Critiques de Sun Takeda (36)
Le groupe dirigé par Sayaka, bande que Shûichi et Claire ont désormais rallié, sont à la recherche des médailles, dans les collines. Il sont en danger et sont surveillé de près par un autre groupe de monstres qui sont entre-eux solidaires. Ces monstres sont plus puissant que le groupe de nos héros. Ils les menacent et demandent un sacrifice de l’un des membres du groupe de Sayaka. Aucun des membres n’est près à perdre la vie pour l’autre bande. Claire, plus machiavélique que jamais, mets au point une méthode qui semble pacifique pour vaincre l’autre gang de monstres. Mais, sous la douceur et la beauté des fleurs, Claire n’hésite pas à utiliser une méthode qui tue. Sans remord. Le pauvre Shûichi prend tous les tords à sa charge. Un bruit cours qu’une personne aurait déjà réuni cents médailles et serait devenu super puissant. Il contrôlerait même l’endroit où s’est craché le vaisseau extraterrestre. Quelques flash-back nous font revenir dans le passé pour mieux découvrir le passé de l’extraterrestre.
Cet épisode est assez étouffant. Il n’y pas autant de violence apparente que dans les tomes précédents mais les caractères des personnages s’affûtent. Avec douceur et sans violence apparente, Claire crée presque un génocide en tuant tout un groupe ou presque uniquement avec des fleurs. De plus en plus, Claire est le personnage sombre de ce manga. (Ô le bel oxymore). Est-ce vraiment sa sœur qui aurait tué ses parents ? Sa sœur ne semble pas avoir de réelles mauvaises intentions. Elle s’explique d’ailleurs avec l’extraterrestre. Lui, plutôt fainéant, joue avec les désirs des humains pour qu’ils fassent son travail à sa place, ramasser les médailles qui ne sont que ses camarades de voyage. Si cet épisode semble moins violent que les précédents, c’est certainement le plus glauque et le plus dérangeant depuis le début de la série. Il ne fait aucun doute qu’on ne peu rester insensible face à ce scénario des plus tordus. Il nous met le nez dans le genre humain, tente de nous démontrer qu’en chacun de nous sommeille un monstre. Qu’il faut beaucoup de volontés pour être altruiste plutôt que misanthrope. Je suis de plus en plus persuadé que ce manga, soit il vous passionne, soit il vous révulse. Je suis un peu déçu par le manque d’intensité de ce dernier opus, j’espère des rebondissements importants dans le tome 6, qui, j’espère, ne se fera pas trop attendre. Les dessins sont superbes, le scénario profond, à suivre donc…
Lu en numérique en format KINDLE avec une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui sans comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C’est un monstre malgré lui et est d’un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l’université. Pour l’instant, elle n’a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa sœur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Elena : la sœur de Claire. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d’oxymoron propre à ce manga.
L’extraterrestre : lui non plus n’a pas de nom ou pas encore. D’ailleurs, son apparence de joli garçon n’est qu’une adaptation au milieu dans lequel il s’intègre. Il le prouve en se transformant en longe de Claire, encore plus impudique que l’héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu’il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n’importe quel humain qui lui rend service.
Chihiro Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n’est qu’elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il a la forme d’une peluche.
Subaru : jeune garçon qui a l’air inoffensif. Mais quand il mue, il prend l’apparence d’un monstre gigantesque, à la fois homme et femme, sans doute un couple siamois qui évoque son père et sa mère. Il est incontrôlable et extrêmement puissant. Il est membre du groupe de la grande sœur de Claire.
Yôta Murakami. Dix-neuf ans, plutôt bellâtre qui se croit séducteur. Il fait partie du groupe de Chihiro et se vante d‘en être le plus fort. Ses pouvoirs sont encore à découvrir.
Ikeuchi : jeune homme qui peut transformer sa tête en caméscope et envoyer des vidéos par mail. Il est membre du groupe de Chihiro.
Isao Kasuga : quand il mute, il a l’apparence d’un vrai monstre mais son pouvoir se limite à savoir faire pousser des plantes et changer la nature des sols. Il est aussi membre du groupe de Chihiro.
Miku Aihara : jeune femme timide qui a le pouvoir de devenir invisible. Membre du groupe de Chihiro.
Sayaka Koyanagi : c’est la fondatrice du groupe de Chihiro et semble aussi en être le chef. C’est un groupe composé d’éléments aux pouvoirs pratiques mais assez faible. Les membres sont plutôt idéalistes et rêvent d’un monde meilleur. Sont pouvoir consiste à obliger les gens à garder un secret. Sayaka est homosexuelle et elle est tombée sous le charme de Claire.
Cet épisode est assez étouffant. Il n’y pas autant de violence apparente que dans les tomes précédents mais les caractères des personnages s’affûtent. Avec douceur et sans violence apparente, Claire crée presque un génocide en tuant tout un groupe ou presque uniquement avec des fleurs. De plus en plus, Claire est le personnage sombre de ce manga. (Ô le bel oxymore). Est-ce vraiment sa sœur qui aurait tué ses parents ? Sa sœur ne semble pas avoir de réelles mauvaises intentions. Elle s’explique d’ailleurs avec l’extraterrestre. Lui, plutôt fainéant, joue avec les désirs des humains pour qu’ils fassent son travail à sa place, ramasser les médailles qui ne sont que ses camarades de voyage. Si cet épisode semble moins violent que les précédents, c’est certainement le plus glauque et le plus dérangeant depuis le début de la série. Il ne fait aucun doute qu’on ne peu rester insensible face à ce scénario des plus tordus. Il nous met le nez dans le genre humain, tente de nous démontrer qu’en chacun de nous sommeille un monstre. Qu’il faut beaucoup de volontés pour être altruiste plutôt que misanthrope. Je suis de plus en plus persuadé que ce manga, soit il vous passionne, soit il vous révulse. Je suis un peu déçu par le manque d’intensité de ce dernier opus, j’espère des rebondissements importants dans le tome 6, qui, j’espère, ne se fera pas trop attendre. Les dessins sont superbes, le scénario profond, à suivre donc…
Lu en numérique en format KINDLE avec une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui sans comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C’est un monstre malgré lui et est d’un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l’université. Pour l’instant, elle n’a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa sœur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Elena : la sœur de Claire. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d’oxymoron propre à ce manga.
L’extraterrestre : lui non plus n’a pas de nom ou pas encore. D’ailleurs, son apparence de joli garçon n’est qu’une adaptation au milieu dans lequel il s’intègre. Il le prouve en se transformant en longe de Claire, encore plus impudique que l’héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu’il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n’importe quel humain qui lui rend service.
Chihiro Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n’est qu’elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il a la forme d’une peluche.
Subaru : jeune garçon qui a l’air inoffensif. Mais quand il mue, il prend l’apparence d’un monstre gigantesque, à la fois homme et femme, sans doute un couple siamois qui évoque son père et sa mère. Il est incontrôlable et extrêmement puissant. Il est membre du groupe de la grande sœur de Claire.
Yôta Murakami. Dix-neuf ans, plutôt bellâtre qui se croit séducteur. Il fait partie du groupe de Chihiro et se vante d‘en être le plus fort. Ses pouvoirs sont encore à découvrir.
Ikeuchi : jeune homme qui peut transformer sa tête en caméscope et envoyer des vidéos par mail. Il est membre du groupe de Chihiro.
Isao Kasuga : quand il mute, il a l’apparence d’un vrai monstre mais son pouvoir se limite à savoir faire pousser des plantes et changer la nature des sols. Il est aussi membre du groupe de Chihiro.
Miku Aihara : jeune femme timide qui a le pouvoir de devenir invisible. Membre du groupe de Chihiro.
Sayaka Koyanagi : c’est la fondatrice du groupe de Chihiro et semble aussi en être le chef. C’est un groupe composé d’éléments aux pouvoirs pratiques mais assez faible. Les membres sont plutôt idéalistes et rêvent d’un monde meilleur. Sont pouvoir consiste à obliger les gens à garder un secret. Sayaka est homosexuelle et elle est tombée sous le charme de Claire.
