Après ses longues journées fatigantes, Staline aimait rester encore quelque temps avec ses collaborateurs et se reposer en leur racontant des petites histoires de sa vie. Par exemple celle-ci :
Un jour, il décide d'aller à la chasse. Il endosse une vieille parka, chausse des skis, prend un long fusil, et parcourt treize kilomètres. Alors, devant lui, sur un arbre, il voit des perdrix perchées. Il s'arrête et les compte. Il y en a vingt-quatre. Mais quelle poisse ! Il n'a pris avec lui que douze cartouches ! Il tire, en tue douze, puis il se détourne, refait les treize kilomètres jusque chez lui, et prend encore une douzaine de cartouches. De nouveau, il parcourt les treize kilomètres pour se retrouver devant les perdrix toujours perchées sur le même arbre. Et il les tue enfin toutes ...