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Critiques de Pierre Cosme (9)
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Rome et son empire : Des origines aux invas..

Manuel de référence s’il en est, ce Rome et son empire : des origines aux invasions barbares, comme son titre l’indique, s’attache à détailler la destinée de l’Urbs et de ses conquêtes, depuis 753 avant J.-C. jusqu’au Ve siècle. De la petite bourgade du Latium à la mégapole dominant la Méditerranée (et en la surnommant la Mare Nostrum), Rome s’est forgée un destin exceptionnel et mérite un tel manuel usuel et pratique. Très classique en somme, cet ouvrage détaille, comme il convient et à travers moult rééditions, les principaux moments de cette progression historique et laisse fourmiller des détails incongrus au compte-gouttes sur tel personnage ou telle anecdote de l’Histoire romaine. Rien de très innovant là-dedans, pourrait-on dire, d’autant qu’on retrouve ici et là des cartes, des définitions, des chronologies et de la bibliographie que les habitués reconnaîtront.

Pourtant, ce manuel de Michel Christol et Daniel Nony est bien plus utile que bien d’autres opus du même genre, car il fait une place importante aux diverses sources proposées aux historiens : apports archéologiques, éléments numismatiques et extraits littéraires foisonnent dans les marges de cet ouvrage pour aiguiser notre intérêt et notre curiosité envers cette période et cette civilisation incontournables.

Un manuel de référence donc, pour un sujet de référence !



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Rome et son empire : Des origines aux invas..

Instructif et couvrant une longue période, ce manuel est une bonne base pour en apprendre un peu plus sur la Rome antique. Toutefois, il est essentiel de compléter cette lecture par d'autres ouvrages plus thématiques. En effet, ce manuel ne fait que survoler les périodes. De plus, un lexique serait le bienvenue afin de ne pas se perdre avec tout ce vocabulaire antique plutôt pénible à retenir.
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Auguste

« Auguste » est un livre très dense, plutôt difficile d’accès pour le non initié qui aura beaucoup de mal à se repérer entre les nombreux personnages de l’Histoire, les alliances entre familles et devant la complexité du fonctionnement des règles de la politique et de l’administration romaine



Pour autant Pierre Cosme a fourni un travail minutieux, riche et très exhaustif aidant à se faire une assez bonne opinion de la personnalité de l’empereur.



Auguste apparaîtra donc comme un homme doté d’une exceptionnelle intelligence politique à défaut d’être un brillant chef militaire.

A ce titre la manière dont il évita de commettre la même erreur que César avec les Sénateurs en dit long sur son grand sens politique.



La lâcheté d’Auguste sur un champs de bataille semble peut-être avoir été exagérée par ses ennemis en revanche sa dureté et son caractère impitoyable avec ses adversaires m’ont semblé bien réels.



Derrière l’ombre de l’empereur divinisé, Cosme brosse le portrait d’un homme de petite taille d’une santé fragile, affublé d’un léger handicap, insomniaque, supportant mal les voyages mais doté d’un grand charisme, vivant de manière simple, presque frugale pour un empereur romain.



J’ai été touché par les relations très forte entre Auguste et Agrippa qui ne l’a jamais trahi, mais aussi de la fidélité d’Auguste envers sa femme Livie qui pourtant eut l’énorme inconvénient de ne jamais ne lui donner de descendants.



De mon point de vue le dernier chapitre du livre est le plus intéressant, car il montre l’importance du règne d’Auguste dans l’Histoire de Rome et le fait qu’il servit de modèle non seulement aux autres empereurs romains mais également à des personnages comme Charlemagne, Louis XIV, Napoléon ou… Mussolini.



Finalement les deux empereurs romains les plus importants de l’histoire resteront Jules César puis Auguste mais ce dernier en raison d’un caractère mesuré, calculateur marquera sans doute moins les esprits qu’un Néron ou qu’un Caligula plus flamboyants et excentriques.



Sur le livre lui même, je dirai qu’il est beaucoup moins littéraire et vulgarisateur que les ouvrages de Max Gallo, mais qu’il présente un travail de fond d’une très grande rigueur et d’une très grande richesse.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Auguste

Intéressant mais trop "académique" pour moi. La narration n'est pas épique et parfois presque ennuyeuse (l'énumération des noms des Légions !!!).

L'auteur est agrégé d'histoire et enseigne à la Sorbonne et cela se voit. Un livre sérieux, certainement historiquement très précis mais une rédaction sans style.

On peut écrire sur la Rome du début de notre ère sans être rébarbatif (lire dans la même collection "Les douze Césars" de Régis F. Martin, passionnant.).

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Rome et son empire : Des origines aux invas..

