Ryuhei Tamura

Club N°53 : Manga non sélectionné mais acheté sur le budget classique

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En voila une série originale avec un duo assez improbable un policier et un homme dauphin.



Cette série ma fait penser au manga GetBackers.



On retrouve en effet un duo résolvant des enquêtes impliquant ici un monde marin assez farfelu dans une première moitié avant de basculer dans des affrontements entre personnages surpuissants sur les derniers tomes.



Samuel

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Histoire un peu tordue par les cheveux mais on y prend goût, l'intrigue s'épaississant.



Malheureusement trop court en 5 tomes !



Anthony

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Pas aimé ce genre d'humour.



Aaricia

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Lien : https://mediatheque.lannion...

« Beelzebub », Tome 1 (/28 : Série Terminée). Un manga de Ryuhei Tamura (Japonais né en 1980) ;Kazé-Crunchyroll éditions ; 208 pages



Hildegarde est une magnifique servante du « jeune maître » et tente de le récupérer, mais celui-ci a jeté son dévolu sur un « humain ». La servante démoniaque a un genre d’oiseau Nazgul (Akubaba).



Son nom est Kaiser de Emperana Beelzebub IV (le « jeune maître »)

C’est carrément un nourrisson mais pas n’importe lequel …

(Autrement dit, c’est le diable)

« La raison est simple… Tu as été choisi pour devenir… Le père du diable ! »



Quelqu’un doit s’occuper de lui et il va exterminer l’humanité. Parce que l’humanité, c’est trop relou, quoi…



« Ta gueule ! Reste sur ton perchoir à frimer ! On voit ta culotte ! »



Satan ressemble beaucoup à Pikachu ! Lol.



Tout le comique repose le sur le fait que les protagonistes sont largement sous-estimés. C’est répétitif et pas très drôle …

Phoenix

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Que faire quand on devient le père du diable? C'est ce que Oga va découvrir quand le bébé du diable va rentrer dans sa vie.



Beelzebub est un bon manga shônen, je ne suis pas déçu.

Tous les mangas ne se valent pas! Pas aussi prenant que Bathtub ou Chainsaw (lectures récentes). Une histoire très farfelue sur les dauphins. L'auteur établi tout un panel d'événements funs qui ne s'emboîtent pas forcément. Rien à ajouter... Je ne vais pas continuer.
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En refermant ce dernier tome, j'ai eu l'impression de quitter une famille.



Ce tome bonus est parfait pour terminer ce shonen exceptionnel qui va beaucoup me manquer.

Les différentes petites histoires montrent à quel point il restait de pistes à exploiter et d'aventures à raconter !



Il ne nous reste plus qu'à surveiller les prochaines publications de Ryuhei Tamura, en espérant qu'elles soient au moins à la hauteur de Beelzebub.

L'auteur de Beelzebub est de retour dans ma pile à lire avec un titre loufoque. Au premier abord, un flic au look de yakuza qui dégaine son arme à tout va se retrouve muté sur une île pour lever le pied. On commence déjà à se dire que l'auteur joue à 100% sa carte de l'humour puis un moment de bascule, son coéquipier : un dauphin-homme. Moment de doute, ce titre est un nouveau délire qui veut marquer l'esprit et ça marche plutôt bien car certains passages sont drôles, les "enquêtes" avec les créatures marines sont bizarres mais sympa à suivre. Série courte sans prise de tête et complètement déjantée.

Taiga est amoureux de sa voisine, Anna, depuis tout gamin. Mais leurs deux familles se vouant une compétition féroce, on leur a cruellement interdit de se fréquenter. Un jour, Taiga surprend Anna tentant de ressusciter Marie-Thérèse Charlotte, la fille de l’illustre Marie-Antoinette, par un rituel obscur. Frappé précisément à cet instant-là par la foudre, il constate qu’il est désormais prisonnier du corps de la jeune princesse. Son propre corps ne réapparaît que lorsque Marie-Thérèse a faim mais alors c’est l’esprit de la jeune femme qui le commande…

Je découvre l’univers de Rhûyei Tamura avec ce premier tome de Hungry Marie, excentrique, absurde et empli d’humour. Mais comme la majorité des premiers volumes, il reste introductif. Après, cette idée de "corps partagé" donne lieu à des scènes saugrenues et particulièrement cocasses. On se demande évidemment comment nos deux personnages, aux tempéraments opposés, réussiront à cohabiter et à récupérer leur propre enveloppe charnelle…

Cela dit, ce n’est pas seulement une comédie farfelue, c’est aussi – et surtout – une histoire d’amour. Il y a un petit air de Capulet et Montagu dans ces deux familles qui se haïssent et se crient dessus, plantées à leurs fenêtres. Les personnages sont attachants et de nombreuses références modernes sont distillées dans le texte. Quant aux dessins, ils restent très traditionnels pour du shônen mais ravissants : les robes d’époque et les scènes de combats, en particulier, sont un vrai bonheur à contempler.

