Miyuki Mitsubachi

Ce manga était proposé en téléchargent gratuit pour faire découvrir la série. Je ne pense pas que je l'aurais lu sinon parce que l’illustration en couverture ne me plaisait pas trop et l'intrigue semblait peut-être un peu trop classique.

Première bonne surprise : j'ai bien aimé les dessins qui sont plus fins, plus travaillés que ne le laissait penser la couverture. Les personnages sont bien campés, y compris les personnages secondaires (le vieil entraîneur un peu gâteux est très amusant), les scènes de basket rendent bien, etc.



L'intrigue aussi est sympa. Yuki, lycéenne amoureuse du capitaine de l'équipe de basket qui vient de se trouver une copine, est poursuivie par les assiduités de Naruse, également joueur de basket, qui prétend être amoureux d'elle. Elle ne parvient pas à prendre au sérieux ce garçon plus jeune qu'elle, plein d'assurance et populaire, même lorsqu'il cumule les attentions, même lorsqu'elle prend conscience qu'elle a des sentiments pour lui. Elle résiste, se montre parfois blessante, lorsque ce n'est pas elle qui se "fait avoir" quand elle se laisse aller à des attentions tendres et redoute ensuite qu'il ne se moque d'elle...

C'est souvent drôle mais aussi touchant (j'ai eu un peu pitié de ce pauvre Naruse qui sous ses dehors extraverti et sûr de lui doit quand même souffrir de la façon dont Yuki le repousse sans cesse).



J'ai passé un très bon moment avec ce premier tome de Cheeky Love, mais j'hésite un peu à me lancer dans la lecture de toute la série qui fait plus de vingt tomes...

Avec ses dessins plus fins que ne le laisse deviner la couverture, ce nouveau shojo entre romance et basket est sympathique mais reste très classique. Le jeu du chat et de la souris des héros m'a amusée mais je ne sais pas ce que ça donnera sur la longueur...
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Yuki est en 2ème année de lycée. Elle est le manager du club de basket et est très impliquée dans sa tâche. Mais la demoiselle a un secret : elle est devenue la manager du club parce qu'elle était amoureuse du capitaine de l'équipe. Cet amour est secret jusqu'à ce que le petit nouveau, Naruse, le découvre. A partir de ce moment, elle Yuki n'a pas fini d'avoir cet égoïste imbu de lui-même sur le dos...



Un premier volume que j'ai beaucoup apprécié !

Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé Yuki qui a énormément de caractère mais qui est aussi très fragile. Elle tyranise un peu les garçons du club mas est également très volontaire, forte et surtout, beaucoup aimé par son entourage.

j'ai également aimé Naruse qui est un véritable emmerdeur persévérant et assez amusant.

Le dessin de ce premier volume est agréable et plusieurs choses m'ont intrigué.



je lirais la suite avec plaisir si elle me passe sous la mains.

Ce Shojo est très rigolo. Naruse est plus attachants que Yuki. J'adore suivre leur évolution.

Un livre mêlant amour et basket? Je dis oui! J'ai tout de suite été attirée par la couverture du manga, qui est sublime. Mais le résumé me semblait peu original et j'avais peur d'être déçue.



J'ai beaucoup accroché au coup de crayon de Miyuki Mitsubachi, très prometteur! Cependant, je n'ai pas été convaincue par l'histoire au départ car je la trouvais assez classique, déjà-vue: Une fille qui aime une personne populaire, et cette personne non seulement ne l'aime pas, mais commence à sortir avec quelqu'un d'autre, pour son plus grand désespoir.



Jusque là, rien d'original. Néanmoins, le cadre est accrocheur: on est dans un club de basket, et j'ai adoré: on voit les différents joueurs, dont deux qui seront des personnages principaux. On peut même apercevoir quelques passages de matchs!



Là où la mangaka a marqué beaucoup de points avec moi, et s'est rattrapée in extremis (d'où le titre de mon article), c'est avec la construction de ses personnages:



La suite sur le blog

Si vous êtes en quête d’un nouveau shojo comique, je vous conseille vivement celui-ci. Les deux héros de cette romance n’ont pas grand chose en commun et des caractères franchement butés qui les amènent à de nombreuses confrontations pour le bonheur des lecteurs.
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Premier tome lu lors d'une lecture commune. :) Je ne savais pas encore si je lirais la suite (histoire sympa et personnages attachants, mais je me demandais ce que ça pouvait donner sur la longueur d'une série...).

