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4.85/5 (sur 20 notes)

Biographie :

Nadine Passim est une auteure qui publie à compte d'auteur des livres et romans sur la petite histoire de l'Aveyron.

Site : http://www.nadine-passim.com/

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Nadine Passim
Mes rêves vont çà et là, au gré du vent
Ainsi passaient les jours


Un paysage vallonné découpé par des haies d'aubépines, de ronces, d'églantiers et par endroits, de murettes écroulées.
Avec des pierres grises parsemées de couleurs chaudes,

où se côtoient des reflets du ciel et les teintes paille des blés mûrs.
Tout cela, mélangé à des verts, des bruns intenses.
On y grille encore des châtaignes au feu de bois, tout en buvant un vin léger, pour retrouver des senteurs qui réveillent les mémoires.
À travers les aventures de Charlou, vous découvrirez la vie rude des paysans du Lévézou.

La lecture une passion


Rêvons ensemble
Nadine passim
auto édition
La Fouillade 12270
E-mail : nadine.passim@sfr.fr


Vous pouvez lire les 15 premiéres pages gratuitement
et après le télécharger sur youscribe, la fnac, bookelis, amazon

Nadine Passim

Mes rêves vont çà et là,
au gré du vent


viens rêver en mon jardin
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rêvons ensemble Nadine Passim Auto édition La Fouillade 12270 E-mail : nadine.passim@gsfr.fr Froide, grise et brumeuse, était cette journée.La nature somnolait doucement.Au mois de novembre, les jours sont courtset l'automne a déjà bien préparé l'hiver.Mais les bourgeons, les graines, dans leur sommeil,malgré la froidure, commencent à rêver au printemps.Il faut beaucoup de tempspour un peu de progrès.En attendant......On peut quand même rêver.3
Vers les quatre heures de l’après-midi……Quand Lucien arriva devant son immeuble de la banlieue de Toulouse, le ciel gris foncé était menaçant, et un léger crachin rendait la chaussée glissante. Il arrêta sa vieille deux-chevaux le long du trottoir, et regarda le spectacle du vent qui soufflait en rafale. Pendant quelques instants, oubliant les vicissitudes de la vie, ses pensées s'en allèrent vagabonder avec des guirlandes de feuilles, qui faisaient des courses folles dans les ruelles et les jardins. Puis, revenant à la réalité, Lucien sortit de son véhicule, souleva le col de sa gabardine et avec sa valise traversa la rue en courant pour rejoindre la concierge, qui balayait devant l'entrée de l'immeuble. - Bonjour madame Cécile ! Vous voyez, cette fois, c'est définitif, j'emménage. - Bonjour monsieur Brilloux ! Vous arrivez avec le mauvais temps. Mais si vous avez trop froid dans votre studio, vous pourrez toujours monter chez votre ami Gratien, il vous attend. - Je vais y aller, répondit Lucien, qui déjà s'apprêtait à s'élancer dans l'escalier. - Attendez ! Ne partez pas tout de suite, j'ai reçu une lettre pour vous. Venez donc, je vais vous la donner. Madame Cécile avait un visage de poupée, un petit nez légèrement retroussé, des yeux verts où brillaient des lueurs de tendresse, et des cheveux d'un blond cendré, qu'elle frisait toutes les semaines en gardant durant des heures la tête pleine de bigoudis. Elle était aussi très gourmande, et souvent dans sa cuisine, faisait mijoter de bons petits plats qui embaumaient tout l'appartement. Alors, pour oublier ses rondeurs et les années qui passaient, madame Cécile ne perdait pas une occasion 4
pour assouvir sa curiosité. Elle s'empressa donc d'ouvrir sa porte, et invita Lucien à entrer dans la loge. Ce n'était qu'une pièce surmontée d'un dôme vitré, presque une serre, où la concierge passait une bonne partie de sa journée à s'occuper de ses fleurs, dont certaines s'épuisaient croyant vivre un printemps éternel. Quelques meubles en rotin s'intégraient parfaitement dans cette végétation. - Vous êtes dans un petit studio bien calme. Votre voisin, Monsieur Mariotto, est souvent absent. dit madame Cécile, en replaçant du bout des doigts son châle sur ses épaules, puis elle se mit à chercher la lettre. - Alors, je serai seul au quatrième. - Non, il y a sa jeune femme. C'est une chipie ! Elle passe devant ma loge sans me parler. - Et vous n'ar rivez pas à savoir ce qu'elle fait. demanda Lucien en souriant. - Ça, c'est autre chose. Mais ne craignez rien, je me débrouille quand même pour connaître tous ses faits et gestes. - Vous écoutez aux portes ? - Sans le vouloir, en passant, cela m'arrive d'entendre une conversation. Mais votre ami Gratien me raconte tout ce qui se passe, même des histoires du temps de la révolte de Spartacus, 73 ans avant J.C. Vous vous rendez compte… Et il m'affirme être âgé de trois mille ans. C'est un farceur, ça m'amuse, il a trop d’imagination, c'est très passionnant, mais bien sûr, je ne le crois pas. - Vous avez raison, Gratien est un menteur ! Et c'est facile à prouver ; quand je l'ai connu à la cour de Licinius Crassus à Rome, il avait déjà plus de deux mille ans ! - Ah, vous alors... Vous êtes encore pire que Gratien. Tout en écoutant les propos de la concierge, Lucien décacheta la lettre et se mit à lire. 5