Voilà le tome 1 d’un petit manga qui ne manque pas d’originalité.
Il se lit vite, mais sa lecture et fort agréable.
Avec ce mélange de fantasy fiction et réalité on ne s’ennuie pas. D’autant que l’on découvre un héros un peu étrange ayant acquis un pouvoir qu’apparemment il ne souhaitait pas, et surtout il ne sait pas comment il l’a obtenu. Il fera aussi la connaissance d’une jeune fille ayant un profil à l’opposé du sien, mais les circonstances vont faire qu’ils vont créer un duo efficace mais « partagé »....
Le concept de départ est bon et inédit mais je suis curieux de voir si la suite sera à la hauteur de la surprise du premier tome.
J’ai aimé.
Il se lit vite, mais sa lecture et fort agréable.
Avec ce mélange de fantasy fiction et réalité on ne s’ennuie pas. D’autant que l’on découvre un héros un peu étrange ayant acquis un pouvoir qu’apparemment il ne souhaitait pas, et surtout il ne sait pas comment il l’a obtenu. Il fera aussi la connaissance d’une jeune fille ayant un profil à l’opposé du sien, mais les circonstances vont faire qu’ils vont créer un duo efficace mais « partagé »....
Le concept de départ est bon et inédit mais je suis curieux de voir si la suite sera à la hauteur de la surprise du premier tome.
J’ai aimé.
Le tome débute sur un flashback. Shûichi avait un groupe d’amis. Ils étaient ensemble dans la classe d’étude Yamada. Ils passaient leurs vacances là pour étudier mais ils s’amusaient plus, comme s’ils étaient en colonie. Une de leurs camarades a mystérieusement disparue, Honoka. Son père serait accusé de crime à Tokyo et la famille de la jeune fille la rejète. Aïkido, un garçon du groupe, s’inquiète de la disparition de son amie. Apparemment , la sœur de claire, Erena, faisait aussi partie de la bande. Mais Aïkido remarque que Aiko, une autre jeune fille du groupe, a le même tic qu’Honoka. Il se fait des films et va imaginer qu’Honoka s’est transformée en Aiko. Il rencontre l’extraterrestre qui lui confirme que c’est le cas. Aïkido présente l’alien à se amis. Personne ne sait qu’elle attitude adopter. Alors, Aïkido se persuade qu’Honoka a assassiné Aiko pour lui voler sa vie et qu’on ne sache pas qu’elle est la fille d’un criminel. Il étrangle son amie et se rend compte de son erreur car Aiko s’était suicidée et avait envoyé Honoka auprès de l’extraterrestre pour qu’il transforme Honoka en son amie. Nous retrouvons Claire et Shûichi sur le terrain des médailles. Ils sont accompagnés par Tadanori qui se transforme en colosse. Ils doivent affronter deux adversaires redoutables qui veulent les empêcher de s’approcher de l’endroit du crash du vaisseau spatial…
J’avoue que le début de ce nouvel épisode ma déstabilisé. J’étais perdu. Je ne reconnaissait pas les personnages. Il m’a fallut un certain temps pour comprendre que Shûichi et la sœur Claire étaient présent dans ce groupe. Visiblement, notre héros avait déjà rencontré l’extraterrestre et la sœur de Claire mais il ne s’en souvient plus. Mais, visiblement, même si nous ne le savons pas encore, Shûichi, en approchant de l’endroit du crash du vaisseau, va à la rencontre du passé. Les dessins et les monstres sont toujours aussi spectaculaire. L’ambiance de ce manga est glauque, poisseuse, dérangeante à souhait. Le mangaka crée un suspens et un climat d’horreur extrêmement puissant. Même dans cet album pourtant plus calme que les précédents La suite s’annonce intense, cet épisode était plutôt dans la transition. Je ne sait pas jusqu’où le mangaka veut nous emmener mais je sais que j’ai juste envie de poursuivre cette belle aventure. Lu en format KINDLE avec une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui sans comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C’est un monstre malgré lui et est d’un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l’université. Pour l’instant, elle n’a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa sœur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Erena : la sœur de Claire. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d’oxymoron propre à ce manga.
L’extraterrestre : lui non plus n’a pas de nom ou pas encore. D’ailleurs, son apparence de joli garçon n’est qu’une adaptation au milieu dans lequel il s’intègre. Il le prouve en se transformant en sosie de Claire, encore plus impudique que l’héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu’il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n’importe quel humain qui lui rend service.
Chihiro Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n’est qu’elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il se transforme en peluche.
Subaru : jeune garçon qui a l’air inoffensif. Mais quand il mue, il prend l’apparence d’un monstre gigantesque, à la fois homme et femme, sans doute un couple siamois qui évoque son père et sa mère. Il est incontrôlable et extrêmement puissant. Il est membre du groupe de la grande sœur de Claire.
Yôta Murakami. Dix-neuf ans, plutôt bellâtre qui se croit séducteur. Il fait partie du groupe de Chihiro et se vante d‘en être le plus fort. Ses pouvoirs sont encore à découvrir.
Ikeuchi : jeune homme qui peut transformer sa tête en caméscope et envoyer des vidéos par mail. Il est membre du groupe de Chihiro.
Isao Kasuga : quand il mute, il a l’apparence d’un vrai monstre mais son pouvoir se limite à savoir faire pousser des plantes et changer la nature des sols. Il est aussi membre du groupe de Chihiro.
Miku Aihara : jeune femme timide qui a le pouvoir de devenir invisible. Membre du groupe de Chihiro.
Sayaka Koyanagi : c’est la fondatrice du groupe de Chihiro et semble aussi en être le chef. C’est un groupe composé d’éléments aux pouvoirs pratiques mais assez faible. Les membres sont plutôt idéalistes et rêvent d’un monde meilleur. Son pouvoir consiste à obliger les gens à garder un secret. Sayaka est homosexuelle et elle est tombée sous le charme de Claire.
Tadanori Sambe : universitaire. Il s’est battu avec Claire et Shûichi, pour mesurer sa force colossale. Battu, il est devenu ami avec eux et a juré de les protéger.
J’avoue que le début de ce nouvel épisode ma déstabilisé. J’étais perdu. Je ne reconnaissait pas les personnages. Il m’a fallut un certain temps pour comprendre que Shûichi et la sœur Claire étaient présent dans ce groupe. Visiblement, notre héros avait déjà rencontré l’extraterrestre et la sœur de Claire mais il ne s’en souvient plus. Mais, visiblement, même si nous ne le savons pas encore, Shûichi, en approchant de l’endroit du crash du vaisseau, va à la rencontre du passé. Les dessins et les monstres sont toujours aussi spectaculaire. L’ambiance de ce manga est glauque, poisseuse, dérangeante à souhait. Le mangaka crée un suspens et un climat d’horreur extrêmement puissant. Même dans cet album pourtant plus calme que les précédents La suite s’annonce intense, cet épisode était plutôt dans la transition. Je ne sait pas jusqu’où le mangaka veut nous emmener mais je sais que j’ai juste envie de poursuivre cette belle aventure. Lu en format KINDLE avec une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui sans comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C’est un monstre malgré lui et est d’un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l’université. Pour l’instant, elle n’a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa sœur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Erena : la sœur de Claire. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d’oxymoron propre à ce manga.
L’extraterrestre : lui non plus n’a pas de nom ou pas encore. D’ailleurs, son apparence de joli garçon n’est qu’une adaptation au milieu dans lequel il s’intègre. Il le prouve en se transformant en sosie de Claire, encore plus impudique que l’héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu’il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n’importe quel humain qui lui rend service.
Chihiro Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n’est qu’elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il se transforme en peluche.
Subaru : jeune garçon qui a l’air inoffensif. Mais quand il mue, il prend l’apparence d’un monstre gigantesque, à la fois homme et femme, sans doute un couple siamois qui évoque son père et sa mère. Il est incontrôlable et extrêmement puissant. Il est membre du groupe de la grande sœur de Claire.
Yôta Murakami. Dix-neuf ans, plutôt bellâtre qui se croit séducteur. Il fait partie du groupe de Chihiro et se vante d‘en être le plus fort. Ses pouvoirs sont encore à découvrir.
