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Critiques de Masayuki Kusumi (175)
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Le gourmet solitaire

Imaginé par Kusumi Masayuki, un personnage hors du commun prend vie sous la plume de Jirô Taniguchi : un jeune commercial solitaire, gourmet et parfois goinfre, conduit le lecteur dans une découverte gastronomique de Tokyo.



Chaque chapitre est rythmé par le nom d'un plat et du quartier dans lequel le héros ira le déguster. On se laisse emporter, explorant le Japon par des chemins de traverse, délaissant les grandes avenues pour leur préférer les petites échoppes, évitant la « grande cuisine » mais découvrant avec délice les petits plats de tous les jours.



Un album à déguster.
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Le gourmet solitaire

Un manga culinaire qui se déguste, sans mauvais jeu de mots...il donne en effet envie de foncer droit au premier restaurant japonais du coin, qui n'offrira hélas pas le dixième de choix que le livre comporte de plats différents.. Et pourtant dieu sait que j'adore les restaurants asiatiques!

Au passage, quelques précisions sur les quartiers des grandes villes du pays, et sur certaines traditions!

Moins nostalgique et plus drôle que les autre mangas de Taniguchi.. Simplement, le héros a toujours faim et l'action de ce manga est précisément axée sur le choix de son repas.. Moi j'adore et vais de ce pas acheter quelques sushis !
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Le gourmet solitaire

Un livre qui donne faim et qui permet de découvrir un peu de la cuisine japonaise, toujours l'eau à la bouche. Le contexte est toujours donné, les illustrations magnifiques et détaillées. Le dessin de Taniguchi toujours autant maîtrisé et esthétique porte ici sur les plats. De belles petites histoire autour de la nourriture.
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Le promeneur

D'abord, je confesse mon appréciation pour Taniguchi. J'aime la douceur de ses illustrations et la lente découverte du monde japonais que je retrouve dans chacune de ses oeuvres. Tout est délicatesse, réserve. Cependant, cette fois, le propos n'était pas suffisant pour soutenir mon intérêt dans cette bande dessinée errante et sans histoire. Elle manquait, à mon avis, d'un peu de substance.Néanmoins, j'ai envie de me promener à sa manière, à un rythme plus calme, pour découvrir des lieux, sans but, sans projet. C'est inspirant.
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Le gourmet solitaire

Une manière étonnante de découvrir le Japon, à travers sa cuisine...



Chaque nouvelle est construite comme une ode à un plat, à la fois évocation de souvenirs, éveil de tous les sens. Il se dégage une grande quiétude, une harmonie tout aussi agréable à déguster pour le lecteur que les plats pour le commercial, héros anonyme de ce manga.
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Le gourmet solitaire

A chaque histoire une dégustation de plats japonais ! Gourmands, gourmandes, suivez dans ses pérégrinations psychologiques et culinaires

ce personnage subtil qui se fait appeler gourmet solitaire ! Promenades des sens… Miam.

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Le promeneur

Du Taniguchi en format album! Doit-on se dire "Enfin!" ou "Pourquoi pas?" Les deux me sont venus à l'esprit.

"Enfin!", parce que le format album est tout de même largement plus confortable pour apprécier le trait et les paysages urbains (et autres) de l'auteur.

Le "pourquoi pas" est surtout dû au fait que, pour un admirateur de Taniguchi, le format est différent de ce à quoi on est habitué. Mais c'est vraiment le seul inconvénient. (excepté le fait que, depuis, aucune autre oeuvre de Taniguchi exclusivement ne soit paru dans ce format... Aurait-il déplu?)



En ce qui concerne l'histoire, on reste dans du contemplatif (ce qui n'est pas pour déplaire). Un cadre, on suppose d'une quarantaine d'année, redécouvre sa ville et ses environs à pied. Lorsque les temps (celui qu'il fait et celui qu'il a devant lui) le permettent, le protagoniste descend du métro une ou deux stations avant, marche plutôt que prend le bus, et savoure les menus plaisirs que lui prodigue une balade dans des coins peu fréquentés. Un délice pour les yeux, en plus d'une réflexion sur ce qui fait les fondations d'une vie.



