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Critiques de Stéphane Anquetil (25)
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Week-end fatal

Livre reçu lors de la masse critique de Novembre. Je l’avais sélectionné car son format m’intriguait, un petit livret nous est fourni pour qu’on démêle l’enquête au fur et à mesure de la lecture. Je remercie Babelio et les éditions 404 pour cet envoi, j’ai découvert cette maison d’édition et son goût pour l’esthétique lors de précédentes masses critiques.



Moi qui pensais trouver un roman et un petit livret à côté, ce n’est pas du tout ça. J’ai été très surprise en ouvrant le package du coup. Malgré tout, on peut le lire comme un roman ou chercher à résoudre l’enquête. J’ai choisi la première option tout en jouant le jeu de temps en temps. Vu son format, c’est très facile de retourner en arrière pour chercher des indices. J’ai beaucoup apprécié la notion des notes rouge et bleue, qui mettent en avant certains éléments du dossier (même s’il y a eu quelques bugs dans la retranscription de l’histoire, exemple en p24). Par contre, ce n’était pas une bonne idée de coller l’enveloppe d’indices à la couverture, je l’ai abîmé et déformé en décollant celle-ci. Du coup, malgré son format atypique, j’ai lu avec grand plaisir les différents interrogatoires pour essayer de démêler le vrai du faux. Malgré les nombreuses coquilles ou problèmes de mise en forme oubliés, j’ai bien aimé découvrir ce concept original où on arrive après les faits et pendant les interrogatoires. On peut guère en dire plus sans spoiler car le début de l’histoire correspond au résumé. Après, c’est à nous de jouer pour démasquer le criminel derrière cet imbroglio.



Comme vous l’aurez compris, même si je n’ai pas joué le jeu complètement, j’ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman et son chouette concept. Par contre, petit malus pour la maison d’édition car malgré le travail sur le livre-objet, ça aurait été bien qu’il n’y ait pas de coquilles ou de bugs de retranscriptions (p98, p112, p145, p154 pour les pires relevés, et le verbe souffrir prend deux « f » quand il est conjugué). Mis à part ça, je vous conseille de découvrir ce concept original surtout si vous êtes amateurs des livres où il faut chercher le meurtrier. Pour ma part, si j’en ai l’occasion, j’en lirai un autre avec plaisir.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Meurtre à Hollywood

Ce n'est pas un livre que j'ai reçu grâce à Babelio et aux éditions 404 dans le cadre d'une récente opération masse critique, c'est un dossier, réunissant toutes les recherches d'un scénariste sur l'assassinat a Los Angeles, quelques décennies auparavant, de William Desmond Taylor, célèbre réalisateur hollywoodien...



Première réaction en découvrant cet envoi : quel bel objet ! Une superbe couverture cartonnée, des pages un peu jaunies, une grande diversité dans le contenu (coupures de presse, compte-rendu du meurtre, interview...et même une lettre d'indices supplémentaires), tout ceci donne vraiment envie se plonger dans l'enquête. J'insiste, j'ai vraiment été bluffé par l'esthétique de ce livre, on a vraiment le sentiment de tomber sur un carnet secret.



Mais au-delà de cette réussite visuelle et tactile, il y a le plaisir de mener l'enquête, de tenter de percer l'énigme. Je ne vous livrerais bien entendu pas mes conclusions, histoire de vous laisser le plaisir de jouer à Sherlock Holmes ou Hercule Poirot. Ce Cold case mérite vraiment d'être résolu !









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Week-end fatal

Stéphanie ANQUETIL. Crime book. Week-end fatal.



Je remercie Babelio et les éditions 404 pour m’avoir adressé cette fiction policière.



Amélie Laffon, PDG de Biodiag, organise un séminaire au manoir de Flomaville. Le samedi a été consacré à la présentation de la société et Amélie Laffon a même évoqué l’offre de rachat émise par une société américaine. Au cours de ce week-end, le dimanche après midi est réservé à un jeu de rôle : Murder Party. Chaque participant a reçu une note lui indiquant son rôle dans ce jeu.



Ce jeu ne va pas se dérouler comme l’énoncé fourni par son créateur, Pierre Rivet. En effet, Amélie Laffon est tuée sous les yeux des participants par Michel Lemotte, directeur commercial dans cette société. C'est la stupéfaction. Que s'est-il donc passé? Pourquoi cette bévue? Le lecteur doit donc résoudre l’énigme. Qui est à l’origine de ce meurtre? Qui avait donc intérêt a la mort d’ Amélie. Avec les interrogatoires, les pièces saisies sur le lieu du drame, la présentation des témoins, il nous faut trouver le mobile…et le ou les coupables... Toutes les pièces nécessaires à la résolution de ce crime sont entre nos mains. Il nous faut les examiner bien attentivement, lire, relire les documents afférant à cette rocambolesque histoire. Il y a eu un mort, en l’occurrence, Amélie Laffon, la dirigeante de Biodiag?



