Ils avaient coutume de dire que la forêt récupérait ce qu'on lui avait volé dès qu'on cessait de la surveiller. Il en allait de même ici, au cœur des solitudes glacées de l'éternel hiver. Tout se passait comme si la nature refusait la présence de l'homme, où qu'il s'avisât de poser le pied.