Nicolas Peyrac

Voici mon retour de lecture sur Sans oublier qu'un jour on s'est aimés de Nicolas Peyrac.

Ils auraient pu tomber amoureux à l'adolescence.

Une nouvelle chance se présente vingt ans plus tard.

Elle est devenue une star, lui est un réalisateur de films d'art et d'essai.

Le hasard jouera-t-il un nouveau tour à ceux qui devaient s'aimer ?

Sans oublier qu'un jour on s'est aimés est un roman de Nicolas Peyrac. Je connais évidemment le chanteur, j'ai découvert ici l'auteur.

Il nous a écrit une jolie histoire entre un homme devenu réalisateur et une jeune femme devenu actrice.

Ils se sont rencontrés il y a vingt ans, ils auraient pu s'aimer mais la vie ne les a pas réunis.. Le fera t'elle aujourd'hui ?

Les personnages sont attachants, surprenants. J'ai apprécié le fait qu'ils se soient juste croisés sans s'aimer quand ils étaient ados. On suit leur parcours, leur vie actuelle, leurs émotions à l'époque comme de nos jours.

C'est sympathique mais je n'ai pas été réellement touché par ce roman, notamment à cause du style.

Il y a trop d'allers et retours entre le passé et le présent. Il y a de quoi se perdre, c'est dommage.

Cela manque parfois de fluidité et la ponctuation n'est pas toujours réussie. En effet, il y a trop de points d'exclamation ou de suspension, cela devient lassant à la longue.

Je n'ai pas ressenti l'émotion qu'à surement du vouloir faire passer Nicolas Peyrac.

Par contre, c'est un bel hommage au cinéma et au voyage au travers une balade en Bretagne, et même à Cuba :)

Malgré quelques défauts, j'ai apprécié Sans oublier qu'un jour on s'est aimé, que je note trois étoiles.

fan de Nicolas Peyrac sans l'assumer totalement (tant on est très peu de ma génération à l'être), j'ai été ravi de voir qu'en cette rentrée 2013, il était pour la première fois depuis bien longtemps, revenu un peu sous les feux de l'actualité avec deux oeuvres différentes, un livre et un disque qui bénéficie visiblement d'une exposition médiatique un peu plus poussée que lors de ces 20 dernières années.



Commencons par le livre, So Far Away, Un certain 21 mars paru le 10 octobre dernier aux éditions de L’Archipel et que je viens de finir. Pas vraiment ses mémoires, comme il le dit dès le début, mais plutot une sorte de carnet de route mélangeant un récit mélangeant anecdotes, souvenirs, rencontres, instantanés d'une vie, le tout raconté de façon totalement anti-chronologique, dans une espèce de récit-poupée gigogne, où chaque souvenir en appelle d'autres plus ou moins liées.



On s'y perd parfois un peu à cause de cette construction qui a au moins le mérite de l'originalité ( moi qui lis tant de biographies académiques) et le procédé n'évite pas quelques répititions, mais l'ensemble reste passionnant pour qui comme moi aime le bonhomme et l'artiste.



Ce récit nous confirme surtout que le type est à la fois pudique, modeste, pétri d'humanité et de principes, et toujours animé par l'amour de l'écriture et des mots, ainsi que d'autres fils conducteurs que sont les voyages, les guitares, la photographie qu'il exerce en amateur, et aussi et surtout l'amour de ses proches et de ses quelques fidèles sur qui il a pu compter lorsqu'il a connu de longues années de depression, suite à un divorce tout juste esquissé, l'homme n'aimant pas s'épancher sur des douleurs qu'on devine encore un peu vives, malgré le bonheur retrouvé.



Dans ce récit de 300 pages qui se lit bien vite avec un réel plaisir, vont se méler petits drames et grands bonheurs privés et quelques anecdotes plus ou moins croustillantes mélant Patrick Sebastien, Serge Lama, Michel Berger, Barbara et bien d'autres encore....



J'ignorais que Nicolas Peyrac avait été étudiant en médecine avant d'être happé par la chanson devenu chanteur, mais ce qu'on voit surtout à travers ces 300 pages, c'est sa foi inébralanble envers le pouvoir de l'écriture, plus que son amour pour la scène, qu'il a visiblement longtemps appréhendé avant de la maitriser un peu mieux depuis peu.

A la lecture de ces 280 pages pleine de sensibilité, on peut dire que l'exercice est pleinement réussi, Monsieur Peyrac!!
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Quel merveilleux roman !



Adolescent , il est secrètement amoureux d'elle mais n'ose pas lui dire. Elle est cet amour secret non partagé des vacances toutes les années de son adolescence et puis l'année où il est prêt à l'aborder, juste lui parler... elle n'est plus là.

Des années plus tard, il est écrit des scenari, elle est actrice et ils vont se croiser par hasard dans la rue.

Mais rien n'est simple et la vie leur jouera des tours ou peut être eux-même le feront des choix improbables ou juste différents de ce que l'on imaginerait....



En dire plus dévoilerai le voyage que raconte ce livre, le voyage de deux vies qui se croisent et se recroisent , se comprennent et se fuient... ou pas?



Les personnages sont attachants et riches dans leurs réflexions personnelles, leurs incertitudes.



Au delà de l'histoire elle-même il y a cette quête que nous avons tous de la vie idéale. Ce roman nous en présente trois, plus ou moins heureuses.



Merci pour cet agréable moment de lecture

Fan de Nicolas Peyrac, j'ai tous ses cd, et je ne pouvais pas passer à côté de son livre, magnifique de sincérité et d'élégance, reflet d'un Nicolas sans artifice, respect.

Ils auraient pu s’aimer dans leur jeunesse mais l’amour se révèlera bien plus tard.



Il est alors réalisateur. Elle est actrice. Un film va les réunir et les faire voyager jusqu’à Cuba. L'occasion pour eux de donner un nouveau sens à leur histoire ?



Malheureusement je suis passée totalement à côté de cette lecture. Je n’ai pas réussi à me plonger dans cette histoire qui avait tout pour me plaire : la Bretagne, Cuba et le cinéma. J'ai eu du mal à m'y retrouver avec l'alternance entre passé et présent. La plume de l'auteur manquait également de fluidité et d'émotion à mon goût

Le scénario de ce roman ? Excellent. Une star de cinéma décide de se faire passer pour morte afin d'aller voir là-bas si elle y est toujours. Séduisant.

L'hommage au cinéma ? Réussi.

L'ode à la Bretagne ? Émouvante.

Le seul regret concerne le style. Comme si Nicolas Peyrac (qui pourtant s'y connaît bien quand il s'agit de jouer avec les mots) n'avait pas eu de directeur littéraire pour l'accompagner dans cette nouvelle aventure. À force, la répétition des points de suspension fatigue le lecteur. Idem pour les points d'exclamation.

Dommage. Vraiment. Ce roman aurait mérité de gagner en fluidité.
Lien : https://twitter.com/SWANNBLUE

Ouh la la ! C’est rare que cela m’arrive, mais c’est un abandon pour ce livre…



A contre cœur, car l’histoire avait tout pour me plaire. Le problème ? Je n’ai vraiment pas accroché avec l’écriture . Ça reste très subjectif mais les minis paragraphes et surtout les points de suspension à toutes les 3 phrases ont eu raison de ma motivation.

Je le reprendrais peut être un jour, car je trouve ça dommage. Mais pour le moment : next !