Les couvertures sont un peu en deçà de l'humour : une jeune fille au tempérament de Donald Duck face à un garçon nonchalant qui serait plutôt Droopy.
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Une série fraîche qui change un peu des shojos habituels !

Je me suis tapée quelques bonnes tranches de rire ! J'adore Naruse, il est effronté, insolent et pince-sans-rire. Il a toujours une expression blasée, on pourrait croire qu'il se fout de tout mais en fait il est hyper sérieux. C'est assez déstabilisant. Je comprends la pauvre Yuki. En parlant de Yuki, j'ai un peu plus de mal avec son caractère froid et distant au premier abord. Elle dit être mature et calme, mais quand on l'asticote un peu, elle laisse facilement ses émotions reprendre le dessus et agit sans réfléchir. Ses réactions m'ont bien fait rire. Il faudrait qu'elle soit moins coincée et qu'elle cesse de réfléchir à tout bout de champ.

En soit c'est un très bon premier tome. Je me souviens avoir adoré la première fois que je l'ai lu.

Le dixième tome marque un tournant dans la relation entre Yuki et Naruse : s'il reste lycéen, elle devient étudiante et va devoir s'habituer à sa nouvelle vie. Une des forces de cette série est de réussir à nous faire suivre, de façon réaliste, l'évolution de leur couple et de nous faire partager leurs doutes. Yuki fait connaissance avec sa nouvelle voisine Usami, appelée à devenir un personnage important dans les tomes suivants. Yuki se retrouve également manager remplaçante pour le club de son université : elle n'est donc plus la manager de Naruse comme dans les neuf autres tomes précédents. C'est donc une nouvelle vie qui commence pour elle alors que Naruse termine sa dernière année de lycée. Un léger vent de nostalgie flotte dans ce tome-ci, qui pourrait sembler anecdotique, mais dans lequel la mangaka parvient bien à capter le temps qui passe, à nous montrer le passage à l'âge adulte.
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Le début de la vie étudiante de Yuki n'est pas de tout repos et réveille les incertitudes de Naruse. Il y a de nouveaux personnages qui apparaissent et qui auront leur importance pour la suite de l'histoire. Les tournois de basket reprennent et c'est donc l'occasion de suivre de nouveau ce sport. Car même si la romance est le cœur de la série, ce sport y tient une place particulière et lui donne en partie son identité.

Dans ce tome, les deux personnages principaux sont égaux à eux-mêmes avec leurs défauts (cf Yuki) et leurs qualités (cf Naruse). Yuki se prend la tête sur des trucs où il n'y a pas lieu de se prendre la tête, mais à force on connaît le personnage, c'est un moyen pour elle d'apprendre et de changer. Dans ce tome, nos deux amoureux essaient de trouver leurs marques dans leur nouveau quotidien, éloignés l'un de l'autre.

De nouveaux personnages secondaires font leur apparition. Ils ont l'air un peu loufoque pour l'une (Usami) et difficile à cerner pour l'autre (Suwa). A voir comment ils évoluent par la suite. Par contre, je peux déjà dire que j'adore les nouveaux membres du club de basket de Ryuhoku. Je sens qu'ils vont bien me faire rire !

Ce tome fait la part belle aux compétitions sportives et montre les efforts de Yuki pour soutenir son amoureux. Il est aussi l'occasion d'assister à un moment que l'on attendait depuis longtemps et à ses conséquences.

La bombe lâchée en fin de tome promet de passer un bon moment à la lecture du prochain tome.

Dans ce tome, le basket prend le dessus sur la romance. Mis à part quelques scènes fort sympathiques entre Naruse et Yuki, il n'y a pas d'avancement dans leur relation. L'une des compétitions les plus importantes de la série a lieu, et cela prends une bonne partie du tome. Néanmoins, c'était vraiment prenant, je tournais les pages avec avidité, je retenais mon souffle, et j'ai failli hurler de joie en même temps que les personnages. Bref, ce tome était assez intense.

