Michel Brice

Barbara nobaudie la fille du secrétaire d, état, et son mari parte en voyage de noces à nias.

une île perdue au large de Sumatra. le dernier must,a la mode, eaux turquoises, sable chaud, cocotiers.

tout irait bien, mais elle va être enlevée.les ravisseurs demande une rançon de quarante millions de francs, dans un délai de huit jours.

tous le monde, et les ministères,vont se refilé le sale cadeau.qui va finir à la brigade mondaine.

et voilà aimé brichot et Boris Corentin, chargé de la retrouvée, vivante et sans payer de rançon.

Une bonne aventure, plaisante, et bourré d, action et d, érotisme.pour adultes👍

Trouvé en boîte à livres, je n'attendais pas grand-chose de cet opus de la série « brigade mondaine », encore moins après avoir découvert la réputation de la série par la suite. Et pourtant ! L'aspect racoleur n'est clairement pas ce que l'on retient du bouquin (ou alors, pour de mauvaises raisons).



Si l'on pourra difficilement reprocher l'hypersexualisation de tous les persos féminins (ce serait comme ouvrir un guide de rando pour se plaindre qu'il faut marcher), force est d'avouer que les scènes de fesses, elles, sont d'une part incroyablement mal intégrées, presque posées là comme ça, « tiens y'avait de la place », d'autre part archi-mal écrites, un peu en mode « et maintenant, ils baisent ». Au moins faut-il reconnaître que les scènes en question sont variées (dans un lieu incongru, soft, à tendance SM, lesbiennes, fétiches...) et que tous les rapports sont consentis, ce qui est déjà pas mal. Mais reste que ça a la sensualité d'un poisson mort et n'émoustillerait même pas un collégien. Mention spéciale au passage où l'on précise qu'une demoiselle met un morceau de PQ au fond de sa culotte !



Bref, le livre aurait tout de même clairement gagné à s'en passer... parce qu'à côté de ça, surprise, « Les disparues du Paris-Vienne » s'avère être un *bon* thriller ! L'affaire se révèle rapidement beaucoup plus compliquée que prévu (et même de plus en plus) et ses ramifications sont dévoilées progressivement, donnant toujours envie d'en lire davantage. On a même droit à quelques passages à suspense franchement bien menés, où l'on a vraiment peur pour les persos. Cerise sur le gâteau, les femmes de l'histoire se distinguent finalement non par leur physique, mais bien leurs neurones, là où les hommes ne brillent pas particulièrement...



Derrière l'enrobage sexy destiné à attirer le chaland se cache donc une véritable intrigue, avec des rebondissements que l'on ne voit pas venir et des personnages qu'on se surprend à adorer (Katalin !!!).



Alors oui, c'est plus qu'un peu beauf sur les bords, mais si l'on arrive à passer outre (surtout en ayant grandi dans les années 90, on a vu TELLEMENT pire...), ça n'est franchement pas si mal.

Pour ma part, si j'en trouve d'autres, je n'hésiterai pas à leur donner leur chance !

Il fait chaud en se mois ,d, août à paris.un maniaque en profite pour agressé des femmes, affaires qui vont pas plus loin que le commissariat du quartier.

Mais il va attaqué et violait, Edith Laroche Mercier, qui suite à l, accident d, u.l.m qui a rendu son mari paraplégique. A repris là direction de leur agence de publicité.la la plainte va remonté à la brigade mondaine.qui Va mettre ses meilleurs éléments sur l, affaire. Et voilà Boris Corentin et aimé brichot sur le coup.

Une enquête passionnante, mais pour adultes 👍.

Boris, aimé et Géraldine de la brigade mondaine sont chargés d arrête le grenoblois un mac sadique suspecté du meurtre d'une de ses cagneuses. mais l

opération échoue et le grenoblois s échappe. alors le commissaire badolini

va les envoyé enquêté sur le meurtre de

Raoul de Villars de saint jamin retrouver mort en pleine forêt, avec encore le couteau 🔪 dans le corps.mais qui est pourquoi? la tante , la cousine obsédée sexuelle ou le gendre.une enquête efficace

drôle 😁 et avec son lot de scènes sexy.👍

en vacances à Nîmes Boris va être appelé

pour un double meurtre en pleine Camargue.et il va être obligé de jouer les

toréadors. le rythme est assez nerveux et de ce fait on ne s, ennuie pas.

