Reimena Yee

L'histoire d'Alexandre comptée par une illustratrice du XXI ieme siècle, que je ne connaissais, cependant j'ai été charmée par le style graphique et le rythme de la narration de Reimena Yee.



J'ai beaucoup apprécié l'introduction, la narration me faisant penser aux propheties d'oracles, le style graphique aux contes des milles et une nuit.



La reprise de plusieurs styles représentants Alexandre, de différentes origines géographiques et temporelles était un réel plus, on voit que le travail de recherche a été fait et bien intégré.



Quelques bemols sur la fin du récit où les illustrations ne correspondaient plus, ou je n'ai pas compris pourquoi celles ci etaient différentes ou a quoi elles faisaient référence.



Un agréable moment de lecture.

Mystique, c’est l’adjectif qui colle le plus à l’œuvre de Reimena Yee, car son récit s’empare de croyances, de mythes et de légendes pour les faire défiler, les reprendre, les apprendre c’est l’intertextualité qui parle, ce sont les références aux auteurs passés qui font battre le coeur de ce nouveau récit […] comme le prouve cette introduction en forme d’ode à la Muse homérique.
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Ce nouvel album inaugure une série en quatre volumes. Le personnage d'Alexandre était impliqué dans la tradition littéraire, et il pouvait être un personnage d'aventures imaginaires ! L'autrice se penche sur les réinterprétations d'Alexandre, à travers les époques et les cultures, et s'inspire de ces contes pour écrire sa propre version du Roman d'Alexandre. Elle mélange historique et fantastique, pour nous plonger dans une épopée onirique, qui nous propulse dans des univers identifiables, visuellement. L'autrice a réalisé un gros travail graphique, en s'inspirant d'enluminures, de récits illustrés médiévaux, ou encore de fresques grecques. Au premier coup d'œil, le lecteur identifie la période, le message de chaque passage. Elle joue avec les codes de la BD, et se laisse une grande liberté de style et de ton. Elle mélange les styles graphiques, mais nous identifions toujours le protagoniste principal grâce à ses yeux différents. Un premier tome riche et envoûtant.

Nous connaissons tous plus ou moins la figure d’Alexandre le Grand, le Roi de Macédoine. Dans cette bande-dessinée nous le suivons dans sa vie mouvementée et ses aventures. C’est dans différents styles de dessins que l’on plonge dans l’histoire divisée en parties. C’est assez envoûtant comme façon de faire car on ressent les influences culturelles de différents endroits. C’est une belle œuvre, l’histoire rend l’Histoire accessible et presque mignonne en certains points , c’est un bon moyen de passer un bon moment !

Quand Reimena Yee sort un nouvel album, il y a de quoi être intrigué. Les deux précédents sont "Le marchand de tapis de Constantinople" en deux tomes et "Séance Tea Party" (one-shot).

Les albums sont disponibles sur Izneo ainsi que mes chroniques. Et c'est toujours chez les éditions Kinaye.

D'après la quatrième de couverture, ce sera en 4 tomes, et il est sur Alexandre le Grand, un personnage de légende, jouant entre l'imaginaire et la biographie. Le travail proposé dans sa mise en forme a toujours quelque chose d'intéressant, mais je dois dire que je suis passé à côté ce coup ci.

Sur la couverture, on y voit ce grand conquérant et son cheval Bucéphale, un indomptable à la base. Malheureusement, les sentiments dégagés étaient aux abonnés absents, je n'en ai pas non plus eu avec Alexandre le Grand. Ce qui est dommage. Le mélange proposé nous perd également et ne m'a pas convaincue des masses.

L'album est séparé en chapitre sous-titré.

En points positifs, Reimena Yee propose un graphisme avec plein de décors, de détails, comme nous pouvons le voir sur la couverture, ainsi qu'à travers les pages, ce qui participe au voyage.

Avec des jeux sur la police d'écriture et la présentation du texte aussi, ce qui donne un certain cachet.

Je n'ai malheureusement pas été efficacement embarquée avec eux et plutôt déçue. Qu'en sera-t-il de votre côté ?

Alexandre le Grand va chercher l'élixir de vie, c'est aussi un conquérant avide, il sera accompagné d'un fidèle serviteur lors de son périple. A travers lui, nous reviendront sur certains passages.

Certains mot sont dans un glossaire à la fin pour plus d'explications. Au niveau des autres bonus, une biographie de Reimena Yee, sa rencontre avec Alexandre le Grand, des croquis, des informations sur le processus de création, des remerciements.

