Saki Aikawa

Sa mère remariée, Himari revient dans sa ville natale, où elle était scolarisée enfant. C’est avec appréhension mais espoir aussi qu’elle se rend à l’école mixte de la ville. Avec appréhension car elle se souvient avoir été houspillée par les garçons quand elle était en primaire, mais avec espoir aussi. L’espoir de revoir celui qui faisait battre son cœur et qu’elle n’a pas oublié depuis toutes ces années. C’est avec joie qu’elle va découvrir qu’ils partagent des cours en commun. Mais c’est avec stupéfaction qu’elle se rendra compte qu’Ogami, un garçon maître dans l’art de l’humilier, n’est autre que le fils du nouveau mari de sa mère, et qu’ils vont devoir vivre sous le même toit.

Un shojo plutôt sympa. Les illustrations sont réussies (mention spéciale aux intérieurs d’oreilles qui sont assez particuliers !) Les personnages d’Himari et d’Ogami vont avoir du mal à se supporter malgré les petites attentions subtiles qu’ils peuvent avoir l’un pour l’autre. J’ose penser que de la haine à l’amour il n’y a qu’un pas, mais chuutt, ce n’est que le premier tome…

J’adore toujours autant l’histoire et les deux personnages, en revanche je trouve qu’Himari est un peu énervante à ne pas savoir ce qu’elle veut, mais parfois cela la rend mignonne à sa manière. C’est une série qui a un sacré potentiel. J’ai très envie de connaître la fin.

Toujours aussi bien, j'ai eu grand plaisir à retrouver les personnages dans ce dixième tome. Les dessins me plaisent toujours autant.

Une sortie à quatre est organisée par Kana dans ce dixième tome de He is a beast ! Afin de prouver qu’il n’y a rien entre Keita et elle, Himari est contrainte de passer la journée avec Kuroda. Le rendez-vous est marquée par la jalousie ambiante, ainsi que par une rencontre inattendue.



Mes craintes de voir ce manga entrer dans la phase où il tire trop sur la corde se sont malheureusement confirmées. Cette histoire de sortie à quatre n’apporte strictement rien à l’intrigue, d’autant que Kana n’est pas dupe. À se demander pourquoi elle a suggéré cette mise en scène…



On en apprend un peu plus sur le passé de Kuroda, ce qui est le seul élément vraiment pertinent à retirer de ce tome. On comprend mieux son attitude vis-à-vis de Himari, et de sa relation avec son demi-frère. Le « triangle amoureux » qui se forme, en revanche, est de trop.



Saeki vient juste d’être écarté (il était d’ailleurs plus que temps que Himari se résolve à le repousser une fois pour toute), et voilà que Kuroda prend déjà le relai. Bon, je ne peux pas dire que c’est une surprise, mais ce n’est pas moins affligeant de voir qu’on remet le couvert.



Pourquoi ?! S’il y a bien un point fort dans ce manga, c’est le couple Keita / Himari. Ils s’aiment depuis le début, et en dépit de tous leurs efforts, ils n’ont jamais été capables de dépasser ou de dissimuler leurs sentiments. Pourquoi lancer une pseudo rivalité avec Kuroda alors même qu’il ne s’agira que d’un Saeki 2.0 ?



À moins que Himari le choisisse, ce qui aurait le mérite d’être surprenant, mais je doute qu’un tel revirement puisse se produire à trois tomes de la fin. Ce serait trop soudain, et surtout, cela balayerait tout ce qui a été mis en place jusqu’à présent.



Non, vraiment, la mangaka aurait dû s’en tenir au final du tome 8, avec Keita et Himari qui étaient bien déterminés à avouer la vérité à leurs parents, au lieu de nous servir du réchauffé qui, à en croire le bref aperçu de la suite, va encore plus partir en quenouille.



C’est dommage, parce que ce manga était vraiment très bon, mais il est hélas en train de franchir la ligne rouge.
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Un tome des plus intéressants ! On voit que la sortie à quatre donne quelque chose de vraiment plaisant (même si le prétexte de départ est aussi bizarre qu'étrange...) ! Il y a une tension entre Keita et Kuroda à cause de Himari qui ne se rend pas compte qu'elle provoque quelques étincelles chez son collègue. Il y a quelques scènes assez presque sensuelles entre nos tourtereaux, les barrières tombent une à une, enfin presque...! Ce n'est pas comme si on ne sentait rien venir mais ça remet un peu de piment dans l'histoire.