Au final, voici un premier tome coloré, pétillant et gorgé d’action, aussi déconcertant qu’attendrissant. Ce mélange de romance, de magie noire et de personnage historique pourrait désorienter, mais c’est justement ce que j’ai aimé: que ce manga en fasse presque trop, qu’il soit théâtral, improbable et ébouriffant. Avec un scénario aussi ambitieux et loufoque, impossible de ne pas lire la suite, évidemment… Un grand merci à Babelio et aux éditions Kazé pour cette découverte.

Enfin le grand défi pour rencontrer le vrai père Noël a lieu, ou plutôt une succession de défis plus débiles les uns que les autres ! J'ai encore une fois ris aux éclats !

''Badass Cop and Dolphin'', c'est l'histoire d'un flic de Tokyo, muté dans une petite île paumée, qui se retrouve à devoir faire équipe avec un dauphin pour stopper une pieuvre poseuse de bombes... si si...



En lisant le résumé de ce manga, j'avais pressenti le côté fun et loufoque, mais j'étais encore bien loin de la réalité. Ici, on est vraiment sur du très déjanté et du gros n'importe quoi, le genre ''plus c'est gros, plus ça passe'', et justement ça passe très bien ! Rien n'est pris au sérieux, les personnages sont caricaturaux, tout est poussé à l'excès dans le concept, et pourtant je trouve que tout ce joyeux bordel colle bien et offre des petites enquêtes totalement loufoques. Avec le personnage de Chako, on devine déjà que l'histoire de fond suivra le Culte de la Mer et les pouvoirs de la petite, et j'ai hâte d'en découvrir davantage.



En plus d'une histoire loufoque, le manga multiplie également les clins d'oeil à la pop culture et autres références qui valsent dans tous les sens. On peut déplorer le côté fan-service qui tourne autour de Umi et sa poitrine, mais sans que ça ne devienne très gênant non plus.



En bref, un manga totalement foufou qui se suit bien et qui vide la tête.

Une nouvelle série chez Kazé qui nous entraîne sur une île, a priori paradisiaque, mais rien ne nous a vraiment préparé à tout ce qui nous attend. C'est très fun, déjanté, ça peut même sembler complètement fou, et impossible de ne pas lâcher au moins un petit rire à un moment donné. Sur le plan personnel, je me serai passé des côtés un peu en-dessous de la ceinture, des remarques sur la policière Umi, et le côté focalisé sur sa poitrine. Heureusement, ça reste léger.

La série est prévue en 5 tomes, au moins on sait à quoi on s'engage en terme de volume. Le mangaka TAMURA Ryûhei, vous l'avez peut être déjà croisé sur "Beelzebub" et/ou "Hungry Marie".

Le graphisme est agréable, quelques détails sont joliment travaillés, déjà autour du dauphin, également du côté badass, par exemple comme des giclées de sang sur les bulles de texte.

L'histoire multiplie également les références de toutes sortes.

Quand nous commençons, nous faisons la connaissance de Boyle Samejima, nous sommes en plein cœur de Tokyo, ce n'est pas tout à fait la même ambiance. Mais très vite, il va se faire envoyer sur l'île, je vous laisse découvrir cela en détail. Il faut savoir qu'il aime le mode badass, utiliser ses poings, et n'a pas trop l'intention de se faire retenir par les règles. Si c'est brièvement évoqué, c'est intéressant de voir en quoi elles les brident.

Il arrive donc sur cette île, où tout est si différent, en pleine enquête, et ne va pas en revenir, et nous non plus de certains évènements. Le côté mer et les paysages nous dépaysent clairement. Cela donne comme un air de vacances.

Chako, la gamine de cinq ans, n'a pas non plus finit de lui en faire voir de toutes les couleurs, de l'étonner. Boyle Samejima est une sorte de requin. Quand il apprend qu'il va faire équipe avec un dauphin, Orpheus et qu'on parle de vrai dauphin, cela lui semble hautement improbable.

Il y a toute une idée de crimes marins, de créatures marines qui sont intéressantes. Outre la grand enquête, il y a toute sorte de petites enquêtes. Nous quittons aussi ce tome en plein dans quelque chose.

Une dinguerie, complètement loufoque, barré avec quelques idées intéressantes. Des choses qui semblent sortir de nulle part, une équipe totalement insolite, sous fond d'une île.

Sans être particulier, il nous fait quand même passer un moment sympathique, et même rire.

Même si personnellement j'ai toujours plus de mal avec le côté déjanté, j'ai laissé échapper quelques rires.

A voir ce que ça donne sur la durée si j'en ai l'occasion.

