AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Rex Van Asselt (21)


Il est un moment ou un autre dans une vie où les erreurs se payent, mais lorsque c’est l’innocence qui est victime des erreurs des hommes, qui n’a jamais voulu faire payer cela ? Ou alors l’homme est-il victime de sa faiblesse, au point que le mal lui-même peut prendre possession de son âme ? Mais pour combattre le mal, il faut parfois faire preuve de froideur, faire de son cœur une pierre et devenir soi-même le mal.
Commenter  J’apprécie          50
Je me suis permise de mettre Rebecca en garde, un mec qui te connaît pas et qui te donne rencard comme ça sur un regard, ça me plais pas trop ! Nous avions donc décidé en accord avec Matt, que lorsqu’elle serait à son rendez-vous, nous ne serions pas loin, cachés mais pas loin, de façon à pouvoir surveiller, Rebecca était d’accord avec nous et accepta. L’après-midi, comme prévu, Rebecca attendait au point de rendez-vous sur le petit pont de bois, Matt et moi étions cachés derrière un gros chêne assis sur le gazon et nous observions de temps en temps chacun d’un côté de l’arbre. Josh est arrivé et s’est approché de Rebecca, ils discutaient mais nous ne pouvions rien entendre de là où on était.
Commenter  J’apprécie          20
Je sais, ça peut paraître paradoxal ainsi, mais les choses qui ne nous tuent pas, ne nous rendent-elles pas plus forte ?
Commenter  J’apprécie          20
Elle était vraiment mignonne, mais ce n’était qu’une apparence, car derrière ce visage d’ange, c’était une vraie plaie. Elle faisait du mal à ses camarades, fille ou garçon, elle ne craignait pas de faire face aux plus grands et nous avons même dû en transporter un à l’hôpital, il avait seize ans, elle n’en avait que sept, ce pauvre garçon s’est retrouvé avec un bras et six côtes cassées. Je vous passe le nombre de fois où elle a rendu la vie des sœurs infernale, puis un jour, deux hommes sont venus, ils étaient en costume noir et se disaient de la police, ils m’avaient montré leur plaque.
Commenter  J’apprécie          10
Je ne pouvais quitter ses yeux quand il nous parlait. Je n’attendais qu’une chose, c’était d’un jour, une heure, une minute même me retrouver seule avec lui, j’en ai même rêvé ! Même les week-ends, nous nous retrouvions à trois, on se faisait des cinés, des fast-foods, on a même fait courir le bruit qu’on faisait ménage à trois, malheureusement, ça ne plaisait vraiment pas à mademoiselle Julia.
Commenter  J’apprécie          00
Ma mère me regardait partir assise derrière son volant et me fit un dernier signe de la main. Vous ne savez jamais si vous allez revoir les gens que vous aimez, alors j’ai lâché ma valise et j’ai couru jusqu’à sa portière, elle avait ouvert sa vitre me voyant arriver et je l’ai embrassée une dernière fois avant de me jeter dans la fosse aux lions. Alors que je récupérais ma grosse valise et me dirigeais vers l’entrée en haut des grands escaliers, je sentais les regards sur moi, j’ai remarqué que la fille entourée de garçons leur disait un truc, puis ils se sont retournés, je ne sais pas si c’était simplement pour parler de moi ou de la moquerie, puis je m’en foutais !
Commenter  J’apprécie          00
Puis, maman… La plus jolie et probablement la plus calme des mères, je ne me rappelle pas qu’elle ait une seule fois levé la main sur moi, pas que je sois une fille sage ou obéissante, mais elle a toujours su trouver les mots exacts pour me remettre sur le bon chemin. Elle aussi aurait pu tenir le ranch à elle seule, bien que physiquement, elle n’ait pas la stature de grand-mère. Il paraît que l’on se ressemble elle et moi, elle porte également de longs cheveux noirs, mais elle a une meilleure vue que moi. C’est elle qui s’occupe de dresser les chevaux, elle a un don pour ça,probablement le sang indien, certaines personnes viennent même jusqu’ici pour qu’elle s’occupe de dresser leurs chevaux.
Commenter  J’apprécie          00
" Le feu de la vengeance s'entretient longtemps sous les cendres, et nul ne saurait lire dans le cœur d'un ennemi. "
                        Axel Oxenstiern .
 
Commenter  J’apprécie          00
Bien qu’ayant eu des petits copains de passages, Christina aimait sa vie de célibataire bien réglée, sans contraintes ni obligations, une façon de pouvoir se consacrer pleinement à son travail.
Commenter  J’apprécie          00
Je voulais te punir, je voulais ma vengeance, mais je ne voulais pas priver une si jolie petite fille de sa maman. Mon cœur ne bat peut-être plus, mais je ne suis pas indifférente à ça ! Donc, il fallait que je trouve un moyen de te punir, c’est fait ! Comme ça, chaque fois que tu te regarderas dans le miroir ou que ta douce petite fille te demandera pourquoi elle n’a pas son petit frère, tu penseras à moi, voilà ta punition et estime toi heureuse que je te laisse en vie !
Commenter  J’apprécie          00
Puis, maman… La plus jolie et probablement la plus calme des mères, je ne me rappelle pas qu’elle ait une seule fois levé la main sur moi, pas que je sois une fille sage ou obéissante, mais elle a toujours su trouver les mots exacts pour me remettre sur le bon chemin.
Commenter  J’apprécie          00
. Il était une heure du matin et j’étais couchée dans mon lit, je pensais « Que vont-ils penser de moi ? Comment sont-ils ? Etc… » Surtout que j’avais un style particulier, j’étais du genre de ce qu’on appelle maintenant « Gothique » Déjà qu’ici dans mon village je ne passe pas inaperçue ! Puis j’étais du genre très timide et réservée, je n’ai pas facile pour me faire des amis, non pas que j’ai un mauvais caractère mais je suis très méfiante et je ne m’ouvre pas facilement aux gens.
Commenter  J’apprécie          00
" Le feu de la vengeance s'entretient longtemps sous les cendres, et nul ne saurait lire dans le cœur d'un ennemi. "
                        Axel Oxenstiern .
 