Je félicite Stéphanie ANQUETIL pour ce livre enquête. La présentation des participants, leur fonction dans l’entreprise, nous permettent de bien situer chacun, de plonger dans leur psychologie. Les intérogatoires menés par la gendarmerie, nous ouvrent des portes. Attention à ne pas s’enliser et à bien ouvrir et nous yeux et nos oreilles. Voici un petit livre cadeau à déposer au pied du sapin pour nos chères têtes blondes, nos futurs Sherlock Holmes, Docteur Watson, Rouletabille, inspecteur Colombo, inspecteur Gadget, Miss Marple, Hercule Poirot, Stéphanie Plum, Nestor Burma, etc.… Une belle après midi en perspective pour nous donner la solution…

( 02/12/2022).
Lien : https://lucette.dutour@orang..
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Escape book : Le piège de Moriarty

Les Escape Games sont des jeux grandeur nature dans lesquels les joueurs, enfermés dans une pièce, un appartement ou une maison, ont un temps limité pour trouver un moyen de sortir en fouillant les lieux pour trouver des objets et en résolvant des énigmes.

Pour ceux qui, comme moi, seraient plus familiers avec les jeux vidéos, le principe est très proche d'un Point & Click à l'ancienne. On trouve une clef qui nous ouvre le coffre contenant un indice pour décoder le message contenu dans la bouteille, etc.

Les Escape Books sont la transposition en livre des Escape Games.



Dans Escape Book - le piège de Moriarty, on incarne Alec MacDonald, inspecteur à Scotland Yard, chargé par Sherlock Holmes de retrouver son ami Watson. Notre enquête nous amènera très rapidement dans la maison de l'infâme Moriarty. Il sera très facile d'y entrer, mais bien plus difficile d'en ressortir...



Après un petit prologue court, qui consiste à décoder un message assez simple, idéal pour se mettre dans l'ambiance, le jeu débute réellement lorsqu'on se retrouve piégé chez Moriarty.

Contrairement à un Livre Dont Vous Êtes le Héros, il n'y a pas de mentions "Si vous faites ceci, rendez vous à...". C'est au joueur de décider lui-même où il se rend en consultant les différents plans. Il y a de nombreux objets et autres documents à lire contenant des indices qui, parfois, ne seront utiles que bien longtemps après les avoir trouvés.

Comme dans un Point & Click, on tourne parfois en rond, à reparcourir les mêmes salles, en essayant la clé que l'on vient de trouver sur toutes les portes fermées qu'on a déjà croisé, ou à chercher où se trouve l'indice qui contient la combinaison du coffre...



Il n'y a pas d'aléatoire, donc pas besoin de dés. Par contre, il est nécessaire de se munir d'un crayon et de papier. Beaucoup de papier. Personnellement, j'ai fini le jeu avec cinq ou six pages de notes écrites recto verso, plus une pour mon inventaire et une autre où j'inscrivais les pages correspondantes à chaque lieu.

C'est d'ailleurs une critique que je ferais sur l'ergonomie du livre : les pièces ne sont pas numérotées et les pages ne sont pas indiquées sur les plan, ce qui rend la navigation laborieuse si on ne prend pas de notes comme je l'ai fait.



Concernant la difficulté, je l'ai trouvé très bien... à condition de jouer le jeu. Il est en effet facile de tricher. Lorsqu'on doit trouver un code, par exemple, on doit se rendre à un tableau contenant plusieurs solutions possibles dont une seule est la bonne. Rien n'interdit de les essayer toutes une à une. Dans ce cas, la difficulté est nulle.

Mais si on joue le jeu, et que l'on se rend sur le tableau que quand on a une idée du code, trouvé grâce aux indices collectés, alors il faut se creuser les méninges et c'est beaucoup moins facile. Les énigmes sont bien pensées et très bien intégrées à l'univers.



L''atmosphère des romans de Conan Doyle est bien retranscrite. On sent que l'auteur maîtrise son sujet. Il y a pas mal de détails historiques qui mettent dans l'ambiance.

Concernant l'histoire, elle est simple mais bien écrite. Toutefois, je déplore qu'à un certain moment, elle devienne très linéaire. On passe d'un environnement très ouvert à une suite de couloirs qui restreignent drastiquement nos mouvements. Vers la fin, on est limite à "une salle, une énigme", avec impossibilité de revenir sur nos pas.

Quant à l'épilogue, il contient la solution de plusieurs énigmes qu'on aurait bien aimé à avoir à résoudre nous-même... L'auteur manquait-il de place pour développer son récit ? Je ne sais pas, mais c'est un peu frustrant.



