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Critiques de Richard Pelzer (24)
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

"pour ma mère je n'étais rien....", le titre en lui même donne des frissons, et plus on avance dans la lecture, plus la découverte est macabre. Un roman qui reflète la souffrance d'un enfant qui dès l'âge de cinq ans subit divers sévices (psychologiques, physiques...); un roman qui fait souffrir aussi: la haine d'une personne que l'auteur appelle "maman". Le lecteur se retrouve plongé dans un tourbillon de haine, de coups, de cris, de pleurs, de souffrance. J'en ai pleuré, mais à lire pour réaliser, pour comprendre, pour "mieux"vivre la relation parent-enfant. Pour les âmes sensibles s'abstenir effectivement.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Un récit très poignant, un récit très dur a lire, qui m'a souvent rempli de colère et de sentiment d'injustice !

Pourquoi et dans quel but à souvent été la question que je me suis posée...



Le seul bémol est la fin, qui fini bien certes, mais qui manque un petit quelques choses, qui aurai pu être un rien plus expliquée a mon gout.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

C'est sans doute le livre pour lequel il m'est le plus difficile d'écrire une critique... Comme toute les histoires vraies, il est impossible de porter un jugement sur l'histoire... et encore moins quand il s'agit de celle d'un petit garçon maltraité par sa mère...

Difficile aussi d'imaginer pareilles souffrances et de comprendre comment autant de personnes ont pu laisser faire ça durant tant d'années...

Difficile enfin de lire un tel livre sans se sentir un peu “voyeur”, comment réagir, confortablement installé dans son canapé , à une telle lecture?



Finalement, ce livre m'a mis mal à l'aise, impossible de dire si j'ai aimé ou pas... j'ai juste ressenti un grand malaise...je pense que l'objectif de l'auteur a donc été atteint...

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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Un livre lu parce que ma fille (en études psycho) en lit énormément dans ce genre. Pour ma part, je ne les lis qu'au compte-goutte, j'ai beaucoup de mal. Je ne suis d'ailleurs pas arrivée à lire "le moins que rien", le livre du frère de l'auteur de celui-là, celui qui était en plus le bouc émissaire des frères, celui qu'ils étaient "contents de ne pas être".

C'est juste bouleversant et révoltant. Pour "comprendre" (mais pas excuser), il faut lire les Alice Miller, qui est allée au cœur de cette violence pour tenter d'en expliquer les tenants et aboutissants. Et, au vu de tout ce que j'ai "sorti" lors de ma propre thérapie, ce sont les travaux de cette grande dame méconnue qui m'ont le plus parlé, elle dont les écrits, même si techniques par moments, m'ont le plus remuée, le plus aidée, aussi.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Daly City, San Francisco, Californie

Quand j'ai vécu à San Francisco, l'abus de mes mamans a commencé. C'est là que j'ai commencé un petit-garçon heureux dans une famille parfaite, alors ma mère s'est empoisonnée et a commencé à battre et à abuser de David, alors moi. J'étais jeune pour me battre, alors pendant ce temps, c'était tout physique et émotionnel. David a trouvé sa grâce salvatrice et est parti. J'étais toujours coincé dans cette chambre de torture d'un ménage, coincé dans une famille tordue et dysfonctionnel



Salt Lake City, Utah

Lorsque moi et ma «famille» ont déménagé dans l'Utah, l'abus a continué. J'ai gardé mes anciennes habitudes de drogue et d'alcool, et les abus ne s'arrêtent pas. Ma mère a été incapable de m'empirer physiquement puisque j'étais plus gros et plus fort que lui maintenant, mais l'abus émotionnel m'a frappé tous les jours. C'est la ville où j'ai presque pris ma vie à plusieurs reprises, mais Darlene et John nous ont sauvés. C'est la ville qui a commencé mon rétablissement à être un être humain normal.
Lien : http://richardpelzerreport.w..
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

De prédateur et à être la nouvelle proie, il y avait qu’un pas, un événement, un départ.Ce témoignage laissé par Richard Pelzer nous explique comment un être devient un bourreau et également la victime…

Poignant et révoltant, on se demande comment ils ont rien fait pour ne pas placer la maman dans un endroit spécialisé où elle aurait été hors d’atteinte de mettre la main sur ses enfants.

