Philippe Ogaki

Résumé : Abigail a été invitée en Russie pour participer à un concours de chant. Neo va être invité par un mystérieux inconnu, Ozerov, à la retrouver, car ils sont concernés par les prédictions d’une mystérieuse jeune fille, qui pourrait être dangereuse et au service du démon.



Mon avis : Comme dans le tome 7, deux héros vont se retrouver et vont devoir allier leurs forces, et devoir choisir face aux ruses des gens qui les entourent.



Cette fois-ci, il s’agit d’Abigail et de Neo, qui vont se retrouver en Russie. Deux personnes s’intéressent de très près à eux, Ozerov qui dit être de leurs côté, et leur donne des indices pour réaliser leur mission, et une jeune femme voyante, qui prédit l’avenir de tous sauf le sien.



Nos deux héros vont devoir apprendre à se connaître et à collaborer pour pouvoir avancer de front, et surtout résister aux illusions. Ce sera l’occasion pour le lecteur d’en savoir sur le passé douloureux de Neo.



Un tome plus intéressant, mêlant vérité et faux-semblants, et qui relance mon intérêt pour la suite de la série.
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Bof…

J'ai trouvé que quelques répliques était un peu "banale", mais c'est resté une lecture agréable. J'ai bien aimé le personnage et son pouvoir. Je trouve qu' il y plus d'intrigue sur ce tome que les autres.

L’univers coloré des Mythics est bien assuré par Alice Picard, qui livre des dessins de qualité, avec des planches fournies, des personnages expressifs et un réel sens de l’action. Bref, c’est un bon épisode de la série, qui ravira son public d’ados et de pré-ados. Ils pourront déjà bientôt passer au péché suivant puisque Delcourt annonce la parution du tome Orgueil pour le mois d’août.




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Le deuxième tome est bien. Je n'ai juste pas aimé le fais que ce soit une petite fille et pas une adolescente est un peu décevant. Et puis je trouve que c'est beaucoup moins drôle. Mais le pouvoir de la petite fille est bien choisis.

Normalement, je n'aime pas trop les BD. Mais on me l'a proposé, donc je me suis "pourquoi pas? ". Résultat, je ne suis pas déçue. Je pense que c'est celui là que je préfère de tous les autres. Les dessins sont bien fait. Et il y a des moments assez drôles. Pour une BD, je trouve qu'elle est longue, donc je ne suis vraiment pas déçue.

Résumé : Le roi de Rurituanie est gravement blessé par un soldat lors l’affrontement entre le roi de France et le roi de Prusse. Et les membres du Cercle ont infiltré le pouvoir des différents pays car ils veulent la guerre. Maud et Guilhem parviendront-ils à empêcher leurs sombres desseins ?



Mon avis : Ce tome 16 va permettre à Maud et Guilhem d’avoir de nouvelles informations sur le Cercle et leurs objectifs : mettre l’Europe à feu et à sang à l’aide d’habiles conseillers auprès des rois, et récupérer différents artefacts pour obtenir le pouvoir suprême. Et on va enfin découvrir qui sont vraiment Apollon et Artémis, car Artémis semblait jouer un double jeu, mais la révélation sera plus étonnante que ce que l’on imaginait…



Un tome plein d’actions et de révélations qui donne envie de poursuivre la suite avec le tome 17 !
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Malgré un dessin des plus avenants, L'Or des Dieux, premier volet d'Astra Saga, peine à installer une histoire significative. Pour accentuer l'engouement les épisodes suivants devront impérativement « corriger le tir » en apportant davantage de clarté et de simplicité au récit.
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Le désastre du Ragnarök a beau avoir marqué profondément le paysage galactique, les espèces survivantes à cette extermination réciproque des Ases et des géants Jötun semblent avoir la mémoire bien courte. L’empire qui a prospéré sur le champ de mines est menacé de l’intérieur par une rébellion et de l’extérieur, par un Ase rescapé du Ragnarök. La flotte impériale va avoir fort à faire pour maintenir l’ordre et la cohésion des provinces…



Ce premier tome pose les bases d’une intrigue ample, mais d’autant plus intéressante que plusieurs des camps semblent traversés par des clivages internes. L’histoire de Sey instille le doute : un ordre aristocratique et inégalitaire comme l’empire est-il préférable au chaos ? Quels sont les ressorts de la guerre qui se dessine ? Le personnage de Hlin nous a troublés également. Cette jeune aristocrate à l’intelligence exceptionnelle sera-t-elle celle qui sauvera l’empire ou le précipitera-t-elle au contraire vers sa destruction ?



