Pierre-Alexandre Bonin

Le récit commence alors que le défunt grand-père du personnage principal (Sophie) lui a légué un journal très particulier. Ce dernier qui relate les aventures du vieil homme au sein du confrérie en lutte contre les créatures fantastiques des légendes québécoises. Sophie croit rapidement à ces histoires et se lance elle-même à l'aventure pour découvrir la réalité dernière les légendes.



J'aurais beaucoup aimé être enthousiaste à propos de ce roman, car il aborde un des des thèmes que j'enseigne à mes élèves de 3e secondaire. Malheureusement, j'ai tout juste trouvé la lecture divertissante, sans éléments qui pourraient attiser la curiosité du jeune lecteur et l'inviter à poursuivre sa lecture. On retrouve beaucoup (trop) d'éléments disparates dans ce récit, comme si l'auteur avait voulu placer le plus de références possibles aux légendes fantastiques québécoises. C'est donc très dense, truffé d'informations inutiles au récit qui aurait pu être exaltant si l'auteur s'en était tenu à la découverte de la véritable identité du grand-père (sa vie secrète) et à l'histoire de la Dame blanche. Là, on dirait davantage un cours de révision du folklore québécois avec des personnages à peine effleurés, des situations dépourvues de profondeur, de sentiments et d'intérêt. Il y a bien une matière intéressante au récit, il aurait fallu qu'il soit dépouillé de tout ce qui l'encombre pour qu'on puisse réellement se sentir dans un récit d'aventures avec une atmosphère suggérée et créée plutôt qu'énumérée...

Une grande conclusion pour ce dernier tome de la trilogie. Même si j'ai trouvé la fin un peu facile, je suis contente d'avoir suivi les aventures de Sophie. Dans ce tome ci, l'auteur nous transporte en territoire inuit. J'ai trouvé vraiment intéressant d'en apprendre plus sur cette culture.



Comme c'est le dernier tome, les intrigues se terminent et Sophie et ses amis combattent le mal ensemble une dernière fois. Ce n'est pas une série coup de coeur pour moi, mais j'ai aimé découvrir les légendes québécoises. Ce n'est pas un sujet très exploité et j'ai trouvé que ça se prêtait vraiment bien à ce genre de roman pour ado.

Un deuxième tome franchement divertissant!



On continue de suivre les aventures de Sophie qui est maintenant au Cegep. Le temps passe et les légendes sortent de l'ombre. J'ai beaucoup aimé les créatures de légendes rencontrés dans ce tome ci. Ils sont plus effrayants et plus crédibles encore que dans le premier volet.



L'écriture n'est pas parfaite mais on sent une belle amélioration comparé au premier tome. Je reproche encore la même chose cependant, c'est le manque d'émotions des personnages. Ça ne change rien à l'histoire mais ça aurait apporté une profondeur au texte que j'aurais apprécié.



Une belle lecture pour moi, j'ai hâte de lire le dernier!

J'ai bien aimée redécouvrir le folklore québécois dans ce roman jeunesse fantastique. Je connaissais la plupart des légendes mais l'auteur a su les utiliser pour rendre le texte crédible et agréable.



L'histoire de Sophie est intriguante et on s'attache à ce personnage. Bien que ce soit écrit pour les jeunes, j'aurais apprécié que l'auteur mette plus en avant les émotions de l'adolescente. J'ai aussi trouvé certains passages un peu redondants. J'ai tout de même passé un bon moment de lecture.



Je n'ai pas eu un coup de coeur mais je continuerai de lire les aventures de Sophie avec plaisir.

C'est l'histoire de Mathis qui a gagné un voyage sur Mars et qui se réveille avant la fin du voyage, alors qu'il était en hypersommeil. Une alerte l'informe que sa vie est menacée et le seul "être" éveillé avec lui est l’intelligence artificielle en charge du voyage (Alex) qui semble le mettre en danger plutôt que l'aider.



