouddhisme-france.org/espace-presse/article/communique-suite-au-scandale-lie-a-sogyal-rinpoche.html

https://www.facebook.com/OKCinformation/posts/1796661047028866

https://yarlungwarrior.wordpress.com/2017/08/31/abuse-is-abuse-we-live-in-the-world-of-conventional-reality/



* Pour clarifier et préciser : Sogyal est membre de la famille Lakartsang ou Lakar. Lakartsang était une famille de commerçants dans la vallée de Rongpatsa à Kham. Sogyal porte toujours son nom. Son nom personnel est une contraction de Sonam Gyaltsen.

https://www.facebook.com/sogyal.rinpoche/photos/a.485061908344.252790.30766398344/10156019121648345/?type=3&theater

http://camisard.hautetfort.com/media/02/02/2051308259.jpg

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=816940431799231&set=p.816940431799231&type=3&theater

http://camisard.hautetfort.com/media/00/02/3612388908.jpg

** Sogyal Lakar dès la fin des années 1990, est déjà obnubilé par la “dévotion” au « maître Vajra ». Il prenait appui sur la stature d'un réel yogi accompli (Vajradhara), Khyabjè Dilgo Khyentsé, pour asseoir et valider son propos, et bien que se présentant comme un simple “étudiant/disciple” du dit yogi, on se rendait bien compte, que comme beaucoup d'autres hélas, il comptait bien reprendre à son “compte propre” la dite “dévotion illuminatrice” ! Sauf que l'on ne se compare pas impunément à un personnage tel qu'était Tashi Peljör (K.  Dilgo K.) !

Voir : http://camisard.hautetfort.com/media/00/01/3998832327.jpg

http://camisard.hautetfort.com/media/01/00/3826360209.jpg

et

http://camisard.hautetfort.com/media/01/00/3964497586.jpg

http://camisard.hautetfort.com/media/01/01/2004917275.jpg

voir également :

https://www.facebook.com/hridayartha/posts/815493161943958

*** https://www.babelio.com/livres/Erdoes-Et-Coyote-crea-le-monde/270899

**** https://www.babelio.com/livres/Milarepa-Les-cent-mille-chants-tome-1/700680

***** https://www.babelio.com/livres/Odier-Tantra/40462/critiques/505070
Lien : http://camisard.hautetfort.c..
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