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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Comment ne pas rentrer dans cette histoire, comment ne pas vivre ce cauchemar avec ce petit garçon, comment ne pas vouloir crier haut et fort à son entourage de réagir, comment ne pas se demander s'il se passe la même chose chez nos voisins ? Un récit rempli d'émotion dont personne ne peux sortir indemne.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Dans les années 70, deux frères, Dave et Richard Pelzer, d'une fratrie de cinq garçons, ont été l'un après l'autre le souffre-douleur de leur mère alcoolique et psychologiquement dérangée.

Ils habitaient la petite maison rose du 40, Crestline avenue, à Daly City en Californie. La maison est floutée sur Google Map.

Ils ont tous les deux écrits le récit de leur enfance :

- Dave a écrit "A child called 'it'" (enfance), "The lost boy" (familles d'accueil 12-18 ans) et "A man named Dave" (vie d'adulte, non traduit en français) ;

- Richard a écrit "A brother's journey" (enfance et adolescence).

Alors que Dave a été sorti de sa famille à 12 ans par les services sociaux, Richard y est resté.

Chacun confirme ce que l'autre a subi. Cependant, la grand-mère maternelle et Scott, le "chouchou" de la mère, ont nié vivement les violences. Par ailleurs, certains sceptiques leur ont reproché une construction habile et le maintien en haleine du lecteur dans une ambiance cauchemardesque dans le seul but de générer les dizaines de millions de dollars récoltés dans le monde.

Pour ma part, j'ai lu beaucoup de récits de vie et je trouve que ceux de Dave et RIchard Pelzer font partie des plus intéressants.

Je pense qu'ils sont tous les deux doués pour l'écriture, ce qui est fréquent quand on a souffert, d'autant plus que Richard, en plus, était roux et bégayait. D'ailleurs, Dave a écrit ensuite "The privilege of youth" (non traduit en français), et tous les deux sont spécialisés dans la maltraitance infantile et la reconstruction de soi.

Reconstruction et résilience.

Dans son 2ème livre, Dave raconte comment il s'est reconstruit auprès des familles d'accueil et dans le travail en mettant à profit les qualités qu'il a développées durant sa survie.

Dans son livre, Richard montre extrêmement bien comment on peut rester paralysé par la peur au point de subir les coups et les insultes sans se défendre, alors qu'on est plus grand et plus fort que sa mère physiquement et qu'on pourrait l'envoyer valser d'un seul coup de poing. Il en comprend la raison vers l'âge de 16 ans et la dévoile à la fin de son livre.

Petite cerise sur le gâteau : la foi en Dieu n'est pas développée dans les récits de Dave et Richard ; mais comme d'autres auteurs passionnants dont j'ai lu le récit d'une vie douloureuse, notamment américains et irlandais, ils l'ont acquise. Ceci confirme l'idée que la douleur permet de comprendre la souffrance du Christ sur la croix et de toucher le mystère de Dieu.

Une belle maison dans une banlieue tranquille, un père respecté grâce à son métier, des enfants scolarisés qui travaillent bien, une voiture, un jardin, bref une famille en apparence sans problème mais qui cache des douleurs, c'est un peu ma propre enfance et c'est sûrement pour cette raison que l'histoire des Pelzer me touche autant.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Recit touchant d un enfant maltraité subissant divers sévices dune mère alcoolique et l aberration du système de protection de l'enfance, il y a quelques années. J ai beaucoup aimé
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Trop long
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Poignant ! C’est le mot qui résume le mieux ce livre. Dans les années 70, Richard est un petit garçon qui voit son frère ainé David, être traité de la pire des manières, battus par leur « mère ». Lorsque David est placé en famille d’accueil par les services sociaux, c’est au tour de Richard d’être maltraité.



Durant ma lecture, j’avais de la peine pour cet enfant et me disais que ça ne pouvait pas être « pire » au fil des pages. Et pourtant, elle y va toujours plus loin dans ces actes, jusqu’à envoyer Richard à l’hôpital. Je me suis posée mille et une questions: Pourquoi ? Pourquoi les services sociaux, les voisins, la famille, les enseignants ont-ils pu laisser faire s'en réagir ?