Commenter  J’apprécie          00
Je ne désirais plus qu’une chose, mourir… Je ne voulais plus manger, je ne dormais presque plus, de peur qu’il ne descende à n’importe quelle heure ! Mourir, partir loin d’ici, loin de cette maison, loin de ce corps. Puis une nuit, la huitième,  la trappe s’est ouverte… J’ai entendu sa respiration, puis le bruit lourd de ses pas sur les marches en bois. Je me suis cachée dans un coin d’ombre, ne voulant plus qu’il m’approche !
Commenter  J’apprécie          00
Je suis une étrangère dans la ville où je vis depuis toujours, je suis une étrangère pour moi-même !  Mais voilà qu’un jour, alors que je revenais des courses, l’un de mes sacs a craqué, faisant tomber une bouteille de lait qui explosa sur le trottoir. Un jeune homme, qui devait avoir maximum deux ans de plus que moi s’est approché. J’étais paniquée, mon père allait me faire la misère pour cette bouteille. J’étais là, à genoux, devant la catastrophe, pleurant comme une madeleine et n’ayant plus un sous pour aller en chercher une autre. Ce garçon donc, s’est approché et m’a demandé si ça allait, je me suis reculée, tel un chien qui se méfie des hommes !
Commenter  J’apprécie          00
J’étais vide de toute vie, la seule chose que j’entendais, c’était mon enfoiré de père qui lui donnait des consignes du genre « prends là comme ça, ou comme ça ! » J’ai eu droit ainsi, à tout un tas de types, aussi louches les uns que les autres, avec de fantasmes parfois tordus. Je devais m’habiller selon l’idée de ses messieurs, avec ou sans maquillage. Il y avait des plus jeunes, de vieux pervers, des timides, mais tous avaient du fric qu’ils refilaient à mon père. En fait j’ai su plus tard que ce n’était même pas des amis, mon père avait mis une annonce discrète sur internet. Et tous mettaient des cagoules lorsqu’ils venaient, car mon père filmait tout et vous savez ce qu’il en faisait après ? Il revendait les vidéos à des mecs aussi tordus que lui et ses potes !
Commenter  J’apprécie          00
Il s’est approché de moi, à grande vitesse, m’a couchée sur le ventre et… m’arracha ma culotte. Je ne vais pas vous détailler ce qu’il m’a fait, je sais juste que ça m’a semblé une éternité, que plus un son ne sortait de ma bouche, que mes yeux ne voyaient plus que des ombres, que je me suis totalement déconnectée de mon corps, que la petite fille que j’étais… Venait de mourir ! Il m’attacha ensuite au lit, par les poignets, à l’aide de sangles de cuir. Puis il quitta la pièce, laissant tourner sa caméra ! Mes jambes tremblaient, j’avais mal au ventre et le sang chaud coulait sur les draps blancs. La petite Alice, joyeuse et innocente était morte cet après-midi-là.
Commenter  J’apprécie          00
Comment ne pas vouloir faire plaisir à son père, quand on a sept ans et qu’il vous traite comme une princesse. Il n’y avait rien de bien grave là-dedans, il m’avait simplement  demandé de poser comme ça sur le lit ou le fauteuil, je pouvais choisir. En échange, il me donna quelques biscuits et je pouvais même  garder l’ours en peluche. Il me l’avait mis dans les bras…
Commenter  J’apprécie          00
Quand vous avez l’âge que j’avais à ce moment-là, on ne se pose pas de questions, on est juste triste de voir ses parents se disputer et j’étais très triste, triste au point d’en vouloir à cette maison ! Car c’est depuis que nous étions là, que ça n’allait plus comme avant !
Commenter  J’apprécie          00
L’odeur d’huile c’était papa qui rentrait à la maison, le vieux café c’était mamy, quant au parfum du jasmin… C’était maman qui venait le soir me border. Comme tous les enfants, il y a comme ça des odeurs qui sont à jamais gravées. Moi par exemple, pour mon anniversaire, c’était l’odeur de la cannelle, de l’orange et du pain d’épices, c’était Noël ! C’était la période que j’aimais le plus, c’était la magie, les rues illuminées, les magasins décorés.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Rex Van Asselt (31)Voir plus

Quiz Voir plus

Quand les enquêteurs parlent...

— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

Arsène Lupin
Hercule Poirot
Rouletabille
Sherlock Holmes

13 questions
63 lecteurs ont répondu
Thèmes : romans policiers et polars , humour , enquêteursCréer un quiz sur cet auteur

{* *}