Nicolas Vial

Ce livre raconte jour après jour le vécu de l’auteur au cours des deux mois de confinement durant la première vague de l’épidémie de Covid allant de mars à mai 2020. Ce livre est illustré par les dessins à l’aquarelle de Nicolas Vial, dont la douceur et la beauté font harmonie avec le texte.



Le regard d’Eric Fottorino durant cette période de cloisonnement est un regard analytique sur des questions d’actualité mondiale, locale, psychologique, des tas de choses qui touchent tout le monde. Le masque, l’anxiété de la maladie, le vécu confiné, l’hécatombe de Bergame, les chiffres, il y a des hommages, des références… « l’homme qui dort » de Perec revient à plusieurs reprises, et je suis tentée aujourd’hui de lire ce livre qui parle du confinement d’un homme.



J’ai beaucoup aimé lire ce livre qui porte un témoignage sur une réalité qui me touche encore aujourd’hui.



Merci à Babelio et aux éditions Gallimard pour ce livre reçu lors de Masse Critique.

L’aventure d’Ewilan en BD continue ! J’ai dévoré ce tome avec grand plaisir… Pourtant, j’appréhendais un peu, car le troisième opus avait vraiment été génial. Celui-ci ne rivalise pas avec son prédécesseur, mais reste de qualité. En plus du voyage des aventuriers, on va surtout accentuer sur les sentiments des personnages : Ellana va enfin se rapprocher d’Edwin (De façon subtile et discrète…), Salim va faire une superbe déclaration qui ferait fondre n’importe qui, Edwin et Ewilan vont démontrer qu’un fort lien les unit (Même si ce n’est pas le cas, on sent une relation père/fille vraiment puissante et touchante !) et les autres compagnons vont prouver leur loyauté ainsi que leur amitié. J’ai trouvé ce panel d’émotions très émouvant. On se rend compte que tous ces personnages évoluent et s’attachent les uns aux autres : ce n’est pas une simple histoire avec une quête interminable où les personnages sont creux. Bien au contraire !



Le chemin du petit groupe est peuplé de rencontres, de découvertes (ville, nature, créatures) et de combat ! Une fois de plus, les personnages vont être confrontés à des ennemis puissants comme la goule ou encore des antagonistes attendant que certains membres s’isolent des autres pour mieux attaquer. Le danger est là, toujours présent, et s’amuse à effectuer quelques piqûres de rappel pour que les protagonistes n’oublient pas qu’ils risquent leur vie à tout instant… Hélas, le chemin est encore long ! Il est à noter que les auteurs ont pris l’initiative de faire des petites avancées rapides à plusieurs reprises dans la BD. Ce n’est pas plus mal, car c’est difficile de tout retranscrire en 60 pages, à moins d’envisager un grand nombre de tomes… Pour les frustrés, je pense que ces scènes ou ces passages sont développés dans la saga originale. Ne m’étant arrêtée qu’au premier roman d’Ewilan, il me faudrait la confirmation de la fan number one passionnée par Pierre Bottero, alias Mikasa, qui saura sans doute mieux vous éclairer que moi lorsqu’elle aura lu cette adaptation à son tour. En tout cas, cela reste largement compréhensible !



Les dessins sont dans la continuité des autres tomes : superbes, avec des décors travaillés, des couleurs féeriques et des personnages expressifs. Comme dans le troisième tome, mon reproche concernant Ellana est le même : elle est belle, mais pas toujours ! Cette fois-ci, ce sont surtout ses représentations de profil qui m’ont déplu. C’est dommage, car il s’agit de mon personnage favori (sans doute dû au fait que j’ai dévoré la trilogie la concernant). Les autres protagonistes sont plutôt réussis et sont très expressifs. Bref, une bonne saga dont j’attends impatiemment le tome cinq. Nul doute que ce tome saura conquérir mes ados qui sont aussi impatients que moi d’avoir la suite entre les doigts…




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Gwendalavir est sauvée grâce à Ewilan et ses amis. la paix retrouvée, il est désormais l'heure pour la jeune fille de chercher ses parents et pour cela il va devoir se confronter à la sentinelle renégate.