Malgré ces réserves, qui m'empêchent de donner une meilleure note, j'y ai passé toute une nuit (ainsi que la fin d'après-midi qui l'a précédée) sans même m'en rendre compte. C'est bien le signe que, quels que soient ses défauts, le plaisir de jeu était bien présent.

Cela m'a donné envie d'essayer les autres tomes. Il parait qu'il y en a un dans l'univers de Cthulhu...
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Week-end fatal

"Week-end fatal" est un crime book imaginé par Stéphane Anquetil. L'idée est de proposer un dossier d'enquête fourni, accompagné d'un certain nombre d'indices à manipuler. Le lecteur est alors invité à être actif dans la résolution du mystère abordé.



Le pitch de départ est typique d'un roman policier classique : lors d'un séminaire, la PDG d'une entreprise est abattue à l'occasion d'une "murder party". Le tireur clame son innocence sous prétexte d'avoir simplement jouer son rôle.



Contrairement à beaucoup de livres-jeu ou de "livres dont vous êtes le héros", cette collection propose une lecture ouverte. Soit on joue le jeu et on se prend à enquêter, soit on lit l'ensemble comme un roman.



Le dossier est riche de compte-rendus d'auditions, d'une double annotation immersive, et d'illustrations diverses. Les indices contenus dans l'enveloppe sont parfaitement intégrés dans le texte afin de les dégainer au juste moment. C'est donc un objet-livre vivant que l'on tient entre nos mains et que l'on peut emporter partout.



Le format est solide, reliure rigide, évident pour un livre que l'on manipule beaucoup. Je dois reconnaître que sur ce point, j'aurai adoré un format carnet de notes, avec une fermeture élastique. Ca aurait tellement collé au contenu, et d'une classe ! Et puis bien pratique pour y ajouter nos propres notes, sans les éparpiller à la moindre occasion. Mais il est certain que c'est un autre budget éditorial...



Je remercie les éditions 404 et Babelio pour ce livre original qui mêle fiction et actualités en un mystère passionnant à résoudre. Un ouvrage ludique, bien pensé et bien réalisé. Jouer au détective amateur sera bien sûr plus chronophage qu'une simple lecture linéaire mais tellement plus intéressant.
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Meurtre à Hollywood

Merci à BePolar et aux éditions 404 pour ce moment ludique. J'ai enquêté sur le meurtre de William Desmond Taylor réalisateur à Hollywood. En effet ce crime ayant eu lieu le 1er février 1922 était toujours irrésolu en 1968, quand Irving Dock, journaliste freelance, rédige un article à ce propos et se voit confier l'écriture d'un scénario de film basé sur cet assassinat.

J'ai donc remonté la piste en sa compagnie, dénoué les noeuds (nombreux) dans cette affaire, retracé les histoires d'amour, d'argent et familiales du défunt ... tout cela pour finaliser mon enquête en décodant une lettre!

L'enquête fut captivante, les rebondissements nombreux.

Je dois ajouter une mention spéciale à la qualité de la présentation du livre en lui même, des polices et mises en page variées qui égaient la lecture, et une petite enveloppe d'indices supplémentaires.

Une très bonne découverte.
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Week-end fatal

Coup de coeur pour ce bel objet-livre!

C'est difficile d'innover dans le milieu du livre mais là j'avoue que cela m'a beaucoup plu!



Dans ce crime-book, vous menez l'enquête du début à la fin.



Après avoir pris connaissance des faits, le livre déroule les auditions de tous les protagonistes.

Lors de certains des interrogatoires, on est guidé vers des pièces à convictions contenues dans une enveloppe au dos du livre.

Nous voici donc en mode détective à tenter de démêler l'intrigue et de cerner chacune des personnes interrogées. Pour nous aider, des fiches à compléter pour chaque suspect se trouve à la fin du livre.

Armé d'un crayon, des interrogatoires et des pièces à convictions étalées devant vous, l'enquête peut commencer.

Outre l'objet-livre, l'histoire est assez sympathique à suivre.

Lors d'un séminaire d'entreprise, une murder party est organisée. Mais lors de celle-ci, la PDG est tuée par l'un de ses employés qui pensait jouer son rôle.



Une très belle idée de cet éditeur qui ne cesse de proposer des concepts de lecture originaux. Merci aux éditions 404 pour l'envoi de ce livre que j'ai pris plaisir à lire!
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Escape book : Le piège de Moriarty

C'était la première fois que je m'essayais à un escape book et je n'ai peut-être pas encore toutes les clés en main pour bien réussir cette expérience.



En effet, je n'ai pas toujours compris ce qui était attendu de moi, le moment où je devais tenter des combinaisons etc.



