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Critiques de Rémy Mabesoone (13)
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Achevé d'imprimer

Voici une BD polar assez déjantée (du moins son protagoniste principal : un écrivain raté un peu dérangé). Essuyant de nombreux refus pour ses manuscrits, notre héros décide de passer à l'action en devenant dans la vie le héros morbide de ses polars. Le voici serial killer... Je vous laisse le plaisir de découvrir la chute.



Le graphisme est parfaitement en phase avec le propos du scénario : nerveux, incisif, faisant bien ressortir le côté psychopathe du héros. Bref, un petit moment de divertissement, peut-être ne faut-il pas non plus trop chercher beaucoup plus loin avec cette BD. Du moins c'est mon avis, c'est-à-dire pas grand-chose.
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Au revoir Monsieur

Voici une belle BD pour adultes, sorte de thriller viticole avec une esthétique noir & blanc du plus bel effet, un graphisme nerveux quoique virtuose et des dessins acérés mais justes.

Le scénario est excellent. En outre, les dialogues sont un peu moins à la hauteur du reste. Notamment les répliques du jeune garçon face au policier. On a vraiment du mal à y croire surtout si l'on se replace dans le contexte de l'époque où se déroule l'histoire. Cette forme d'aisance face à l'adulte que les garçons de cet âge et de cette époque n'avaient probablement pas.

Le contexte : France rurale viticole de l'après guerre, une vieille matriarche dirige un domaine et perpétue un nom et une famille depuis des générations.

Sa fille, effacée, laborieuse, s'est mariée avec un vaurien, fainéant et cupide que la famille n'a jamais accepté.

Leur fils, jeune homme d'une douzaine/quatorzaine d'années est considéré comme le seul véritable homme de la famille, celui en qui l'on peut compter.

Un jour la grand-mère succombe mystérieusement dans ce qui semble être tout sauf une chute naturelle dans les escaliers. Le jeune garçon qui vénère pourtant sa grand-mère a une attitude qui a tout pour porter les soupçons sur lui...

... mais chuuut ! c'est à vous de lire la suite.

Peut-être pas un chef-d'œuvre mais un album qui vaut vraiment la peine d'être essayé selon moi. En outre, vous savez bien que tout ceci n'est que mon avis, c'est-à-dire, pas grand-chose alors Au revoir Monsieur et à une prochaine...
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Au revoir Monsieur

Dans cette France viticole, Augustin vit entouré de ses parents, Lucette et Maurice, et de sa grand-mère, Geneviève. Une mère effacée et travailleuse, un père bon à rien, fainéant, autoritaire et porté sur la bouteille, une grand-mère veuve qui tient d'une main de fer son domaine et imposait le respect. Mais aujourd'hui que Geneviève vient de mourir, il règne comme un grand vide dans la bastide. Le petit garçon craint de devoir quitter sa Provence, Maurice tenant à vendre le domaine et s'installer à Paris. Il n'avait pas pleuré jusqu'au moment où il avait franchi les marches sur lesquelles sa grand-mère a perdu la vie. Une mauvaise chute, paraît-il. Mais Augustin a tout vu et son comportement étrange depuis l'accident soulève bien des questions...



Suite au décès de sa grand-mère, Augustin va être complètement chamboulé. De ce qu'il a vu, de ce qu'il entend autour de lui, des non-dits et des silences, des regards, tout le fait s'interroger. En voix-off, cet enfant solitaire, confronté soudainement à la mort, nous livre ses pensées et ses tourments. L'on ressent une certaine tension au sein de cette famille, essentiellement à cause du père, Maurice, vaurien qui n'en fout pas une, créant une ambiance pesante et oppressante. Visiblement, à la mort de la grand-mère, il compte bien reprendre les choses comme il les entend. Olivier Mau nous offre un album remarquable en se mettant dans la peau d'Augustin. Il nous dépeint une galerie de portraits subtile et aux caractères forts dans ce scénario bien ficelé et ce, jusqu'à la dernière planche. Le dessin en noir et blanc est magnifique, le trait, hachuré, original. Les émotions, notamment le regard d'Augustin, sont parfaitement retranscrites.
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Cafougnette tome 1

Cet album de "Cafougnette" est le premier tome d'une série réalisée par Frédérick Maslanka, scénariste, et Rémy Mabesoone, dessinateur.

Il s'agit d'abord d'un hommage à Jules Mousseron, mineur de fond dans le Nord à la fin du 19eme siècle et passionné de littérature. Il va écrire de nombreux poèmes, contes, chansons et autres textes dont les histoires de Zeph Cafougnette, son personnage fétiche inspiré des mésaventures arrivées à ses amis.

Cette bande dessinée est donc une adaptation initiée par Frédérick Maslanka qui est l'arrière-arrière-petit-fils de Jules Mousseron. La présentation se fait sous forme de séquences courtes ou sketchs.

