— Un instant, Oniyasha !
— Mère !
— Il fait froid la nuit... Le Shogun risque de se moquer de cette étoffe rapiécée, mais même si la vie est plus douce désormais, je ne m'y suis pas encore faite.
— C'est si chaud...
— Tu auras toujours ta place parmi nous, Onishaya ! Si c'est trop dur, reviens à la maison !!
— Mère !
Les éléments n'y sont pour rien. Cette rafale venait de toi. Tu l'as provoquée en fendant l'air. Je te propose de déchaîner des vents plus puissants encore.
Si personne ne les ouvre pour lire leur contenu, alors les livres restent muets. Et encore faut-il avoir la volonté de percer leurs mystères, et donc faire appel à notre force intérieure...
Aujourd’hui, les livres imprimés sont particulièrement rares. En effet, dès le début des années deux mille, les livres numérisés sont devenus la norme.
- Au début, tu me faisais l'effet d'une jeune fille indécise, obnubilé par ce qu'elle avait perdu. Mais ça, c'était avant. Tu n'es plus la même, aujourd'hui. Aurais-tu retrouvé du plaisir dans ton quotidien ? Ne cesse jamais de courir.
- Je sais comment tu fonctionnes. Ces jeux, c'est un peu ton mont Rushmore.
- Faux... Les paralympiques ne sont qu'une étape. Mes lames l'emporteront bientôt sur des athlètes valides.