Et c'est dommage parce que l'histoire en elle-même était prenante et bien faite. J'ai tout de même pris plaisir à me laisser porter de pièce en pièce, à noter toutes les découvertes et à essayer d'associer les indices.
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Meurtre à Hollywood

Avant tout, je souhaite remercier Babelio et les éditions 404 de m'avoir permis de découvrir ce livre. A son propos, je ne parlerai pas de roman mais d'expérience.



Meurtre à Hollywood est un crime book; je ne connaissais pas le concept avant de recevoir celui-ci dans le cadre de la masse critique Babelio de novembre.



Nous y sommes invités à mener l'enquête sur l'assassinat de William Desmond Taylor, réalisateur star du cinéma muet, assassiné en 1922 dans sa résidence de Los Angeles.



Ce qui est le plus intéressant, c'est que cet assassinat est un véritable Cold Case. Ce meurtre a réellement eu lieu et n'a jamais été résolu.



Dans le livre-enquête de Stéphane Anquetil, nous suivons un scénariste imaginaire, Irving Dock, qui en 1967 décide d'écrire un film sur ce meurtre et entreprend des recherches. Le livre est un condensé des documents qu'il a réuni: articles de journaux annotés de sa main, retranscriptions d'entretien, photos, lettres etc... Le travail éditorial sur ce livre est fantastique, la restitution des documents est très réussie, c est vraiment un très bel objet!



En le lisant, nous découvrons peu à peu toutes les subtilités de ce Cold Case, les suspects et les pistes suivies par la police à l'époque; mais c'est aussi une plongée dans le Hollywood des années 20 passionnante, puisqu'on évoque également d'autres scandales et la création du code Hayes, qui n'est autre que le texte qui a censuré la production hollywoodienne pendant plus de 30 ans. J'avoue, ma curiosité m'a poussée à prolonger mes recherches sur Internet.



Je me suis également, peu à peu, fait ma propre idée sur le coupable. Au dos du livre, nous est fournie une enveloppe contenant des documents complémentaires pour nous permettre de mener l'enquête à son terme. Ces documents ont finalement confirmé l'idée que je m'étais faite. Je ne vais évidemment pas vous donner le nom de mon coupable, ce serait vous gâcher tout le plaisir de l'enquête!



J'ai lu ce livre d'une traite, en un après-midi, faisant parfois des allers-retours dans le livre pour retourner chercher des indices que j'avais lus précédemment (on peut aussi les noter à la fin, des pages Suspects et Carnet de notes sont là exprès pour ça, mais je ne suis pas quelqu'un d'organisée^^)



J'ai vraiment adoré cette expérience, mener l'enquête grâce à tous ces documents, me faire ma propre idée des suspects et trouver mon coupable! Je vous conseille vraiment ce livre très qualitatif si vous aimez les jeux d'enquêtes!
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Escape book enfant : Vol au musée

Dans le cadre du "Masse Critique Jeunesse et Jeune adulte", j'ai eu la chance de recevoir #Escape book enfant - Vol au musée.

Ce livre a fait le plaisir de mon fils de 9 ans 1/2 qui, après avoir lu les consignes permettant de résoudre l'énigme du livre, l'a littéralement dévoré, trop impatient de connaitre l'issue!

Le principe lui a plu : identifier les objets aidant à avancer dans l'intrigue, de préférence, sans se tromper, et trouver la solution des différents énigmes grâce à ces indices.

Il m'a avoué s'être parfois trompé et a trouvé amusant de se rendre compte qu'il était dans un cul-de-sac... parce qu'il n'avait pas été suffisamment attentif dans sa lecture.

Il s'est aussi amusé à se "perdre" dans le livre pour en voir toutes les possibilités.

Ravi de son expérience, il n'a qu'une envie : découvrir un autre escape book de la collection!

Son seul bémol : maintenant qu'il connait la solution, il craint de ne pas avoir envie de relire ce livre. Ce serait "trop facile". Mais je pense qu'une fois qu'il l'aura laissé de côté, il aura plaisir à le redécouvrir.

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Escape book enfant : Vol au musée

Résumé : Camille remplace son grand-père pour garder le musée une nuit. Mais il y a un vol. A toi d’aider Camille à retrouver le voleur !



Mon avis : J’ai acheté ce titre pour le CDI car les élèves me demandaient d’autres escape books, qu’ils apprécient.



Mais celui-ci m’a déçue, car il suggère trop vite ce qu’il faut faire, et donc on a peu de possibilités de se tromper, l’intrigue fait un peu vieillotte avec des références aux billets de 10 francs, aux cabines téléphoniques avec des numéros de téléphone à 6 chiffres, et en plus, il suffit de lire les différents chapitres à la suite pour pouvoir avancer dans l’énigme !