Note : Pour les autres Taniguchi qui ne soient pas dans la collection Ecritures ni Sakka, cf. "Mon année" avec Morvan et l'impressionnant "Icare" avec Moebius au scénario.
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Le gourmet solitaire

Un ouvrage à déguster au calme, avec beaucoup de tranquillité et de gourmandise ;-) quand on est déjà attiré par la gastronomie japonaise, ça donne envie de sauter dans un avion pour aller goûter toutes ces merveilles !!
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Le gourmet solitaire

C'est une BD sans action apparente, nous suivons un homme d’affaires, célibataire la plupart du temps, qui, à la moindre occasion, entre dans les restaurants de quartier…il aime la gastronomie de tous les jours.



« Cela fait dix ans que je prends plaisir à rechercher les bons bistrots et les bons restos, ceux qui me plaisent à titre personnel, pas parce qu’on en parle dans les magazines ou à la télé. Quand j’en découvre un, vite je veux parler de ce plaisir(...)"

Si vous êtes de ceux-là et que la cuisine japonaise (un peu familial) vous tente, n’hésitez plus. Vous en aurez l’eau à la bouche…



(dégustation ici http://iam-like-iam.blogspot.com/2007/10/gourmet-solitaire-mais-partageuse.html )
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Le gourmet solitaire

C’est pour le moment le seul Taniguchi que j’ai pu lire, et j’ai adoré ma lecture ! 



En fait, le Gourmet solitaire a une place particulière dans mon cœur car c’est grâce à lui que j’ai découvert ce qui est aujourd’hui mon restaurant favori !



Donc, pour la petite histoire, j’avais repéré un restaurant japonais qui me tentait énormément. Sauf que je n’avais personne avec qui y aller et me rendre seule dans un restaurant, ça me semblait un peu bizarre.



Jusqu’au jour où j’ai lu le Gourmet solitaire ! Suivre les pérégrinations d’un gourmand qui n’hésitait pas à passer les portes des restaurants seuls, ça m’a ragaillardi. Ainsi, pour me récompenser de la réussite de ma deuxième année de bachelier, j’ai franchi les portes du Sanga.



Depuis, j’y vais tous les deux mois ou presque ! Du coup, je trouve ça assez dingue qu’une lecture aie pu m’influencer de la sorte et m’aider à vaincre ma timidité. 



Le manga en soit est relativement classique ; un chapitre, un plat, une appréciation. Mais sa simplicité est parvenue à me toucher, alors j’espère qu’il en sera de même pour vous !



En bref, un one-shot sympathique qui aura pu m’aider à oser franchir les portes d’un restaurant en solitaire ! 
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Le gourmet solitaire

Toujours un si grand coup de coeur pour Taniguchi et ses mangas qui nous font découvrir le Japon et sa culture de manière profonde, subtile et raffinée. Un régal que de se promener avec ce solitaire au fil des quartiers de Tokyo (et autres) pour en découvrir les spécialités culinaires. Mon tour du monde 2022-2023 finira par le Japon et grâce à Taniguchi, j’ai déjà une liste de mets que je dois absolument goûter tout en m’émerveillant des paysages autour de moi.
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Le gourmet solitaire

Étrange bouquin emprunté à ma bibliothèque de quartier. Il n'y a pas vraiment d'histoire mais un seul fil rouge : la bouffe. Notre "promeneur solitaire" passe à travers les quartiers de Tokyo ou d'autres ville japonaises et nous ne le voyons qu'au moment où il a faim et se sustente.

C'est une chouette idée, le graphisme est parfait mais .. je ne connais pas assez la culture japonaise ni le Japon lui-même pour pouvoir mettre 5 étoiles.

Je garde néanmoins le titre si un jour je pars au Japon, car il y a beaucoup de références aux quartiers de Tokyo..

Une chouette lecture mais je suis absolument sûre d'être passé loin de plein de choses !
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Le gourmet solitaire : Suivi de Les rêveries ..

Si je devais faire de grossières comparaisons, le mangaka Hayao Miyazaki lorgnerait vers l'art d'un Akira Kurosawa tandis que Jirô Taniguchi se rapprocherait d'un Yasujirô Ozu. Bien évidemment, il y a aussi du Ozu chez Miyazaki et du Kurosawa chez Taniguchi, surtout dans la première partie de la carrière de ce dernier. Cette comparaison vaut ce qu'elle vaut, c'est juste pour se faire une idée du style de Taniguchi, à la fois célébré par certains et honni par d'autres, le trouvant trop terne.