Nous poursuivons l'adaptation du roman jeunesse de Pierre Bottero de manière plutôt fidèle et plaisante. Les péripéties s'enchainent assez rapidement, avec certaines résolutions parfois un peu faciles. Camille et Salim sont de jeunes gens sympathiques bien qu'un peu cucul sur les bords! On se laisse prendre facilement dans la découverte de ce monde plein de magie.

Le dessin est léger, un peu enfantin et coloré. Quelques proportions approximatives me gênent de temps à autre mais rien qui ne gâche la lecture.

Ewilan poursuit sa quête avec Salim, Edwin, Elana, Cham Vite, Artis, Manel et maitre Duom. Après la découverte de l'arche, c'est Al-Jeit, la capitale, qui va offrir ses merveilles aux yeux de la jeune fille.



L'adaptation du célèbre roman fantasy jeunesse de Bottero prend corps dans cette bande dessinée. L'aventure y est très présente tout comme les liens humains. Il y a beaucoup de douceur en plus de l'action et de l'aventure. C'est très agréable à lire.C'est une belle lecture, pour les jeunes et pour les grands enfants aussi! ^^



Les dessins, s'ils sont perfectibles, rendent à merveille les créations de l'auteur. J'avoue que j'ai été subjuguée par Al Jeit et les paysages que l'on découvre. La rencontre entre Camille et la dame est très belle.

Quatrième épisode de la version BD de la Quête d'Ewilan. Superbe dessin (normal, vu les talents d'Ewilan), superbes illustrations. Scénario solide, très bonne version. C'est vraiment un plaisir de lire cette BD !



Grande impatience de lire les prochains épisodes.

Après un accident dans le moulin, le chat du meunier doit porter une carapace de tortue pour guérir. Mais il est incapable de rester en place. « Très vite, il devient la tortue la plus rapide du monde, terrorisant rats et souris, mulots et musaraignes. » (p. 9) Arrivent des pluies torrentielles et les champs sont inondés. Le pauvre matou manque de se noyer, mais aidé par une souris, il retrouve le moulin. Même s’il est déglingué, étiré, tordu et bossu, ce matou miteux reste le cher animal de son maître le meunier.



Avant de lire l’album, je trouvais le titre très drôle. J’imaginais un chat de gouttière efflanqué et attachant. Ici, le pauvre animal est bien éprouvé, presque martyrisé et supplicié. Et les dessins me semblent un peu trop effrayants pour un album jeunesse. Ou alors ça vient de moi qui ne supporte pas de voir un animal souffrir…

Toujours aussi fan de cette bande dessinée. Le dessin est magnifique, coloré rempli de pep's, et (pour autant que je m'en souvienne) l'intrigue est très fidèle au roman. L'intérieur de la citadelle des frontaliers est vraiment sublime et les décors encore plus beaux que je ne les avait imaginé. Je suis totalement sous le charme de cette bande dessinée qui me donne envie de me replonger dans les romans de Pierre Bottero. Vivement la suite!

Résumé : Ewilan et ses compagnons prennent une route chargée de dangers pour trouver l’île du Destin et délivrer les parents d’Ewilan.



Mon avis : Ce tome 7 clôture la quête d’Ewilan de façon magnifique.



La route pour trouver l’île du destin est semée de nombreux dangers, surtout qu’Elea Ril’Morienval est là, cherchant par tous les moyens à éliminer Ewilan et ses amis. Tous savent que cette dernière étape est compliquée, et qu’ils pourraient y laisser la vie, mais leur courage et leur amitié est plus forte que tout.