Un bon manuel pour s'initier à l'histoire romaine puisqu'il parcourt plus d'un millénaire, de la fondation de l'Urbs au VIII° siècle av.JC à sa chute au V° siècle. Comme tous les autres ouvrages de la collection, il indique une bibliographie à la fin de chaque chapitre pour approfondir chaque période et chaque thème. En ce qui me concerne, je le complète pour la période impériale avec l'Atlas de l'empire de Christophe Badel car j'ai beaucoup de mal avec les quelques cartes reléguées en fin de manuel...
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Auguste, maître du monde : Actium, 2 septembr..

Je ne connaissais de cette bataille que les grandes lignes de l'histoire, à savoir la défaite de Cléopâtre VII & Marc-Antoine, leur humiliation et mort, autant dire pas grand-chose. Ben comme vous vous en doutez sûrement, avec ce livre j'ai découvert bien plus, et plus particulièrement les hostilités toujours plus grandissantes entre Octave et Marc-Antoine (qui ont passé leur temps à se dénigrer et à se trouver des alliances), ainsi que le début de cette guerre qui donnera la défaite d'Actium. Qui a pris apparemment Marc-Antoine au dépourvu.



Autre atout important du livre, c'est qu'il montre assez bien l'image noire dont souffre Cléopâtre VII. Cela ne paraît à première vue pas très important et pourtant ça l'est, puisque le vainqueur qui a en partie contribué à cette légende noire, a beaucoup joué dessus pour engager une guerre et l'expliquer, en mettant bien en avant que Cléopâtre avait vampirisé Marc-Antoine et que ce dernier faisait passer l'Égypte avant Rome. De plus comme cette légende a assez pesé dans l'histoire de cette défaite, il n'est sûrement pas vain de remettre les choses en place sur le rôle de Cléopâtre dans cette guerre, et ce malgré le manque de source fiable. Et ce qui en ressort c'est qu'elle n'a sûrement pas été la mauvaise conseillère de Marc-Antoine et que la bataille d'Actium était certainement jouée d'avance. Marc-Antoine n'ayant pas choisi le meilleur emplacement ni les meilleures stratégies face à Agrippa. De plus comme le dit l'auteur son armée a souffert de la malaria, des désertions, et des retournements d'alliance des divers rois de l'époque, ce qui a facilité la banqueroute de cette armée, fuite de Cléopâtre ou pas finalement. D'ailleurs comment comprendre cette fuite reste encore une grande question, comme le dit justement l'auteur ; était-ce vraiment une fuite de la reine qui préfère sa vie et son royaume ? Ou est-ce un plan pour mettre en place les batailles ultérieures ? On peut se le demander finalement doublement puisqu'en effet Marc-Antoine la rejoindra très vite. Enfin bref, comme le montre justement ce livre, on peut supposer des raisons mais on ne peut rien affirmer, sur ce sujet comme sur d'autres. En fait faut surtout savoir cette bataille est à regarder dans un ensemble quitte à faire un peu d'uchronie, mais il ne faut pas s'attarder que sur un évènement.



Alors je vous avouerai qu'au début j'ai eu du mal avec ce livre, mais par la suite quand j'eus la situation bien en tête cela s'est vite dégagé. Cela dit il y a un chapitre que j'ai particulièrement aimé, mais le reste est super aussi je vous rassure, c'est la conclusion. Car elle met bien en avant qu'on ne peut rien affirmer, mais montre aussi que cette bataille n'a peut-être pas autant changé la face du monde antique, puisqu'il y a fort à parier que Marc-Antoine aurait gouverné avec les mêmes hommes que l'empereur Auguste, qu'ils soient des fidèles de la première heure ou de la dernière. Néanmoins il est vrai que cette bataille à quand même changer certaines choses puisqu'après cela et le meurtre de Césarion, l'Egypte devient une province de Rome en plus d'être son grenier à blé.



Ensuite autre chose qui a été intéressant à découvrir, mais là je sors de la conclusion, c'est la chute de l'Egypte. Alors je savais que Césarion le fils de César et Cléopâtre a été tué lors de sa fuite à la demande d'Octave car " il n'est pas bon d'avoir plusieurs César " (Césarion étant le fils direct de César contrairement à Octave qui a été adopté). Ce que je savais moins par contre et ça m'a même étonné de le découvrir, c'est que les enfants de Cléopâtre et Marc-Antoine ont été élevés malgré tout par Octavie la première femme de Marc-Antoine et sœur d'Octave (Auguste) avec leurs demi-sœurs. Et personnellement je trouve cela étonnant, quand on pense qu'ils pouvaient eux-mêmes réclamer " leur héritage " ou se montrer ingrats et vindicatifs envers le vainqueur. Bon après j'ignore leur condition à Rome, mais voilà ça m'a effleuré l'esprit.