- Vous n'avez pas de mauvaises nouvelles ? dit-elle avec curiosité. - Pas du tout, c'est la réponse pour un em ploi que j'avais postulé. On me donne rendez -vous, je vais aller leur téléphoner pour confirmer mon accord. - Vous pouvez les appeler d'ici, cela ne me dérange pas, et ça vous évitera de sortir. Surtout qu'il ne fait pas très chaud. dit madame Cécile en co nduisant Lucien à une table lui servant de bureau, et pour rapprocher l'appareil téléphonique, elle déplaça une photo tout en précisant : -Vous avez vu, elle est belle ma fille ! - Elle vous ressemble, et tout en composant son numéro, Lucien regardait ce portrait avec fascination. Madame Cécile fit semblant de s'occuper, tout en prêtant une oreille attentive à ce que disait Lucien, qui, dès la communication terminée, déclara avec une joie non dissimulée : - Ça y est ! L'affaire est faite, je commence demai n matin. - C'est bien, vous avez de la chance. - Il a quand même fallu que je passe plusieurs tests, mais enfin, le résultat est là… Je suis embauché.- Ça fait plaisir de voir votre spontanéité, parce que dans la maison, à part Gratien, les autres ne sont gentils avec moi que lorsqu'ils ont besoin d'un service. Mais je suis finaude, je ne les contredis jamais. Ils arrivent toujours à me raconter une histoire et me dire du mal d'un voisin. Ça alors, c'est une coïncidence, regardez ! Justement monsieur Valentin passe devant la loge. - C'est l'industriel du premier étage, celui qui a fait fortune en fabricant des jupes ? demanda Lucien. - Non, c'est le guérisseur du deuxième. - Il y a longtemps qu'il soigne les gens ?
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Titres déjà paru s en numériqu e : Ai n si p assa i en t l es j ou rs . L a v i e r u d e d e s p a y s a n s d e l ’ A v e y r o n d ’ a u t r e f o i s .L’histoire du fils de Malika.Les péripéties de la vie de Farid à la recherche de sa personnalité. T i t r e s à v e n i r : Gély du Jaoul. La révolte des croquants du Rouergue et du Ségala en 1643. L’espérance de lendemain.Les rêves de Lucien à la recherche d’un travail.Secouons nos souvenances. Les rêves d’un retraité, Louis veut refaire sa vie.La vie un grand tourbillon. Un bonheur n’arrive jamais seul.Ah ! enfin, on va pouvoir travailler sérieusement. Rêvons ensemb le Nadine Passim Auto édition La Fouillade 12270 E-mail : nadine.passim@sfr.fr
Souvent rêveurs, un peu poètes, parfois originaux, très différents les uns des autres, mais avec toujours de fortes personnalités, nos facteurs tiennent une place particulière dans nos souvenirs, et pour Isidore, un ange gardien le protège... C’est peut-être Justine ? 4
Isidore Cela faisait plus d'un mois qu'Isidore Gayraud avait été contraint, par une grande fatigue, d'arrêter la distribution du courrier, et d’envisager de prendre sa retraite. Mais déjà, il s'ennuyait et se levait de plus en plus tard. Tout le monde le regrettait, car il rendait service à l'un ou à l'autre, en apportant un paquet, en faisant une commission. Les vieux l'attendaient pour un coup de main, pour un conseil. On l'accueillait toujours avec des paroles de bienvenues, et tout en parlant du temps, des récoltes, ne pouvant pas refuser, il buvait un ou deux verres. Bien souvent, son vélo zigzaguait sur le chemin du retour. Un drôle de personnage notre facteur ; la casquette sur le côté, un mégot de maïs éteint au coin des lèvres, et le corps penché par le poids de sa sacoche pleine de lettres. Quand Isidore avait trop bu, il bégayait, mais cela ne l'empêchait pas d'être très volubile. Et les dernières tournées, où il fit ses adieux, furent mémorables. C'est certainement un peu pour cela qu'aujourd'hui, son palpitant bégayaitégalement. Ce matin-là, Isidore assit sur son lit, parcourait le journal. Justine, sa femme, entra dans la chambre 5
et tout en refermant la porte, l'interpella pour qu'il cesse sa lecture : - Tu oublies qu'il faut s'occuper de ton dossier de retraite complémentaire ! - Si tu sais ce qu'il faut faire ? Dis le moi. répondit Isidore. - J'ai besoin que tu me donnes les noms des entreprises où tu as travaillé avant d'être aux P.T.T. expliqua Justine. - Je me souviens que j'avais rangé des papiers dansune boîte à chaussure. Mais c'est bien loin, il y a peut-être vingt ans. - Et où veux-tu que je la trouve cette boîte ? Je ne l'ai jamais vue dans la maison. - Alors, elle est peut-être sur une étagère, au garage. - Bon, je vais aller voir. dit Justine. Un quart d'heure plus tard, effectivement, elle revint avec une boîte. - Ah ! tu as trouvé tout de suite, tu vois, je ne me suis pas trompé. - Oui, j'en ai bien trouvé une, mais ce n'est pas celle que l'on cherche ! - Qu'est-ce que tu as donc trouvé ? demanda-t-il avec une certaine crainte. - Tiens, regarde ! C'est plutôt à toi de m'expliquer, d'où proviennent ces lettres ?
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Un drôle de phénomène