Plongée directement dans le feu de l’action, je n’ai pas trouvé évident de prendre mes repères face aux aller-retours entre présent et passé, à la multitude de personnages, à la complexité de la trame et aux références à la mythologie nordique dans un space opera aux accents steampunk. Les choses se décantent heureusement et les tomes à venir finiront sans aucun doute de clarifier l’imbrication des différents fils narratifs. Je me suis rendu compte que j’aurais été grandement aidée si j’avais lu d’abord la quatrième de couverture qui n’est pas seulement un avant-goût de l’intrigue, mais une courte introduction à l’univers. Mes moussaillons, qui aiment de plus en plus la SF et s’embarrassent moins que moi de ne pas tout saisir dès le début quitte à voir les choses se mettre en place chemin faisant, ont adoré.



Ils sont avant tout tombés sous le charme des illustrations à la précision quasi-photographique : la profusion de détails, la clarté et le dynamisme du trait représentent un vrai tour de force. La colorisation (qui a mobilisé une équipe de cinq personnes !) est très belle également. Ce travail graphique soigné fait la part belle aux batailles spectaculaires, mais aussi aux paysages, aux machines et aux visages.



Une série ambitieuse et originale qui a piqué notre curiosité : nous ne manquerons pas la suite.
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De belles illustrations dans un style manga mais en BD, c’est très coloré aussi. On a une intrigue plutôt orienté jeunesse, simple avec des personnages mignons et attachants, les super pouvoirs ne sont pas trop cheaté même s’il faudra bien vaincre le grand méchant. L’intrigue manque de profondeur même pour un public jeunesse, et nos héros arrive un peu trop facilement à tabasser les ennemis à mon goût. J’ai apprécié d’y voir des yokaï, des créatures issues du folklore japonais, ainsi que les voir faire partie intégrante de l’intrigue car c’est un pays avec une culture très développé et qui a gardé ses bribes de son passé, le tome mélange bien les deux. Je n’ai pas été conquis, sûrement parce que je ne suis pas le public visé.

La guerre entre l'IA forte et les Turing atteint son paroxysme et ce sont les humains qui en font aussi les frais. Une guerre qui signe peut-être la fin de l'humanité…

Un troisième tome avec un peu plus d'action mais je suis toujours frustré par ce récit qui manque de cohésion et de personnages plus attachants. Il y a de bonnes idées mais c'est trop brouillon pour moi, la guerre entre les IA ne riment à rien et puis les relations entre les humains et les IA n'est pas claire, il y a un peu de tout : jouet, assistant, esclave, égal, supérieur… bref, pour une série en trois tomes, il y avait trop de choses et notamment cette histoire de « faille ». Un peu plus de simplicité aurait rendu le récit plus intelligible et plus passionnant.

Ce second tome est bien moins passionnant que le premier. Le monde créé par Duval et Ogaki est toutefois très intéressant mais le récit manque de rythme et les personnages de personnalités. Je n’arrive pas à m’attacher à leur sort, à leur problématique et je n’arrive toujours pas à voir où se situe le conflit entre les IA fortes, les IA faibles et les humains, cela reste pour moi assez brouillon même si, je le répète, il y a des idées très intéressantes dans ce monde créé par le duo Duval-Ogaki.

J’attends de voir le troisième et dernier tome pour juger de cette série qui a un fort potentiel.

Résumé : Parvati et Amir vont se rencontrer à Hong Kong, où le Mal a fait ressusciter un ancien empereur chinois et son armée, afin qu’il élimine Parvati et Amir, et qu’il devienne plus fort. Mais tout ne se passe pas comme prévu…



Mon avis : A partir du tome 7, les héros vont se retrouver deux par deux pour lutter contre le Mal qui n’a pas dit son dernier mot.



Ici, c’est Amir et Parvati qui se rencontrent et vont devoir allier leur pouvoir contre un empereur revenu d’entre les morts et qui souhaite dominer le pays. C’est le Mal qui lui a insufflé la vie, mais l’empereur est aussi avide de pouvoir que lui, et refuse de le servir. Le Mal va alors devoir ruser…



Nos deux héros vont avoir fort à faire, entre deux ennemis, un enlèvement, et l’obligation d’aller chercher un sceau chez un dragon. Tous deux vont apprendre à coopérer, et surtout à devenir des braves dépassant leurs peurs.