Après le Moyen-Orient, l'autrice malaisienne se frotte à l'histoire antique méditerranéenne avec la figure d'Alexandre le Grand. Loin d'être une reconstruction historique, Reimena Yee questionne plutôt la légende, le mythe qui se transmet et s'est inscrit dans l'inconscient collectif. En lisant et en se documentant sur la vie d'Alexandre le Grand, Reimena Yee a été confrontée à de nombreuses légendes.
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En aède et scribe moderne, la bédéiste offre un récit aussi riche dans son propos que par sa dimension graphique. Pour cela, elle insuffle au Voyage du héros l’emphase et les accents propres aux chansons de geste et mythes dont la mémoire se perd dans la nuit des temps ; elle y glisse également le jeu subtil de la mise en abime narrative qui fonctionne et colle parfaitement avec l’esprit de transmission d’un individu à l’autre.
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La jeune artiste Australo-malaisienne Reimena Yee a fait une entrée fracassante dans l’univers de la BD en 2020 avec son diptyque Le marchand de tapis de Constantinople, (traduit chez nous chez Kinaye en 2023) conte arabe où sa liberté et créativité visuelle enchantait critique et lecteurs. Surfant sur la popularité de la dessinatrice, l’éditeur sort très rapidement sa nouvelle création (parue en octobre dernier en VO) dans un écrin magnifique agrémenté d’un cahier final de making of.



N’ayant pas lu ses précédentes créations je découvre un vrai talent de designer et de composition qui agence sur un style simplifié typique de l’Animation (de Walt Disney diront certains) des effets de céramiques grecques ou d’enluminures arabes pour nous immerger dans un orient antique où le grand Alexandre s’ennuie fermement sur son trône… Annonçant vouloir adapter librement le Roman d’Alexandre, Yee choisit un voyage initiatique du héros en compagnie de son serviteur, à la recherche de la Fontaine de Jouvence. C’est l’occasion d’aventures de différentes tailles, du domptage du cheval Bucéphale par le jeune Alexandre à la rencontre des Griffons fantastiques.



En suivant l’agencement de récits sans lien chronologique (typique des gestes médiévales), l’autrice affaiblit quelque peu la lecture en brisant l’enchaînement. Cela participe à la volonté d’œcuménisme graphique, la grande force de l’album, qui enjoue en nous proposant une véritable odyssée dans l’histoire de l’art médiéval et antique, croquant certaines parties dans un style d’enluminures chevaleresque ou arabe. Le texte joue également de cette mise en abyme en brouillant dès les premières pages la légende d’Alexandre, racontée à ce dernier par celui-là même qui la fait avec le héros… Reimena Yee nous relate ainsi une légende fabriquée en direct par un servant qui emmène le grand conquérant sur le chemin de ses propres futurs/anciens exploits.



Lors des scènes plus classiques, malgré une mise en scène très travaillée de l’autrice le trait simpliste peut paraître un peu faible en regard d’autres séquences. Je tiens à préciser que, Kinaye oblige, ce récit est bien un album jeunesse et il ne faudra pas vous attendre à une grande complexité relationnelle ou narrative dans les pages de cet album, ce qui correspond du reste à l’ambiance de la source adaptée. Pourtant on peine un peu à profiter pleinement d’une histoire trop hachée pour vraiment convaincre, malgré une technique et un personnage éminemment sympathiques.



On termine ce premier tome heureux de la découverte mais un peu frustré d’avoir raté de la grande aventure classique, sans doute par soucis trop appuyé d’adapter un texte qui s’y prête peu. Il restera trois tomes pour vraiment convaincre.
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Impressionnant, malgré quelques tics et répétitions, Le marchand de tapis de Constantinople est une lecture passionnante présentant des aspects de l’Islam rarement mis de l’avant en Occident. Plus important, il s’agit d’un récit profondément humain et d’une histoire d’amour implacable et particulièrement touchante.
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Conte folklorique par essence, roman graphique à certains égards, le premier tome du Marchand de Tapis montre qu’une histoire intemporelle et un style de dessin vont en tout cas très bon ménage.
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J'ai reçu cette très belle bande-dessinée en cadeau.



C'est apparemment la première partie de l'adaptation d'un conte turc. C'est la triste histoire d'un marchand de tapis qui devient djinn, mais aussi la belle histoire d'amour entre un homme introverti et perdu qui épouse une femme ambitieuse.



Les dessins sont magnifiques, les couleurs chaudes, moi qui adore la Turquie et Istanbul, j'ai retrouvé la magie du pays dans les pages. L'histoire était mignonne mais je n'étais pas plus emballée que ça par contre. Je trouvais que chaque pan de vie des personnages était un peu trop vite expédié et la manière dont étaient agencées les cases de la BD n'était pas toujours au top.



