Toutes ses ficelles qui tracent les contours de son corps prononcent ses plantureuses rondeurs. Celles-ci se dévoilent à mesure que les filaments poursuivent les courbes de sa corpulence féminine… Saucissonnée dans ces fibres tendues de part en part de ses tissus organiques, je me gave de cette esthétique qui alimente ma déraison.
Mon corps s’écoule de tous ses avilissements, une liquéfaction libératrice sans doute et que reste-t-il ? Une peau neuve. Je me suis régénérée en emmagasinant les énergies de tous ceux qui ont fait de moi, la suite d’eux et de moi.
Nos ergonomies s’éprennent comme deux ventouses dont les succions nous lient ardemment si bien que l’enchevêtrement de nos êtres est semblable à une sangsue géante. Nos apparats à l’accoutumée flasques se transforment en membres qui se contractent et s’allongent.
Trop amoureux des femmes pour être capable de me contenter d’une seule, toujours à chercher plus que ce que j’ai déjà, je te tiens donc responsable, toi et ton petit cul à tomber par terre, de ma mélancolie de ce soir.
"Il n’hésite pas à asséner des gifles soutenues sur les joues de Camille afin de libérer ses pulsions… Incapable de refréner ses élans passionnels, il aime la voir se mourir pour mieux la faire jouir.
Ma vie sexuelle est une fatal error 404. Je me masturbe encore… Je suis un puceau qui a déjà tout vu mais qui n’a jamais rien fait.
Je croyais que les filles aimaient les contes de fées et les princes charmants. J’étais déboussolé, mes repères mis à mal.