En effet, depuis les années 1990, Taniguchi a affiné son style, au character design très particulier, à la fois très standardisé et figé pour les personnages humains, surtout leurs visages, s'inscrivant dans les codes du manga, quoiqu'avec sobriété (on ne retrouvera pas d'expressions outrées et puériles chez Taniguchi). Par contre ses décors sont très finement élaborés, très réalistes, avec une grande recherche dans le trait, la lumière et les nuances de gris, à l'aide de ces fameuses trames dont Taniguchi est un expert. Et aussi et peut-être avant tout, cette recherche d'une véritable atmosphère.



Car surtout, ce qui est caractéristique de son art c'est cette douce mélancolie, cette matérialisation du temps qui passe et de l'impermanence des choses, cet état d'esprit typiquement japonais. On retrouve également dans ses mangas les bonheurs simples, un attrait pour les petites choses du quotidien et de leur beauté que plus personne n'aperçoit.



Si on voit le verre à moitié vide, les mangas de Taniguchi sont lents, hésitants, fades, presque tristes. Si on voit le verre à moitié plein, on ne peut qu'apprécier la subtilité et la finesse des sentiments qu'il retranscrit, avec une indéniable nostalgie mais également une psychologie fouillée de ses personnages, qui ne sont pas toujours aimables en raison de leurs défauts, mais qui sont toujours très humains. En cela, ses mangas, du moins les meilleurs d'entre eux, sont très riches, parfois même poignants, comme son chef-d’œuvre « Quartier Lointain », récit bouleversant, ou « Le Journal de mon père », œuvre très touchante.



Ici, l'émotion brute n'est pas de mise. L'intérêt de ce manga est ailleurs, justement dans cette fine observation de la société japonaise, dans ce regard subtil qui sonde le Pays du Soleil Levant à travers ses rituels et notamment celui du repas, aussi important qu'en France semble-t-il... peut-être même plus ! Taniguchi, en charge de l'illustration, est accompagné de Masayuki Kusumi au scénario. Le mangaka et le scénariste nous offrent ainsi comme des instantanés du Japon contemporain, avec tout ce qu'il a de beau et de cruel. Certes on mange avec les yeux, Taniguchi dessine les mets avec ce qu'il faut de talent pour nous mettre l'eau à la bouche.



Mais ce qui est également remarquable, c'est que chaque repas est pris dans un endroit bien précis : chaque repas / chapitre a un titre composé du plat mangé par le héros et par l'endroit où il prend ce repas. Ainsi le scénariste Masayuki Kusumi en profite pour nous offrir un kaléidoscope de vues sociologiques de tel ou tel quartier et de telle ou telle population qui fréquente les restaurants locaux. On croise ainsi peu ou prou l'ensemble de la population japonaise, notamment tokyoïte, dans ce qu'elle a de plus divers.



« Le Gourmet solitaire » offre ainsi un autre regard à la fois sur le Japon mais aussi sur l'art de Taniguchi et plus largement sur celui du manga ou de la BD. Composé de 18 courts chapitres, construits à peu près de la même façon, c'est un moyen pour le dessinateur et le scénariste de se libérer par la contrainte. Et ainsi, touche après touche, les deux auteurs nous plongent dans le Japon d'aujourd'hui (du moins celui de la fin des années 90), avec une grande richesse sociologique et même une certaine poésie.



Et on parcourt cet ouvrage avec beaucoup de plaisir. Comme c'est la première fois que je l'ai lu, j'ai enchaîné les chapitres les uns après les autres, mais on peut sans peine picorer un chapitre de ci de là, revenir en arrière, s'arrêter sur un plat, un quartier ou une ambiance qui retiennent notre attention. Comme ce gourmet solitaire, qui suit son instinct pour découvrir de nouvelles saveurs ou retrouver des saveurs aimées, nous pouvons lire ce manga à notre guise. On trouve toujours quelque chose d'intéressant dans chaque chapitre / histoire. Alors quand on s'intéresse à l'histoire, à la civilisation japonaise, à son art et à sa gastronomie, « Le Gourmet solitaire » est un festin royal, un vrai régal.



