trop scientifique pour moi ce qui peut le rendre rébarbatif.
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L'attribution du dernier Nobel de littérature continue de me faire enrager. S'il m'est arrivé d'apprécier les tous 1ers bouquins d'Annie Ernaux, ça ne m'a jamais conduit à la porter aux nues comme vient de le commettre l'Académie du prix Nobel.
Ernaux, avec son écriture anémique et ses récits nombrilistes - devenus militants sur le tard- c'est au mieux, et malheureusement, la confession de milliers de femmes solitaires de décisions graves devenues le combat des mouvements féministes. Mais si "le style, c'est l'homme" (merci Buffon), on cherche où se cache celui de la femme. de l'autrice devrais-je dire.
Houellebecq devra attendre encore son tour ou que de futurs physiciens nobélisés fassent une nouvelle révolution copernicienne dans cette assemblée peu inspirée.
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