Ainsi le voulait la législation groenlandaise : cent pour cent du sol appartenait à l’État. Un propriétaire ne possédait que la jouissance de son logis, jamais le sol sur lequel il l’avait fait édifier. De fait, lorsque quelqu’un quittait sa maison et qu’il ne trouvait pas repreneur, il perdait tout. Et n’avait d’autre choix que de livrer son ancien toit aux pillards.