Le mobile ultime qui se cache derrière les théories du complot a un nom : la haine. (268)
Certaines propositions économiques font froid dans le dos :
Il s’agit de créer des produits dérivés et donc des marchés inspirés de ceux de la finance et de l’assurance pour « gérer l’occurrence d’évènement défavorables » sur le modèle des swaps de change ou de taux. Bien entendu, les individus ne sont pas menacés par les variations de taux de change ou du prix du pétrole. Leur risque est lié, au niveau de leur salaire ou le prix de leur logement, à leur carrière. [sic]
« Les salariés, poursuit Shiller, pourraient s’assurer contre la perte de leur emploi due à l’émergence d’une nouvelle technologie ou à la concurrence de la main d’œuvre étrangère »
"Ils ont fait un test sur moi, sur mes fonctionnalités cérébrales et physiques, et ils ont décidé que je suis un miracle qui marche."
(Silvio Berlusconi)
Trop de bouches, pas assez de pain : le problème économique.
Les coûts sont comme les ongles, il faut les couper constamment.
Si tu ne vois pas ce que l'entreprise vend, c'est que le produit c'est toi.
Le problème est que, dans tous les pays, ces économistes siègent à la droite des puissants et que rien ne se fait sans leur avis.
Si la bêtise en économie n'était que le fait des quelques journalistes maladroits, cela ne serait pas bien grave.
La célébrité de l'expert aggrave sa tendance à l'erreur : la notoriété le rend encore plus excessivement confiant en lui même.