Mais ça reste plaisant à lire, mais une seule fois ...

Il était une fois, dans l'Empire ottoman du XVIIème siècle, un timide jeune homme que ses parents destinaient à une carrière religieuse. Mais après sa rencontre avec l'ambitieuse Ayse, Zeynel décidera de se faire marchand de tapis pour suivre la jeune femme et l'aider à réaliser son rêve. 25 ans plus tard, les affaires se portent à merveille, nos deux tourtereaux ont traversé ensemble les épreuves de la vie et sont toujours aussi soudés. Mais une étrange rencontre lors d'un voyage d'affaires de Zeynel va bouleverser leur existence...



Comment ne pas être ébloui par cet imposant pavé avec sa couverture ornée de dorures ? Sous les motifs fleuris qui enluminent les pages, avec la délicatesse que l'on trouvait déjà dans Séance Tea Party, Reimena Yee a su tisser une magnifique histoire d'amour intemporelle et profondément émouvante (prévoir un paquet de mouchoirs à portée de main pour la lecture de l'ouvrage). Un tome II est annoncé pour l'été (mais le T1 se suffit déjà à lui-même) et j'ai très très hâte de découvrir la suite de ce conte oriental.
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Club N°54 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget classique

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On ne peut que saluer le très beau travail d'édition.



Les représentations des tapis qui illustrent l'ouvrage sont superbes.



L'histoire nous présente la vie de Zeynel, destiné à être Imam par ses parents qui deviendra finalement marchant de tapis jusqu'à ce qu'une rencontre avec un vampire ne bouleverse sa vie.



La narration est originale.



On découvre sa vie sur plusieurs dizaines d'années avec parfois des ellipses.



Je croyais lire un one-shot.



L'histoire pourrait s'arrêter ici mais je suis quand même curieux de savoir ce qui sera présenté au deuxième tome.



Attention au glossaire (présent en début d'ouvrage).



Ne faites pas comme moi, étant passé à coté j'ai cherché en vain les traductions des mots avec un astérisque en bas des pages...



Sam

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Très bel album qui nous plonge dans une adaptation de Dracula au pays des Mille et une Nuits.



Les dessins sont magnifiques, la narration bien menée.



Vivement le tome 2 !



Virginie

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De très beaux dessins sublimés par une mise en page originale et délicate, et un récit touchant et étonnant.



Très belle découverte !!



Marine

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J’ai terminé ce tome 1 incroyable !

Les dessins, l’intrigue, les personnages… tout est parfait. Entre des événements surnaturels et un amour sincère, j’ai passé un trop bon moment ! J’ai vraiment hâte de lire le second tome… C’est un plongeon dans un conte oriental avec une touche d’onirisme et des planches immersives, simplement une combinaison qui ne pourra que vous plaire !

Le marchand de tapis de Constantinople est un roman graphique magnifique, les dessins sont beaux avec de jolies couleurs chaudes, nos yeux voyagent à chaque page. Mais l’histoire je suis très déçu, ça ne casse pas trop pattes et un canard comme on dit. Les histoires des personnes sont expédiées on n'a pas le temps de trop comprendre tout passe super vite. C’est dommage j’en attendais beaucoup je n’achèterais pas le deuxième tome du coup.

"Le marchand de tapis de Constantinople" est une proposition orientale intéressante et originale, qui nous entraîne ailleurs, dans une autre culture, mais cela ne nous empêche pas de nous attacher aux personnages, d'apprécier le temps passé avec eux. C'est différent et en même temps universel, touchant des thèmes bien connus de nous tous, et proposant une deuxième partie inattendue sauf si vous avez lu le résumé. Enfin, en vrai le début nous le dit aussi si vous êtes attentifs. Nos yeux ont de quoi se régaler, mais notre coeur est assurément toucher lui aussi.

Ce sont les éditions Kinaye qui nous le propose, et Reimena Yee qui a fait naître cette histoire, que nous avons déjà pu croiser sur "Séance Tea Party". Ce sera en 2 tomes, même si on pourrait croire en un one-shot, au moins nous ne serons pas laissés horriblement en plan, et ravis de pouvoir approfondir certains points dans le prochain tome.

Ne vous inquiétez pas un glossaire est proposé au début de l'histoire pour mieux se repérer dans des termes qui leur sont propres. Gardez le sous la main.

Ce roman graphique nous emmène en Orient, à Constantinople. Il est très joliment mis en forme, il y a mille et un détails pour régaler nos yeux, dans les présentations, dans les décors, un travail d'orfèvre qui fait encore passer l'histoire à un autre niveau. N'hésitez pas à oser ouvrir votre esprit. Il y a aussi des moments qui sont racontés comme un conte.