Moi qui avait adoré les romans de Pierre Bottero, j’ai trouvé que cette adaptation BD était très réussie jusqu’au bout, à la hauteur de ce magnifique univers. Le dessin, le graphisme et les couleurs nous emportent vraiment dans un autre monde, et je suivrai avec plaisir la suite des aventures dans le cycle des « mondes d’Ewilan ».
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«Ce qui me frappe, c'est le décalage entre la pertinence des droits énoncés dans chaque article de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, il y a plus de deux siècles, et la réalité de leur application aujourd'hui». A l'appui de ses propos, Nicolas Vial a choisi parmi ses dessins de presse ceux qui illustrent le mieux ce décalage. Chacun des dix-sept articles écrits à la main est assorti de deux ou trois dessins ; le contraste entre le contenu du texte et la réalité imagée par les dessins est saisissant… J'ai trouvé certains dessins moins accessibles que d'autres (3e ou 4e degré qui m'échappe).



Le préambule de la Déclaration (très très loin dans ma mémoire !) m'a fortement interpelée, tant la situation qui a présidé à sa rédaction semble assez comparable à celle d'aujourd'hui («l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements »).

Même ‘'réveil'' pour la plupart des articles suivants, à commencer par l'article 1 dont la deuxième partie est moins connue que la première (du moins, en ce qui me concerne) : «Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune».





Pour mémoire, Nicolas Vial a été dessinateur pour le Monde et est peintre de la Marine. Il a, entre autres, conçu un timbre pour le 70e anniversaire dr Débarquement, un timbre pour le 50e anniversaire de la SNSM (Société Nationale de Sauvetage en Mer) et réalisé des fresques murales pour le Musée de la Marine à Paris.

Ce livre rassemble des dessins et des points de vue sur notre actualité économique et sociale. Il est question de problèmes sociaux, abordés ici sous la forme d'un dialogue entre l'artiste et un industriel.

Les modèles économiques qui sont mis en cause impliquent l'industriel depuis bien longtemps, et on ne voit pas quel élément nouveau lui permettrait de dépasser le stade de la conscience sociale pour se mettre à scier la branche sur laquelle il est assis. Donc ce dialogue n'apporte rien à l'originalité du point de vue de l'artiste, mais accentue le sentiment d'impuissance face à ces faits sociaux accablants.

Ewilan finit dans ce tome par retrouver Elea Ril Morienval et l'un de ses acolytes dans la cité des frontaliers. Elle doit alors se battre en duel et finit par remporter ce combat.



Elle fait aussi une rencontre pour le moins extraordinaire dans cette cité et l'histoire se rapproche des légendes arthurienne.



Il reste ensuite à notre héroïne à retrouver ses parents et dans cette dernière quête, elle reste accompagnée par d'anciens compagnons et de nouveaux.



Salim quant à lui montre une nouvelle facette de son talent en fin d'album.



Au final : encore un très bon tome avec un excellent graphisme.

J'aime décidément beaucoup cette série et ce quatrième tome tient ses promesses.



Cette fois, la révolte a sonné au sein de la petite troupe et qui choisit de prendre en main son destin et de ne pas se laisser simplement piloter par l'empereur et son maître d'arme.



C'est donc tous ensemble qu'ils décident d'aller libérer les sentinelles; mais la route reste longue et autant ils n'ont pas rencontré de goule à la passe de la goule, autant sur les plateaux gelés d'Astariul...



On en apprend plus sur les parents d'Ewilan, leur destin et leur amitié avec Edwin. C'est aussi le tome des sentiments révélés entre plusiueurs protagonistes, ce qui leur donne un côté encore plus attachant.

J’ai profité d’un week-end à lire pour avancer dans cette adaptation BD de la Quête d’Ewilan dont je n’ai toujours pas lu les romans. Chaque tome renforce mon impatience de découvrir cette série et j’ai vraiment envie de le faire. Parce que franchement, si je suis incapable de juger la qualité de l’adaptation, je rester complètement enchantée par ces deux opus (tomes 3 et 4). J’ai hâte de découvrir la suite désormais.