L’ensemble se lit rapidement, mais je trouve que le récit est souvent trop prévisible. Je continue cependant d’acheter la série, car les élèves réclament la suite.
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Les protagonistes sont mal incarnés, les visages raides, les scènes d’action parfois illisibles… Impossible de se plonger dans cette fresque tout à fait ambitieuse car elle ne semble pas montée dans le bon sens, trop obnubilée par son concept de base et la tentation – sincère et on ne peut plus respectable – de dessiner une grande saga spatiale. Les contenus en réalité augmentée – des fiches explicatives, des croquis – ajoutent à l’effet de trop-plein et soulignent, en creux, les manques du scénario. On a connu Philippe Ogaki (Terra Prime, Les Mythics, Azur, Meteors…) plus inspiré ou, en tout cas, mieux soutenu par un scénariste ou un éditeur. Ce qui est d’autant plus rageant.
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L'or des dieux, premier tome d'Astra Saga, reste tout de même une bonne lecture, une bonne variation autour des mythes nordiques. Les amateurs apprécieront ce récit SF qui cherche un peu à aller outre les codes du genre classique.
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Vous ne la trouvez pas magnifique cette couverture ? Elle donne envie de partir tenter le voyage, n'est-ce pas ?

La bonne nouvelle c'est que le graphisme est aussi sublime à l'intérieur, en cela on nous a point tromper.

Nous rentrons de plein fouet dans un combat qui nous dépasse totalement, vu que nous faisons à peine connaissance avec ce monde, les personnages.

La guerre semble faire rage dans le ciel, et ça va faire mal. Les plans sont magnifiques et terrifiants à la fois. Nous avons ainsi quelques pleines pages qui nous font arrêter nos yeux dessus.

La hiérarchie semble implacable, et quelques groupes se sont formés.

Il faudra ensuite faire très attention aux dates, car à un moment donné, nous retournerons en arrière. Deux personnages nous marquent alors particulièrement, un jeune homme bleu qui n'a pas eu de chance, et a fait comme il a pu, et une jeune fille noble intelligente, forte, bien plus sûre que son frère mais encore trop jeune pour se faire confier les

responsabilités.

C'est un monde très dense, très prometteur, intéressant, mais qui reste au départ difficile d'accès, tout comme l'attachement aux personnages. Le retour en arrière va quand même aider à mieux connaître ce monde, son fonctionnement, et certaines personnes.

Le langage dégage également quelque chose, notamment du côté des nobles. Ils sont une façon particulière de parler.

Nous manquons quand même encore de liant, d'explications.

Au début de l'album, il est marqué qu'il est en réalité augmentée, après on ne voit pas spécialement de sigle, mais en fait chaque page de l'histoire l'est, en cela ils ont réalisé un superbe travail quand même avec des croquis, des petits plus, des machines en 3D. Par contre le fait d'avoir mis la partie en bleu qui donne les noms des personnages, planètes, dénominations d'objets dans la réalité augmentée, ainsi que le bonus à la toute fin, alors qu'on fait à peine connaissance avec ce monde n'est pas forcément l'idéal. Surtout qu'on ne peut pas l'activer directement de la lecture en numérique.

Mieux avoir du temps devant soi, et de l'énergie, pour se lancer dans cette lecture. Un univers qui a tout pour nous intéresser et nous plaire, de plus le graphisme est vraiment sublime, tant les décors, que les personnages, mais un peu difficile d'accès.

Nous finissons en pleine scène d'action et on nous donne rendez-vous en 2022.

Saga épique impériale entre Wagner et Dune, la nouvelle série de Philippe Ogaki est un choc SF aussi bien écrit qu’esthétique et a tout pour devenir une des grandes séries spaceop des prochaines années. ne boudez pas votre plaisir et lancez vous à l’assaut des étoiles![...]



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Pour ce première tome de Meteors, on découvre une humanité qui se fait dominer petit à petit par l’Intelligence Artificielle. Celle-ci traque les ennemis de l’IA et cherche à devenir l’avenir de l’humanité.