Isidore


Nadine Passim

Mes rêves vont çà et là,
au gré du vent

Cela faisait plus d'un mois qu'Isidore Gayraud avait été contraint, par une grande fatigue, d'arrêter la distribution du courrier, et d’envisager de prendre sa retraite. Tout le monde le regrettait, car il rendait service à l'un ou à l'autre, en apportant un paquet, en faisant une commission. Les vieux l'attendaient pour un coup de main, pour un conseil. On l'accueillait toujours avec des paroles de bienvenues, et tout en parlant du temps, des récoltes, ne pouvant pas refuser, il buvait un ou deux verres. Bien souvent,
son vélo zigzaguait sur le chemin du retour.
Un drôle de personnage notre facteur ; la casquette sur le côté, un mégot de maïs éteint au coin des lèvres, et le corps penché par le poids de sa sacoche pleine de lettres. Quand Isidore avait trop bu, il bégayait, mais cela ne l'empêchait pas d'être très volubile. Et les dernières tournées, où il fit ses adieux, furent mémorables. C'est certainement un peu pour cela qu'aujourd'hui, son palpitant bégayait également.

La lecture une passion
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L’espérance de lendemain.

Les rêves de Lucien à la recherche d’un travail.


Nadine Passim
Mes rêves vont çà et là.
Au gré du vent

L’espérance de lendemain

Je vous présente des petites histoires, des rêves.
Des jours meilleurs...
Peut-être après demain ?
Mon roman, ce sont les péripéties d’un jeune homme à la recherche d’un travail.
Oui, il y aura certainement de grands changements
dans notre société, une sixième République.
Mais attention...
Il nous faut rester vigilent, depuis toujours,
L’homme est capable du meilleur comme du pire.

Un roman

...Des jours meilleurs.
Peut-être,
après demain ?
Les aventures, les péripéties
d’un jeune homme
à la recherche d’un travail.
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Ainsi passaient les jours