Enfin bref, entre la bataille et la chute de Cléopâtre et Marc-Antoine ce livre pas très long est passionnant. A lire.
Lien : http://voyagelivresque.canal..
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Auguste

Qui ne connaît pas la formule célèbre d’Auguste, rapportée par Suetone, déclarant : « avoir trouvé une Rome de briques, et laissé une Rome de marbre » ? Il y a du vrai dans cette citation tant l’empreinte du premier César restera gravée dans la roche pour l’éternité. Malheureusement et bizarrement, Auguste porte la contradiction d’être à la fois l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité, tout en étant très méconnu. Pierre Cosme dans sa biographie renouvelle le genre, et lui rend justice. Cet ouvrage est le fruit de quatre années de travail. Il retrace le parcours personnel et politique d’Octavien, ainsi que la mort de la République et la genèse de l’Empire Romain. Ce livre nous permet également de comprendre l’homme privé, l’homme public et les ressorts qui l’animèrent toute sa vie. Pour rappel, l’auteur est un universitaire et historien français dont la spécialité est la Rome antique.



Disons-le d’emblée, il est triste pour l’intelligence et la connaissance historique qu’Auguste ne soit réduit qu’à des clichés recouvrant une partie de sa vie : héritier de Jules César, adversaire de Marc Antoine et de Cléopâtre, premier empereur etc. Or le fondateur de l’Empire Romain bâtit un système qui lui perdura cinq siècles, à tel point qu’il sera considéré comme un modèle et une référence absolus par ses lointains successeurs en esprit. Ainsi Charles Perrault écrira, à l’époque du Grand siècle - c’est dire l’aura et l’influence d’Octave - les vers suivants : « Et l’on peut comparer, sans craindre d’Être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d’Auguste » (1). A dire vrai, les historiens ne se sont guère trompés en évoquant le Siècle d’Auguste. Effectivement, rares sont les personnalités historiques à pouvoir prétendre à une telle renommée intemporelle. Octavien a littéralement conçu des outils qui lui permirent d’étendre les conquêtes romaines aux limites du monde connu d’alors. Il sut mettre en place une administration efficace, débarrassée de la vile corruption, tout en imposant la pax romana aux peuples les plus divers qui composaient ce vaste édifice. Bâtisseur infatigable, et soucieux de porter la civilisation à son degré de perfection le plus élevé, il réussit, par une habile stratégie mêlant guerres, mariages, diplomatie, manœuvres politiques voire politiciennes, à s’imposer aux Romains et aux barbares comme le maître.



Pierre Cosme retrace dans le détail le parcours d’Octave, fils d’Atia, nièce de Jules César. Rien ne prédisposait cet homme, issue d’une famille respectable mais modeste à devenir le numéro un. Toutefois les affres de la guerre civile, comme souvent dans les périodes d’instabilité, redistribuèrent les cartes. Jules César, le conquérant de la Gaule, se mit à dos une partie de l’élite romaine qui restait profondément républicaine. Son histoire est connue : conquête de la Gaule, passage du Rubicon, déclaration de guerre, guerre civile contre Pompée, pouvoir, complots et assassinat aux Ides de Mars… Alors qu’il résidait à Apollonie, afin de poursuivre sa formation, Octavien apprit la mort de son immense grand-oncle. En dépit des conseils de sa mère qui lui recommandait de ne pas accepter le testament de Jules, il prit le parti d’assumer son héritage. Manœuvrant habilement entre les différents groupes Césaricides emmenés par Brutus et Cassius, les sénateurs républicains, l’oligarchie romaine et l’ancien bras droit de César Marc Antoine, il éteignit les feux de la guerre civile avec brio pour imposer un âge d’or. Nous en avons déjà parlé, mais en plus de combattre la décadence et l’incurie administratives, Octave protégea les paysans des grands propriétaires terriens, bâtit une armée de métier défendant les frontières de l’Empire avec succès et promulgua des lois pour protéger les bonnes mœurs (2). Il établit une meilleure répartition de l’impôt dans un souci d’équité et de justice. Il réduisit le nombre des sénateurs pour gagner en efficacité, tout en visant le renouvèlement des élites romaines par différents procédés législatifs parfaitement décrits par l’auteur. Sous l’impulsion de son ami Mécène, les plus brillants poètes et écrivains de l’époque prirent leur envol comme Virgile, Horace, Tite-Live ou le plus controversé Ovide (3). Ces derniers contribueront à la gloire du régime par leur prose et leur poésie quasi indépassable. Difficile ne pas parler d’Agrippa, son vieux compagnon de route, qui resta toujours fidèle. Son parcours empli d’humilité dans les pas d’Auguste et son souci constant d’améliorer le sort des plus faibles devrait inspirer nombre de nos politiques modernes. Auguste fut soucieux de préserver les traditions romaines, de les incarner et de les vivre dans chaque acte publique et politique, là où son père adoptif se montrait dédaigneux des coutumes d’antan. Autre différence fondamentale avec son grand-oncle que l’histoire révéla, fut la manière d’Auguste de considérer les sénateurs. Il fonda un système politique conservant les apparences du régime républicain tout en imposant un pouvoir personnel… L’héritage d’Auguste se montra tellement immense que même l’Eglise Catholique par la voix d’un Pape voulut en capter une partie. Ainsi Grégoire VII identifia l’Eglise Catholique Romaine à la Res publica romana en affirmant : « A ceux qu’a commandés Auguste, le Christ commande ». Le Souverain Pontife entendait dire à tous qu’il se trouvait à la tête d’un nouvel empire romain... Auguste influença également Charlemagne, Louis XIV, Napoléon et bien d’autres.