Ikeuchi : jeune homme qui peut transformer sa tête en caméscope et envoyer des vidéos par mail. Il est membre du groupe de Chihiro.
Isao Kasuga : quand il mute, il a l’apparence d’un vrai monstre mais son pouvoir se limite à savoir faire pousser des plantes et changer la nature des sols. Il est aussi membre du groupe de Chihiro.
Miku Aihara : jeune femme timide qui a le pouvoir de devenir invisible. Membre du groupe de Chihiro.
Sayaka Koyanagi : c’est la fondatrice du groupe de Chihiro et semble aussi en être le chef. C’est un groupe composé d’éléments aux pouvoirs pratiques mais assez faible. Les membres sont plutôt idéalistes et rêvent d’un monde meilleur. Son pouvoir consiste à obliger les gens à garder un secret. Sayaka est homosexuelle et elle est tombée sous le charme de Claire.
Tadanori Sambe : universitaire. Il s’est battu avec Claire et Shûichi, pour mesurer sa force colossale. Battu, il est devenu ami avec eux et a juré de les protéger.
Shûichi et Claire sont parti dans les collines pour tenter d'y trouver des pièces pour l'extraterrestre. C'est une expédition de tous les dangers car beaucoup de monstres ont la même ambition. Ils savent que c'est extrêmement risqué. Ils rencontre alors un monstre géant dont le but de sa mutation est d'être très puissant et fort. Ce monstre voudrait mesurer sa puissance contre Shûichi qui est transformé et qui a fusionné avec Claire. Il pense que la peluche qu'il a en face de lui est une fille. Ce monstre est pratiquement invincible. C'est par la ruse que nos deux héros arrive à le vaincre et ils lui propose de s'allier avec eux. En fouillant le portable de leur nouvel ami, Claire découvre d'autres adolescents qui ont un pouvoir. Elle fait chanter l'un d'eux pour rejoindre leur groupe. Ces nouveaux alliés ne se transforment pas en changeant forcément d'apparence. Leur objectif est de trouver le plus de médailles possible pour empêcher ceux qui ont de mauvaises intentions de s'en servir de façon malveillante…
Ce manga est vraiment étonnant et le confirme dans ce troisième opus. Il est volontairement malsain. Il cultive l'horreur non pas dans les monstres, même s'il y en a d'affreux mais plutôt dans tout ce que le genre humain cultive comme bassesse. L'ambition des uns est redoutable et devient une arme qui pousse au crime. Claire et Shûichi craignent surtout que l'un d'entre eux ne veule simplement détruire le monde. Claire et Shûichi découvre aussi leurs faiblesses face à ces nouveaux ennemis. le scénario prend un tournant plus politique. Les deux héros, surtout Claire, négocient. Les nouveaux « monstres » aussi sont intéressants. Pas forcément de pouvoirs extraordinaires, pas vraiment de mutations corporelles mais plutôt des pouvoirs psychologiques. Tous se savent fragiles et ont compris que l'union fait la force. C'est magnifiquement dérangeant et bien construit. le scénario est en béton. Les dessins sont très bons, les filles sont jolies et l'auteur adouci l'horreur par des scènes fréquentes de nu. Ce n'est pas un manga, bien qu'il ne soit pas explicite, à confier à tout le monde. le mangaka traduit aussi par ce scénario fantastique toutes les difficultés à être un adolescent. Vivement la suite, surtout que la fin de ce tome tombe comme un couperet et que nous restons dans un suspens insoutenable. Lu en numérique sur KINDLE avec toujours une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s'en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C'est un monstre malgré lui et est d'un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l'université. Pour l'instant, elle n'a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa soeur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
La soeur De Claire : je ne pense pas que son prénom a déjà été révélé. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d'oxymoron propre à ce manga.
L'extraterrestre : lui non plus n'a pas de nom ou pas encore. D'ailleurs, son apparence de joli garçon n'est qu'une adaptation au milieu dans lequel il s'intègre. Il le prouve en se transformant en longe De Claire, encore plus impudique que l'héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu'il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n'importe quel humain qui lui rend service.
Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n'est qu'elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il a la forme d'une peluche.
Ce manga est vraiment étonnant et le confirme dans ce troisième opus. Il est volontairement malsain. Il cultive l'horreur non pas dans les monstres, même s'il y en a d'affreux mais plutôt dans tout ce que le genre humain cultive comme bassesse. L'ambition des uns est redoutable et devient une arme qui pousse au crime. Claire et Shûichi craignent surtout que l'un d'entre eux ne veule simplement détruire le monde. Claire et Shûichi découvre aussi leurs faiblesses face à ces nouveaux ennemis. le scénario prend un tournant plus politique. Les deux héros, surtout Claire, négocient. Les nouveaux « monstres » aussi sont intéressants. Pas forcément de pouvoirs extraordinaires, pas vraiment de mutations corporelles mais plutôt des pouvoirs psychologiques. Tous se savent fragiles et ont compris que l'union fait la force. C'est magnifiquement dérangeant et bien construit. le scénario est en béton. Les dessins sont très bons, les filles sont jolies et l'auteur adouci l'horreur par des scènes fréquentes de nu. Ce n'est pas un manga, bien qu'il ne soit pas explicite, à confier à tout le monde. le mangaka traduit aussi par ce scénario fantastique toutes les difficultés à être un adolescent. Vivement la suite, surtout que la fin de ce tome tombe comme un couperet et que nous restons dans un suspens insoutenable. Lu en numérique sur KINDLE avec toujours une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s'en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C'est un monstre malgré lui et est d'un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l'université. Pour l'instant, elle n'a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa soeur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
La soeur De Claire : je ne pense pas que son prénom a déjà été révélé. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d'oxymoron propre à ce manga.
L'extraterrestre : lui non plus n'a pas de nom ou pas encore. D'ailleurs, son apparence de joli garçon n'est qu'une adaptation au milieu dans lequel il s'intègre. Il le prouve en se transformant en longe De Claire, encore plus impudique que l'héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu'il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n'importe quel humain qui lui rend service.
Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n'est qu'elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il a la forme d'une peluche.