J'ai donc découvert ce mineur et ses proches avec plaisir car l'humour est privilégié. Ce quinquagénaire un peu ballot et mal marié, est attachant. Certes, les conditions de travail difficiles ne sont pas abordées mais la fraternité est de mise.

Et puis j'adore la langue des Ch'ti qui me rappelle ma grand-mère : "Bonjour tertous!"

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Achevé d'imprimer

« Il m’avait ramassé tout gamin dans une Gendarmerie de campagne ouverte spécialement pour l’occasion. A cause d’un court-circuit sur un passage à niveau, moi, j’étais pas mort. Mes parents, oui. Je me souviens encore de la tête de mon père, trois mètres plus loin, dans l’herbe, coupée net, qui me regardait ».



Julien est orphelin. Elevé par son grand-père, il a grandi un peu médusé par la vie et appréhendant ce qu’elle pouvait lui réserver. Il est devenu écrivain, peut-être par la force des choses. L’absence de succès a fini par l’envahir. Un jour, il dégoupille et se retrouve hospitalisé. Durant ce séjour hospitalier, le déclic se produit.



« Parce que j’allais pas continuer à faire l’écrivain raté. Moi, j’allais faire écrivain d’action ! (…) J’ai décidé de me faire tueur en série. Une très bonne idée pour devenir célèbre. Quitte à éradiquer, autant commencer par les autres… Mon autobiographie, ils allaient tous se l’arracher… ».



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Prenez une grande inspiration avant de vous enfoncer dans cet album car vous allez plonger au cœur d’une folie assez dérangeante. Le scénario d’Olivier Mau est sans concession. Mêlant sarcasme, dérision, humour et pulsion meurtrière, l’auteur nous embarque dans un road-trip improbable et déjanté. Le personnage principal semble même échapper à son contrôle tant il est imprévisible. Le « héros » perd tout esprit critique quant aux actes qu’il pose et réagit de façon épidermique à l’égard de ce qui l’entoure. Un geste, un regard… ou un simple battement de cils sont susceptibles d’alimenter son délire. Il s’agite, s’acharne et s’obstine à agir dans le seul but d’être remarqué par les médias et peu importe les étapes qu’il doit franchir pour parvenir à ses fins. Il attrape au vol les idées qui lui passent par la tête et agit. tout est bon à prendre pourvu qu’on parle de lui… certain qu’il tient-là la clé d’un marketing efficace et qui a du mordant.



La présence de cette violence totalement gratuite crée une atmosphère oppressante et force le lecteur – un peu hagard – à assister à ce spectacle macabre qui se déroule sous ses yeux. Il y a quelque chose d’irrationnel dans ses actes et cela à tendance à accrocher le lecteur à cet ouvrage avec l’envie de savoir jusqu’où les auteurs repousseront les limites de la déraison.



Pour illustrer ce thriller, Rémy Mabesoone illustre la folie du personnage de manière frontale, nous permettant ainsi de le scruter à la loupe. Il décortique tout ce qui peut nous permettre de repérer l’émergence d’un nouvel accès de folie. On a l’impression d’être face à un dément qui peut imploser à n’importe quel moment, un écorché vif. L’ambiance graphique met le lecteur mal à l’aise car on est là, aimanté, dans l’attente de la prochaine scène sanglante. Une ambiance graphique en noir et blanc pour servir ce thriller glauque et dérangeant où le sang coule à flots. Cet univers corrosif est réalisé au fusain. Les visuels sont hyper chargés et les jeux de hachure fusent et créent une ambiance à couper au couteau, aidant ainsi le lecteur à « entendre » le moindre petit cliquetis, le moindre grincement de dents. Les traits anguleux du personnage principal, son rictus pervers… un bien étrange individu qui va nous servir de guide durant près de 80 pages.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Cafougnette tome 2

Et voilà une nouvelle aventure de Zeph Cafougnette le mineur de fonds qui ne s'exprime qu'en ch'ti.

Un siècle après sa naissance, il vit toujours grâce à Frédérick Maslanka qui a repris les planches de son aïeul. Car Cafougnette est d'abord la création de Jules Mousseron, poète mineur mort en 1943, figure emblématique de la culture ouvrière. Il créa le grand personnage populaire du Nord et des mines.

Dans ce deuxième album très drôle, on découvre l'homme aux grosses moustaches plus souvent sur terre que dessous et son humour fait apprécier le monde des corrons.

Même si je ne lis pas le ch'ti dans le texte, je trouve que l'on comprend assez bien d'autant plus qu'il y a des définitions en bas de chaque planche.