C’est donc une grosse déception pour moi, et je pense que mes élèves n’aimeront pas trop non plus.
Lien : https://docbird.over-blog.co..
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Escape book : Le piège de Moriarty

Premier Escape Book que je tente, et je dois dire que c'était une bonne expérience. Dans Le Piège de Moriarty, Sherlock Holmes demande à Alec MacDonald, narrateur du livre, de pénétrer chez James Moriarty pour tenter de retrouver Watson qui semble avoir disparu. C'est ainsi qu'on se retrouve à voyager dans le livre pour percer les énigmes de la demeure de Moriarty.



Globalement les énigmes ne sont pas très compliquées à élucider (peut-être trop pour certaines) à quelques exceptions près. J'ai séché sur une qui était particulièrement coriace pendant quelques temps. Finalement il m'aura fallu une journée complète pour en venir à bout. Le hic étant les erreurs qui peuvent se glisser : il ne faut pas hésiter à se renseigner pour savoir si les auteurs de ce type de livres ont indiqué des erreurs après coup. C'était le cas pour celui-ci (il n'y en avait que deux qui ne m'ont pas vraiment posé problème pour ma part).



J'ai pris beaucoup de plaisir à éplucher chacune des énigmes. Étant particulièrement fan de l'univers autour de Sherlock Holmes, j'ai d'autant plus apprécié cette lecture. Du reste l'ambiance peut-être assez angoissante à certains moments et les différentes fins avec mort possible à la clé n'y sont pas pour rien.



Je pense tenter d'autres livres du genre, peut-être pas dans l'immédiat : une fois que je m'y mets je suis incapable de relever la tête, donc j'ai tout intérêt à prévoir de renouveler l'expérience en ayant du temps devant moi !
Lien : http://chroniquesdunedevoreu..
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L'Île aux mystères

🏴‍☠️🌋L’histoire place le lecteur dans la peau d’un jeune moussaillon abandonné sur une île bien mystérieuse. Un seul objectif: trouver un moyen pour la quitter! Pour cela, pas une minute à perdre car le volcan en son centre gronde et menace d’entrer en éruption!



🌋🏴‍☠️ Armées d’un crayon et d’un carnet, mes filles se sont essayées seules à la résolution de cet Escape Book. Habilement accessible aux plus jeunes, le livre propose un scénario rondement mené et une aventure assez prenante.



Les énigmes sont variées et amusantes. Elles ont dû user de réflexion et d’ingéniosité pour les résoudre. A l’instar d’un livre dont vous êtes le héros, le récit n’est pas linéaire. Le lecteur est transporté de page en page en fonction des décisions qu’il prend.



Les illustrations de @marcel_pixel_illustrateur sont belles, très colorées et ne manquent pas d'humour. Elles ne sont pas sans rappeler celles de l’Heroic’cartes « A la poursuite de Barbe Crasse » pour ceux qui connaissent.



C’est une expérience très agréable à vivre! Tellement ludique! D’ailleurs, la réaction de ma 7 ans à la fin de sa lecture est sans appel : « Maman, c’est trop bien! On peut en acheter d’autres! »
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Meurtre à Hollywood

Livre-objet agréable à lire. Le crime, l'enquête et ses suites sont racontés via un série de coupures de presse, de transcriptions d'entretiens et de lettres. Cela reprend ce qu'Edgar Poe avait déjà fait avec son "Double Assassinat dans la rue Morgue" en poussant le concept nettement plus loin : le récit est réduit à des annotations en marge. On pourrait parler d' "écriture mosaïque", le récit est plutôt celui que le lecteur construit lui-même en juxtaposant les pièces de puzzles.

Les ronds de tasse de café, les post-it et les scotchs ajoutent une touche de réalisme. De même que les annotations du narrateur-personnage (un scénariste des années 60) qui tente d'abord de tirer un film de ce crime de 1922, puis se laisse obséder par la recherche du coupable en oubliant son projet initial.

Forme originale et très sympa. Au fait, il s'agit d'une histoire vraie, un cold case jamais résolu. Revenir sur des dossiers non conclus, ça aussi Edgar Poe l'avait fait, dans "Le Mystère de Marie Roget".

Quand au contenu, je ne connaissais pas cette anecdote crapuleuse et ai eu plaisir à la découvrir. On se rend compte qu'en fouillant dans la vie de quelqu'un, n'importe qui, on tombe sur des multitudes de petites hontes et de mobiles plus ou moins crédibles de le tuer. Je me suis surpris à me demander à quoi aurait ressemblé le dossier me concernant : quelles anecdotes WTF, quels témoignages d'ex plus ou moins bien retranscrits, aurait-on déterrés en quête de mobile ?