C'est surtout un livre d'actions se déroulant dans un vaisseau spatial. Le contexte est original, mais le récit manque de profondeur. Cela ne dérangera certainement pas le lecteur adepte de ce genre. C'est très facile à lire et le rythme est rapide.

Le commentaire de Lynda :

Un roman jeunesse qui frappe et qui touche des sujets assez importants. Dès le départ, Mathéo nous est assez sympathique.

Mathéo travaille comme mascotte dans un centre commercial, et il adore, on comprendra pourquoi plus tard dans la lecture.

C’est aussi un compétiteur assez aguerri en natation. Mais malgré ses succès, il souffre d’intimidation, quand un nageur d’une autre équipe le ridiculise sur son poids.

La grossophobie est souvent mentionnée comme un problème du côté des jeunes filles, un peu moins souvent du côté des garçons, et j’ai aimé que l’on aborde ce problème pour un garçon, parce qu’il existe pour eux aussi, c’est bien certain.

On passe beaucoup de sujets dans cette lecture, bien sûr la grossophobie, le harcèlement, la vulnérabilité, l'amitié, et même l’amour chez les adolescents.

Une lecture bien rendue, une écriture qui devrait plaire aux adolescents et une histoire qui fait réfléchir beaucoup.

Je recommande sans hésitation !
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Membre de la collection "Zèbre", ce petit roman rempli de dessins et autres supports visuels se base sur le nouvel enjeu social des fausses nouvelles, phénomène qui a littéralement explosé sous l'ère Trump, aux États-Unis comme dans le monde.

Félix, 14 ans, veut devenir journaliste un jour et c’est pourquoi il est journaliste-amateur pour son école. Rempli de bonne volonté et travaillant avec rigueur, il est cependant découragé que son travail mené avec sérieux ne soit justement pas justement prit au sérieux. En effet, la rubrique à potins, véritable idiotie de rumeurs sentimentales , a plus de succès que lui. Félix, perplexe, peine à comprendre comment les gens peuvent préférer ce genre de nouvelle aussi peu fiables qu'inutiles. Il s'intéresse alors aux fausses nouvelles, dont semble raffoler les gens. Sa manœuvre pour accéder à la popularité lui donne peut-être beaucoup de visibilité, mais les conséquences de ses mensonges sont grandes.



Le sujet est très pertinent. Éthique journalistique, rigueur informatique, sources fiables, enjeux sociaux, les thèmes associés sont exploités ici à petite échelle, parfaitement adapté pour un jeune lectorat. Néanmoins, malgré la gravité de ses mensonges, Félix parvient à calmer le jeu et à s'en sortir sans trop de dommages, ce qui ne risquerait pas d'arriver dans la vie réelle. Après tout, il s'agit d'accuser quelqu'un d'un crime. Quoique la fin laisse présager une suite, peut-être Félix ne s'en sortira pas si facilement après tout?



Un élément qui m'aura bien fait rire est l'omniprésence des références au zèbre, l'animal. Compagnie, nom d'équipe, mascotte, masque, produit, le zèbre est partout, comme pour faire écho à la collection dont il est membre.



Autre élément qui m'aura plu, Félix a deux mamans, M'man et Mom.



C'est donc un bon petit roman, qui a pour lectorat cible le troisième cycle cycle primaire ( 10-11 ans), mais qui peut aussi plaire aux ados. Un roman qui parle largement de technologies, de journalisme et de vie scolaire.

Roman jeunesse réaliste qui raconte l'histoire de Félix qui est convaincu d'être un journaliste extraordinaire (pour le journal de l'école) et qui ne comprend pas pourquoi les élèves lisent la chronique de potins plutôt que ses articles sérieux. En cherchant à tout prix une manière d'attirer leur attention, il décide de donner dans la fabrication de fausses nouvelles.

Comme le récit est très court, il est peu approfondi et peu détaillé, donc les actions et les explications sont trop rapides. Ça donne tout de même une bonne idée à des enfants ou à des adolescents des dommages que peuvent causer les fausses nouvelles, mais c'est assez enfantin, donc plus pour les élèves du primaire ou à la limite de première secondaire.

