Richard Preston

Ebola rappel fortement le texte : Virus du même auteur .

C'est deux lectures fascinantes et captivantes sur les problématiques en rapport avec Ebola et autres virus aussi virulents et apparentés.

Ce sont des rétrovirus qui passent allègrement à certaines occasion des primates à l'homme et qui sont retors aux plus haut point.

Rien n'est faut dans ce livre qui relève du journalisme romancé. Cela fait penser au genre documentaire-fiction en audiovisuel.

Par nature le sujet dégage du sensationnel. C'est vraiment une lecture aussi riche que hallucinante.

Les épidémies qui ont frappées encore récemment l'Afrique de l'ouest sont des catastrophes épidémiologiques purement et simplement.

Une épidémie qui n'a concerné que les singes a été très virulente et le rétrovirus à muté pour se rependre par les voies respiratoires.

C'est une plongée fascinante dans le monde des rétrovirus et des laboratoires de haute sécurité où sont conservés et étudiés ces virus à haut risques.

L'auteur est spécialiste du sujet qu'il connait de longue date . Je recommande sans réserves son texte intitulé :Virus qui vaut son poids de moutarde même si il est épuisé aujourd'hui.

Ces virus sont de la même famille que le sida dont ils divergent par leurs fulgurances. En effet ils transforment le moindre patient en un ectoplasme de sang . Le corps est transfiguré et présente pratiquement un aspect liquide à cause des plaies hémorragiques (internes comme externes) et du fait des fluides corporels qui s'évacuent à flots.

Le taux de survie est variable et en fonction de différents facteurs (Virus incriminé et soins) ,il va de un sur dix à un sur deux.

Une sacré saleté cette invention de mère nature qui le jour de la création de ces virus a dû se lever du pied gauche.

Sincèrement c'est pire que la peste dite noire au moyen-âge . La seule limite naturelle à l'expansion d'une épidémie de ce type (hors Ebola-Zaïre) c'est la fulgurance avec laquelle elle frappe les malades qui deviennent en un rien de temps des bouillons de culture virale hyper contaminants.

Depuis le 5 février 2020 il existe officiellement en France un vaccin préventif contre la souche Ebola-Zaïre.

Ps: Si vous faite un tour en Afrique ne mangez pas du singe ….

En principe, j'adore les livres de M. Crichton. Il réunit tous les éléments que j'aime retrouver dans une lecture : une belle aventure, des personnages atypiques, des éléments scientifiques, un brin de SF ou de fantastique, et la plupart du temps, j'y apprends des choses.

Dans ce livre là, rien de tout ça, sauf les éléments intéressants que l'on apprend en entomologie.

L'aventure est des plus classiques, les personnages sont stéréotypés, le méchant est très méchant, les gentils se font éliminer en 1ers, les étudiants sont plus naïfs qu'un lapin de 2 semaines (mettez vous là que je vous réduise à la taille d'insectes ! OK, comme ça c'est bien ? Oui, ne bougez plus !).

Bref, je n'y ai pas trouvé mon compte. Déçue de cette lecture L'excuse que ce soit un autre auteur qui ait fini l'écriture de ce livre n'est pas valable puisque de son coté, R. Preston a publié de très bons romans. Alors, que s'est il passé ? Cela restera un mystère...



Pioche de juin 2021 choisie par Laehb80

Roman inachevé de Mickaël Crichton, poursuivi et mené à bien par Richard Preston, cet ouvrage est passionnant à tout point de vue, même si le lecteur- à moins qu'il n'ait de sérieuses connaissances en matière de biologie, et plus particulièrement, en ce qui concerne le monde des insectes et autres petites bêtes- ne comprend pas tout. De toute manière, là n'est pas le plus important puisqu'il réussit néanmoins à saisir l'essentiel de l'histoire.



Sept jeunes jeunes chercheurs américains, qui sont sur le point d'achever leurs études sont contactés par une très grande entreprise (par l'intermédiaire du frère de Peter, l'un des protagonistes) pour travailler pour elle et poursuivre des recherches de grande envergure à Hawaï. L'offre est très alléchante et tous s'engagent donc dans ce qui va être, pour la grande majorité d'entre eux, leurs dernières recherches. L'entreprise pour laquelle ils devront travailler, Nanigen, est en effet censée faire des recherches pour le monde pharmaceutique mais, si derrière ce rideau, se cachait en réalité une réalité toute autre et bien plus dangereuse pour l'espèce humaine ?