Le lecteur est prié de prendre des notes, de déchiffrer un message secret et de trier parmi plusieurs indices joints au livre dans une enveloppe. Un regret, l'absence de page de solution explicite, ou de lien vers une solution en ligne, qui aurait exposé les principales pistes puis la solution mise en avant par l'auteur, Stéphane Anquetil, dans ce livre et ces indices.
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Escape book enfant : Vol au musée

Pour sa deuxième contribution à la collection des Escape Books Junior Stéphane Anquetil propose au lecteur d'être Camille chargé par son grand-père de remplacer ce dernier pour quelque temps en tant que gardien du musée d'une charmante ville touristique normande (souvenirs d'enfance de l'auteur de Falaise). Naturellement, ça ne va pas être de tout repos, puisqu'une nuit où on dort au musée dans la loge du gardien le vol d'une épée de chevalier est commis n'ayant qu'ouïe de la fuite précipitée du voleur. De là on mène l'enquête avant que les gendarmes n'arrivent sur les lieux, le voleur ayant pris soin de les retarder grâce à son sabotage de la grille d'entrée de la cité médiévale.





Pour les détectives en herbe Vol au Musée est un livre-jeu qui leur conviendra très bien. Sitôt la quête d'indices accomplie dans le musée même devant nous aider à cerner l'auteur du vol (tri conseillé des indices) on inspecte soigneusement les lieux de la ville médiévale qui jouxtent un château-fort (cartes à l'appui du musée et de la ville des endroits si bien décrits et illustrés). Le voleur caméléon fera tout pour s'échapper en douce alors qu'habituellement c'est au héros enfermé dans un escape book de trouver la clef de sortie. Contrairement à L'île aux mystères perdre même si ce n'est pas expressément dit est possible à un moment donné, il ne suffit pas que de collecter des indices :) . Ayant été écrit à quelques mois d'intervalle Vol au Musée reprend des idées du tout premier de l'auteur avec mention d'un personnage défunt qui va donner un autre cours à notre aventure.





Trop en dire reviendrait à tuer dans l'oeuf les mystères de l'enquête qu'avec passion le lecteur conduit mis au défi par un voleur qui semble toujours disposer d'un coup d'avance, je le prenais pour Arsène Lupin.





Aussi bien que L'île aux mystères tout en bénéficiant d'un semblant de game over correspondant à la non arrestation possible du voleur.
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Vivez l'aventure : Minus et les 100 Dangers..

Nouvel album 404 à jouer de la collection qui nous projette, après le très réussi en 2020 Les Ruines de Kômoriom, dans le monde de Minecraft cette fois dans la peau de Minus un noob.





On le doit au talentueux Stéphane Anquetil qui s'approprie merveilleusement bien cet univers si attrayant pour les enfants collaborant avec Saboten dont les illustrations minecraftiennes égalent en efficacité celles de Vladimir Subbotin sur Les Ruines de Kômoriom.





Cancre en tir à l'arc ainsi que dans les matières de minage, d'architecture, d'agriculture, enseignées à l'école de son village, Minus est appâté par la promesse d'un alchimiste ambulant, répondant au nom suspect de Kra-Pull. Ce dernier lui vendrait une potion pour être un grand guerrier et ce, s'il redresse ses notes. Dans ce sens, Minus va retrousser ses manches et reprendre à zéro les tests de ses professeurs. Et ça presse parce que hors de l'enceinte du village des zombies menaçants s'agglutinent de plus en plus menés par une sorte de titan : Zombie-Gleuuh. En plus, l'alchimiste va avoir besoin d'un certain ingrédient dans un bois infesté d'araignées pour la fabrication de sa potion. Une extraordinaire potion qui coûte un bras : une émeraude allant conduire dans une mine Minus, démuni, à en chercher aussi.

Le tout résumé ouvre donc sur trois grands arcs narratifs dans un espace de 48 pages couvertures comprises seulement ce qui en soi est une jolie prouesse de l'auteur Stéphane Anquetil, passé maître à jouer avec tous formats d'histoires, qui se permet aussi un twist final ayant trait au personnage de Kra-Pull.





Comme à l'habitude, il est à visiter plusieurs endroits de la map certains accessibles directement, d'autres étant à débloquer au fil du récit.





Il est à noter qu'un concepteur d'énigmes Nicolas Lubac a officié sur ce 8e album qui décidément n'est pas un Vivez l'Aventure comme les autres où presque à chaque page ou double page des jeux sont proposés ce qui rallonge la durée de vie du récit. La construction propre au jeu Minecraft, ici d'une catapulte, donne lieu par exemple à de mignonnes énigmes visuelles de débitage et d'assemblage. Ceci dit certaines des énigmes de la BD-jeu, encore plus vrai lors de la bataille contre les zombies, s'amusent à piéger le lecteur pour peu qu'il en interprète mal les dessins ou explications textuelles. J'ai eu ainsi droit à un sévère 0% en calcul voyant Zombie-Gleuuh gagner. Tout degré de difficulté, bien panachée ici, est présent sans que ce soit insurmontable comme le public concerné reste les jeunes enfants, signalant qu'une page retournée de solutions figure de toute façon en 47. Parmi mes énigmes préférées il y a les beaux labyrinthes de la mine sur double page dont un m'a résisté quelques minutes. Le summum reste une certaine page montrant toutes les potions rangées de l'alchimiste où jusqu'à un certain mouvement des yeux il sera nécessaire pour visualiser la potion de super guerrier.