L'histoire joue un peu sur la chronologie, s'étend sur plusieurs années, et ne nous donne pas tous les détails, pas mal de fois les grandes lignes, les moments les plus forts, de beaux mais aussi de cruels à l'image de la vie qui ne va pas toujours comme on veut.

Tout ce qui tourne autour des tapis, de leur confection, de leurs motifs ajoutent également un charme certain. Certaines doubles pages vous raviront, attention certaines se lisent ensemble.

Nous verrons aussi comment notre couple de marchands de tapis s'est rencontré. Ce n'était pas gagné d'avance, mais c'est vraiment très beau, surtout qu'ils se sont apprivoisés et battus ensemble pour leurs rêves. Lui, Zeynel, un intellectuel, un érudit, ne connaissait rien de la vraie vie avant elle, Ayse. Nous verrons le poids de leur héritage familial, mais aussi comment ils s'en affranchissent en partie pour vivre pleinement leurs vies avec tout ce que cela comporte, également les risques.

Ayse avait un grand rêve, c'était quand même lié à sa famille, mais elle en voulait tellement plus. Intelligente, rusée, ambitieuse, elle n'aurait pas accepté n'importe qui pour mari.

La vie aura déjà mis des épreuves compliquées sur leur chemin mais elle en rajoutera une bien difficile à gérer, surtout émotionnellement, quand Zeynel partira en voyage d'affaires et rentrera changer à jamais. C'est aussi un coup dur pour leur foi, qui est toujours rentré en jeu aussi.

Un très beau roman graphique original, puissant, intéressant, touchant avec un travail graphique magnifique. La suite et fin se découvrira avec plaisir et intérêt, rendez-vous fin août.

Dans cet épais roman graphique, nous suivons un homme et une femme au XVIIème siècle, qui vont se rencontrer et se marier. Mais un élément surnaturel, fantastique, va faire irruption dans leur vie, bouleversant tous leurs plans. Graphiquement, on reconnaît certains traits de l'autrice, notamment dans les dessins de personnages. Le style est plutôt cartoon, assez épuré, mais il nous plonge dans une ambiance orientale propice au développement de l'intrigue. On note aussi quelques innovations graphiques, qui vont de pair avec le récit et qui sont plaisantes à découvrir. Il y sera question d'amour, de vampires, de foi, de famille et de quête identitaire. Comment assumer qui nous sommes lorsque nous sommes bridés par le poids des conventions ? Un conte gothique étonnant.

Ayant adoré Seance tea party et connaissant le travail de Reimena Yee, je ne pouvais qu’être curieuse à l’idée de découvrir cette nouvelle bande dessinée. Et quelle jolie surprise ! C’est un objet sublime en tout point, les planches regorgent de créativité, de belles idées et de beauté. Les tapis sont bien mis en valeur et permettent d’exploiter tout le talent de Reimena Yee. L’histoire nous emporte très facilement dans cette histoire qui annonce bien des mystères … L’entrée en matière est frappante, on s’interroge et on se pose plein de questions … Heureusement, la narration nous apporte quelques éléments de réponse en revenant sur le passé du personnage principal. Zeynel est très attachant, avec son désir d’émancipation, sa peur, son anxiété … On peut se reconnaître facilement en lui et compatir à ce qu’il traverse. On suit son histoire avec grand intérêt. Nos yeux n’hésitent pas à s’ébahir devant la grandiosité des dessins, mais ils demeurent investis dans la lecture. Le récit est découpé en deux parties, celles-ci proposent une histoire si différente qu’on pourrait croire qu’il s’agit d’une autre BD … Mais ce mélange fonctionne et nous donne un récit intrigant, prenant et plaisant. J’ignorais qu’une histoire d’amour serait au centre d’un récit et ce fut une bonne surprise. C’était émouvant, beau et touchant. Je ne regrette nullement d’avoir découvert Le marchand de tapis de Constantinople et je ne peux que vous encourager à le lire à votre tour !

Malgré la taille du livre, on le lit d’une traite et on a plaisir à découvrir le destin de Zeynel à travers le temps, depuis sa rencontre avec son grand amour Ayşe à celle du vampire qui le mordit.
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Très belle histoire médiévalo- fantastico-orientale, avec un marchand de tapis qui va devenir vampire …

Tome 1 qui se lit très bien, on est dans une aventure à la fois humaine et sociale, on s’attache aux personnages très vite. Public ado-adulte.

Histoire à suivre, le tome 2 est déjà sorti, il clôt le récit.