Un livre à découvrir en ayant le coeur bien attaché.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Redigant mon mémoire sur la violence infantile intrafamilial, ce livre m'a beaucoup aidé dans mes recherches. Il faut prendre en compte que l'histoire commence à dater, mais il nous décrit tellement bien ge que l'enfant maltraité ressent qu'on en oublie les différence d'époque. Je recommande vraiment ce livre pour comprendre les blessures cachés de ces enfants maltraités.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Douloureux, bouleversant et révoltant. Un témoignage poignant.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Quand la réalité dépasse la fiction... Pourquoi a-t-on la sensation, en lisant ce livre, d'être devant un mauvais polar ? Parce que l'auteur n'a pas cherché à styliser son récit. Ce qui fait de ce témoignage quelque chose de prenant, qui empêche de décrocher malgré les répétitions, les contradictions parfois.

Et puis il y a l'incompréhension : comment une mère peut-elle faire ça à son propre fils (à ses fils en l'occurrence, le frère aîné ayant lui aussi rapporté les sévices qu'il a subi dans un témoignage antérieur) et surtout comment a-t-il été possible que, dans un pays développé comme les Etats-Unis (même dans les années 70), personne ne soit intervenu (et n'a été par la suite inculpé de complicité ou de non assistance à personne en danger) malgré la connaissance de la maltraitance dans ce foyer.

On regrette donc que l'auteur/victime n'ait pas étayé son livre avec des questions posées à ses professeurs de l'époque, les voisins, etc. (mais écrire sa souffrance passée est déjà un défi) Mais surtout, on regrette cette fin qui ne nous apprend rien sur la fin des sévices, la façon dont il s'y est pris pour stopper sa mère (on en est pourtant à espérer qu'il la fasse internée, ce qui ne sera apparemment pas le cas), sur la suite de sa vie également.

Un récit donc poignant et édifiant qui cependant nous met en position de lecteur d'histoires sordides un peu voyeur (je ne lirais pas de fictions policières avant quelques temps en tout cas).
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

C'est un témoignage bouleversant, mais aussi terrifiant et encore plus révoltant .. Richard a eu le courage de raconter son enfance, celle d'un enfant battu par sa mère .. Cette dernière lui faisait subir des choses atroces, l'a même envoyé a l'hôpital complètement mourant ! C'est vraiment horrifiant ! Mais le pire dans cette histoire c'est que tout le monde savait les mauvais traitements qu'endurait Richard, même sa propre famille, mais personne n'a rien fait .. Ce témoignage est super tout de même car je pense que l'on devrait encore plus en parler actuellement car souvent la peur tétanise l'enfant qui n'ose pas parler, tout comme Richard ..
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..



Ce roman-ci, comment mettre un "avis" quand au degré d'enthousiasme que j'ai ressenti en le lisant ? Impossible... Ce n'est pas un roman "sympa", ça ne peut pas être un coup de cœur... Et cependant il est inoubliable, et je suis contente de l'avoir lu. Une lecture pleine de réticence, pas envie de tourner la page pour savoir ce qui attend ce petit garçon, je n'ai pas une âme de voyeuse alors c'est nauséeuse que j'ai avancé dans les pages et les tortures que cette dénommée "Maman" inflige aux siens, noyée dans son alcool et sa haine.

Les larmes aux yeux, c'est comme ça que se lit "pour ma mère je n'étais rien", avec une grosse boule d'horreur et de colère qui grandit dans le ventre. Et les voisins , qui savent et qui ne disent rien ? Et la famille de Maman ? Et les instits, qui voient les bleus, les traces de coups, et qui le laissent rentrer chez lui tous les soirs...

Même après le placement d'un de ses aînés en famille d'accueil, on lui laisse quatre autres garçons à élever, à "Maman"... Mais sans son premier souffre douleur, sa Chose, elle n'est pas transformée pour autant, ne rêvons pas : c'est à Richard qu'elle s'en prend désormais, lui qui jusque là, pour éviter les raclées, pour survivre, faisait ses quatre volontés, et torturait Chose, lui aussi.

C'est un témoignage d'une grande violence,le narrateur raconte les coups et les tortures sadiques qu'inventait sa mère d'un ton en apparence froid et détaché, presque clinique quand il évoque ses blessures. Là où on ressent le plus d'émotion, c'est quand Richard évoque cette culpabilité brûlante d'avoir maltraité son frère aîné lui aussi et son sentiment d'impuissance à quitter la maison.

L'auteur a tenté de comprendre pourquoi il n'était pas parti plus tôt. Pourquoi il avait si peur, et surtout de quoi il avait si peur.