Pour conclure sur ce très bel album, mon number one jusqu'à maintenant, il a été illustré par Saboten qui a mis en image également une autre histoire de Minus sous les traits non plus d'un noob mais d'un... super guerrier en 2019 dans le Méga Temple Maudit, Escape Book Junior 404, où pour les amoureux de détails que je suis pages finales du 8e Vivez l'Aventure une jeune fille est dessinée, n'étant autre qu'Alizée la demoiselle en détresse du Méga Temple Maudit.





Minus et les 100 Dangers de Minecraft + le Méga Temple Maudit une double bonne lecture nous faisant confronter à de fameux méchants, à mille et un défis et aimer les charmes tout cubiques de Minecraft se prêtant bien en livre-jeu illustré.





À quand un 3e Vivez l'Aventure Minecraft :).
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Escape book enfant : Vol au musée

Hello tout le monde ! Aujourd'hui, je viens vous parler de l'escape book "Vol au musée" de Stéphane Anquetil sorti chez @404editions. J'avais reçu ce livre dans la cadre de la masse critique "jeunesse" de @babelio_ . Je remercie Babelio et la maison d'édition de m'avoir fait confiance pour chroniquer ce livre.

J'avais choisi ce livre pour découvrir le concept d'escape book que je ne connaissais pas. Et j'en suis ravie ! J'ai passé un très bon moment avec cet escape book. On entre facilement dans le jeu. On a envie de résolver l'enigme, connaitre le coupable et savoir pourquoi il a fait cela. Il faut résolver des minis enigmes et trouver les indices pour résolver l'enigme principale.

Alors certe, cet escape book est pour les 8-10ans avec une difficulté moyenne mais j'ai trouvé que même pour les adultes cela reste sympa pour appréhender le concept. Je n'ai pas d'enfant donc je n'ai pas pu tester avec un enfant mais je pense que cela peut permettre quelques heures de jeu à des enfants de l'âge cible. Il y'en a plusieurs déjà sortie pour des âges différents avec différentes intrigues donc n'hésitez pas à y jeter un oeil. Je pense que c'est un cadeau que je pourrais offrir à un enfant/adolescent.

Je pense que vous l'avez compris, le concept m'a séduit. Je pense que je réitérer l'expérience avec un escape book pour adultes.
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Escape book enfant : Vol au musée

J'ai reçu ce livre à l'occasion d'une masse critique Babelio, que je tiens à remercier.



J'ai d'abord résolu moi même l'enquête avant de prêter le roman à un adolescent pour qu'il puisse me donner un avis à son tour.



Commençons par le mien. Ce roman est très bien fait. Dés le début nous avons les explications sur la façon d'utiliser ce livre objet, et ainsi élucider le mystère qui nous attend. Tout au long de notre périple, de petits indices sont disséminés dans les conseils que nous apporte notre chat qui nous suit partout.



De plus, les énigmes ne sont ni trop simples, ni trop compliquées. Le fait est que j'ai passé un agréable moment à chercher le voleur du musée. Evidemment, j'avais deviné son identité au tiers de mes recherches et parfois, l'histoire m'a semblé peu réaliste. Mais c'est le point de vue d'un adulte ! Je relis encore parfois mes romans bibliothèque verte qui m'ont fascinée enfant et je réalise qu'eux aussi en manquait. Sauf qu'il faut lire ce court roman avec un oeil d'enfant.



Il y a aussi toute une partie d'objets que l'on peut trouver et qui peuvent nous servir par la suite à se sortir de situations périlleuses. Une très bonne idée et simple d'utilisation ! La seule chose que je pourrais trouver à lui "reprocher", c'est l'âge préconisé sur la 4eme de couverture. 8 à 10 ans... pour un enfant qui lit et surtout raisonne vraiment très bien. Mais je serais plutôt partante pour un 10 à 12 ans. Et c'est un excellent moyen pour faire lire les plus timides en matière de lecture ! Forcément, on ne se rend pas compte qu'on lit puisqu'il y a le jeu derrière...



Voilà pourquoi je n'ai pas hésité à le mettre entre les main d'un ado, un peu plus âgé que préconisé mais qui ne lit QUE ce genre de livre...



Son avis à lui. Il a beaucoup aimé les énigmes, mais il a trouvé que leur niveau variait vraiment de l'une à l'autre. L'histoire n'est pas poussée, l'accent est réellement mis sur la réflexion et l'enquête, chose qui lui a énormément plu.