Un roman haletant, très bien écrit et dans lequel le lecteur s'instruit énormément. La dernière merveille de Mickaël Crichton...à découvrir !

"Micro" est l'un de mes romans préférés de Michael Crichton. Si en lisant le résumé en quatrième de couverture vous imaginez un remake de "chérie j'ai rétréci les gosses", rassurez-vous, cet ouvrage est bien plus fin que cela :).



En effet, l'auteur profite de la miniaturisation de ses personnages pour nous dresser un portrait absolument passionnant de la vie à l'échelle microscopique, et l'on frissonne face aux dangers que les héros vont devoir affronter.



Il y a aussi une très chouette romance, qui m'avait laissé songeur et rêveur.



Bref, j'ai eu du mal à refermer ce livre, j'étais déçu de l'avoir terminé, et c'est toujours bon signe ! :)

Ils sont sept.

Sept étudiants de l’université de Cambridge dans le Massachusetts qui ce jour là voient débarquer Eric le frère de l’un d’eux.

Eric est le vice-président de Nanigen, une entreprise de très haute technologie basée à Hawaï dont le Président Vin Drake cherche de nouvelles recrues pour un projet top secret.

Après quelques heures d’hésitation, ils acceptent tous de partir à Hawaï pour se renseigner avant de s’engager définitivement.

Mais alors que leurs bagages sont prêts, Peter reçoit un message de son frère Eric l’enjoignant de ne pas venir.

Cependant, Peter qui vient d’apprendre par la fiancée d’Eric que ce dernier a disparu en mer se précipite à Hawaî suivi par ses amis.

Très vite, Peter se rendra compte qu’il y a un problème avec la disparition d’Eric.

Comment un marin chevronné et de surcroît excellent nageur comme lui a-t-il pu disparaitre à quelques mètres de la cote ?

C’est un enregistrement téléphonique qui donnera à Peter un début de réponse qui le conduit tout droit jusqu’au patron de Nanigen.

Vin Drake se voyant alors découvert, fera en sorte que les étudiants soient « rétrécis » et disparaissent dans le nanomonde.

Il leur faudra toutes leurs connaissances et leur courage pour réussir à survivre dans la forêt tropicale hawaïenne dans laquelle tout devient monstrueux pour eux qui ne mesurent plus que quelques millimètres.

Un bon livre même si on ne peut se défaire d’une impression de déjà vu.

Une belle aventure !



Personnellement j'ai beaucoup aimé ce livre. Dans le plus pur style de Crichton, Micro ne déçoit pas, bien au contraire.



Peu de critiques, peu de lecteurs, on dirait bien bien que le consommateur n'apprécie que très peu cette opération commerciale menée sans complexe et pour laquelle le nom de l'auteur mort prend à lui seul la moitié de la page de couverture.



En fait peu importe, on en a pour son argent, continuez comme ça M. Crichton, même mort vous faites toujours beaucoup mieux qu'un paquet d'auteurs vivants :-)



Dans la lignée de Jurassic Park ou Prisonnier du temps, nous voici à nouveau plongé dans une aventure originale qui reprend les même ingrédients avec beaucoup de réussite, a condition qu'on aime ce style d'aventures fantastiques.



Un méchant (pour pas dire salopard) très riche et qui gère une entreprise de très haute technologie, capable de prouesses techniques, va permettre et contraindre nos 7 héros à participer, bien malgré eux à cette aventure dans le monde des insectes qui va se révéler être une randonnée mortelle doublée d'une course contre la montre.



Histoire originale, ce livre se dévore très vite tant on est captivé par l'intrigue et les rebondissements qui se succèdent.

Mon premier Crichton (enfin, pas complètement un livre de Crichton, puisqu'il est décédé avant de l'avoir achevé). Très agréable à lire mais trop basique dans son écriture. L'idée de départ est bonne, confronter des humains miniaturisés face aux dangers de la forêt et plus particulièrement aux insectes. L'histoire est prenante, et le bouquin plaisant à lire, et le tout est riche en rebondissements et sans temps mort. Par ailleurs, les infos scientifiques sur les insectes distillées au cours des aventures sont intéressantes, on sent que l'auteur a fait quelques recherches sur le sujet. Pourtant, entre éléments trop prévisibles et personnages manquant de complexité, ce récit manque d'ambition pour vraiment marquer le lecteur. Un techno-thriller, comme on dit, sans surprise mais prenant, idéal pour les vacances.