Le livre de Pierre Cosme nous présente Auguste, comme un homme doté d’une intelligence exceptionnelle, servi par un réel charisme. Entouré de brillants collaborateurs, il œuvra avec efficacité dans de nombreux domaines (justice, armée, urbanisme, réformes politiques etc). Il se montra impitoyable envers ses ennemis et manifesta un amour débordant à sa femme et à ses différents descendants. Il agit aussi parfois avec clémence suite aux conseils de Livia, notamment à l’endroit de Cinna (4) - petit-fils du Grand Pompée - qui avait projeté de le tuer. Derrière l’Empereur divinisé, nous voyons un Auguste qui eut toujours la volonté de se former intellectuellement et de donner le meilleur de lui-même aux Romains. De santé fragile, souffrant d’un léger handicap à la jambe gauche, insomniaque au point d’avoir des difficultés à dormir seul, il vécut de manière très simple dans sa maison du Mont Palatin refusant les excès de chairs et de boissons. Quand il mourut dans les bras de sa tendre épouse, il renouvela son amour impérissable en lui demandant de se souvenir de leur union. Même à la fin de sa vie, il gardait cette volonté de maîtriser son être en bon romain qu’il fut. Cependant l’émotion pouvait le submerger. En effet, quand un sénateur vint, au nom du Sénat et du Peuple de Rome, lui décerner le titre de Père de la Patrie, il se mit à pleurer devant les sénateurs. De même lorsque Arminius (5) piégea et massacra trois légions romaines en l'an 9 de notre ère dans la forêt de Teutoburg, Suétone nous décrit l’Empereur en ces termes : « Il en éprouva, dit-on, un tel désespoir, qu'il laissa croître sa barbe et ses cheveux pendant plusieurs mois, et qu'il se frappait parfois la tête contre les murs, en s'écriant : « Quinctilius Varus, rends-moi mes légions ». Les anniversaires de ce désastre furent toujours pour lui des jours de tristesse et de deuil. » Tout divinisé qu’il fut par tout un peuple à qui il avait donné la concorde et la paix civile, il restait un homme.



Ce livre présente un travail de fond d’une très grande rigueur intellectuelle et d’une réelle profondeur historique. Auguste répétait souvent cette citation « hâte toi lentement », car il pensait, à juste titre, que la prudence valait mieux que l’audace. Je conclue en disant : hâtez-vous lentement de lire ce livre…







Franck ABED







(1) Le Siècle de Louis Le Grand par Charles Perrault, 1687.



(2) Interdiction de l’avortement, condamnation de l’adultère encouragement aux mariages, encadrement très strict des divorces.



(3) Il connut la disgrâce à cause de vers jugés indécents pour la morale.



(4) Il finit même par accéder au Consulat… comme quoi Auguste ne fut pas rancunier.



(5) Arminius fut un chef de guerre de la tribu germanique des Chérusques, fils du chef de guerre Segimerus. En sa qualité de fils de chef, il devint otage et fut élevé à Rome comme un citoyen romain, devenant membre de l'ordre équestre. De retour en Germanie, il gagna de confiance du gouverneur Varus tout en organisant en sous main une rébellion. Il finit par être assassiné par des Germains, qui craignaient son pouvoir devenu trop important et autoritaire.
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Auguste, maître du monde : Actium, 2 septembr..

Une belle exposition sur le 1er empereur romain mais une boutique de musée peu achalandée et me voila avec ce livre sur un moment historique précis. J’aurai voulu choisir Auguste, du même auteur mais il n’y était pas. J’ai eu du plaisir à lire un livre qui raconte les intrigues, manipulations, jeux relationnels d’il y a 2000 ans pour nous faire réaliser que peu de choses a changé sauf le meurtre qui me semble moins courant tout de même !
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L'année des quatre empereurs

Interressant pour mieux comprendre l'arrivée au pouvoir de Vespasien, mais on s'ennuie un peu a le lire
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