Onzième tome de "Cheeky Love" lu et toujours un plaisir de retrouver Yuki Machida et Naruse Shou . Leur romance évolue au fil des volumes de façon réaliste sans que ça devienne mièvre, avec le suspense lié aux matchs de basket et au tournoi de l' #interhigh . Dommage toutefois que la mangaka prévienne qu'aucun chapitre ne sera écrit du point de vue de Naruse, sauf peut-être à la fin de la série. Sans trop dévoiler le contenu du tome, on quitte ici un peu la vie étudiante de Yuki, son appartement, ses études et son travail, pour retrouver le terrain de basket et la compétition entre les deux capitaines rivaux (comme le montre la couverture).
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Dans ce tome, Naruse fait ses adieux au club de basket du lycée, et on fait également la connaissance de sa famille : sa mère est juste trop mignonne et sa sœur est tellement drôle ! J'ai beaucoup aimé découvrir ces deux personnages car on en apprend un peu plus sur Naruse et sur l'environnement dans lequel il a grandi. Ça nous rapproche un peu du personnage, car on connaissait surtout la vie de famille de Yuki mais aucunement celle de Naruse.

D'autre part, l'une des scènes les plus importantes de la série se déroule dans ce tome... Que dire de ce final ? Si ce n'est : ENFIN ! Le pauvre, elle l'a fait patienté un bon bout de temps...

J'ai hâte de découvrir la suite !

Déjà le douzième tome de "Cheeky Love" de Mitsubachi Miyuki et je suis un peu déçue par quelques coquilles ("venue t'excuser d'avoir ruiner Noël" ou une note de bas de page qui semble n'être raccordée à aucun mot (?)), mais cela ne m'a pas empêchée d'être heureuse de retrouver Yuki et Naruse, de vieilles connaissances à présent. On a vu vieillir leur couple et on les a vus se rapprocher de volume en volume, de façon à la fois réaliste et humoristique. La trame paraît très simple mais avec sa célébration des petits riens de la vie quotidienne et les caractères à la fois originaux et très humains de ses deux personnages principaux, cette série parvient à rester intéressante sur le long terme.
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La fin du lycée se profile pour Naruse avec ses derniers tournois sportifs et la conclusion de son duel avec Hakadama. J'ai trouvé ce tome un peu plus sérieux que les précédents car il aborde aussi les questions des études supérieures et de leur détermination en fonction de ses sentiments. La pointe d'humour permet toujours de s'amuser à la lecture de cette série.

Cette fois-ci c'est bel et bien la fin du lycée pour Naruse. Il va retrouver Yuki à l'université et les tourtereaux sont contents d'être de nouveau ensemble au quotidien même si cela apporte son lot de jalousie et de rebondissement.

J'attends de voir ce que donne la suite car ce tome était clairement la transition entre deux époques.
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Dans ce tome, Naruse termine le lycée et devient étudiant. Désormais, toute l'histoire va se dérouler à la fac. C'est assez rare qu'un shojo continue après le secondaire. Dans la plupart des cas, l'histoire se termine à la fin du lycée. Du coup, je trouve cela assez étrange. Yuki et Naruse doivent de nouveau prendre leurs marques et s'habituer à cette nouvelle situation , comme le lecteur.

A voir ce que cette nouvelle vie d'étudiants leur réserve !

Une grosse déception que ce treizième volume de "Cheeky Love". Pourtant ça n'est pas dû à l'histoire ou aux personnages. Le shojo de Mitsubachi Miyuki reste divertissant avec son aspect réaliste et sa chronique des amours lycéennes. Je ne l'aurais pas acheté si je n'appréciais pas cette série.

Seulement... Je me demande si ce tome a été corrigé. Une seule faute ou coquille passerait... mais retrouver "cravatte" avec 2 T plus d'une dizaine de fois dans un seul chapitre alors que n'importe quel correcteur orthographique précise que ça s'écrit "cravate" est déstabilisant. D'autres mots subissent des doublages d'une consonne comme "grignoter" devenu "grignotter" ou "taquinner"... On trouve aussi des verbes à l'infinitif au lieu des participes passés : "il s'est manger". C'est sur l'ensemble du tome et je n'ai probablement pas tout remarqué. Mais j'ai payé ce volume (je n'avais pas remarqué de fautes dans les volumes précédents) et ça me donne l'impression d'avoir entre les mains un produit défectueux en plus de me conduire à m'interroger sur la qualité de la traduction (que perd-on par rapport à la VO ?).

Je sais bien que Naruse n'est pas doué en orthographe, mais jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas lui qui écrit le manga dont il est le héros...
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