Ce dernier tome a été un peu long à démarrer, mais passé le premier tiers c’était plutôt sympa. Bon par contre la fin était quand même très facile.



D’une façon générale c’est pas une série qui va me marquer très longtemps mais c’était plutôt cool de découvrir un peu le folklore québécois.

Bon roman qui utilise les légendes ainsi que les lieux du Québec, une intrigue bien ficelée, un personnage attachant, du suspense...On a envie de lire le tome 2!

La vocation de la collection Bonzaï est de proposer des textes courts, punchés et remplis d’humour. Ça, Pierre-Alexandre Bonin l’a complètement compris et offre à cette collection une première incursion dans un univers de Fantasy qui rappelle le jeu Donjons & Dragons, mais aussi l’esprit du Donjon de Naheulbeuk. D’ailleurs, si vous n’êtes pas familier des gobelins et kobolds, vous pourriez être un peu perdus.
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J'ai adorer ce livre, j'ai aimer découvrir les legendes du Canada ce qui m'a donné envie d'aller visiter le pays et les endroits cité dans le récit, la fin de ce tome me donne envie de poursuivre la lecture de la série

J’ai vraiment bien aimé l’histoire : on n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer, et découvrir les différentes créatures peuplant le folklore québécois était vraiment sympa. Par contre, mon avis final est assez mitigé puisque je n’ai pas été très fan de l’écriture. La narration manquait de fluidité et paraissait assez froide. Les phrases se suivent de manière très factuelle, presque journalistique. On n’a donc pas un récit très vivant, ce que j’ai trouvé dommage. Je pense quand même lire la suite de la série à l’occasion, d’autant que j’avais acheté les trois tomes (la série est introuvable en France donc j’avais préféré prévoir le coup au cas où j’adorerais).

Et bien me revoilà en ligne! Compléter la lecture du livre de nouvelles « Horrificorama ». D’excellentes histoires, de toutes les sortes, mais toujours intriguantes et intéressantes. Certaines plus efficaces que d’autre, mais c’est un livre à lire pour tout les amateurs d’horreur! L’ode l’horreur pur, science fiction, zombie ou hallucination, tout y est au travers de ces 15 nouvelles, de 19 auteurs différents!

Dans son nouveau roman, Pierre-Alexandre Bonin aborde la grossophobie et l’anxiété de performance, deux sujets importants à explorer en littérature jeunesse.
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Élève de cinquième secondaire, Mathéo est un passionné de natation. Il excelle dans les compétitions et rêve aux Jeux du Québec. Comment l’imaginez-vous ? Élancé et musclé ? Ce n’est pas le cas.
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Je dois le dire d’emblée : j’aurais voulu aimer davantage ce récit. Parce que le thème est crucial, qu’on manque de romans qui en parlent en littérature pour ados au Québec, que le cadre est riche en possibilités, notamment avec la natation, qu’on sent que l’auteur tire de ses trippes la matière avec laquelle il travaille et, finalement, que les émotions de Mathéo, entre autres, touchent la cible.
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Revampée et misant sur les auteurs québécois, la collection « Frissons », un classique de ma propre adolescence, offre de nouveaux récits d’horreur qui visent à susciter les émotions fortes. De mémoire, c’est la première qu’on nous entraine dans un vaisseau spatial dans le cadre de la collection, défi que relève plutôt bien Pierre-Alexandre Bonin.
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Si l’intrigue fonctionne bien, avec une suite de péripéties qui gagnent en intensité au fil du récit, mettant de plus en plus les héros en danger avant une fin à la hauteur, il y a quelques éléments qui auraient pu être peaufinés dans l’écriture, notamment dans la narration
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Si certains aspects (comme ce qui entoure l’adresse IP et la chaine YouTube) manquent un peu d’approfondissement pour être crédibles, les personnages sont quant à eux authentiques et le lecteur pourra facilement s’y reconnaitre.
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