Il est tout à fait conscient pour le coup des incohérences avec la réalité mais cela ne l'a aucunement dérangé. Et le fait que chaque piste mène quelque part fut aussi grandement apprécié. Dans le sens où jamais il ne faut reprendre de zéro. Si il y a erreur sur la résolution de l'énigme, il suffit de chercher à nouveau



. Il a aussi bien apprécié le fait de devoir "trouver" des objets qui font avancer son enquête, l'obligeant à visiter un peu tous les lieux proposés. En somme il s'est bien amusé, et moi j'étais ravie qu'il lise un peu.



En résumé, voilà une collection fort sympathique qui peut faire aimer la lecture, tant par sa simplicité d'utilisation, que par ses illustrations, et le jeu ajouté à l'histoire. A mettre entre toutes les mains, après tout, on apprend en jouant !
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Escape box : Pirates

Il pleut, il y a du vent, pas un temps à mettre un chat dehors !







Nous avons décidé de nous lancer dans l'aventure des petits pirates avec mes moussaillons Sonia et Emma. Quand à moi, j'étais la MJ (Maîtresse du Jeu).







Ne vous fiez pas aux indications car il ne faut pas quelques minutes pour installer le jeu mais au moins un bon quart d'heure !







Dans la boîte, il y a une carte de pirates, un jeu de 40 cartes, le livret qui contient les règles. Pour jouer à ce jeu, il vous faudra vous munir d'un crayon et d'une feuille pour chaque pirates ou pour chaque équipes.







Vous devez dans un premier temps demander aux enfants de quitter la pièce afin de cacher les cartes indices qui permettront aux enfants de résoudre les énigmes !







Attention où vous cachez les indices pour que les enfants ne cassent pas les objets fragiles car je peux vous dire qu'avec la musique d'ambiance, le capitaine qui parle et qui ajoute un coup de stress aux enfants, ils vont vite débordés d'adrénaline et ne feront plus attention à leurs faits et gestes !















Pour vous mettre dans l'ambiance : le capitaine vous débarque sur une île abandonnée (mon salon) et vous laisse 45 minutes pour retrouver le trésor perdu de Buzzard. Il va falloir faire vite car les pirates en herbe n'auront que 45 minutes et pas une minute de plus pour le trouver si le temps imparti est écoulé et que les enfants n'ont pas trouvé le trésor, cela permettra aux enfants de jouer une prochaine fois.







Un agréable moment à passer avec ses enfants ! Les voir se creuser la cervelle était vraiment pas mal !







Avis de Sonia : c'était bien mais au bout d'un moment, quand tu ne trouves pas la réponse ou que les cartes sont bien cachées, ça t'énerve ! Surtout quand le capitaine nous dit de nous "remuer"...







Avis d'Emma : j'ai beaucoup aimé même si à trente secondes de la fin, le capitaine nous colle du stress et on se sent démunies !







Elles se sont bien amusées et nous vous recommandons chaudement ce jeu !



--> Illustrations et photos sur le blog
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Escape book : Le piège de Moriarty

Etant fan des Escape Games et de lecture, je me suis dit que ce livre d’un genre nouveau était pour moi ! C’est pour ça que j’ai rapidement craqué car j’étais curieuse de voir le rendu possible. Je dois dire que du point de vue de la forme, je n’ai pas été déçue. Néanmoins, il faut bien lire les instructions comme mentionné au début du livre afin de savoir quoi faire à chaque paragraphe.



Après une brève introduction pour se mettre dans l’ambiance, on se retrouve vite coincé dans a maison du criminel. On retrouve des plans des locaux afin de savoir dans quelles pièces on peut aller et je dois dire que l’on est bien aiguillé pour savoir si l’on peut ou non franchir une porte ou monter un escalier. Les indices sont nombreux et on a un fichier au milieu du livre qui répertorie nos indices pour donner plus d’informations, parfois cruciales ! On retrouve également un certains nombres de Documents que l’on est invité très clairement à lire en cas de découverte d’indice ou de besoin. J’avoue que cette partie est extrêmement bien faite et instructive.



Néanmoins, j’ai trouvé que l’on était un peu trop aidé pour certaines énigmes avec les pensées de l’inspecteur souvent trop explicites. Malgré cette facilité, j’avoue que je suis quand même morte 3 fois… J’aurais également aimé que les énigmes finales (cartes, notes de musiques) ne soient pas révélées à la fin mais bel et bien devinées car je les ai trouvées intéressantes.



En bref, j’ai particulièrement aimé a forme de ce roman même si l’histoire de base était assez classique. J’aurais également aimé être moins aiguillée pour trouver les réponses et les énigmes finales sont dévoilées sans que l’on ait à chercher. Je pense en lire un autre du même format car celui-ci était particulièrement bien fait !
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