À ce moment-là, parut à sa porte le barbier Ivan Iakovlévitch, mais d'un air si peureux, on aurait dit un chat qui vient de se prendre une roustée parce qu'il aurait chipé du lard.
- Dis-le d'avance : tu as les mains propres ? lui cria de loin Kovaliov.
- J'ai les mains propres, monsieur.
- Menteur !
- Je vous le jure, j'ai les mains propres, monsieur.
- Bon, fais attention, hein.