Je découvre aujourd'hui le terme «techno-thriller» même si je suis friande du style depuis longtemps! Michael Crichton est malheureusement décédé à peine ce roman commencé et c'est Richard Preston qui a pris sa suite. On ne ressent pas du tout le changement de plume et on reste happé par l'intrigue. Comme pour Jurassic Park cela ferait un super film... il paraît que Steven est sur le coup!

En plus d'un roman passionnant vous avez le droit à un cours d'entomologie ! Que demander de mieux ! Bien sur il faut s'intéresser à ces petites bêtes mais même si la vie de la fournie ou du puceron ne vous passionne pas il reste cette histoire de ces étudiants réduit à presque rien qui doivent non seulement se battre contre les petites bestioles qui aimeraient en faire leur déjeuner mais aussi contre un très méchant qui les poursuit de façon implacable. Les personnages sont intéressant bien que l'on devine vite les affinités sous-jacentes entre les personnages. C'est de la pure science fiction mais bien construite à la limite du possible, comme je l'aime.

Des dinosaures aux insectes, du nouveau médoc à l'arme fatale, il y a juste un immense pas dimensionnel et l'auteur l'a franchi.

Quoi de mieux qu'une micro-arme pour tuer en toute impunité...

Quoi de mieux qu'un micro-homme pour découvrir la nature dans toute sa beauté, sa puissance, sa cruauté aussi...

Et tous nos sens sont mis à contribution : l'odorat pour reconnaître les différentes effluves des plantes et des venins aussi ; le toucher pour se rendre compte de la dureté des carapaces, de la douceur des feuilles, de la solidité d'une goutte d'eau ; l'ouïe, et la découverte de la cacophonie de la nature ; la vue qui n'a pas assez d'yeux pour absorber la diversité des insectes, des plantes, des plus sublimes ou plus hideux; et le goût, car il faut survivre, et pourquoi pas une lampée de nectar ou un steak de sauterelle...

Bien écrit, bien rythmé, un livre qui se lit d'une traite...

En fait, Michael Crichton a laissé le canevas du livre avant de mourir et Richard Preston l'a développé avec brio tout en gardant l'esprit de l'auteur. J'ai bien envie de relire « Timeline » moi :-p

Acheté il y a quelques temps mais encore jamais lu, je me suis enfin décidée. Et j'ai bien fait. Michael Crichton et Richard Preston nous entraînent dans le micro-monde, celui de l'incroyablement petit. On découvre une nature qu'on ignorait et qui est tout de même assez extraordinaire. En plus, l'histoire est très bien ficelée, un bon thriller avec du suspense, des rebondissements et tout. Franchement, ça vaut le détour. Au final, on n'a plus envie de quitter ce micro-monde tant il est fascinant et incroyable. Par ailleurs, les auteurs nous apprennent beaucoup de choses au niveau scientifique, j'ai énormément appris en lisant ce livre. Je ne regrette vraiment pas ma lecture et je suis même un peu déçue de l'avoir déjà terminée...

Un groupe d’étudiants est rétréci et abandonné dans la forêt Hawaïenne peuplée de plantes dangereuses et d’insectes encore plus dangereux. Pour s’en sortir ils devront utiliser leurs connaissances en biologie. Quand l’univers de « Chérie j’ai rétréci les gosses » rencontre l’univers des « fourmis » de Bernard Werber nous obtenons ce très bon dernier roman de Michael Crichton.



L’idée de départ est bonne et même si je trouve la cause du rétrécissement du groupe un peu loufoque, cela se tient plutôt bien. La bibliographie présente à la fin du livre montre que l'auteur s’est (beaucoup) renseigné sur le sujet et cela rend l’épopée des personnages crédible et cohérente.

En parlant des personnages ceux-ci sont plutôt intéressants et je trouve que le psychologie des personnages autour de la survie en mode hostile est assez juste. Dans une même situations certains vont rester très calme alors que d’autres vont prendre des décisions moralement discutables voire complètement inconscientes.



Je me doutais bien que le petit groupe n’arriverait pas au complet à la fin de l’histoire et j’avais déjà ma petite idée sur les survivants, et pourtant, j’ai été surprise. Cette virée dans le micro monde était vraiment haletante.

Le seul bémol reste l’histoire d’amour qui à mon sens n’était pas du tout nécessaire et n’apportait pas grand chose au roman.