J'ai refermé ce livre avec soulagement, parce qu'autant de souffrance, autant de perversion d'une mère envers ses enfants, ça lacère le ventre, ça donne envie de hurler.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Il a une mère alcoolique mais aussi des insultes, des coups,... tout le temps; il vit dans les pleurs, les cris,... sa vie? elle est tout simplement construite de points d'interrogations essayant de comprendre la réaction de sa maman !
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

je lis beaucoup de récit autobiographique, mais celui-ci est celui qui m'a le plus touché.

Richard raconte avec une telle franchise qu'on ne peut que être touché au plus profond de soi

comment peut-on faire ça à son propre enfant, et comment peut -on laisser faire ça à côté de chez soi??
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Dans les années 70, deux frères, Dave et Richard Pelzer, d'une fratrie de cinq garçons, ont été l'un après l'autre le souffre-douleur de leur mère alcoolique et psychologiquement dérangée.

Ils habitaient la petite maison rose du 40, Crestline avenue, à Daly City en Californie. La maison est floutée sur Google Map.

Ils ont tous les deux écrits le récit de leur enfance :

- Dave a écrit "A child called 'it'" (enfance), "The lost boy" (familles d'accueil 12-18 ans) et "A man named Dave" (vie d'adulte, non traduit en français) ;

- Richard a écrit "A brother's journey" (enfance et adolescence).

Alors que Dave a été sorti de sa famille à 12 ans par les services sociaux, Richard y est resté.

Chacun confirme ce que l'autre a subi. Cependant, la grand-mère maternelle et Scott, le "chouchou" de la mère, ont nié vivement les violences. Par ailleurs, certains sceptiques leur ont reproché une construction habile et le maintien en haleine du lecteur dans une ambiance cauchemardesque dans le seul but de générer les dizaines de millions de dollars récoltés dans le monde.

Pour ma part, j'ai lu beaucoup de récits de vie et je trouve que ceux de Dave et RIchard Pelzer font partie des plus intéressants.

Je pense qu'ils sont tous les deux doués pour l'écriture, ce qui est fréquent quand on a souffert, d'autant plus que Richard, en plus, était roux et bégayait. D'ailleurs, Dave a écrit ensuite "The privilege of youth" (non traduit en français), et tous les deux sont spécialisés dans la maltraitance infantile et la reconstruction de soi.

Reconstruction et résilience.

Dans son 2ème livre, Dave raconte comment il s'est reconstruit auprès des familles d'accueil et dans le travail en mettant à profit les qualités qu'il a développées durant sa survie.

Dans son livre, Richard montre extrêmement bien comment on peut rester paralysé par la peur au point de subir les coups et les insultes sans se défendre, alors qu'on est plus grand et plus fort que sa mère physiquement et qu'on pourrait l'envoyer valser d'un seul coup de poing. Il en comprend la raison vers l'âge de 16 ans et la dévoile à la fin de son livre.

Petite cerise sur le gâteau : la foi en Dieu n'est pas développée dans les récits de Dave et Richard ; mais comme d'autres auteurs passionnants dont j'ai lu le récit d'une vie douloureuse, notamment américains et irlandais, ils l'ont acquise. Ceci confirme l'idée que la douleur permet de comprendre la souffrance du Christ sur la croix et de toucher le mystère de Dieu.

Une belle maison dans une banlieue tranquille, un père respecté grâce à son métier, des enfants scolarisés qui travaillent bien, une voiture, un jardin, bref une famille en apparence sans problème mais qui cache des douleurs, c'est un peu ma propre enfance et c'est sûrement pour cette raison que l'histoire des Pelzer me touche autant.
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Pour ma mère, je n'étais rien : Survivre à la mal..

Un livre difficile à lire surtout lorsqu’on connait l’histoire de David qui plus tard a écrit son histoire (le moins que rien). Deux enfants qui ont souffert de maltraitance dans une même famille et sans qu'aucune enquête ne soit entreprise. Mais il est vrai que les services sociaux à l'époque… comme si les parents avaient tous les droits. Et les voisins et la famille qui se taisent, ca aussi c’est difficile à comprendre. Et les frères et sœurs qui se liguent contre le mal-aimé afin surement de dévier l'attention et d’être épargné. Effectivement, c’est un livre difficile à lire mais je vous le conseille
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