L’histoire me plaît énormément. Nous retrouvons notre troupe de héros avançant dans leur quête, celle d’éveiller les Figés grâce aux merveilleux pouvoirs d’Ewilan (Camille). Entre phase de voyages oniriques et des passages permettant de voir des liens se nouer, des émotions naître ou bien d’en apprendre davantage sur un personnage, il y a de l’action et de l’apprentissage. J’ai aimé ce mélange permettant de créer du rythme et qui ne m’a nullement perdue ou agacée. J’ai beaucoup aimé les histoires de ces deux tomes qui se complètent à mes yeux et donnant une avancée retentissante dans l’aventure. J’ai l’impression qu’on se rapproche du final.



L’univers me fascine toujours autant, la grande imagination de Pierre Bottero se sent à fond. Entre les aspects orientaux dans quelques noms avec des pointes d’héroïc fantasy, je suis captivée par l’ensemble, par les notions ou le bestiaire. Le pouvoir magique d’Ewilan autour du dessin est juste trop génial ou même celui d’Artis se révèle être passionnant. J’ai découvert un peu plus de choses sur le monde de Gwendalavir et j’en suis ravie, cela montre toute la richesse de l’univers qui doit être encore plus poussé dans les romans.



De plus, les illustrations sont magnifiques ! Les paysages sont tout simplement oniriques avec ces belles couleurs, j’ai adoré les contrées glacées, les paysages de la grande cité où vit l’Empereur. Les objets et les costumes sont très beaux, l’ensemble est peuplé de détails que j’aime regarder. Les couleurs sont très jolies et fonctionnent ensemble, le trait est précis, soigné, le character design est bien pensé, dans le sens où chaque personnage est reconnaissable.



Le texte est quant à lui très sympathique à lire. Les protagonistes ont leur façon de s’exprimer et leur personnalité transparaît dans les mots employés. On sent les évolutions des personnages dans les relations qu’ils nouent et dans les petites incursions qu’ils font dans leur passé. Le texte se révèle être charmant à lire, fluide et soigné. Il est certes très présent à certains passages, mais il ne gâche pas le plaisir de lire ou celui des yeux pour admirer les illustrations.



Je suis fan de chaque personnage, c’est assez rare quand l’aventure se pointe avec autant de héros y prenant part. En général, j’apprécie que quelques personnalités et j’oublie les autres, mais là c’est impossible. Déjà parce qu’ils sont tous importants et que même si tout le texte de Bottero n’apparaît pas les concernant, même s’il manque des données, la BD fait son travail. Celui de faire découvrir le texte à des personnes susceptibles comme moi de ne pas avoir encore lu les romans. J’ai très envie de les retrouver dans les romans et d’en apprendre plus sur eux. Artis et Chiam, le Faël, me plaisent, je les trouve intéressants et ils apportent un plus au récit. Edwin, Ellana, Camille et Bjorn resteront mes chouchous, mais Maniel, Salim et Maître Duom restent attachants. On en apprend plus sur Camille, Ellana et Edwin dans ces opus, avec une légère petite information sur Bjorn. Ce qui fait que je suis très curieuse de lire les romans.



En conclusion, je ressors de mes lectures satisfaite et heureuse. Ils entrent directement dans mon top des albums chouchous et parmi mes préférés de la série. L’histoire se poursuit, l’aventure continue et la quête gagne en intensité, avec de nouveaux personnages et de nouveaux horizons découverts. L’univers s’étoffe, l’attachement aux protagonistes se renforce, on sent poindre le final avec cette guerre imminente et les Figés qui se rapprochent. J’ai eu une chouette palette d’émotion, entre émerveillement, actions, révélations et sensibilités.
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Dernier tome de cette belle saga, adaptée des romans de Pierre Bottero.



L'histoire est captivante, construite dans un univers imaginaire cohérent et aux singularités fortes. Le graphisme est somptueux.



Dans ce dernier tome, la quête s'achève sur une île inconnue et peuplée de pirates. C'est aussi l'affrontement attendue avec Morienval. De ce point de vue, j'aurais aimé un peu plus de rebondissements et savoir pourquoi elle s'en est pris aux parents d'Ewilan parmi l'ensemble des sentinelles. Cette motivation n'est pas clairement expliquée, même si on découvre le but final de cette dernière.