CHALLENGE ABC 2014-2015

Acheté il y a déjà quelques temps, ça faisait un moment qu’à chaque fois que je choisissais un livre dans ma bibliothèque celui-ci me faisait de l’oeil. J’ai fini par craquer, et c’est réellement avec grand plaisir que je me suis replongée dans un Crichton.



Comme je l’ai dit lorsque j’ai chroniqué Jurassic Park & Le Monde Perdu, ce que j’aime avec Crichton et ses technos-thrillers, c’est que punaise, il sait de quoi il parle. Et il prend des risques en abordant des sujets très complexes. Ce n’est pas juste une enquête policière où on demande à l’auteur d’avoir quelques connaissances légales et des pratiques du métier ! Non, ici, Crichton s’est imprégné de l’univers de scientifiques ayant des champs d’études variés : la botanique, les scarabées, les araignées, les systèmes de défense des plantes… Et a mélangé tout ça avec l’univers de la très haute technologique et la miniaturisation. Autant dire qu’on ne peut pas pondre un roman de cet acabit à partir de rien, il a dû en passer du temps à étudier tout ça… En tout cas, l’histoire qui en sort est juste top !



Micro, c’est donc l’histoire de Vin Drake, scientifique ayant réussi dans le domaine de la nano-technologie (nano voulant donc dire de taille microscopique). Grâce à son équipe et à l’invention d’un générateur qui miniaturise êtres vivants & machines, Nanogen est partie à la conquête d’horizons jusqu’alors inexplorés. L’homme a découvert une bonne partie de ce qu’il y avait à voir aussi bien dans les airs, dans l’eau que dans les terres. C’est vrai, mais c’est vrai à notre échelle. Que découvririons-nous si on était à peine plus grands qu’un centimètre ? Acariens, bactéries, insectes jusqu’alors invisibles à l’oeil nu…



C’est le pari fou de Vin Drake, qui pense pouvoir utiliser ses nouvelles découvertes pour créer de nouveaux médicaments. Du moins, ça, c’est la version officielle…



Voilà donc que suite à un recrutement, plusieurs étudiants se retrouvent envoyés sur l’île où se situe Nanogen afin de visiter l’entreprise… Sauf que cette visite va tourner à la catastrophe. Les étudiants, après avoir appris la mort d’Eric Jensen, qui travaillait au sein de l’entreprise et qui est le frère de l’un d’eux, se retrouvent miniaturisés et envoyés dans la nature, où chaque goutte de pluie, chaque fourmi devient un danger mortel…



Avouez que ça donne envie hein ! Hé bien sachez que Crichton a sû rendre le tout hyper réaliste, on s’inquiète avec nos personnages, on s’imagine très bien caché derrière une petite feuille à attendre qu’une guêpe passe son chemin. C’est vivant, ça grouille de partout et c’est plein d’action. Action qui certes, à notre échelle parait insignifiante, mais en immersion dans ce monde, c’est juste passionnant.



Bon, il se trouve par contre que cette oeuvre est restée inachevée par Crichton, et que Richard Preston s’est chargé de la terminer. Je ne sais juste pas à quel moment Preston prend le relai, ni même s’il n’intervient qu’à la fin. J’ai crû déceler un petit changement dans la rédaction vers la fin du roman, mais je n’en suis vraiment pas sûre.



J’ai ADORE le fait que Crichton ne reste pas sur ses acquis et n’ai pas peur de sacrifier certains de ses personnages. On peut dire que ça créé un sacré suspense et d’énormes rebondissements, souvent inattendus. Par contre, toute petite déception, (mais vraiment petite !) j’ai l’impression que la fin a été un peu… Bousculée ? Je ne dirais pas bâclée, parce qu’elle reste vraiment dans le thème et ne fait pas brouillon, mais je m’attendais simplement à davantage exploiter cette partie du roman.



Inutile de dire que j’adore l’écriture de l’auteur, j’adore refermer un livre en ayant appris des choses EN PLUS de m’être divertie. Cet auteur devient vraiment un de mes préférés, j’ai hâte de lire d’autres romans de lui !
Lien : http://www.chroniques-livres..