En parallèle, les auteurs dépeignent en filigrane la vie d'un homme japonais contemporain. A travers les repas qu'il prend et les lieux où il se rend, Goro Inogashira révèle beaucoup de sa personnalité et de son histoire personnelle, faite de certaines déceptions, notamment amoureuses. C'est peut-être (sans doute même) son attrait prononcé pour le travail qui lui a fait perdre le cœur de femmes ne demandant pas autre chose que son attention. Si tant est que son travail relève d'un choix vraiment voulu. Car on sent que c'est finalement à table, partant à l'aventure d'un restaurant connu ou inconnu, que notre héros trouve l'apaisement. En prenant du plaisir à se sustenter... tout en repensant à des souvenirs passés, définitivement passés... Nos auteurs illustrent ainsi mieux que personne, avec beaucoup de finesse et de retenue, toutes les tensions, les contradictions et les désillusions des Japonais d'aujourd'hui, tiraillés entre tradition et modernité... presque perdus entre ces deux forces opposées.



Quelques mots également sur la belle édition Casterman. Elle regroupe « Le Gourmet solitaire » et « Les Rêveries d'un gourmet solitaire ». Composée de 32 chapitres, les 18 premiers appartiennent donc au premier volume, les 14 autres au second. L'ouvrage est de très belle facture, et surtout, ce qui est appréciable, c'est qu'à presque chaque chapitre, sur la page de garde, des précisions nous sont données sur tel plat, telle coutume, tel quartier, telle population d'habitués, permettant de mieux percer et comprendre la complexité des mœurs japonaises. Sans cela, on passerait à côté de beaucoup de choses. Et encore, le traducteur précise en préface que certaines choses lui échappent, c'est dire toute la subtilité d'une civilisation décidément bien mystérieuse.



Au total, le ton général de ce manga est particulier, et je dois dire assez réjouissant, tant on se croirait plongé au cœur du Japon, assis à la table de Japonais tantôt réservés tantôt expansifs, ou au comptoir d'un petit restaurant de quartier à la cuisine simple mais délicieuse. L'atmosphère de cet ouvrage est à la fois légère et profonde, gourmande, généreuse, poétique... mais aussi foncièrement mélancolique. Le titre de cet ouvrage est explicite : notre gourmet est solitaire. Et quelqu'un qui mange seul... c'est toujours un peu triste...
Lien : https://artetpoiesis.blogspo..
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Les rêveries d'un gourmet solitaire

On retrouve avec plaisir la fibre du gourmet solitaire, poursuite de la rencontre avec le Japon et ses habitudes culinaires. Le héros est plus taciturne et tourmenté. À savourer
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Le gourmet solitaire

Déambulation gastronomique dans le Japon moderne avec un héros solitaire et érudit. Bien loin des clichés sur le Japon et sa nourriture, on en sort moins naïf
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Le gourmet solitaire

Chaque chapitre évoque une ville, un quartier et un établissement où se restaure notre gourmet solitaire. le personnage n'est pas spécialement attachant, ses pensées sont sans filtre, il a parfois des préjugés mais on l'accompagne avec plaisir dans des petits troquets, restaurants et autres lieux avec une certaine impatience à l'idée de découvrir son prochain repas.



Sushi bar, "débit de boisson" mais l'homme ne boit pas, il mange, dégustation d'un bento dans un train, courses à la supérette (j'ai cru qu'il allait faire exploser son panier), pâtisserie, il y en a pour tous les goûts et c'est appétissant.



Les plats sont bien présentés et décrits, il y a même parfois le prix en yens.



Notre homme a bon appétit, on sent son amour de la cuisine, un certain raffinement, et toute son expérience et les souvenirs personnels qui y sont attachés : souvenirs du temps passé, de certains mets, de ses amours éphémères.

Pour nous moi c'est surtout un voyage gastronomique et une envie de goûter chaque plat, de découvrir ces saveurs inhabituelles.



J'ai rarement eu autant faim pendant une lecture.



J'aime beaucoup les dessins de Jiro Taniguchi, les petites anecdotes concernant la culture japonaise et j'ai été charmée par cette balade gastronomique qui me donne envie de poursuivre mes découvertes en matière de culture et cuisine nippone. Envie de voyage aussi.