A la fin du troisième tome, nous avions quittés Shûichi et sa nouvelle amie, la frêle Chihiro Yoshioka qui s’était installée à l’intérieur de notre héros pour retrouver son portefeuille dans un moment dramatique. Ils ne été écrasés par un monstre géant et bicéphale qui n’est pourtant qu’un jeune garçon. Ils étaient broyés et gisaient dans une mare de sang. Mais voilà qu’ils se redressent avec l’apparence d’une femme renarde, L’animal polymorphe ne ressemble plus à une peluche géante mais à un Kitsune a deux queues et aux griffes acérées. Ce nouveau monstre, parfaite fusion entre Shûichi et Chihiro est extrêmement véloce et est en mesure de combattre le monstre à deux têtes. Le combat semble incertain quand soudain apparaît la sœur de claire qui tente de raisonner les combattants. La volonté de Chihiro sur Shûichi met fin à l’affrontement. Pendant ce temps, Claire négocie encore avec Sayaka Koyanagi, la cheffe du groupe de Chihiro pour intégrer cette bande composée d’éléments aux pouvoirs pratiques mais qui rendent ceux qui les possèdent fragiles par rapport aux monstres violents qui sont aussi à la recherche des médailles. Claire est intégrée au groupe mais Shûichi et Chihiro ont disparu. La bande se met à leur recherche et trouve Shûichi inconscient avec Chihiro dans son corps. Quand les deux adolescents ont recouvrer leurs esprits, notre héros n’a plus aucun souvenir du combat qu’il vient de livrer mais Chihiro, si elle affirme à Claire de ne se souvenir de rien, semble pourtant avoir conserver la mémoire et même celle se Shûichi. Ensuite, le groupe décide de partir à la recherche des médailles…
Depuis que j’ai découvert cette série, je la classe parmi celles que je préfère pour le moment. Les dessins me plaisent énormément et l’ambiance complexe, psychologique et oppressante de ce manga, agrémenté par quelques images gentiment érotiques, ce qui l’adoucit quelque peu, font que j’attends la suite avec impatience. Les personnages, qu’ils soient principaux ou secondaires ont des caractères complexes. Le mangaka joue habilement avec l’oxymore et celui qui semble être un gentil est peut-être le vrai monstre. Il joue de l’oxymoron aussi avec le dessin. Un jeune garçonnet devient un monstre repoussant à la puissance qui dépasse l’entendement. L’auteur cultive aussi tous les travers de l’adolescence. Par les mutations qui ne sont que le résultat du rêve d’être un autre, ou aussi les premiers émois, les désirs. Il aborde aussi des sujets sensibles tel l’homosexualité. Le scénario est subtil. Ici, pas de vrai méchants ou de vrai gentils, le bien et le mal ne sont pas des axes clairement définis comme dans les comics américains. C’est beaucoup plus complexe. Il y a du remord et aussi, la sœur de Claire que Claire accuse ‘avoir assassiné leurs parents n’est peut-être pas la criminelle qu’on croit tout comme Claire n’est peut-être pas la victime innocente qu’on pense. La fusion qui a transformé Shûichi et Chihiro en montre qui a atteint une évolution parfaite nous prouve que seules, des intentions pures et un objectif commun permettent à notre héros d‘atteindre la substantifique moelle de son pouvoir alors que quand il fusionne avec Claire, il ne peut répondre qu’à la volonté de cette dernière. Mais Claire pense êtes la seule à pouvoir dirigé le jeune homme quand il est transformé en peluche. Une autre interrogation surgit de cette histoire à propos de la sœur de Claire. Est-elle vraiment un monstre, pourquoi a-t-elle donner de la potion à l’insu de notre héros qui fait qu’il peut se transformer ? Est-elle amoureuse de lui, voulait-Elle qu’il devienne le protecteur de sa petite sœur Claire ? Chihiro aussi n’a pas révélé tous ses secrets. Elle sait de quoi peut être capable le binôme qu’elle forme avec Shûichi Elle s’est aussi entretenue avec Elena, la sœur de Claire car elle a appris à la connaître en partageant les souvenirs de notre personnage principal. Visiblement, le groupe, même s’il paraît faible et uniquement uni par le pouvoir de Sayaka, leur cheffe, semble intéresser d’autres chasseurs de médailles. Et si quelqu’un avait déjà réuni les cent pièces demandées par l’extraterrestre. Bref, nous sommes toujours dans l’incertitude. Je crois que se manga est du genre bipolaire et que soit, il passionne, soit il révulse. Pour ma part, il me passionne au point de lui accorder presque cinq étoiles.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s’en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C’est un monstre malgré lui et est d’un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l’université. Pour l’instant, elle n’a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa sœur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Elena : la sœur de Claire. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d’oxymoron propre à ce manga.
L’extraterrestre : lui non plus n’a pas de nom ou pas encore. D’ailleurs, son apparence de joli garçon n’est qu’une adaptation au milieu dans lequel il s’intègre. Il le prouve en se transformant en longe de Claire, encore plus impudique que l’héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu’il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n’importe quel humain qui lui rend service.
Chihiro Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n’est qu’elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il a la forme d’une peluche.
Subaru : jeune garçon qui a l’air inoffensif. Mais quand il mue, il prend l’apparence d’un monstre gigantesque, à la fois homme et femme, sans doute un couple siamois qui évoque son père et sa mère. Il est incontrôlable et extrêmement puissant. Il est membre du groupe de la grande sœur de Claire.
Yôta Murakami. Dix-neuf ans, plutôt bellâtre qui se croit séducteur. Il fait partie du groupe de Chihiro et se vante d‘en être le plus fort. Ses pouvoirs sont encore à découvrir.
Ikeuchi : jeune homme qui peut transformer sa t^te en caméscope et envoyer des vidéos par mail. Il est membre du groupe de Chihiro.
Isao Kasuga : quand il mute, il a l’apparence d’un vrai monstre mais son pouvoir se limite à savoir faire pousser des plantes et changer la nature des sols. Il est aussi membre du groupe de Chihiro.
Miku Aihara : jeune femme timide qui a le pouvoir de devenir invisible. Membre du groupe de Chihiro.
Sayaka Koyanagi : c’est la fondatrice du groupe de Chihiro et semble aussi en être le chef. C’est un groupe composé d’éléments aux pouvoirs pratiques mais assez faible. Les membres sont plutôt idéalistes et rêvent d’un monde meilleur. Sont pouvoir consiste à obliger les gens à garder un secret. Sayaka est homosexuelle et elle est tombée sous le charme de Claire.
Depuis que j’ai découvert cette série, je la classe parmi celles que je préfère pour le moment. Les dessins me plaisent énormément et l’ambiance complexe, psychologique et oppressante de ce manga, agrémenté par quelques images gentiment érotiques, ce qui l’adoucit quelque peu, font que j’attends la suite avec impatience. Les personnages, qu’ils soient principaux ou secondaires ont des caractères complexes. Le mangaka joue habilement avec l’oxymore et celui qui semble être un gentil est peut-être le vrai monstre. Il joue de l’oxymoron aussi avec le dessin. Un jeune garçonnet devient un monstre repoussant à la puissance qui dépasse l’entendement. L’auteur cultive aussi tous les travers de l’adolescence. Par les mutations qui ne sont que le résultat du rêve d’être un autre, ou aussi les premiers émois, les désirs. Il aborde aussi des sujets sensibles tel l’homosexualité. Le scénario est subtil. Ici, pas de vrai méchants ou de vrai gentils, le bien et le mal ne sont pas des axes clairement définis comme dans les comics américains. C’est beaucoup plus complexe. Il y a du remord et aussi, la sœur de Claire que Claire accuse ‘avoir assassiné leurs parents n’est peut-être pas la criminelle qu’on croit tout comme Claire n’est peut-être pas la victime innocente qu’on pense. La fusion qui a transformé Shûichi et Chihiro en montre qui a atteint une évolution parfaite nous prouve que seules, des intentions pures et un objectif commun permettent à notre héros d‘atteindre la substantifique moelle de son pouvoir alors que quand il fusionne avec Claire, il ne peut répondre qu’à la volonté de cette dernière. Mais Claire pense êtes la seule à pouvoir dirigé le jeune homme quand il est transformé en peluche. Une autre interrogation surgit de cette histoire à propos de la sœur de Claire. Est-elle vraiment un monstre, pourquoi a-t-elle donner de la potion à l’insu de notre héros qui fait qu’il peut se transformer ? Est-elle amoureuse de lui, voulait-Elle qu’il devienne le protecteur de sa petite sœur Claire ? Chihiro aussi n’a pas révélé tous ses secrets. Elle sait de quoi peut être capable le binôme qu’elle forme avec Shûichi Elle s’est aussi entretenue avec Elena, la sœur de Claire car elle a appris à la connaître en partageant les souvenirs de notre personnage principal. Visiblement, le groupe, même s’il paraît faible et uniquement uni par le pouvoir de Sayaka, leur cheffe, semble intéresser d’autres chasseurs de médailles. Et si quelqu’un avait déjà réuni les cent pièces demandées par l’extraterrestre. Bref, nous sommes toujours dans l’incertitude. Je crois que se manga est du genre bipolaire et que soit, il passionne, soit il révulse. Pour ma part, il me passionne au point de lui accorder presque cinq étoiles.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s’en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C’est un monstre malgré lui et est d’un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l’université. Pour l’instant, elle n’a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa sœur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Elena : la sœur de Claire. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d’oxymoron propre à ce manga.
L’extraterrestre : lui non plus n’a pas de nom ou pas encore. D’ailleurs, son apparence de joli garçon n’est qu’une adaptation au milieu dans lequel il s’intègre. Il le prouve en se transformant en longe de Claire, encore plus impudique que l’héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu’il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n’importe quel humain qui lui rend service.
Chihiro Yoshioka : Jeune fille dont le pouvoir est de communiquer avec les animaux. Transformée, elle garde son apparence humaine si ce n’est qu’elle a des oreilles de chat. Elle est plutôt innocente et est sous le charme de Shûichi quand il a la forme d’une peluche.