Résumé : Ewilan a réussi sa mission, mais ne sait toujours pas où sont ses parents. Accompagnée de ses fidèles amis, elle arrive à la Citadelle des Frontaliers pour recevoir les honneurs, mais elle sait aussi qu’Eléa Ril’Morienval souhaite toujours sa perte…



Mon avis : J’ai retrouvé avec beaucoup de plaisir les paysages fabuleux du monde d’Ewilan, ainsi que notre héroïne et ses amis.

La quête d’Ewilan n’est pas terminée, car elle recherche toujours ses parents, et elle doit se méfier d’Eléa qui lui veut toujours du mal.

Dans cet avant dernier tome, Ewilan va faire de nombreuses découvertes sur la mythologie de Gwendalavir et comprendre un peu mieux comment fonctionne ce monde et ses mystères, même s’il reste encore beaucoup de zones d’ombres.

Elle va faire appel à son frère pour l’accompagner sur le chemin menant à ses parents.



Les dessins sont toujours aussi magnifiques, l’histoire toujours aussi bien interprétée, et je suis avec autant de plaisir ces aventures, qui sont un vrai régal pour les yeux et pour l’esprit !
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Dans la lignée des trois premiers tomes, Lylian continue son merveilleux travail d'adaptation. Elle parvient à retranscrire les sentiments des personnages ainsi que leurs attitudes avec brio. Il y a forcément quelques zones d'ombre par rapport au roman mais franchement on ne saurait lui en tenir compte. D'autant plus que le royaume de de Gwendalavir a un historique assez impressionnant et qu'elle doit donc disséminer ici et là les clés de compréhension pour une lecture fluide.



Pour les dessins, là encore ils correspondent tout à fait à ce que j’avais imaginé en lisant les romans, tant dans les paysages magnifiques aux couleurs chatoyantes que dans les styles des personnages.



J’attends avec impatience le prochain tome qui devrait sortir à l’automne.
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Dernier tome de La Quête d'Ewilan adaptée en bande-dessinée, ce tome clôt merveilleusement un récit riche en rebondissements.



Comme d'habitude, les dessins sont superbes et l'adaptation assez fidèle ! Bien sûr, ça va vite, c'est normal c'est de la BD. Et puis on aime tellement Gwendalavir qu'on aimerait y rester plus longtemps...



Mini a découvert récemment cette série et il les relit en boucle !
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Un trio final pour une saga excellente et une adaptation magnifique. Franchement, le travail réalisé est grandiose, j’ai relu les six premiers opus pour terminer en beauté une série de BD qui est inoubliable et à la hauteur des romans de Pierre Bottero. Je suis impatiente de pouvoir me les offrir un de ces jours pour les relire sans modération, c’était clairement une pause détente, réconfortante et une belle aventure au cœur de Gwendalavir.



Comme toujours, le texte est excellent, maîtrisé et soigné. Les répliques s’enchaînent avec fluidité, elles sont naturelles et permettent de cerner rapidement qui parle, même sans prêter attention aux illustrations. Le récit avance vite et bien, entre temps, j’avais lu la trilogie de romans et je dois bien admettre que l’adaptation est une réelle merveille. Ni trop en longueur, ni fidèle à la virgule près, ni trop rapide et coupée à la truelle, le texte de Bottero prend réellement vie et il prend aussi des couleurs.



Les illustrations sont un gros coup de cœur ! Sincèrement, c’est difficile de ne pas craquer devant ces couleurs magnifiques, devant ces décors qui me coupent le souffle. Les paysages naturels, le voyage aquatique, les contrées de glace jusqu’au cœur du désert, dans les souterrains et les ruines, dans les cités majestueuses, tout m’enchante et me transporte dans un monde enchanté. Les créatures comme les animaux, les objets comme les actes de magie, les actions comme les émotions sont un réel ravissement pour les yeux et il est difficile de ne pas passer des heures sur chaque planche à admirer les détails. C’en devient presque un challenge !



