- Tu es un ami merveilleux ! (Napoléon)
- Un ami à qui tu viens de trouer le bras avec ton épée ! (Agathon)
- Je suis un soldat ! Je me bats à la guerre, en amour, et même en amitié !
- Ca ne veut rien dire ta phrase ! Ha ha ha !
A cette époque, il était de règle que les jeunes filles de la noblesse, lorsqu'elles atteignent l'âge de se marier épousent un jeune homme de même rang qu'elles. Le méraige était comme une cérémonie d'entrée dans l'âge adulte. Etre marié signifiait que l'on était désormais majeur et indépendant.
Que les époux s'entendent bien était considéré comme un détail négligeable... et que les maris, mais aussi les femmes aient des amants était une chose assez commune...
- Venir retrouver son amante au petit matin, c'est totalement immoral....!
- C'est immoral quelque soit l'heure !
- C'est vrai.
- Alors, tu t'es bien amusé, hier soir ?
- Tu sais bien que non ! Mes parents veulent des petits-enfants rapidement. Ma femme ne me sera utile qu'a ça !
- Et moi ?
- Toi c'est autre chose !
"Napoléon et Joséphine. Ainsi naquit le couple qui grava à jamais son nom dans l'histoire, mais ni l'un ni l'autre ne se doutait du grand destin que l'avenir leur réservait."
Agathon: De quoi veux-tu me parler? Tu es bizarre aujourd'hui...
Napoléon: Je la veux!
Agathon: Quoi?!
Napoléon: Oui! Marie-Josèphe-Rose de Beauharnais... je la veux et j'ai besoin de ton aide!
"Tu connaitras un destin exceptionnel, ma fille. Tu seras reine... non, plus que reine! Tu monteras plus haut que tous les êtres humains sur cette Terre."
"Alors c'est ça, la Révolution dont tout le monde rêvait?! ça?! Comme des vampires assoiffés de sang, le peuple se rassemblait pour aspirer le sang des aristocrates! C'est ça... la Révolution? Un peuple uniquement motivé par la haine et la vengeance!" # Agathon
Les pauvres de Paris se préparaient en cet instant à exprimer les plaintes qu'ils avaient toujours étouffées et tenues secrètes pour des lendemains plus beaux que nous verrons se lever, après la bataille!
"Cet enfant n'est pas le fils de Monsieur. Mais le fait que quelqu'un comme vous le considère comme son petit frère me touche plus que je ne saurais le dire. Je vous en prie, si vous le pouvez, gardez-le toujours auprès de vous. Cela nous suffira amplement, à lui comme à moi." # Marion