Un paysage vallonné découpé par des haies d'aubépines, de
ronces, d'églantiers et par endroits, de murettes écroulées.
Avec des pierres grises parsemées de couleurs chaudes, où se
côtoient des reflets du ciel et les teintes paille des blés mûrs.
Tout cela, mélangé à des verts, des bruns intenses. On y grille
encore des châtaignes au feu de bois, tout en buvant un vin
léger, pour retrouver des senteurs qui réveillent les mémoires.
À travers les aventures de Charlou, vous découvrirez la vie
rude des paysans du Lévézou.
Avec beaucoup de péripéties, et traduction immédiate des
mots occitan.
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Nadine Passim L’espérancede lendemain U n r o m a n ...Des jours meilleurs. Peut-être, après demain ? Les aventures, les péripéties d’un jeune hommeàla recherche d’un travail. v i e n s r ê v e r e n m o n j a r d i n1
Mes rêves vont ça et là, au gré du vent Titres déjà parus en numérique : A i n si p ass ai en t l es j o u r s . L a v i e r u d e d e s p a y s a n s d e l ’ A v e y r o n d ’ a u t r e f o i s .L’histoire du fils de Malika.Les péripéties de la vie de Farid à la recherche de sa personnalité. Isidore. Notre facteur, un drôle de phénomène. T i t r e s à v e n i r : Gély du Jaoul. La révolte des croquants du Rouergue et du Ségala en 1643. Secouons nos souvenances. Les rêves d’un retraité, Louis veut refaire sa vie.La vie un grand tourbillon. Un bonheur n’arrive jamais seul.Ah ! enfin, on va pouvoir travailler sérieusement. 2
rêvons ensembl e Nadine Passim Auto édition La Fouillade 12270 E-mail :nadine.passim@gmail.comFroide, grise et brumeuse, était cette journée.La nature somnolait doucement.Au mois de novembre, les jours sont courtset l'automne a déjà bien préparé l'hiver.Mais les bourgeons, les graines, dans leur sommeil,malgré la froidure, commencent à rêver au printemps.Il faut beaucoup de tempspour un peu de progrès.En attendant......On peut quand même rêver.3
Vers les quatre heures de l’après-midi……Quand Lucien arriva devant son immeuble de la banlieue de Toulouse, le ciel gris foncé était menaçant, et un léger crachin rendait la chaussée glissante. Il arrêta sa vieille deux-chevaux le long du trottoir, et regarda le spectacle du vent qui soufflait en rafale. Pendant quelques instants, oubliant les vicissitudes de la vie, ses pensées s'en allèrent vagabonder avec des guirlandes de feuilles, qui faisaient des courses folles dans les ruelles et les jardins. Puis, revenant à la réalité, Lucien sortit de son véhicule, souleva le col de sa gabardine et avec sa valise traversa la rue en courant pour rejoindre la concierge, qui balayait devant l'entrée de l'immeuble. - Bonjour madame Cécile ! Vous voyez, cette fois, c'est définitif, j'emménage. - Bonjour monsieur Brilloux ! Vous arrivez avec le mauvais temps. Mais si vous avez trop froid dans votre studio, vous pourrez toujours monter chez votre ami Gratien, il vous attend. - Je vais y aller, répondit Lucien, qui déjà s'apprêtait à s'élancer dans l'escalier. - Attendez ! Ne partez pas tout de suite, j'ai reçu une lettre pour vous. Venez donc, je vais vous la donner. Madame Cécile avait un visage de poupée, un petit nez légèrement retroussé, des yeux verts où brillaient des lueurs de tendresse, et des cheveux d'un blond cendré, qu'elle frisait toutes les semaines en gardant durant des heures la tête pleine de bigoudis. Elle était aussi très gourmande, et souvent dans sa cuisine, faisait mijoter de bons petits plats qui embaumaient tout l'appartement. Alors, pour oublier ses rondeurs et les années qui passaient, madame Cécile ne perdait pas une occasion
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Nadine Passim
Mes rêves vont çà et là, au gré du vent
Ainsi passaient les jours


Un paysage vallonné découpé par des haies d'aubépines, de ronces, d'églantiers et par endroits, de murettes écroulées.
Avec des pierres grises parsemées de couleurs chaudes,

où se côtoient des reflets du ciel et les teintes paille des blés mûrs.
Tout cela, mélangé à des verts, des bruns intenses.
On y grille encore des châtaignes au feu de bois, tout en buvant un vin léger, pour retrouver des senteurs qui réveillent les mémoires.
À travers les aventures de Charlou, vous découvrirez la vie rude des paysans du Lévézou.

La lecture une passion


Rêvons ensemble
Nadine passim
auto édition
La Fouillade 12270
E-mail : nadine.passim@sfr.fr
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j'ai eu plaisir à lire cette histoire : le ton est vif et entraînant, il y a de l'humour et de la joie de vivre à toutes les pages. On retrouve avec plaisir des coutumes dont nos anciens nous parlaient, des événements comme la foire de Millau etc. Mais surtout, on est immergé immédiatement dans la mentalité paysanne, simple et un peu rude, dans ses valeurs, son quotidien fait de travail et de patience, en contact étroit avec la nature. Les paroles sont directes, chantantes, fleuries de ce patois qui nous colle encore un peu aux talons. Ce fut sincèrement pour moi un vrai régal.
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L’histoire

du fils

de Malika

Quand on est jeune et originaire de deux pays, surtout en 1958. On a toujours des problèmes...
Mais c’est aussi une richesse.
Rien n'est jamais acquis, il nous reste encore tout à construire.
Il nous faut bannir toutes idées de conquête, d’hégémonie et de racisme.
Voilà ce que j’ai voulu exprimer à travers les péripéties de Farid, qui recherche sa personnalité et son passé.
La lecture une passion



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