T’es un drôle de type, Alex. Tu ne vas nulle part et tu bois l’alcool comme de l’eau. Tu ne veux rien, t’as jamais froid, et tu sembles attendre quelque chose qui ne viendra jamais... qu’est-ce que tu sais faire encore ?... tu mues au printemps ?
Quand le ciel vous refuse son aide, vous appelez l'enfer !
Pauvre de vous !
Qu'est-ce qui t'a pris Raimon ?...
On pouvait s'en tirer sans le tuer !
C'est lui qui m'a coupé la main.
Je préfère me manger la langue plutôt que de finir sur un tas de fagots !
C’est ma deuxième mission solitaire dans la montagne saharienne. Mon camp de base est au cœur de la montagne volcanique de l’Atakor, sur le plateau de l’Assekrem, à 2 723 mètres d’altitude. Parfois, il y neige.
Le père de Foucauld se livrait ici à ses dévotions mystiques dans ce décor wagnérien.
Je suis au cœur du Sahara, seul avec un Touareg de la tribu des Daghrali qui se nomme Rapti, et un harratin, c’est-à-dire un fils d’esclave noir, appelé Mohammed, ainsi que trois chameaux, deux de selle pour le Touareg et moi, et un de bât…
Le harratin doit marcher, non loin du chameau du Touareg. C’est la règle : il est au service de son maître.
Pas de conversation avec le Touareg. Je ne sais pas sa langue, le tamacheq, et le guide n’est pas loquace. Nous communiquons, le Touareg et moi, par gestes et grâce à un peu de français.
Actuellement dans le royaume de Galthedoc, le roi presque fou, n'est plus en mesure de gouverner, et son fils batard, Argon, s'emploie à le destituer avec l'aide de deux autres seigneurs : Antoine de la Marche et Guillaume d'Aygue Perse.
"Il ne faut pas chercher ses ennemis bien loin "
J'ai apprécié cette phrase car elle montre qu'au Moyen Age il faut se méfier de tout le monde .
antoine.P
"Honte sur vous de vous chamailler et encanailler pour la même femme !
Je maudis par avance celui qui fera couler le sang de son frère."
J'ai choisi cette citation car Guilhem sans souvent avent de se battre avec son frère.
Hugo.s
le temps est un mystère, dit le nain Rabal, et je suis une mémoire…
Depuis toujours, elle le savait !.. C'était même devenu un réflexe...
Il n'y a que comme ça qu'elles cédaient... les idées noires... contre la poésie, elles ne faisaient pas le poids... jamais...
Sous le choc terrible de ces visions d'outre-tombe, je demeurais prostré, presque anéanti plus d'une semaine. Douze jours exactement... Douze jours sans sortir, presque sans manger... Et le treizième...
Mère ! Mère !!...
Ô Aïnah, ma mère !!!
Un instant a suffi pour te transformer en cadavre inerte qui a dû selon la coutume, être donné en pâture aux vautours.
Plus jamais je ne caresserai ton visage que j'aimais tant.
Jamais plus ta main ne tiendra ma main pour me guider ou me rassurer...
Je me retrouve seul !...
Et j'ai peur de cette solitude, et j'ai peur de la mort que je vois venir vers moi...