Subaru : jeune garçon qui a l’air inoffensif. Mais quand il mue, il prend l’apparence d’un monstre gigantesque, à la fois homme et femme, sans doute un couple siamois qui évoque son père et sa mère. Il est incontrôlable et extrêmement puissant. Il est membre du groupe de la grande sœur de Claire.
Yôta Murakami. Dix-neuf ans, plutôt bellâtre qui se croit séducteur. Il fait partie du groupe de Chihiro et se vante d‘en être le plus fort. Ses pouvoirs sont encore à découvrir.
Ikeuchi : jeune homme qui peut transformer sa t^te en caméscope et envoyer des vidéos par mail. Il est membre du groupe de Chihiro.
Isao Kasuga : quand il mute, il a l’apparence d’un vrai monstre mais son pouvoir se limite à savoir faire pousser des plantes et changer la nature des sols. Il est aussi membre du groupe de Chihiro.
Miku Aihara : jeune femme timide qui a le pouvoir de devenir invisible. Membre du groupe de Chihiro.
Sayaka Koyanagi : c’est la fondatrice du groupe de Chihiro et semble aussi en être le chef. C’est un groupe composé d’éléments aux pouvoirs pratiques mais assez faible. Les membres sont plutôt idéalistes et rêvent d’un monde meilleur. Sont pouvoir consiste à obliger les gens à garder un secret. Sayaka est homosexuelle et elle est tombée sous le charme de Claire.
Shûichi est un adolescent sans histoire, jusqu'au jour où, sans comprendre pourquoi, il se transforme en une énorme mascotte qui ressemble à un gros chien en peluche. Son corps a également changé. Il est doté d'un odorat exceptionnel et d'une force herculéenne. Il a surtout peur qu'on découvre son pouvoir et fait tout pour mener une vie d'ado comme les autres. Mais, il voit une maison en flamme et grâce à son odorat, il sent qu'il y a quelqu'un à l'intérieur. Il se transforme pour sauver la victime. C'est une belle jeune fille. Toujours sous l'apparence de la mascotte, fasciné par l'odeur de celle qu'il a arraché des flammes, il entreprend de dévêtir la jeune femme mais se reprend en dernière minute et redevient humain. Il se sauve avant qu'elle ne reprenne conscience. Mais, le lendemain, il ne trouve plus son téléphone. La jeune fille qu'il a sauvé la veille va à sa rencontre et possède son portable. Elle décide de le faire chanter car elle a découvert son secret. Elle s'appelle Claire. La jeune fille, un rien allumeuse, perverse, profite de la bonté naturelle de notre héros pour le manipuler. Mais elle lui apprend que sa soeur est aussi un monstre et aurait tuer leurs parents. Claire découvre que le corps de Shûichi est vide et équipé d'une tirette. Elle tente de s'installer à l'intérieur et arrive à fusionner avec l'adolescent et prendre le contrôle de son corps et de sa volonté. Quand les deux adolescents ne font plus qu'un, un lien étrange les unis. Ils échangent leurs émotions aussi. Mais visiblement, d'autres personnes possèdent des pouvoirs et peuvent se transformer en monstre. Visiblement, leurs intentions sont plutôt belliqueuses. Nos deux héros vont connaître leur premier affrontement…
J'ai hésité longtemps avant de télécharger ce manga. La couverture ne m'inspirait guère et quand j'ai chercher sur le net à quoi pouvaient ressembler les dessins et que j'ai vu la forme de la mascotte, j'ai été submergé de préjugés et pensais que c'était un manga neuneu qui ne me plairait pas. Et puis, soyons fous, tant pis, je télécharge le premier tome. Et là, franchement, je suis agréablement surpris. Ce manga, tant par les dessins que par le scénario est un oxymore à lui seul. Claire est aussi belle dedans qu'elle est noire à l'intérieur, Shûichi en mascotte, c'est plutôt l'inverse. Les dessins sont de bonne facture, les personnages sont expressifs et les paysages, assez dépouillé, retransmettent bien l'ambiance urbaine. Dans ce premier tome, l'auteur place ses personnages et son scénario. Sur le plan psychologique, il reprend tout ce que les adolescents ressentent quand leur corps est en pleine mutation. Les complexes d'un corps qui change, qui ne devient pas forcément celui qu'on aurait souhaité avoir, les premiers émois et désirs, les envies de vivre et la façon de se sentir invincible et ne pas craindre la mort. Quand les deux adolescents fusionnent, ils ressentent tout ce que l'une ou l'autre capte et cette fusion des corps, même si elle n'est pas sexuelle, tient tout de même du désir profond de ne faire qu'un. Il y a aussi les interdits qu'on a envie de franchir en pensant que nous deviendrons adulte si nous faisons tomber les barrières. Ici, même sous l'excuse de la légitime défense, ils vont jusqu'à tuer. Claire est peut-être, des deux personnages, le vrai monstre. Elle est manipulatrice, déterminée, peut-être un brin psychopathe. Elle joue également de ses charmes pour convaincre Shûichi de se plier à sa volonté. Je pense que le scénario est riche, les bases sont jetées et j'ai le sentiment d'avoir découvert une pépite qui m'invite à découvrir la suite avec impatience. Lu en version numérique sur KINDLE avec une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s'en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C'est un monstre malgré lui et est d'un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l'université. Pour l'instant, elle n'a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa soeur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
J'ai hésité longtemps avant de télécharger ce manga. La couverture ne m'inspirait guère et quand j'ai chercher sur le net à quoi pouvaient ressembler les dessins et que j'ai vu la forme de la mascotte, j'ai été submergé de préjugés et pensais que c'était un manga neuneu qui ne me plairait pas. Et puis, soyons fous, tant pis, je télécharge le premier tome. Et là, franchement, je suis agréablement surpris. Ce manga, tant par les dessins que par le scénario est un oxymore à lui seul. Claire est aussi belle dedans qu'elle est noire à l'intérieur, Shûichi en mascotte, c'est plutôt l'inverse. Les dessins sont de bonne facture, les personnages sont expressifs et les paysages, assez dépouillé, retransmettent bien l'ambiance urbaine. Dans ce premier tome, l'auteur place ses personnages et son scénario. Sur le plan psychologique, il reprend tout ce que les adolescents ressentent quand leur corps est en pleine mutation. Les complexes d'un corps qui change, qui ne devient pas forcément celui qu'on aurait souhaité avoir, les premiers émois et désirs, les envies de vivre et la façon de se sentir invincible et ne pas craindre la mort. Quand les deux adolescents fusionnent, ils ressentent tout ce que l'une ou l'autre capte et cette fusion des corps, même si elle n'est pas sexuelle, tient tout de même du désir profond de ne faire qu'un. Il y a aussi les interdits qu'on a envie de franchir en pensant que nous deviendrons adulte si nous faisons tomber les barrières. Ici, même sous l'excuse de la légitime défense, ils vont jusqu'à tuer. Claire est peut-être, des deux personnages, le vrai monstre. Elle est manipulatrice, déterminée, peut-être un brin psychopathe. Elle joue également de ses charmes pour convaincre Shûichi de se plier à sa volonté. Je pense que le scénario est riche, les bases sont jetées et j'ai le sentiment d'avoir découvert une pépite qui m'invite à découvrir la suite avec impatience. Lu en version numérique sur KINDLE avec une très belle numérisation.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s'en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C'est un monstre malgré lui et est d'un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l'université. Pour l'instant, elle n'a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa soeur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