Voilà Beelzebub c'est fini, c'est le cœur lourd que je referme ce tome. J'aurais aimé que ça continue !

Ce tome bonus est dans la lignée de la série : drôle, débile, fun, bourré d'action et aussi de beaux moments d'émotion.

Fin d'un énorme combat et début de l'arc final, c'est gargentuesquement débile et fun !

Arf plus que deux tomes avant la fin, j'aurais aimé continuer encore longtemps l'aventure avec Bébé Beel !

Beelzebub s"inscrit dans la lignée de shônen déjà prestigieux et qui ont en commun en toile de fond la vie tumultueuse de lycéens abrutis et complétement en marge ; GTO en tête de file. Dans Beelzebub, on touche toutefois le fond du fond avec rien de moins que le pire lycée du Japon, véritable vivier de brutes charismatiques tous prétendant au trône de brute ultime. L'autre originalité, c'est quand le diable himself se mèle à la fête, par l'intermédiaire de son successeur, bambin colérique qui s'est épris de Oga, l'une des fortes têtes du lycée...

L'intérêt de ce genre de manga réside principalement dans la succession de gags, le scénario étant finalement plus un prétexte, une vague direction donnée au lecteur. Cette nouvelle série remplit bien les codes du genre, sans toutefois les révolutionner : c'est globalement plutôt drôle ("La saison des Urines" ; la relation entre Hildegarde et le side-kick de Oga...) et la quête qui se profile à l'issue du premier tome tient suffisamment en haleine pour que la lecture du second s'impose.

En résumé, un premier tome efficace qui pose les fondations d'une intrigue sympathique et qui se veut la promesse de gags foisonnants !

Première lecture de 2019 : un manga ! Et quoi de mieux qu’un shonen plein d’action et d’humour pour se plonger dans une année prometteuse ? Je tiens d’ailleurs à remercier Kazé pour cette découverte qui m’a faite mourir de rire.



Parce qu’avec Hungry Marie, on rit. Beaucoup. Un shonen où une princesse fait du kung-fu, où un garçon se retrouve au mauvais endroit au mauvais moment, et où un échange de corps est aussi étonnant qu’hilarant. On peut littéralement traduire le titre par « Marie l’affamée ». Et en effet, Marie-Thérèse est SACRÉMENT affamée.



Tout commence avec Taiga. Le jeune homme vit avec sa grand-mère (un peu folle, il faut l’avouer…) Il est passionné par le kung-fu et est follement amoureux de sa voisine Anna. Manque de bol, il ne lui a jamais avoué. Par pure timidité évidemment. Mais quand on sait que le père de la jeune fille est un prête catholique adepte de la magie noire, sosie du chanteur M (si si si je vous jure !) et complètement barré, ça refroidi un peu.



Le jour où Taiga se sent enfin prêt pour avouer ses sentiments à Anna, il l’a surprend en plein rituel (parce qu’elle s’y connaît sacrément en sorcellerie la petite !) pour faire revenir l’une de ses ancêtres, Marie-Thérèse Charlotte. Mais comme ci ce n’était pas assez, la foudre s’abat sur lui. Etait-ce là un signe du destin ? Résultat: il se réveille dans…le corps de Marie-Thérèse. À ce moment là, c’est un peu la fin des haricots pour lui. Et pour Anna et son père aussi. La panique et les questionnements prennent place. C’est le début de la fin et le jeune homme (enfin la jeune femme…c’est un peu compliqué tout ça hein) se retrouve enfermer dans ce corps qui ne lui appartient pas. Mais, alors que la « princesse » à faim, le jeune homme retrouve son corps. Ouf il était temps ! Mais (oui il y a un ÉNORME mais !), ce n’est pas aussi simple que ça. S’il a bien retrouvé son corps, c’est pourtant l’âme de Marie-Thérèse qui est dans celui-ci. Tout devient beaucoup compliqué qu’il n’y paraît et on se retrouve avec une princesse faisant du Kung-Fu et un garçon portant des robes de princesses bien trop jolies pour lui. Je ne vous parle même pas de l’amour entre Taiga et Anna qui est encore plus compliqué à gérer depuis cette histoire.



Si le personnage de Taiga est à mourir de rire, j’ai tout de suite sû qu’il se passerait quelque chose avec lui. Celui de Marie-Thérèse vit complètement sur une autre planète. Et que dire du père d’Anna qui est juste…un homme détaché du monde qui l’entoure. Personnages loufoques, histoire complètement barré, Hungry Marie est un shonen savamment bien dosé en humour et en action. Et que dire des dessins qui sont extra ? La résurrection d’une princesse vieille de quelques siècles et l’échange des corps sont forcement très drôle. Mais il y a aussi des côtés sérieux dans l’histoire et j’ai apprécié ces moments là. Notamment les instants de recherches, de questionnement autour de cet échange soudain et tout l’histoire de Marie-Thérèse. Bref, j’ai déjà hâte de lire la suite !
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Hungry Marie se présente d’emblée comme une série fraiche, dynamique, drôle, un brin déjantée et pleine d’action. On y suit Taiga, qui habite dans un temple, et qui est amoureux de la fille du prêtre de l’église voisine et rivale. Par un concours de circonstances on ne peut plus farfelues il se retrouve embarquer dans une histoire rocambolesque de résurrection et d’échange de corps à se tordre de rire.