A déguster en prenant son temps.
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
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Mes petits plats faciles by Hana, tome 3

Petite déception au début de ce tome. Les sept premières recettes sont les même que celles qui composent le tome 2.5 qui nous avait été offert à la Japan Expo l’année dernière. Ce volume n’était donc pas un vrai bonus mais plutôt un extrait gratuit. Je le découvre avec un an de retard mais ce n’est pas grave.



A part ça le manga continue tranquillement sur le chemin qu’il s’est tracé jusqu’ici. On retrouve Hana, partisane du moindre effort culinaire mais pleine de ressources, qui se demande chaque jour ce qu’elle va pouvoir cuisiner.



Le premier chapitre, la 35ème recette, est en couleur et il en va de même des quelques illustrations au début du livre. Illustrations qui feraient des cartes postales super chou, soit dit en passant.

C’est l’accro à Postcrossing qui parle, ne faites pas attention.



Finalement pas grand chose de nouveau sous le soleil pour ce troisième opus. Chaque chapitre présente une recette différente et chacune, ou presque, est un prétexte pour nous apprendre quelque chose de nouveau sur la vie d’Hana. Les personnages secondaires sont de plus en plus présents et on a un peu plus l’impression de lire une histoire avec un véritable arc narratif que dans le premier tome.



Donc peu de changements mais dans le bon sens.

Si vous avez aimé les deux premiers tomes vous aimerez celui ci aussi. Mais si vous n’aviez pas aimé jusqu’à présent il ne devrait pas parvenir à vous faire changer d’avis.
Lien : http://kobaitchi.com/petits-..
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Les rêveries d'un gourmet solitaire

Une décennie après ses premières errances culinaires, l’on retrouve avec délices Le Gourmet solitaire dans de nouvelles aventures et découvertes gastronomiques dans les villes de Shizuoka, de Tokyo, de Tottori, et de Paris, dans un nouvel album au titre aux consonances rousseauiste !



Dans les pas du gourmet solitaire et au bout de ses baguettes, le lecteur et le gastronome se raviront de ses expériences culinaires qui vont au-delà du simple acte de se nourrir. A chaque bulle et bouchée, la poésie est au rendez-vous. Nous partageons les odeurs, les saveurs, et ses émotions à chaque dégustation. Les plats sont magnifiquement représentés. Chacun de leurs détails nous permettant ainsi d’en apprécier leur délicate composition.



Au menu des Rêveries du gourmet solitaire, des plats de la cuisine traditionnelle nippone, râmen au porc, nouilles froides, oden, seriole de Teriaki, ragoût japonais, mais également des plats typiques et revisités issus d’autres Pays : Corée, Italie, Algérie. . Et cerise sur le gâteau ! Le gourmet s’abroge des frontières pour venir déguster un couscous dans le quartier de Barbès à Paris !



Tanigushi et Kusumi nous font découvrir des atmosphères, des lieux (restaurant, gargote, échoppe), des personnes, des plats et des ingrédients qui œuvrent pour la gastronomie dans la cité. Malgré les tumultes de la ville, les auteurs font l’éloge de la nécessité de s’arrêter, de prendre le temps à l’image du gourmet solitaire et de trouver de quoi nous sustenter. Un seul mot d’ordre nous faire plaisirs en tentant de nouvelles expériences et découvertes culinaires.

Une ode aux plaisirs simples de la vie et à la gastronomie! Un livre à croquer à pleines dents.


Lien : http://lectures-gourmandes.f..
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Les rêveries d'un gourmet solitaire

Le premier tome des aventures du gourmet solitaire était original et sympathique. Celui-ci n'apporte rien de plus. Le personnage principal se dévoile peu et ses aventures culinaires deviennent un peu lassantes... elles donnent par contre toujours l'eau à la bouche.
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Le gourmet solitaire

Ce livre est absolument délicieux ! C'est toujours avec appétit que l'on commence une de ses nouvelles et que l'on suit cet homme qui déniche toujours des endroits originaux et surtout des plats toujours différents. J'aimerai parfois partager ce plaisir que j'ai eu à le lire mais quand je commence à en parler "C'est l'histoire d'un représentant de commerce dont les repas nous sont contés", je sens que je perds mon auditoire... Après tout tant pis ! Dévorons-le seuls, comme le gourmet est solitaire et comme un mille feuille en cachette...
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