Maintenant que Shûichi et Claire ont découvert que c'est quand Claire est dans le corps de l'adolescent transformé en mascotte, que Shûichi atteint sa puissance, ils s'entraînent pour apprendre à maîtriser leur nouveau pouvoir. Mais Claire se montre régulièrement instable et capricieuse. Elle fait la promesse à notre héros qu'ils ne font qu'un et que s'il meurt, elle mourra aussi. Visiblement, les deux adolescents trouvent du plaisir à ne faire qu'un. Claire sait aussi, pour l'avoir ressenti, que Shûichi a un odorat exceptionnel. Elle suggère que le jeune homme utilise son odorat pour retrouver sa soeur parricide. Elle n'est pas très pudique et aime aussi troubler son partenaire. Ils retrouvent la soeur De Claire et cette dernière voit en la mascotte un ennemie potentiel surtout qu'il lui tire dessus. Elle ignore que sa petite soeur est à l'intérieur. Elle le découvre en décapitant le chien en peluche. Elle explique alors à Claire qui est effondrée que c'est elle, avec la potion d'un extraterrestre qui a donné à son insu le pouvoir de Shûichi. Elle avoue aussi le meurtre de leurs parents en expliquant qu'elle n'a fait que répondre aux désirs de sa petite soeur. Elle conseil à Claire de trouver l'extraterrestre qui loge dans un love hôtel et de lui donner une médaille. Peut-être donnera t'il à Claire un pouvoir spécial mais Claire ne pense qu'a mourir en voyant son ami décapité. La tête de ce dernier se met à parler. Claire l'emmène à la découverte de l'extraterrestre qui ressemble à un garçon ordinaire avec le secret espoir de sauver son compagnon de route…
Décidément, avec ce manga, je vais d'heureuses surprises en heureuses surprises. le scénario est dense, il y a de l'émotion, de l'émoi, de la violence. Certes, à ne pas mettre entre toutes les mains. Un léger côté salace vient pimenter le récit sans l'encombrer. C'est assez équilibré entre le côté thriller et fantastique. Mais aussi entre le bien et le mal. Qui sont les méchants ? L'extraterrestre dit-il la vérité ou essaie t'il simplement de piéger les Humains pour envahir de façon pernicieuse notre planète ? La soeur de Claire est-elle vraiment la méchante ? Le mangaka, avec ce deuxième opus, achève la mise en place de ses personnages principaux dont les traits de caractères s'affinent et se précisent. On sent aussi fortement que nos deux héros, même s'ils n'ont pas la même ambition, sont de plus en plus en osmose et vont s'orienter vers une certaine justice ou en défenseur de l'humanité et de la planète. Le mangaka ouvre aussi une porte vers l'écologie, qui est visiblement le problème qui a poussé les extraterrestres à quitter leur planète et arriver par hasard ( ?) sur la terre. Les dessins me plaisent énormément. L'auteur joue toujours sur les problèmes typiques de l'adolescence, ce qui donne de l'épaisseur et de la vraisemblance aux personnages principaux. Claire et Shûichi sont les axes principaux de l'histoire et j'attend de voir s'ils vont gagner en puissance, si le côté un peu pervers de Claire sera complémentaire avec la gentillesse naturelle de Shûichi ? le deuxième tome confirme ma première impression et je suis heureux d'avoir découvert ce manga à tel point que j'ai déjà précommandé la version numérique du tome trois. Encore lu en numérique avec une très belle numérisation sur KINDLE.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s'en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C'est un monstre malgré lui et est d'un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l'université. Pour l'instant, elle n'a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa soeur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
La soeur De Claire : je ne pense pas que son prénom a déjà été révélé. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d'oxymoron propre à ce manga.
L'extraterrestre : lui non plus n'a pas de nom ou pas encore. D'ailleurs, son apparence de joli garçon n'est qu'une adaptation au milieu dans lequel il s'intègre. Il le prouve en se transformant en longe De Claire, encore plus impudique que l'héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu'il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n'importe quel humain qui lui rend service.
Décidément, avec ce manga, je vais d'heureuses surprises en heureuses surprises. le scénario est dense, il y a de l'émotion, de l'émoi, de la violence. Certes, à ne pas mettre entre toutes les mains. Un léger côté salace vient pimenter le récit sans l'encombrer. C'est assez équilibré entre le côté thriller et fantastique. Mais aussi entre le bien et le mal. Qui sont les méchants ? L'extraterrestre dit-il la vérité ou essaie t'il simplement de piéger les Humains pour envahir de façon pernicieuse notre planète ? La soeur de Claire est-elle vraiment la méchante ? Le mangaka, avec ce deuxième opus, achève la mise en place de ses personnages principaux dont les traits de caractères s'affinent et se précisent. On sent aussi fortement que nos deux héros, même s'ils n'ont pas la même ambition, sont de plus en plus en osmose et vont s'orienter vers une certaine justice ou en défenseur de l'humanité et de la planète. Le mangaka ouvre aussi une porte vers l'écologie, qui est visiblement le problème qui a poussé les extraterrestres à quitter leur planète et arriver par hasard ( ?) sur la terre. Les dessins me plaisent énormément. L'auteur joue toujours sur les problèmes typiques de l'adolescence, ce qui donne de l'épaisseur et de la vraisemblance aux personnages principaux. Claire et Shûichi sont les axes principaux de l'histoire et j'attend de voir s'ils vont gagner en puissance, si le côté un peu pervers de Claire sera complémentaire avec la gentillesse naturelle de Shûichi ? le deuxième tome confirme ma première impression et je suis heureux d'avoir découvert ce manga à tel point que j'ai déjà précommandé la version numérique du tome trois. Encore lu en numérique avec une très belle numérisation sur KINDLE.
Personnage :
Shûichi Kagaya : jeune adolescent qui s'en comprendre, possède de nouveaux pouvoirs et se transforme en une mascotte géante et effrayante. C'est un monstre malgré lui et est d'un caractère pacifique.
Mifune : camarade de Shûichi, à qui le jeune homme à céder sa place pour entrer à l'université. Pour l'instant, elle n'a pas encore un rôle défini.
Claire Aoki : elle est plus jeune de deux ans que Shûichi mais dans son genre, elle est assez perverse, un brin allumeuse, surtout manipulatrice, cruelle, sans remord. Elle est orpheline de père et de mère. Ses parents auraient été massacrés par sa soeur qui a aussi le pouvoir de se transformer en monstre.
La soeur De Claire : je ne pense pas que son prénom a déjà été révélé. Elle est devenue un monstre et semble impliquée dans le fait que Shûichi puisse se transformer. Elle est très puissante et semble dangereuse mais en même temps, très sensible. Toujours cette teinte d'oxymoron propre à ce manga.
L'extraterrestre : lui non plus n'a pas de nom ou pas encore. D'ailleurs, son apparence de joli garçon n'est qu'une adaptation au milieu dans lequel il s'intègre. Il le prouve en se transformant en longe De Claire, encore plus impudique que l'héroïne. Il explique aussi comment il est arrivé sur la terre, les étranges médailles et la façon de donner des pouvoirs aux humains qui lui rapporteront ces médailles. Il se dit passionné de manga et qu'il est capable de donner les pouvoirs de tous les héros, même les plus machiavéliques à n'importe quel humain qui lui rend service.
L'idée de base de ce manga tient en quelques mots. Shûichi Kagaya, adolescent sans problème, découvre un jour qu'il peut se transformer en un être puissant et doté de pouvoirs. Dès lors, sa vie devient un enfer.
Il faut dire que cet être en question ressemble à une grosse peluche, une mascotte de football américain ou de basketball... Et de plus, aussi soudainement, Claire, une adolescent assez sexuée, débarque dans la vie de Shûichi.
Alors... les deux adolescents que pas mal de choses opposent au départ vont s'engager sur le chemin des réponses à la multitude de questions qui se posent. Par exemple? Ce distributeur de boissons disposé dans un coin où personne ne passe et qui semble ne pas fonctionner. La soeur De Claire qui a des pouvoirs, paraît-il, et dont Claire dit qu'elle a massacré leurs parents. Cet étrange jeune homme qui cherche des médailles. Les super pouvoirs eux-mêmes posent quelques questions.
On termine par un hangover du feu de dieu... la soeur De Claire qui demande à l'étrange adolescent l'octroi à Shûichi de pouvoir se transformer... à l'insu de son plein gré.
Voilà. Il y a du drame, du mystère, de la violence (quelques combats), de l'humour et... et... et... zorro est arrivé? Non. de l'érotisme très appuyé.
Jugeons plutôt... la première case montre un gros plan sur une culotte (jupe relevée) moulant le sexe d'une adolescente, glabre mais dont on n'ignore aucun relief. Et ce genre de plans étranges (n'apportant pas grand-chose à l'action ni au propos) se succède tout au long du tome. Ce qui me gêne, c'est l'apport de l'érotisme sans que cela ait une valeur ajoutée particulière, spécifique. Comme un argument de vente.
