Mila Leduc

Peut heurter les plus sensibles

Son pouce vint toucher lentement le gland. Pierre se pencha vers elle, prêt à lui dévorer la bouche et Alyssa agissant presque comme une lionne lorsque leurs lèvres eurent de nouveau un contact. Les mains de la rousse s'agrippèrent au bras du bronzé afin de pouvoir se lever. Leurs corps nus se collèrent ressemblant désormais à Adam et Eve dans le Jardin d'Eden.

Flore ne regardait qu’un seul membre de Los Gatos MC, Jay. Dans ses yeux, ce n’était pas de l’intimidation mais de l’envie, du désir. Elle voudrait parfois être sa moto une RMZ 450 d’un orange crépusculaire. Elle voudrait être ce véhicule qu’il enfourchait avec fermeté, être montée par lui, être entre ses cuisses musclés. Elle voudrait que ses bras soient maintenus par ses mains comme il tenait son guidon, le corps toujours entre ses reins.

La rousse s'imaginait qu'ils avaient fini par se connaître, qu'ils se rapprochaient et elle imaginait son corps nu sous ses grandes mains glissant sur ses hanches doucement.
Elle cligna des yeux rapidement avant de se rendre compte sur ce qu'elle imaginait avec lui alors qu'elle venait à peine de le rencontrer. Cet homme lui faisait quelque chose sans qu'elle s'en rende compte. Alyssa était curieuse, elle voulait le connaître.

Peut heurter les plus sensibles

La température de leurs corps augmentait alors que le soleil brûlait leurs corps et ils frôlaient presque une fièvre. La jeune fille ne se lassait plus des lèvres de son amant caressant la moindre parcelle de son torse et ses jambes entourés autour de ses hanches. Sans hésiter, il venait dévorait ses lèvres passionnément descendant petit à petit vers son cou. Ses longs doigts venaient titiller le fruit défendu de la jeune femme auxquels d'autres hommes avaient déjà goûté.

Sans dire un mot, Marc se retourna et sortit... Deux mondes s'affrontaient dans la tête de Stacy : la femme d'affaires respectable et son instinct primaire féminin, le corps contre la raison. Et dans l'état d'excitation où elle se trouvait, la bataille fut jouée d'avance.

Il ne fut pas plus de dix secondes pour que Pierre se jette presque soudain sur elle, contre le transat qui s'abaissa sous leurs poids et leurs baisers langoureux et sauvages étant désormais leur mot d'ordre. Sa main bronzée se baladait doucement sur sa peau pâle malgré le bronzage qu'elle avait subi.

Alyssa n'était pas vraiment timide mais elle était presque intimidée par sa présence et sa carrure. Il avait quelque chose qu'aucun autre de ses petits copains avaient. Il était différent et il lui faisait un petit quelque chose qu'elle n'osait avouer.

J'étais en mini short en jean, je portais des sandales à perles de toutes les couleurs et j'avais un haut en dentelle blanche par dessus un soutien-gorge de couleur chair. Je me sentais à la fois libre et sexy, libre de profiter et libre des préjugés que pouvaient avoir mes amies sur moi.

La chaleur monte entre ses cuisses, se répand dans tout son corps, alors que des vagues de plaisir déferlent en elle, de plus en plus rapprochées. Elle sent l'orgasme approcher de plus en plus tandis qu'un troisième doigt la pénètre. Ses jambes grandes écartées, elle se laisse envahir par ses sensations, perdant totalement le contrôle de son corps, abandonnée. Explosive, la jouissance qui l'envahie brusquement la laisse totalement vidée. Ses membres se relâchent progressivement pendant que les contractions de son sexe s’espacent peu à peu. Cet homme qu'elle connaît à peine vient de lui procurer le meilleur orgasme de sa vie. Mais loin d'être rassasié, le jeune homme en demande encore. Sa queue bandée se presse maintenant tout contre elle. Sans aucune difficulté, il la pénètre. Elle sent chaque centimètre la transpercer, s'enfoncer de plus en plus profondément dans ses entrailles.

Rien de tel que de grands espaces pour s'ouvrir l'esprit à de nouvelles perspectives. Sur l'immense table, elle peut étaler tous ses dossiers, ses pièces à conviction, s'organiser, classer, … En moins de dix minutes, elle occupe à elle seule plus d'un tiers de l'espace.

Cela faisait bien longtemps qu'elle ne s'était pas donné du plaisir toute seule. Jusqu'ici, la compagnie des hommes avait été suffisante (et particulièrement abondante) pour qu'elle n'ait plus à se satisfaire elle-même. Mais là, le besoin de se masturber est trop envahissant, son corps réclame une jouissance instantanée.

Ses gestes sont suaves, sensuels. Sa langue experte s'insinue dans des zones si sensibles qu'elle se sent progressivement défaillir. Ses mains épaisses s'emparent goulûment de ses seins, soupesant et malaxant chacun d'eux. Ses dents s'arrêtent sur son téton dressé, le léchant, le mordillant jusqu'à ce qu'elle crie grâce. Ses membres sont en feu, son sexe est gonflé, dégoulinant de désir. Elle sent coller contre l'intérieur de ses cuisses le membre épais de son amant. Son gland vient frotter contre ses lèvres, titillant son clitoris. Tout son corps est en ébullition, elle pourrait jouir maintenant tellement la tension est intense. Son bassin ondule sous lui, espérant ainsi l'amener à la pénétrer.

On prend pas les gens comme ça pour les jeter après quand on en a assez!