Franchement quand j’avais lu le pitch d’Hungry Marie, j’avais un petit peur de tomber sur un titre qui partait dans tous les sens, mais au final je l’ai trouvé assez bien construit. L’histoire se développe rapidement mais reste cohérente malgré son gros grain de folie. Ça avance vite, on nous présente le contexte et les personnages en quelques pages dès le premier chapitre qui donne bien le ton. L’humour n’est jamais loin. Les situations sont souvent drôles et joue sur un comique de situation bien maîtrisé avec des références à la culture japonaise bien choisies. Cela donne un bon mélange entre humour, action et loufoquerie qui m’a fait passer un bon moment.



Le petit plus du titre est indéniablement son côté fantastique, surnaturel avec l’histoire de la résurrection de la fille de Marie-Antoinette et Louis XVI. C’est très original et même si on tombe facilement dans les clichés concernant ce personnage, comme le propos n’est pas de faire un titre historique, ce n’est pas grave et ça ajoute pas mal d’humour encore. L’idée en plus d’échanger les corps de Marie-Thérèse et Taiga était très bien trouvée et m’a bien surprise, ça permet des situations encore plus drôles et loufoques avec leurs personnalités tellement éloignées. Je pense que les prochains tomes joueront encore plus sur ce registre et je m’en réjouis d’avance.



Après, il ne faut pas oublier que c’est également un titre d’action, on a donc droit à un héros très doué en arts martiaux, ce qui donne lieu à de belles scènes de combat. Et comme, il ne faudrait pas que l’histoire se limite à ça, on commence à nous présenter en sous-main une organisation qui s’intéresse aussi de près à Marie-Thérèse et qui devrait apporter son lot de problèmes, à l’image du dernier chapitre, surtout avec une princesse qui détient de mystérieux pouvoirs sur les morts.



Le tome 1 d’Hungry Marie est donc un bon mélange d’humour, d’action, de loufoqueries et de surnaturel, le tout bien dosé pour nous accrocher de suite. C’est une série sympathique avec des dessins agréables, dynamiques et bien lisibles même lors des scènes d’action. Les planches sont bien construites et les décors nous plongent directement dans l’histoire. En 4 tomes, je pense que l’auteur saura encore nous surprendre, nous amuser et nous accrocher.



Merci à Kazé pour cette découverte !
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Un tome moins fun que les précédents mais qui introduit le dernier chapitre. Le monde bouge autour de Bébé Beel !

Le prochain tome sera l'avant dernier et la bataille s'annonce titanesque !

Enfin le grand défi pour rencontrer le vrai père Noël a lieu, ou plutôt une succession de défis plus débiles les uns que les autres ! J'ai encore une fois ris aux éclats !

Encore un tome sous le signe du fun ! Et vive le Comte Caca et ptit Riz !

Un tome génial, avec de nouvelles techniques de combat hilarantes!

Un tome ultra fun et dingue!

J'adore!

J'ai d'abord connu l'anime qui m'a fait mourir de rire au premier visionnage :-) Je n'ai pas encore fini de tout voir mais il me tarde ^^ Ce n'est que récemment que j'ai appris que l'anime avait été créé dans le but de lancer le manga.



Ce manga est un shonen complètement déjanté où un lycéen devient le père adoptif d'un bébé démon, celui-ci deviendra le diable par la suite et le destructeur de l'humanité. Mais pour être père d'un enfant pareil, il faut être violent, ne pas avoir peur du danger et aimer se battre avec tout le monde et tout le temps ^^ Ce qui est le cas d'Oga ^^ Il va chercher tous les moyens pour refourguer le bébé à un autre méchant mais au final, il va gagner en puissance et ne pourra plus s'en débarrasser :-)



Parmi les autres personnages, on a Furuichi (le meilleur ami d'Oga), Hilda (la nounou démoniaque de bébé Beel, habillée en Loligoth) et Alindolon (permettant les transferts entre le monde des humains et celui des enfers).



Ce n'est pas un shonen où il faut se prendre la tête à comprendre l'histoire, il est juste là pour qu'on passe du bon temps ^^ Je vous conseille néanmoins l'anime, en couleurs l'histoire est quelque fois plus claire :-)



Bonne découverte et bons fous rires ^^