Autre point qui me dérange (je suis assez old school), c'est le caractère assez vide des planches qui se succèdent. La lecture est par conséquent rapide, mais n'apporte pas de contenu additionnel. J'apprécie assez quand le dessin se suffit à lui-même, cela dit.
Avis assez mitigé, donc. L'ambiance est bien étrange. Pour un peu on lorgnerait vers du David Lynch. Mais chez Lynch, l'érotisme est une dimension à part entière, qui apporte du crédit au récit. Dans Gleipnir, le récit semble apporter du crédit à l'érotisme... c'est le contraire.
Il faut dire que cet être en question ressemble à une grosse peluche, une mascotte de football américain ou de basketball... Et de plus, aussi soudainement, Claire, une adolescent assez sexuée, débarque dans la vie de Shûichi.
Alors... les deux adolescents que pas mal de choses opposent au départ vont s'engager sur le chemin des réponses à la multitude de questions qui se posent. Par exemple? Ce distributeur de boissons disposé dans un coin où personne ne passe et qui semble ne pas fonctionner. La soeur De Claire qui a des pouvoirs, paraît-il, et dont Claire dit qu'elle a massacré leurs parents. Cet étrange jeune homme qui cherche des médailles. Les super pouvoirs eux-mêmes posent quelques questions.
On termine par un hangover du feu de dieu... la soeur De Claire qui demande à l'étrange adolescent l'octroi à Shûichi de pouvoir se transformer... à l'insu de son plein gré.
Voilà. Il y a du drame, du mystère, de la violence (quelques combats), de l'humour et... et... et... zorro est arrivé? Non. de l'érotisme très appuyé.
Jugeons plutôt... la première case montre un gros plan sur une culotte (jupe relevée) moulant le sexe d'une adolescente, glabre mais dont on n'ignore aucun relief. Et ce genre de plans étranges (n'apportant pas grand-chose à l'action ni au propos) se succède tout au long du tome. Ce qui me gêne, c'est l'apport de l'érotisme sans que cela ait une valeur ajoutée particulière, spécifique. Comme un argument de vente.
Autre point qui me dérange (je suis assez old school), c'est le caractère assez vide des planches qui se succèdent. La lecture est par conséquent rapide, mais n'apporte pas de contenu additionnel. J'apprécie assez quand le dessin se suffit à lui-même, cela dit.
Avis assez mitigé, donc. L'ambiance est bien étrange. Pour un peu on lorgnerait vers du David Lynch. Mais chez Lynch, l'érotisme est une dimension à part entière, qui apporte du crédit au récit. Dans Gleipnir, le récit semble apporter du crédit à l'érotisme... c'est le contraire.
Nous voici déjà rendu au cinquième tome de cet excellent manga, à l’ambiance oppressante, avec un héros, qui subit ses pouvoirs plus que jamais. Ce nouveau tome nous apprends de nombreuses choses, notamment sur l’extraterrestre qui s’est craché sur la Terre. On apprends ce que sont vraiment les médailles, et pourquoi il faut à tout prix les retrouver.
Tout cela nous est narré grâce un un judicieux flash-back, dans lequel on voit l’arrivé de l’extraterrestre, ainsi que sa toute première rencontre. A coté de cela, on suit bien évidemment Shuîchi Kagaya et ses compagnons, qui vont devoir affronter Moruta et les siens. Autant dire que cela ne va pas e faire sans heurt, et que le mangaka nous livre ici ses plus belles planches.
Mais attention, il n,’y pas forcément des affrontements dans ce tome, car le mangaka gère les choses de manière intelligente et propose une stratégie florale vraiment bien trouvée.
En toute fin de tome, on apprends qu’il y aurait un nouvel ennemi, et que ce dernier aurait une puissance incroyable, car il aurait déjà réuni les cent médailles. De plus, ce dernier surveillerai de près les nombreuses médailles restantes, notamment celles qui se trouveraient proches du vaisseaux. La tâche risque donc de grandement se compliquer pour Shuîchi Kagaya et les siens. Une alliance avec les l’autre groupe serait-elle à envisager ? Réponse dans le sixième tome, qui on l’espère sortira rapidement même si cela semble un peu plus problématique. D’ailleurs, pour info, la publication française semble avoir rattrapée la publication japonaise, puisque eux aussi en sont au tome 5 et que ce dernier est sorti en juin dernier.
Il va donc falloir prendre son mal en patience et compter sans doute sur au moins 6 mois d’attente avec la sortie du prochain volume.
Tout cela nous est narré grâce un un judicieux flash-back, dans lequel on voit l’arrivé de l’extraterrestre, ainsi que sa toute première rencontre. A coté de cela, on suit bien évidemment Shuîchi Kagaya et ses compagnons, qui vont devoir affronter Moruta et les siens. Autant dire que cela ne va pas e faire sans heurt, et que le mangaka nous livre ici ses plus belles planches.
Mais attention, il n,’y pas forcément des affrontements dans ce tome, car le mangaka gère les choses de manière intelligente et propose une stratégie florale vraiment bien trouvée.
En toute fin de tome, on apprends qu’il y aurait un nouvel ennemi, et que ce dernier aurait une puissance incroyable, car il aurait déjà réuni les cent médailles. De plus, ce dernier surveillerai de près les nombreuses médailles restantes, notamment celles qui se trouveraient proches du vaisseaux. La tâche risque donc de grandement se compliquer pour Shuîchi Kagaya et les siens. Une alliance avec les l’autre groupe serait-elle à envisager ? Réponse dans le sixième tome, qui on l’espère sortira rapidement même si cela semble un peu plus problématique. D’ailleurs, pour info, la publication française semble avoir rattrapée la publication japonaise, puisque eux aussi en sont au tome 5 et que ce dernier est sorti en juin dernier.
Il va donc falloir prendre son mal en patience et compter sans doute sur au moins 6 mois d’attente avec la sortie du prochain volume.
Globalement ce deuxième tome apporte plus de réponses qu'il n'ouvre de nouvelles questions. On apprend qui est l'adolescent mystérieux. On croise la soeur de Claire. On voit Shûichi et Claire s'apprivoiser mutuellement. On apprend qu'il y a d'autres individus qui sont aussi dotés de super pouvoirs et de la capacité de se transformer.
J'apprécie le fait qu'on réponde assez rapidement à certaines questions. J'ai trop lu de mangas où on tire sur le fil jusqu'à ce qu'il casse à force de ne pas répondre (ou de ne pas donner des indications de réponses).
Le hic, c'est que les réponses ne me satisfont pas. Mais d'autres y trouveront leur compte, sans souci.
Vu qu'on apporte des réponses, l'atmosphère de mystère s'en ressent un peu. Je trouve cela dommage. On va vers une surenchère de violence, alors qu'on pourrait jouer sur un univers plus lynchien. Par contre, plein pot sur l'érotisme. Et de ce point de vue, le trait de Takeda est parfois variable. Un coup Claire est voluptueuse. Un coup, elle est davantage nymphette. Un coup, sa poitrine est altière. Un coup, elle s'affaisse. Etc.
L'épisode avec la soeur de Claire est très puissant. Entre mensonge et culpabilité, le lecteur est promené. On casse un peu les certitudes. C'est pas mal mais insuffisamment mené. C'est très brouillon et parfois je me demandais à quoi correspondait le dessin.
Le schéma nymphette à gros seins-hanches étroites, cela fait fantasmer l'ado et le vieux pervers. Personnellement, je veux bien de l'érotisme et des plans connotés "voyeur". Mais il faut que cela apporte du contenu. Je cherche encore ce contenu. Une exception: le fait que la mascotte possède une fermeture-éclair dans le dos et que Claire puisse y entrer (pénétration inversée, dont Claire ressort "mouillée"...) afin de faire corps avec Shûichi.
C'est honorable. Mais entre ce que l'on pourrait atteindre et ce qui est proposé, je trouve que le gouffre s'élargit.