Les petites histoires se succèdent et l'on retrouve Véronique, la femme de Cafougnette, Adèle sa fille et bien sûr son ami Boudenne. Sans oublier un personnage inattendu : le pourcheau tout rose et attendrissant que l'on retrouve dans deux histoires "A l'course à pourcheaux su l'iau" et "L'pourcheau carré" qui rappellent les grandes traditions des fêtes populaires.





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Au revoir Monsieur

Après « Achevé d’imprimer », Rémy Mabesoone et Olivier Mau produisent un nouveau one-shot noir et blanc.



Le fil rouge de cette histoire est une enquête policière en milieu rural. Un thriller campagnard aux allures de huis-clos qui tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page.



Mais, au-delà de ce polar bien noir, les auteurs livrent également le portrait d’une famille et d’une petite communauté. Au centre de ce drame familial, les auteurs mettent en scène des personnages aux caractères bien trempés. De la grand-mère qui dirige le domaine avec poigne au père violent en passant par le petit Augustin, les relations sont tendues et la tension est palpable tout au long du récit.



Les encrages bien noirs de Rémy Mabesoone collent parfaitement à ce polar sombre et accentue encore un peu plus le désespoir et les nombreux sentiments qui viennent percuter le petit Augustin.



Un très bon one-shot.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Achevé d'imprimer

Ce one-shot relate l’histoire d’un jeune écrivain qui ne parvient pas à se faire publier et qui a alors la brillante idée de se transformer en tueur en série afin de rencontrer gloire et fortune avec son autobiographie.



Commence alors une cavale à travers la France de ce tueur à l’arme blanche. On obtient ainsi un road-movie qui reprend tous les ingrédients classiques du genre polar.



Au niveau graphisme, le dessin noir et blanc fait également bien ressortir cette ambiance typique polar bien noir.



La narration est également bonne, mais sans atteindre le niveau d’un "Sin City" ou "Welcome to Hope", dans le même genre.



Au niveau du scénario, l’histoire de base reste très (trop) simple et les différents meurtres qui se succèdent ne sont pas vraiment débordants de créativité. Cela ne rend pas le récit vraiment passionnant, mais la chute imprévisible termine ce one-shot en toute beauté. On se retrouve dès lors avec un bon polar classique, qui se termine en apothéose.
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Au revoir Monsieur

Augustin, 8 ans environ, vit un réel drame familial. Sa grand-mère maternelle vient de mourir. Cet événement est un réel électrochoc. Son père souhaite en profiter pour vendre l’exploitation viticole de la grand-mère, quitter enfin cette Provence arriérée et remonter à Paris. Et la mère d’Augustin qui ne dit rien… elle ne dit jamais rien sa mère… et Augustin se sent si seul.



Jusqu’à l’autre jour, je n’étais pas un garçon à histoires. Mais tout a changé. Je ne sais plus qui je suis. Hippolyte criait ses ordres aux saisonniers et je ne pouvais plus contrôler les battements de mon cœur. Il voulait s’échapper comme un petit animal. Mais ma vue ne s’est pas brouillé de larmes. Ma grand-mère n’aurait pas voulu.



On plonge rapidement dans cet univers noir, guidé par la voix-off d’Augustin. Une voix intérieure qui nous accompagnera de bout en bout de l’album et qui n’acceptera que ponctuellement les dialogues des personnages secondaires : la grand-mère (quand l’enfant est perdu dans ses souvenirs), le père (qui hurle), la mère et Juliette (une employée saisonnière, seul personnage à apporter un peu de fraicheur à cette micro-société).



Ce qui marque avant toute chose, c’est la solitude de cet enfant, la violence de la situation qu’il vit et les conséquences du décès de la grand-mère (clef de voûte de cette organisation matriarcale). Augustin découvre la mort et doit faire son deuil sans aucun soutien. Une réelle épreuve à surmonter pour un si jeune enfant qu’aucun geste de tendresse ne viendra consoler car on ne lui en propose pas. La mort de la grand-mère maternelle sonne le glas de son enfance et le projette manu-militari dans le monde des adultes. Le scénario d’Olivier Mau rentre dans le vif du sujet immédiatement. S’il ne prête pas attention aux détails en revanche, il joue des non-dits et des silences pour installer son ambiance. Rapidement, on se sent le poids d’un secret de famille qui plane et lorsqu’on en découvre la teneur, cela fait déjà un moment qu’on voit l’enfant démuni face à ces regards que lui adressent désormais les adultes. Principale victime du drame, cet enfant se confronte à un système familial déviant. Une étrange atmosphère plane sur cet huis clos.