Dans ce onzième tome de He is a beast !, Himari doit faire face aux sentiments que Koruda lui a confessés, et au baiser qu’il lui a donné par surprise. Afin de les tenir à l’œil, Keita intègre le restaurant en tant que serveur, mais d’autres complications sont sur le point de survenir…



Comme je l’ai dit dans mes précédentes chroniques, ce manga a atteint les tomes de trop. La première partie n’apporte pas grand-chose à l’intrigue, si ce n’est un nouveau semblant de triangle amoureux, où Koruda a pris la place longtemps occupée par Saeki.



Keita et lui rivalisent donc pendant des pages et des pages pas très pertinentes, puisqu’on sait déjà que l’amour des deux protagonistes est bien au-dessus de cela. Néanmoins, la seconde moitié de ce tome amène le rebondissement tant attendu. Attention, spoilers dans les paragraphes suivants !



Le père de Keita rentre à l’improviste (notons que le téléphone et le simple fait de frapper à une porte semblent totalement surfaits, dans cette œuvre) et découvre les deux adolescents en pleine étreinte fougueuse. Leur secret est éventé, et ils doivent en affronter les conséquences.



Keita et Himari révèlent ouvertement leurs sentiments mutuels, mais après réflexion, leur père choisit de s’opposer à leur relation, sous prétexte qu’ils forment une famille. Et c’est là que, à la place de Keita, je lui aurais probablement enfoncé mon poing dans la figure, puisqu’il n’a aucun scrupule à balayer le bonheur de ses enfants (qui pourtant se connaissaient et s’aimaient, du moins en ce qui concerne Keita, depuis bien plus longtemps). Les parents ont le droit d’être heureux, et tant pis pour leur progéniture ! Écœurant, même s’il fallait s’y attendre.



Et bien sûr, on assiste au grand dégonflage de Himari, qui a oublié ses bonnes résolutions de Noël, et qui décide de tout plaquer (c’est-à-dire Keita) en l’espace de quelques secondes, parce qu’elle ne veut pas nuire à sa famille. Encore une fois, on revient à la case départ, avec un gros sentiment de déjà-vu… Fin des spoilers !



Le scénario de ce manga ne se renouvelle pas. Pire, depuis deux ou trois tomes, il reprend des pans d’intrigue et les recycle. Pour l’originalité, on repassera. Heureusement qu’on approche de la fin… Vite, que cette histoire se termine avant de gâcher tout le plaisir que j’ai pris à la suivre jusqu’à ce qu’elle bascule sur la mauvaise pente !
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Un tome dur...



Ce tome fait mal, parce qu'il n'épargne pas le lecteur et la relation de nos deux amoureux.



Ce tome décourage, rends triste et fait verser une petite larme, parce que je veux croire que l'amour triomphe de tout, mais que dans ce tome, ce n'est pas le cas.



L'avenir de la saga s'annonce sombre, et je n’adhère toujours pas avec Kuroda, alors je doute et si ma petite héroïne finit avec lui et bien je serais totalement désespérée...



Alors je fonce lire le tome suivant, parce que j'ai peur, et que cela me rends curieuse !



Bonne lecture à tous.

J’adore toujours autant l’histoire et les deux personnages, en revanche je trouve qu’Himari est un peu énervante à ne pas savoir ce qu’elle veut, mais parfois cela la rend mignonne à sa manière. C’est une série qui a un sacré potentiel. J’ai très envie de connaître la fin.

Kuroda rentre en scène et est assez audacieux ! Himari reste campée sur ces sentiments. Mais l'un des tournants de la série arrive dans ce tome, alors qu'il reste encore deux tomes avant la fin. C'est un crève-coeur ! On revoit Saeki sur la fin, qui entre les deux garçons arrivera à la dérider ? Ou plus ? Ca en fait du monde autour de la demoiselle ! Les paris sont ouverts, misez le bon cheval !

Le secret de Keita et Himari a été éventé ! Après avoir été surpris par le père du garçon en train de s’embrasser, ils sont contraints de tout avouer, mais ce dernier s’oppose à leur relation. Himari, afin de préserver le bonheur de sa mère, se sépare donc de Keita dans ce douzième et avant-dernier tome de He is a beast !



La fin de ce résumé vous évoque quelque chose ? Genre le tome 7 ? En plein dans le mille ! On prend le même scénario et on recommence. Himari rejette (encore) Keita dans l’intérêt de sa mère, en revenant sur l’énorme pas en avant qu’elle avait fait à Noël, et évidemment, elle regrette sa décision et passe ses journées à déprimer, pendant que le troisième larron (Kuroda, alias Saeki bis) essaye de s’engouffrer dans la brèche.



