Michel Brice

1 étoile par ce qu'une demie étoile, voire moins, n'existe pas.

Un comptable en vacances à La Baule, se pend après avoir violé et tué une ado de 15 ans. Les analyses montrent que le criminel et sa victime ont été drogués. Corentin est envoyé pour enquêter sur ce crime surprenant. Une bonne histoire et quelques scènes osées (pour l’époque…).

Un très beau garçon, impuissant et voyeur très particulier puisqu’il ne regarde pas « en direct » mais filme pour regarder ensuite. Une très belle femme en est amoureuse et par amour de plie à tout ses caprices et devient son esclave. Un environnement où il n’y a que des pervers et une mort suspecte qui donne lieu à une enquête de Boris Corentin qui se sacrifie (en gros, il baise les suspectes). Tout est improbable et désolant de gros clichés / fantasmes SM.

Boris Corentin surprend par hasard des homosexuels en pleine « activité «  dans une vespasienne. Il les arrêtent et découvre que l’un d’eux est le fils d’un avocat réputé. S’ensuit une enquête dans le milieu des homosexuels parisiens huppés. Écrit en 1977, le seul intérêt de ce livre est de nous faire redécouvrir une société homophobe, avec ses fantasmes sur les homosexuels allant jusqu’à une société secrète œuvrant dans l’ombre.

Boris Corentin enquête sur un réseau de massages Thaïlandais qui cache un vaste réseau de prostitution. On lui ordonne rapidement d’arrêter cette enquête. Bien sûr, il continue et découvre les dessous (sans jeu de mot) d’une histoire d’espionnage. Sans grand intérêt (même les scènes soit disant érotiques), si ce n’est de nous rappeler le contexte des années 70 où on parlait déjà d’économie d’énergie (chocs pétroliers).

Un juge et sa femme sont pris en photo pendant une partouze et sont victimes d’un chantage. Boris Corentin est chargé de mener l’enquête discrètement. Des clichés sexistes des années 70, des scènes pornos qui ne feraient pas rougir un collégien de maintenant. A lire au second degré c’est très drôle.

Une intrigue assez classique: un prisonnier s’évade et veut se venger de l’inspecteur qui l’a coffré. Il y arrive dans un premier temps avant d’être retrouvé par ce même inspecteur. Seuls les moyens sont « originaux « : le sexe. Le héros est un Alain Delon qui serait un « hardeur «. On n’y crois pas une seconde mais le charme de ce livre est dans les clichés liés à l’époque (années 1970) et dans les scènes qui se veulent choquantes et qui ne le sont plus.

Un chantage est exercé sur un homme politique à l’aide d’un rapport confidentiel compromettant volé dans les locaux de la police pendant le réveillon du nouvel an. Suit une enquête où tous les camps sont suspects qui finit en queue de poisson puisque l’exécutant est tué sans que le commanditaire soit découvert. On reste sur notre faim (petite il est vrai tant l’histoire est mal construite). On peut aussi sourire de l’objet du chantage : la femme de l’homme politique s’est faite avorter clandestinement avant la légalisation de l’IVG. Un peu faible comme moyen de pression vu d’aujourd’hui…

Un scénario improbable et une enquête menée à petite vitesse pour nous amener au dénouement. Même les scènes hot ne le sont pas. Écrit en 1975, et ca se sent, c’est peut-être le seul intérêt de ce livre qui nous replonge dans cette époque qui est déjà de l’histoire ancienne.

L'intrigue fait appel au fantasme du viol où la femme qui subit le viol finit par y trouver du plaisir. Ici, une femme riche paye des jeunes racailles pour qu'ils viennent faire semblant de la violer chez elle.

J'ai trouvé ce livre assez peu excitant, mais ce n'est peu être pas son but.

pas mal on s abitue aux personnages principaux

pas mal je lirais le 3 eme

pas mal je lirais le 3 eme

pas mal je lirais le 3 eme

pas mal je lirais le 3 eme

pas mal je lirais le 3 eme

pas mal je lirais le 3 eme

pas mal je lirais le 3 eme