Côté graphique, Rémy Mabesoone donne le tempo de cette fable amère. Son trait n’est pas sans me rappeler des ouvrages comme ceux de Christophe Chabouté, Pascal Rabaté ou de Jérôme D’Aviau. Le noir y règne en maître, les jeux de contrastes sont importants, parfois oppressants et lorsque le personnage d’Augustin se sent impuissant ou en danger, les jeux de hachures sont de la partie. Ils viennent alors jeter de l’huile sur le feu et renforcer cette impression de perte de repères et de solitude. Un petit être livré à lui-même où personne ne semble vouloir suppléer la grand-mère qui assurait à la fois sa protection et se souciait de son bien-être.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Achevé d'imprimer

Une véritable oeuvre littéraire, une bande dessinée traduisant la noirceur, la violence (sans coup, juste les regards intenses), des gros plans chargés d'émotion...

Un auteur qui n'arrive pas à se faire publier va, en fin de compte, écrire son livre au fil de l'album. Le scénario: il tue son grand-père et raconte sa fuite, en commettant d'autres meurtres... Heureux d'avoir un encart dans le journal, il continue, jusqu'à approcher de plus près le monde de l'édition. Quand il se fait enfin publier, on a une sorte de retour sans fin au début,même regard, même mise en scène: il tue son grand-père. Fin de l'histoire.



Une BD qui n'a pas de fin. Mabesoone et Mau se sont essayés avec génie à la BD après avoir publié chacun des livres destinés à al jeunesse, avec la même noirceur dans leur écriture ou leur dessin (Mabesoone est le dessinatuer si je me souviens bien).



A lire!!!
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Achevé d'imprimer

Petit flashback. Quelques mois en arrière, chez mon libraire préféré (en même temps, je n’en ai qu’un). Avec son enthousiasme habituel, il me fait l’éloge du dernier polar qu’il vient de lire, en l’occurrence « Achevé d’imprimer ». Lui, c’est un accroc du genre et il sait bien, le bougre, que moi ce n’est vraiment pas ma tasse de thé. Pourtant, il insiste. Je jette un regard complaisant sur la couverture, ouais sympa, et j’embarque donc l’objet, un peu parce que j’en ai marre, un peu pour lui faire plaisir (je l’aime bien mon libraire)…

Hier, je tombe par hasard sur l’album que j’avais « balancé » au fond de ma bibliothèque et complètement oublié. Je l’ouvre, et…



Grande calotte dans la tête ! Le graphisme est ensorcelant. Le trait, épais et charbonneux, est remarquable. Réellement très expressif, il nous engloutit immédiatement dans une atmosphère noire, poisseuse. Il sert admirablement un récit très violent, film de la fuite en avant sanglante et pleine de rage d’un jeune écrivain désabusé.

C’est agressif et captivant. Mais, bizarrement, malgré l’extrême dureté du propos, on ressent également une sorte de légèreté sous-jacente, presque une bonne humeur. Peut-être suscitée par le dynamisme de la narration ou le détachement de certains dialogues ? C’est assez difficile à décrire et à analyser. En tout cas, cela concourt à faire de nous un voyeur, un spectateur aux jeux du cirque. C’est assez obscène et déroutant.



Le petit truc qui me gratte : la chute. D’aucun la trouveront admirable. Moi, je ne sais qu’en penser. Je ne veux rien dévoiler. Aussi je dirais, avec facilité, que la fin me laisse sur ma faim. Je l’aurais préférée plus…tranchée (oui, j’ai osé)



Un « trois étoiles » très honorable pour une « sympathique » petite ballade en enfer et

une œuvre qui partait avec un gros handicap, à savoir, les goûts de votre serviteur.
Lien : http://www.bdtheque.com/main..
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Achevé d'imprimer

D’accord, ces dessins hachés collent parfaitement à l’histoire mais j’ai franchement eu du mal à m’y faire. D’accord, il y a une ambiance noire polar mais j’ai eu du mal à accrocher car au début, elle est déprimante – souvent, dans les polars, le héros est désabusé, rien ne va mais c’est comme ça et il est fort ; là, rien ne va et c’est déprimant… Et puis il y a cette histoire avec laquelle j’ai eu du mal. Une révélation subite sur ce qu’il va devenir, mettons. Mais après, il se balade partout en clamant haut et fort ce qu’il est sans que personne ne s’interroge ou se méfie, ne se rebelle ou se défende vraiment… J’ai trouvé tout ça un peu facile… Dommage, j’avais bien aimé le vieil auteur qu’il rencontre ensuite, me disant qu’il allait y avoir un lien mais non : on a une surprise finale qui est une sorte de pirouette poussive qui ne m’a pas pleinement satisfait. Je suis finalement resté sur ma faim.

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Cafougnette tome 1

Voici une œuvre qui n'en est pas une. L'auteur s'est contenté de mettre en image les textes de Jules Mousseron, sans rien apporter de plus, et même au contraire en en ôtant toute substance. Loin d'être original, c'est un pillage en bonne et due forme, un plagiat éhonté, un procédé commercial abject.

Passez votre chemin, et optez plutôt pour les textes originaux et d'une grande qualité de Jules Mousseron.
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