L’histoire est assez sympathique mais peut-être un peu trop dense. Ce premier album veut tout dire et se perd un peu dans les différentes intrigues et les nombreux personnages. On manque aussi d’empathie pour ces différents personnages, tant ils ont peu de scènes pour se démarquer.

A part ça, le récit est plutôt plaisant, on découvre une IA intelligente totalement consciente et une autre, dite de Turing, encore relativement attachée à l’humain. Évidemment, une force d’opposition humaine s’est développé face à cette prédominance de l’IA et son but est de découvrir une race extraterrestre qui, potentiellement, pourrait être une alliée face à l’IA.

L’idée de bulles différentes selon si c’est une IA ou un humain qui parle est intéressante, tout comme les dossiers en dehors de la BD pour mieux comprendre les personnages et l’univers de la série. Mais ces dossiers souffrent d’une qualité visuelle déficiente, je ne suis pas convaincu par des textes en blanc sur fond bleu… l’écriture noire sur fond bleu des bulles des IA est bien plus lisible dans le récit, étonnant de ne pas avoir reprit la même !

Dans les derniers tomes de la série, j'avais un peu décroché dans le sens où l'intrigue était très emmêlé avec beaucoup de personnages et de méchants qui se rajoutait les uns aux autres et pour lesquels il était difficile de les suivre. D'autant plus que l'histoire avait tendance à tourner à rond et à s'étirer en longueur. Alors quand on lit les tomes avec presque un an d'écart, dur dur d'être en plein coeur de l'intrigue et du suspense et d'avoir bien tous les tenants et aboutissants. Mais avec ces tomes 16 et 17, j'ai l'impression que l'on tourne une sorte de page et que l'on repart presque sur une nouvelle intrigue. Bref, j'ai pu largement bien me plonger dans ces récits, peut-être parce que nous avons justement quelques révélations et que l'on avance vraiment dans l'intrigue générale. Hâte de connaître la suite, même si cette histoire de Cercle reste toujours en toile de fond et pour laquelle on aimerait voir un réel dénouement pour pouvoir passer à autre chose avec les personnages.
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Une histoire de vaisseau-monde à la recherche d'une planète viable pour l'humanité, histoire dans laquelle s'affrontent deux visions : perpétuer l'héritage culturel des ancêtres humains, ou continuer à vivre en autarcie confortable sur le vaisseau.



Tout commençait bien, les idées sont là, les dessins sont franchement chouettes, et puis des couacs et des clichés se sont immiscés. L'histoire manque d' « arguments », de planches qui auraient préparé puis opéré les changements et rebondissement mis en scène. L’auteur multiplie les ellipses et saute de moment-clé en moment-clé, en oubliant de donner du liant à l'ensemble. C’est bien dommage, car de bonnes idées, il y en avait : l’histoire parcellaire du peuple autochtone, le métal mystérieux qui semble tant intéresser le conseiller… Je croise les doigts pour que la suite étoffe tout ça.
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Résumé : En Grèce, Neo vit dans un quartier pauvre avec sa mère et ses trois frères et sœurs, depuis que son père a été ruiné par Sophoclès. Il gagne un peu d’argent en participant à des combats, et est en colère contre cette nouvelle vie subie. Mais un jour, un héros, Héraclès lui apparaît dans l’eau et lui demande de lutter contre le mal.



Mon avis : Comme dans les cinq autres tomes, l’histoire se déroule toujours selon le même fil conducteur, avec un jeune homme qui va avoir apparaître un ancien héros qui a lutté dans le passé contre les forces du mal, et qui va devoir lutter contre un fléau, ici le dieu de la guerre Arès, qui détruit des bateaux en pleine mer pour en faire des œuvres d’art.



Neo est en rage permanente contre son destin, et va donner du fil à retordre à son mentor, Héraclès, qu’il ne prend pas vraiment au sérieux et dont il n’écoute pas toujours les conseils.



Comme dans les autres tomes, Neo réussit à vaincre, mais il sait que le Mal existe toujours et qu’il devra unir ses forces à celles des autres.



Ces six tomes permettent de prendre connaissance avec chacun des héros, leurs pouvoirs et leurs forces, et forment ainsi un premier cycle. La suite les fera sûrement se rencontrer, et découvrir quel Mal veut dominer ou détruire la terre. A suivre…
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