Je lis rarement ce genre de bouquin, mais pour le coup, j'ai été fasciné ! Les premières pages m'ont tout de suite accroché, et bien que ce soit un documentaire, il est écrit comme un roman ; j'avais vraiment l'impression de lire un roman d'aventure. J'ai été transporté au fin fond de la jungle, à la recherche des débuts du virus Ebola, à la rencontre des chauves souris, des singes, des populations d'Afrique, des scientifiques, des expériences malheureuses ; bref, j'ai eu un coup de cœur très étonnant pour ce livre ^^

Un roman passionnant tant par le sujet, certes déjà éprouvé dans la littérature et le cinéma, que par l'action qui tient vraiment le lecteur en haleine jusqu'au dénouement. Chaque nouvelle péripétie des personnages miniaturisés est un moment d'angoisse, puis de soulagement jusqu'à l'apothéose finale. Pas de happy end pour tous cependant.

Si vous n’aimez pas les insectes et les araignées, Micro n’est pas pour vous! Après avoir assisté à des aveux compromettant de la part de Vin Drake concernant la mort du vice-président de Nanigen, Eric Jansen, sept étudiants dont le frère de la victime sont réduits en êtres minuscules (environ un centimetre et demi) et lachés en pleine forêt hawaïenne… Le monde qu’ils étudiaient au microscope devient immense et dangereux… Après cette lecture, vous ne regarderez plus les fourmis, les milles-pattes, les guêpes et toutes ces petites bêtes du même oeil… Combien s’en sortiront vivants? Quels seront les moyens mis en oeuvre par Vin Drake pour garder son secret? A quoi vont servir toutes les recherches en nanotechnologie de Nanigen? Toutes ces questions ne vous quitteront pas pendant la lecture de ce roman. Cependant, les lecteurs peu adeptes (comme moi) de la recherche sur les insectes pourront être un peu perdus dans la masse d’informations biologiques.



Suite au décés de Michael Crichton, Richard Preston a continué l’écriture de Micro. On aurait pu croire à un déséquilibre, mais non… Le lecteur ne s’aperçoit pas du changement de plume pendant la lecture et le rythme assez soutenu reste le même au fil des pages.



Micro est un roman haletant qui ne vous fera pas regretter d’avoir écrasé des fourmis (par mégarde ou non)…


Lien : http://mapetitebibliotheque...

J’ai absolument adoré Micro, j’ai trouvé ça pertinant et crédible malgré l’aspect science-fiction. J’ai eu l’impression de lire Jurassic Park (du même auteur) mais dans le micro-world. J’ai découvert que Michael Crichton était mort durant l’écriture du livre et que Richard Preston avait repris l’écriture et bien je ne trouve que ça ne se connait absolument pas dans le récit.
Lien : https://mellecupofteabouquin..

Dernier roman de Michael Crichton, malheureusement inachevé.

On y retrouve un thème cher à l'auteur : les merveilles de la nature, les nouvelles technologies, et comment l'être humain va tenter d'exploiter cela avant que cela ne se retourne contre lui ...

Si Crichton avait mené seul ce thriller jusqu'au bout, on aurait eu un chef d’œuvre comme à son habitude, mais ce n'est pas le cas. Derrière l'impact commercial de reprendre son travail inachevé, j'en reste heureuse d'avoir pu découvrir ses derniers travaux.

Vraiment pas terrible, cette version gore de "chérie, j'ai rétréci les gosses"... De bons moments où les insectes et leurs prédateurs s'occupent des étudiants assez stupides pour se laisser rétrécir sans se méfier ! Les méchants sont sans scrupules, les bons ont tendance à ne pas faire de vieux os. Un couple s'en sortira de justesse. Le problème de ce roman : beaucoup de documentation sur les nanotechnologies, les insectes et micro-organismes et surtout des rebondissements périmés depuis au moins 100 ans. Je l'ai quand même lu jusqu'au bout.

Suite à une intrigue démoniaque, sept étudiants et chercheurs de diverses disciplines sont réduits en êtres minuscules et lâchés en pleine forêt hawaïenne. Le monde qu’ils étudiaient au microscope devient immense et hautement dangereux. Et les gentils petits insectes, fourmis et araignées, sont désormais des monstres sans pitié. Recherches en nanotechnologie et en biologie font de ce roman un document intéressant qui reste avant tout une fiction, belle construction digne de Jurassic Park.

Suite au décés de Michael Crichton, Richard Preston a continué l’écriture de Micro. Ce changement de plume ne perturbe pas le rythme soutenu d'un roman souvent inquiètant mais qu'on ne laisse pas facilement de côté.