Citations de Nargesse Bibimoune (47)
Quand ton cœur il a aimer une personne sincèrement je veux dire quand une personne a était ta raison d'être durant un vrai moment c'est impossible de tirer un trait sur cette personne.
Un jour un sage a dit " Essayer doublier quelqu'un qu'on a aimer c'est comme se souvenir de quelqu'un qui na jamais exister : c'est impossible".
La rage d'être impuissant face à la mort, la rage d'avoir des pincements au cœur chaque seconde qui défilait, la rage parce que plus que ses proches c'est son cœur qu'il avait enterré.
C'est dans ses moments là qu'on se rends compte que la famille, elle n'a pas forcément les mots, ni même les gestes mais rien que par sa présence, elle fais de la vie quelques chose d'incroyable.
C'est dans les moments les plus sombre que j'ai vu que la famille étais l lumière la plus éblouissante dans les périodes les plus glaciales que la chaleur de la caz' étais la plus apaisante.
Mon pote s'est fait tuer il y a un mois de ça et les pleurs sont déjà passés ; les gens ont repris le cours normal de leur vie, comme si Pingouin n'avait jamais existé. Alors, c'était donc ça la vie ?
Mais là, en un clin d'oeil, je suis face à cette triste réalité : ton mal-être et mes silences qui n'apaisent rien. Vois au-delà de tout ça, You ; comprends que face à un homme comme toi, je n'arrive pas à me dévoiler, mais ça diminue en rien l'amour que je te porte. Je te vois, You et j'ai mon coeur qui enfle et qui se met à battre fort, trop fort... Même tes fautes, même tes faux pas, ils me touchent, car je sais que dans ta petite tête y a des milliards de pensées qui se bousculent et que y a un combat perpétuel entre le bien et le mal et que tu fais tout pour que la lumière entre.
Ton absence elle continue de me lacérer le cœur.
Quand on brise un miroir, on a beau essayer de recoller les morceaux, les fissures elles restent présente.
Il n'y a que ceux qui ont perdu leur sourire qui en connaissent la vraie valeur.
Yemma, y'a pas d'issue, on est condamnée à périr, damnés pour la vie.
On naît poussière et on finira poussière.
Sur 24h fais 23h59 de bien et une minute de mal :
C'est la seule minute de mal qu'on se souviendra.
Tu nous rappelles tout au long de notre vie que celle-ci ne tient qu'à un fil. Alors chaque jour, donne moi la force d'aimer les miens comme si c'était le dernier. Protège-les o mon Dieu, apaise-les, guide-les. Et recouvre de Ta Miséricorde tous nos proches décédés, tous nos morts qui T'ont rejoint. Pardonne-nous pour nos manquements et Guide-nous vers la voix des Justes.
Quand les murs tombent, les cœurs parlent.
Une malheureuse année qui est passée… Un an et bordel ! Tant de choses qui ont changé.
Wallah frère même si j'ai bafouillé pendant un an, wallah wallah ton absence, elle continue de me lacérer le cœur.
Je sors de cette putain d'usine qui me casse le dos.
Une semaine que j'ai trouvé du taff, cinq jours que je me lève à 6h du mat' pour faire un travail de iench'.
Dire qu'y a trop de mères, trop de pères qui ont passé leur vie là-dedans pour ramener la caillasse à la maison.
Chaque jour de leur existence, ils se sont levés en silence, sans aucune reconnaissance, juste pour nourrir leur semence, pour assumer tant bien que mal ce que Dieu leur avait donné, sans jamais chercher le retour, sans jamais se plaindre.
Ce sont les vrais guerriers de notre époque.
J'ai fais des choses dont je ne suis pas fière et aujourd'hui j'en ai le cœur carbonisé de toutes ces slatas. Tu persiste à y planter des graines yemma mais rien n'y pousse, rien n'y vit.
« Tu ne peux pas t’imaginer à quel point je regrette de ne pas lui avoir assez dit « je t’aime ». C’est étrange comme ces deux petits mots, si simples mais pourtant si importants, ont toujours du mal à dépasser le bout des lèvres lorsqu’ils sont sincères. »
"Ne pleure pas un proche qui te lâche, c'était juste un lâche qui était trop proche."
Mon petit reuf, il est la preuve que les petits du quartier, ils ont plus aucune valeur. Nous, on respectait les aînés. Il y avait des codes, tu ne pouvais pas les bafouer; c'était comme ça, c'était tatoué en nous. Mais eux, ils font les chauds bouillants , les mecs dingues, mais ne peuvent pas aligner trois mots sans insulter la daronne d'un frère. Les générations se dégradent et moi je reste face à tout ça sans pouvoir agir. Parce que faut le reconnaître, je suis pas mieux qu'eux. Toujours dans la même merde, sans emploi, avec la madré, à errer dans les rues, à n'être qu'une caille aux yeux du monde. La seule chose qui me différencie d'eux, c'est que je commence à comprendre, à voir plus loin que ces putains de tours...
Même si le temps bousille les cœurs. Je ne t’oublierais pas.