AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Rod Rees (27)


La guerre est le jeu des hommes politiques, le délice de prêtres, l'amusement des hommes de loi, le bonheur des mercenaires et, je viens de le comprendre, une cruelle farce d'ABBA.
Commenter  J’apprécie          432
Lorsqu'une femme veut séduire, elle doit ouvrir autant de bouton que le permet la décence... Plus un.
Commenter  J’apprécie          383
Il enfonça un doigt dans sa tourte. « Je t'en propose pas un morceau. Elle est un peu douteuse. La viande, je sais pas trop ce que c'est. Je crois qu'elle faisait « miaou » quand elle cavalait encore parmi nous... »
Commenter  J’apprécie          330
La clé de la joie réside dans la désobéissance. De part leur nature impétueuse, les jeunes ont pour fonction de remettre en question les enseignements de leurs aînés. C'est dans l'ordre des choses.
Commenter  J’apprécie          320
Quand on dîne avec le diable, faut prendre une cuillère archi-longue.
Commenter  J’apprécie          300
Ça t'es déjà arrivé de travailler dans ta vie ? (...)
Hein ? Comment ça « travailler » ?
Aller au boulot le matin, trimer toute la journée et rentrer chez toi le soir ?
Rivet éclata de rire. « Sois pas con, Vanka ! Sacré perte de temps, vu qu'il y a plein de trucs à faucher partout qui n'attendent que moi. Putain de bordel de merde, pourquoi voudrais-tu que je bosse ?
Commenter  J’apprécie          241
Plus jeune, elle rêvait du jour où son prince charmant l'emporterait sur son blanc destrier. De là à s'imaginer que ce prince serait gros, avec des dents écartées et une tendance aux flatulences...
Commenter  J’apprécie          220
La solitude... le prix à payer quand on dirigeait les autres...
Commenter  J’apprécie          210
Tu connais ce vieux proverbe, Rivet ? Celui qui se bat et prend la fuite...
… pourra se battre un autre jour ? Suggéra le jeune homme.
Mais non ! Celui qui se bat et prend la fuite ne se retrouvera pas avec un tisonnier brûlant dans le cul à cause de ces connards d'inquis.
Commenter  J’apprécie          210
Flegmatique ?
Ça, c'était un mot qu'Ella n'entendait pas tous les jours ? Un mot à dix dollars, alors qu'elle fréquentait une école de quatre sous. Pour les mecs avec qui elle zonait, être « flegmatique », ça voulait dire cracher sur le trottoir. Elle survola rapidement son dico mental des synonymes. Flegmatique alias cool.
Ouais, elle était cool. Avec un sang-froid si froid qu'il semblait sortir du frigo.
Commenter  J’apprécie          170
Quand c'est trop beau pour être vrai, c'est que c'est trop beau pour être vrai.
Commenter  J’apprécie          160
Elle sentait le poulet prêt à être enfourné, mais ce n'était rien comparé à la puanteur rance qui s'élevait du conduit. Un instant durant, elle crut qu'elle allait vomir. C'était la même odeur que pendant ces leçons de chimie – hydrogène sulfuré -, mais ici, les relents d’œuf pourri se trouvaient agréablement rehaussés par ceux des excréments.
Commenter  J’apprécie          130
La guerre n'est que de la diplomatie qui s'exprime d'une façon plus physique.
Commenter  J’apprécie          120
Quand Wysochi avait voulu savoir pourquoi on ne distribuait qu'un seul fusil pour deux, la réponse de Trixie n'avait pas manqué de le surprendre par son pragmatique brutal. Etonnant, de la part d'un homme qui l'était tout autant. « Nous n'avons pas assez de fusils pour tout le monde, sergent, lui expliqua la jeune fille. Et nous devons encore en fournir à l'Armée de Libération de Varsovie. Donc pour l'instant, l'un des deux combattants disposera du fusil pendant la journée et l'autre pendant la nuit. De toute façon, ils seront moitié moins quand nous aurons subi la première attaque des SS. Là, ils auront tous un fusil. »
Commenter  J’apprécie          110
J'espère qu'un jour viendra où la couleur de la peau n'aura plus aucune importance, où la religion sera considérée uniquement comme l'expression de l'âme, où le lieu de naissance n'aura plus de signification que le résultat d'un tirage au sort; un jour où nous naîtrons tous libres, où la compréhension ouvrira le chemin à l'amour et à la fraternité...
Commenter  J’apprécie          100
La NuJuphobie est une aberration psychique, une maladie héréditaire qui se transmet de génération en génération. Une tare incurable. On ne peut pas faire entendre raison à la haine.
Commenter  J’apprécie          80
Vanka, lui, s'était débrouillé pour rester le plus loin possible du front. Il ne croyait pas à la vie après la mort. Il trouvait plus judicieux de croire à la vie avant la mort...
Commenter  J’apprécie          80
Quand on est mort, on n'a plus aucune chance de remporter la victoire. Mieux vaut être un trouillard vivant qu'un héros mort.
Commenter  J’apprécie          61
- La mâleveillance coule dans vos veines. Vous risquez de vous comporter par inadvertance d'une façon stupide, ou violente. Il faut que des femmes vous accompagnent dans cette entreprise risquée, car les femmes, par l'expression de leur intelligence supérieure et de leur plus grande maturité, seront à même de vous guider dans vos choix et vos décisions.
Commenter  J’apprécie          50
- Il leur faut des héros, mademoiselle. C'est important. Une fille, une non-combattante, qui se bagarre comme une lionne et bat les meilleurs guerriers du Quatrième Règne, ça leur donne l'occasion de recommencer à croire.
- A quoi, sergent ?
- Que tout n'est peut-être pas aussi foutrement désespéré qu'on le pense...
Commenter  J’apprécie          50



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Rod Rees (113)Voir plus

Quiz Voir plus

Autobiographies de l'enfance

C’est un roman autobiographique publié en 1894 par Jules Renard, qui raconte l'enfance et les déboires d'un garçon roux mal aimé.

Confession d’un enfant du siècle
La mare au diable
Poil de Carotte

12 questions
151 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}