Boris Corentin l, as de la

brigade mondaine est appelé au grand hôtel d,

Angleterre l, un des plus

somptueux palace parisien.

pour le meurtre de Ludivine Dufresne,qu'on a

retrouvée dans la piscine

avec sa petite culotte enfoncé dans sa bouche.

contrairement au autres

enquêtes ou Corentin manque de suspects, la

il va devoir enquêter sur

plus de 400 suspects.

mais attention il n'y a pas

que le meurtre qui rythme

ses journées, et les rencontres et la romance

sont aussi de la partie.

une enquête prenante.

une enquête au vitriol,sur les clubs échangistes,autour de personnages illuminés et intriguants .une histoire intelligente et captivante.

une enquête dans le milieu du football.et de ses magouilles.et ou les personnages se débattent

dans un univers glauque.

dans la ville de bordeaux.

passionnant 👍

Boris et mémé notre sympathique tandem de la

brigade mondaine vont

enquêté dans le milieu du x.une histoire plaisante,avec de l, action et de l, humour.efficace un solide polar.👍

jean louis gallois dit coco,

et le gigolo que tout le monde s, arrange dans le milieu de la haute société

parisienne.mais lorsque on

le retrouve mort avec son

sexe dans la bouche, la

police pense a un règlement de compte. mais pour Boris

la vérité et plus complexe,

et il va enquêter dans le monde de la haute société,

par moment on frôle une

intrigue a la Hitchcock tant

la tension est palpable..sans

la peur au rendez vous.

une intrigue plutôt distrayante.

danielovitch chtchedrine

p d g russe dans l, énergie russe passe son temps entre Moscou, paris et Londres. aussi lorsque sa

fille est retrouvée morte

au fin fond du massif central, au cours de se qui

semble être une soirée sado maso qui aurait mal

tourner. les coups de fil

me manque pas d, arrivé

dans le bureau de la brigade mondaine.

une enquête prenante

et inventive.

suite à une requête d'un ami du procureur, Boris et aimé font enquêter sur un

orphelinat, où les pensionnaires ont des drôles de jeux.

une enquête où humour et

érotisme font bon ménage.

Bennett mais pas un privé

ordinaire bien qu'il vive

en Californie il déteste le soleil.mais comme tout

privé qui se respecte il me lâche jamais

Un « Brigade Mondaine » assez inhabituel qui change des standards coutumiers de la série : Boris Corentin, le Alain Delon au membre surdimensionné qui tombe toutes les filles et son acolyte, le fidèle et rougissant Brichot, n’y ont qu’un rôle secondaire. Pas d’enquête (ou si peu), dans ce récit centré sur la figure de l’apprentie sorcière.

Elles sont, en réalité, deux. D’un côté Monique, la femme d’un médecin abattue par l’ennemi public numéro 1, Ragu, qui se laisse embarquer dans un périple sanguinaire par ennui. Du coup elle nique, notre Monique jusqu’ici réservée. Et puis elle joue aussi du flingue. Monique se doute que tout ça va mal finir mais s’imagine en Bonnie se payant une sortie sanglante avec son Clyde. En enfer, à coups de révolver. En attendant Monique nique nique.

Et l’autre apprentie sorcière ? Typhaine, jeune fille de bonne famille qui, elle aussi, s’ennuie dans son vaste château familial. Elle y invite, par provocation, une bande de petites frappes locales menées par son amant Lionel, adepte du masochisme brutal. Le couple de tueurs en fuite et la réunion des voyous dégénère façon « maison des otages » jusqu’à l’arrivée inopinée d’un Boris qui a beaucoup piné. Notre flic est flanqué d’une journaliste prête à tout (et même davantage) pour s’offrir un scoop.

L’APPRENTIE SORCIERE modifie un peu la donne d’une série souvent enlisée dans la banalité. Ici on quitte le côté enquête pépère pour une sorte de polar noir crasseux qui reprend les ingrédients nécessaires à un repas épicé : violence, érotisme, sadisme et action.