Le design des personnages, notamment des petits nouveaux est ultra plaisant. Pour éviter tout spoil je n’en dirais pas davantage, mais j’ai adoré ces nouvelles têtes. Ennemis comme alliés, les nouveaux protagonistes apportent de nouvelles péripéties, de nouveaux enjeux, de nouvelles idées qui m’enthousiasment ou me font frémir de peur. En tout cas, ces nouveaux personnages sont intéressants et il me tarde de revoir tout ce beau monde dans les Mondes d’Ewilan.



D’ordinaire, dans une compagnie de héros partant à l’aventure, j’ai toujours un chouchou, un que je n’aime pas du tout, les autres m’indiffèrent ou presque… Pas là, chacun d’entre eux possède sa spécialité, ses pouvoirs, son rôle, sa place. Ils sont irremplaçables et adorables à suivre. J’ai adoré suivre leurs aventures ! Camille est une adolescente charmante, rêveuse et sensible, tout en étant déterminée et forte tête, j’aime beaucoup cette héroïne à la fois pétillante et intelligente, en retenue et élégance. Salim prend du galon, il m’a énormément surprise au fil des tomes, prenant une place plus importance, ce n’est pas un sidekick comique, il a du potentiel. Nos chevaliers Maniel et Bjorn sont fidèles à eux-mêmes, j’ai bien aimé la discrétion d’Artis ainsi que son don. J’ai une légère préférence pour Edwin et Ellana, mais c’est tout léger comme favoritisme. Mais c’est parce que leur duo fonctionne aussi bien que celui de Camille / Salim.



Le tome 5 un de mes préférés ! J’ai l’impression de dire ceci à chaque tome, mais celui-ci m’a captivée du début à la fin ; on sent que le grand final approche, que le dénouement est proche.



J’ai beaucoup aimé l’intrigue, on découvre la cité des Sentinelles, ses secrets, on voit de nombreux événements trouver une fin, ou du moins, un premier élément de réponse. J’ai apprécié les découvertes, l’ambiance de ce tome qui est entre merveilleux, découverte et quelque chose de plus sombre, de plus mature. Le tome 6 offre une parfaite transition, une ambiance plus légère, un côté reposant avec des réponses intéressantes, de petits ajouts importants pour étoffer les personnages et l’univers. Je l’ai beaucoup aimé. Enfin, le tome 7 offre une jolie conclusion, quoiqu’un brin rapide. Néanmoins, c’est un final riche en émotion et en action, une belle promesse pour la suite des aventures de Salim et de Camille. J’ai passé un chouette moment devant ces sept tomes.
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Dernier tome de la série correspondant au premier cycle de romans de l'univers d'Ewilan, il aura donc fallu 7 tomes pour adapter la trilogie de Pierre Bottero.

Dernières étapes forcément du périple visant à libérer les parents d'Ewilan et de Mathieu, on traverse encore de magnifiques paysages peuplés d'amis et d'ennemis. Le tout passe très vite, presque un peu trop, et la délivrance finale n'apparait finalement que comme une étape de plus vers le destin de la jeune fille.

J'ai donc été un peu déçue par le rythme de ce dernier tome, mais sûrement parce que je serai bien resté un peu plus avec les personnages.
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J'avais pas voulu lire ce 6eme tome de suite car j'avais envie de garder encore la magie d'Ewilan et de Pierre Bottero avec moi. Ce 6eme tome, qui marque également l'avant dernier tome de la quête d'Ewilan est à nouveau une réussite à mon goût. Les dessins sont envoutant et nous sommes plongée dans cet univers riche en couleurs. La rencontre entre Merlin et Ewilan est magnifique. C'était rempli de tendresse, de beauté et de bonté. J'ai beaucoup aimé le rendu qu'ils ont donné à ce passage. J'ai eu l'impression que dans ce tome on prenait un peu plus le temps et que cela suivait un peu plus l'histoire d'origine. J'ai hâte de voir Ewilan retrouver ses parents.
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