De son côté, Keita tisse des liens avec une fille, ce qui amène Himari à être jalouse, bien qu’elle s’efforce de refouler ses sentiments et de se convaincre de passer à autre chose. Toujours comme dans le tome 7. On assiste même un remake de la scène de la « couverture partagée en voyage ». Vraiment, originalité, quand tu nous tiens…



À côté de ça, la mère de Keita est portée disparue et mérite le titre de la bouche-trou du manga, puisqu’elle n’a refait qu’un passage éclair en mode « Coucou, je débarque au moment le plus inopportun juste pour casser une scène romantique », et depuis, plus rien.



Ce manga compte clairement quatre tomes de trop, malgré quoi je redoute une fin expéditive, étant donné qu’il n’en reste plus qu’un pour, je le suppose, faire changer les parents d’avis et conclure l’histoire de Keita et Himari. Quel gâchis ! C’était tellement bien avant que la mangaka ne se décide à recycler les ficelles des chapitres précédents !
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Surprise sur la couverture, il n'y a pas que Keita mais aussi Kuroda. (J'ai arrêté de me fier à cette couverture même si leurs postures sont assez équivoques). Eh oui, maintenant, ils ne sont plus ensemble par la force de choses. Mais malgré sa décision, on voit que Himari souffre beaucoup de leur séparation et de l'attitude de Keita. Elle profite du voyage de classe pour se changer les idées mais ça ne marche pas... elle prend une nouvelle décision ! J'aime : les petits blagues entre chaque chapitre. Je n'aime pas : les pages qui se répètent sans beaucoup de changement ou de texte, trop peu de contenu finalement, ça se lit vraiment trop vite !

Reste à attendre le dernier tome pour connaitre le dénouement.

Frustrant...



Ce tome est nécessaire, afin de faire évoluer notre héroïne, afin qu'elle apprenne de ses erreurs et fasse des choix cruciaux, mais c'est quand même frustrant !!!



J'attends tellement ce dénouement, ce moment ou l'amour triomphera, que le début du tome m'a déprimée, et la fin, pff, qu'elle bonheur mais quelle frustration aussi !



Bonne lecture à tous !

J’adore toujours autant l’histoire et les deux personnages, en revanche je trouve qu’Himari est un peu énervante à ne pas savoir ce qu’elle veut, mais parfois cela la rend mignonne à sa manière. C’est une série qui a un sacré potentiel. J’ai très envie de connaître la fin.

J'ai choisis de ne pas vous chroniquer les quatre derniers tomes de cette série par soucis de spoil. Je vous propose ici une chronique globale concernant la série dans son ensemble. Certains auront peut-être remarqué que j'ai disposé le dernier tome à l'envers sur la photo car la couverture est trop explicite et dévoile le fin mot de l'histoire.



Bien, si vous avez lu mes chroniques précédentes au sujet de ce manga, vous êtes déjà au courant que jusqu'au tome 9 j'ai beaucoup aimé l'histoire de Himari et Keita. Je vous rassure les quatre derniers tomes ont été également à la hauteur de mes attentes. Au risque de me répéter, j'adore les dessins et les personnages. L'originalité de la problématique de l'amour dans une famille recomposée m'a également séduite.



Le seul bémol et il est moindre est justement la couverture du tome 13 qui est spoilante à souhait et c'est dommage, mais bon...



En résumé, une série que j'ai beaucoup aimé et que je vous recommande


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J’adore toujours autant l’histoire et les deux personnages. Himari a enfin décidée de ce qu’elle voulait, j’ai envie de dire ce n’est pas trop tôt. J’ai trouvé qu’elle était énervante, mais touchante à la fois. Keita, lui je l’adore. C’est une série que j’adore et qui deviendra l’une de mes série de manga chouchou.

Voilà le dernier tome de cette série manga ! Une histoire d'amour avec des moments "déjà-vus" mais aussi avec des rebondissements. Les protagonistes masculins sont trop nombreux par rapport à leurs équivalents féminins. L'impossible histoire d'amour s'élargissait au triangle (voir rectangle) amoureux. On imagine assez bien la conclusion de ce manga, reste à découvrir la forme. L'humour en fait un manga très plaisant à lire et bien addictif mais si la mangaka a tendance à délayer la sauce sur les derniers tomes, il se passe de moins en moins de choses. Je pense relire une autre de ses séries à l’occasion.

