La croyance que le secret demande des efforts psychiques pour être conservé (efforts éventuellement inconscients) a été portée par une idéologie psychothérapeutique fondée sur le dogme des « ravages du non-dit ». Certes, un secret peut être empoisonnant mais il ne l'est probablement pas par définition. On peut imaginer l'existence de secrets de plume en dehors des secrets de plomb.