Plutôt bien écrit par des auteurs anonymes au CV conséquent désireux de soigner un minimum le produit, ces romans ne volent pas bien haut mais en donnent au lecteur pour son argent. C’est rythmé, violent parfois jusqu’au gore et cul à n’en plus finir avec souvent des passages sadiques. Et, évidemment, des viols complaisants mais aussi très plaisants destinés à exciter le lecteur mâle cis-genre non déconstruit. Les « Brigades mondaines » s’apprécient pour ce qu’ils sont : de petits « classiques » des halls de gare, loin de la grande littérature faisandée pour magasine bobo.

La scène marquante (puisqu’il en faut une pour chaque opus histoire de pouvoir les différencier) intervient dès l’entame : un tueur en fuite oblige deux frères ayant violé sa compagne à reproduire entre eux tout ce qu’ils ont fait précédemment subir à la demoiselle.

L’APPRENTIE SORCIERE constitue donc un « bon Brigade Mondaine », à déguster avec le sourire.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..

ange cavalcanti est en prison pour un braquage de banque qui a goûté la vie a un policier. il va s, évader avec l, aide de sa

maitresse et de son frère.

et la première chose qu'il va faire et de se venger de Boris Corentin qui la cueilli.

et il va rien trouvé de mieux que de le drogué, et a le faire accusé de viol.

mais se qu' ange avait pas prévu c'est que Boris pour laver son honneur, aller agir en franc tireur.

suspense, action et érotisme pour une histoire

musclé.

une chasse au coupable bien menée au cours de laquelle le charme de Boris et la fermeté de brichot font merveille.

Une tentative pour diversifier l’offre de ma catégorie Mesagas avec la saga « Brigade mondaine » créée par Gérard de Villiers avec deux amis sûrement pour arrondir ses fins de mois. Michel Brice est un pseudo collectif pour cacher trois auteurs. Le premier numéro, ce monstre est le premier de la série et pour moi le dernier. Oui cette tentative n’aura pas de lendemain. Racoleur, avec une écriture simpliste cet écrit est un bon roman de gare ce qui n’est pas forcément péjoratif dans ma bouche. La quatrième de couverture est pourtant un bijou de racolage pour choper le voyageur SNCF en mal de sensation. Mais, pourtant habitué au pire, j’ai été quand même très mal à l’aise à la lecture. C’est malsain et cela suffit pour ne plus poursuivre cette aventure romancière.

Corentin part à la recherche de la nièce de son coéquipier Aimé qui a fugué pour fuir un père alcoolique. Il la retrouve au Maroc alors qu’elle est sous l’emprise d’un proxénète qui la dresse pour en faire une esclave sexuelle soumise et obéissante. Bon, pas très réaliste sur la transformation en quelques jours d’une jeune lycéenne rebelle et éprise de liberté en esclave soumise et heureuse de l’être. Mais le trajet est crédible : fugue, drogue, prostitution. Et on peut sourire à la lecture de tous les clichés sexistes des années 70.

Une très jolie femme se débarrasse de ses amants en provoquant des accidents de voiture. Boris Corentin enquête à Saint-Tropez sur la mort de l’un d’eux. Une histoire basée sur le fantasme de la femme mante religieuse, pas très bien bâtie et bâclée.

Un scénario digne des films X des années 70 (pour un livre écrit en 75, rien d’étonnant) basé sur le fantasme des pensionnats de jeunes filles. Ici, ce sont des orphelines qui, pour certaines, sont « éduquées «  par la directrice pour en faire des prostituées dociles. Directrice perverse qui organise aussi des soirées d’orgies tarifées où participent les notables fortunés. Bon, l’enquête n’est pas passionnante et cousue de fils blancs. L’intérêt de la lecture réside dans tous les clichés sexistes des années 70 (on est loin de metoo) qui, avec le recul, sont très drôles. Ayant enchaîné la lecture de 3 livres de cette collection, je pense que ce serait une bonne base pour une étude sociologique de ces années 70.