C'est la fin...



Ce tome est top, Keita est magistral et Himari devient enfin une jeune femme sûre de ces choix...



La conclusion est top, et j'ai adoré...



Cette saga aura souffert pour moi de quelques longueurs, mais aussi de vide, j'ai trouvé dommage que certains personnages ne soient pas plus développés, mais au final, elle reste une saga que j'ai adoré lire, avec ses rebondissements déchirants et cet amour magnifique en fil conducteur. Un amour qui fait rêver et qui me fera encore rêver longtemps...



Une saga que je recommande sans hésiter !



Bonne lecture à tous.

Ce dernier tome est juste génialissime ! Himari et Keita ont décidé de vivre leur amour et c’est la meilleure nouvelle de toute la série ! Le dernier chapitre est magnifique et reflète bien l’esprit de l’histoire ! Les personnages auront été géniaux jusqu’à la fin et je trouve que tout se finit bien ! L’univers unique accompagné des dessins magnifiques de l’auteur nous livre une histoire sensationnelle que j’ai dévoré tome après tome, tous avec des rebondissements toujours très bien placés ! Je pense que si vous aimez les shojo vous ne pouvez qu’adorer celui-ci !



Ma note : 20/20 Un conclusion qui met à l’honneur la série jusqu’au bout ! Venez-découvrir cette série atypique !

#Frimousse
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J'aurais aimer une fin plus travaillée, quitte a avoir des tomes de plus.



Enfaite les gens l'accepte plus voilà.



On ne sait même pas comment ça c'est passer devant les autres aux lycée, j'ai cru comprendre qu'ils l'avaient cacher jusqu'au mariage, assez surprise de ça.

L’histoire de Keita et Himari se conclut dans ce treizième et dernier tome de He is a beast ! Les deux adolescents se retrouvent, se réconcilient et sont bien décidés à ne plus se séparer, mais pour cela, ils doivent d’abord tout avouer à la mère de la jeune fille. La suite dépendra de sa réaction…



Une fin en demi-teinte, comme c’était à prévoir. Elle conclut le manga de façon attendue, ce qui n’est pas un mal en soi pour un shojo, mais elle est surtout bâclée et expédiée pour tenir en un tome. Elle aurait pu être satisfaisante si elle s’était amorcée plus tôt, au lieu de quoi l’auteur a préféré nous offrir un remake du triangle Keita / Himari / Saeki version Koruda.



Les passages marquant les retrouvailles de Keita et Himari sont touchants, mais la suite perd toute l’émotion qui faisait la force de ce manga. Si Keiko est un peu partagée en apprenant les sentiments réciproques de sa fille et de son fils adoptif, elle ne leur témoigne pas une vive opposition, et les quelques réserves et interrogations qu’elle émet sont assez légitimes.



Au final, tout se règle très vite et très simplement, et… C’est tout. Il m’avait semblé, dans un précédent tome, que la mère de Keita subodorait sa relation avec Himari, et je pensais qu’elle aurait peut-être un rôle à jouer, qu’elle intercéderait en leur faveur, mais non, rien. Juste un vague caméo.



D’ailleurs, je ne comprends pas les décisions qui précèdent l’épilogue. Attention, spoilers ! Pourquoi Keita quitte-t-il la maison familiale pour repartir chez sa mère, alors que même Keiko incite sa fille à le retenir auprès d’elle ? Pourquoi ont-ils gardé leur relation secrète, à présent qu’elle était acceptée par les seules personnes dont l’avis importait vraiment ? Fin des spoilers.



Enfin, l’arc du triangle amoureux avec Koruda n’aura servi à rien, hormis à du remplissage. Le personnage perd tout intérêt pour ne devenir rien d’autre qu’un Saeki bis, qui disparaît (presque en ce qui concerne le premier) une fois éconduit.



Ce manga a été vraiment très bon jusqu’aux environs de son huitième tome, après quoi il s’est engagé sur la pente descendante à mesure que la mangaka choisissait de tirer toujours plus sur la corde. C’est donc avec déception que je termine cette histoire, qui aurait pu être tellement meilleure si l’auteur avait pris le temps de poser sa conclusion, au lieu de s’enliser dans du déjà-vu.



Je ne regrette pas d’avoir lu He is a beast !, seulement qu’une si jolie lecture s’achève ainsi. M’enfin, Keita m’aura marquée, et en bien, au point d’intégrer la liste de mes personnages de manga préférés.
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