J'apprécie le fait qu'on réponde assez rapidement à certaines questions. J'ai trop lu de mangas où on tire sur le fil jusqu'à ce qu'il casse à force de ne pas répondre (ou de ne pas donner des indications de réponses).
Le hic, c'est que les réponses ne me satisfont pas. Mais d'autres y trouveront leur compte, sans souci.
Vu qu'on apporte des réponses, l'atmosphère de mystère s'en ressent un peu. Je trouve cela dommage. On va vers une surenchère de violence, alors qu'on pourrait jouer sur un univers plus lynchien. Par contre, plein pot sur l'érotisme. Et de ce point de vue, le trait de Takeda est parfois variable. Un coup Claire est voluptueuse. Un coup, elle est davantage nymphette. Un coup, sa poitrine est altière. Un coup, elle s'affaisse. Etc.
L'épisode avec la soeur de Claire est très puissant. Entre mensonge et culpabilité, le lecteur est promené. On casse un peu les certitudes. C'est pas mal mais insuffisamment mené. C'est très brouillon et parfois je me demandais à quoi correspondait le dessin.
Le schéma nymphette à gros seins-hanches étroites, cela fait fantasmer l'ado et le vieux pervers. Personnellement, je veux bien de l'érotisme et des plans connotés "voyeur". Mais il faut que cela apporte du contenu. Je cherche encore ce contenu. Une exception: le fait que la mascotte possède une fermeture-éclair dans le dos et que Claire puisse y entrer (pénétration inversée, dont Claire ressort "mouillée"...) afin de faire corps avec Shûichi.
C'est honorable. Mais entre ce que l'on pourrait atteindre et ce qui est proposé, je trouve que le gouffre s'élargit.
Un tome assez sage, tant du point de vue de la violence que de l'érotisme.
Cela tire un peu dans tous les sens. Il y a la bande qu'intègrent Claire et Shûichi, et qui semble assez peu performante. On a droit à une présentation des "talents" de chacun. Une fille-chatte, une fille invisible, un énorme monticule végétal qui fait pousser les plantes, un type qui a une caméra à la place de la tête, etc., le tout dirigé par une étrange cheffe lesbienne qui enroule une tresse de cheveux autour des membres du groupe. S'ils révèlent des secrets, ils seront décapités.
On a quelques explications sur les effets de la fusion entre Shûichi et Toshioka, la fille-chatte. Cela a créé un être fusionnel d'une puissance incroyable. Mais ni Shûichi, ni Toshioka ne veulent en dire quoi que ce soit. A moins qu'ils ne soient réellement amnésiques comme ils le disent.
Toshioka téléphone à la soeur de Claire, qui est dans le groupe dont le tandem Shûichi et Toshioka ont affronté un membre. C'est tendu, de part et d'autre.
On termine sur le début de l'affrontement entre le groupe de Claire/Shûichi et un nouveau groupe assez malsain.
Le tome essaie de s'étendre davantage sur les relations entre individus. Les tensions, les jalousies, les amitiés, les passions sensuelles, la quête des médailles, etc. C'est souvent assez intéressant, mais on se demande un peu où on va.
Côté dessin, beaucoup moins d'érotisme. Quelques plans sur des culottes, mais dessinées de manière moins provocante. Disons que cela s'insère mieux dans le récit qu'avant. Un détail: Sun Takeda propose des plans larges, mais se refuse à dessiner des sexes masculins ou féminins. On a des silhouettes qui évoquent davantage le bonhomme de Roswell qu'un vrai corps. Amusant.
Cela tire un peu dans tous les sens. Il y a la bande qu'intègrent Claire et Shûichi, et qui semble assez peu performante. On a droit à une présentation des "talents" de chacun. Une fille-chatte, une fille invisible, un énorme monticule végétal qui fait pousser les plantes, un type qui a une caméra à la place de la tête, etc., le tout dirigé par une étrange cheffe lesbienne qui enroule une tresse de cheveux autour des membres du groupe. S'ils révèlent des secrets, ils seront décapités.
On a quelques explications sur les effets de la fusion entre Shûichi et Toshioka, la fille-chatte. Cela a créé un être fusionnel d'une puissance incroyable. Mais ni Shûichi, ni Toshioka ne veulent en dire quoi que ce soit. A moins qu'ils ne soient réellement amnésiques comme ils le disent.
Toshioka téléphone à la soeur de Claire, qui est dans le groupe dont le tandem Shûichi et Toshioka ont affronté un membre. C'est tendu, de part et d'autre.
On termine sur le début de l'affrontement entre le groupe de Claire/Shûichi et un nouveau groupe assez malsain.
Le tome essaie de s'étendre davantage sur les relations entre individus. Les tensions, les jalousies, les amitiés, les passions sensuelles, la quête des médailles, etc. C'est souvent assez intéressant, mais on se demande un peu où on va.
Côté dessin, beaucoup moins d'érotisme. Quelques plans sur des culottes, mais dessinées de manière moins provocante. Disons que cela s'insère mieux dans le récit qu'avant. Un détail: Sun Takeda propose des plans larges, mais se refuse à dessiner des sexes masculins ou féminins. On a des silhouettes qui évoquent davantage le bonhomme de Roswell qu'un vrai corps. Amusant.
Sun TAKEDA est un mangaka japonais vivant dans la préfecture de Akita, et qui n’écrit que des seinen. Sa carrière débute avec Aruité Ippo !! en 2006, suivit de Sekainohate de Aimashou et Haru to Natsu en 2008. Gleipnir est le plus récent travail de TAKEDA, prépublié depuis 2015 dans les pages du Young Magazine de chez Kodansha. Il compte actuellement 4 tomes en cours de parutions au Japon, et un tome disponible depuis le 16 février dernier aux éditions Kana, dans la collection Dark Kana.
Le premier chapitre s’ouvre avec Shûichi Kagaya, jeune élève dans un lycée d’une petite région un peu perdue, qui cache un lourd secret. Sans comprendre pourquoi ni comment, le jeune homme peut se transformer en monstre à la tête rappelant celle d’un crâne de panda et au corps ressemblant à celui d’un gros chien gris. Tentant de dissimuler cet étrange alter ego, Shûichi fait en sorte de continuer dêtre un adolescent normal, même si les changements de son corps l’inquiètent et le complexe. Un jour pourtant, son quotidien va se retrouver altéré quand il prendra le risque de se dévoiler en sauvant une jeune fille prise dans les flammes d’une maison. Cette jeune fille se nomme Claire Aoki, et menace le garçon de révéler son terrible secret à tout le monde…
Très vite on comprend pourquoi ce manga porte la mention “pour public averti”. Ce n’est pas pour les scènes violentes car il n’en possède pas plus qu’un seinen habituel, mais plutôt pour son atmosphère malsaine et oppressante. En lisant ce premier tome, on ne peut éviter de se sentir comme perturbé par ce qui s’y passe, et par le personnage de Claire. Même si elle se révèle être plus jeune que Shûichi, elle possède une maturité sexuelle très avancée et une force de manipulation dérangeante. Car oui, connaissant maintenant le secret du jeune homme, elle ne va pas se gêner pour le faire chanter. Ainsi, un jeu du chat et de la souris, sur fond hormones et de désirs commence entre eux, se met en place entre eux. À maintes reprises, Claire provoquera sexuellement Shûichi, quitte à avoir des gestes physiques déplacés.
Sun TAKEDA pose ici les bases d’un récit complexe et encore beaucoup trop mystérieux pour que l’on se fasse un véritable avis sur le scénario. Sur fond de symboles et de métaphores, l’auteur dresse des parallèle entre la transformation physique du corps lors de l’adolescence et celle du monstre que devient Shûichi. On peut aussi évoquer le fait que Claire, étant la plus humaine des deux, montre très vite des signes de tendance psychopathe voire sadomasochiste. Face à elle, Shûichi apparaît comme un garçon apeuré par les conséquences que pourrait avoir sa transformation en monstre sur sa vie. Finalement, le proverbe dit vrai : l’habit ne fait pas le moine.
Le côté malsain est poussé à son paroxysme quand Claire prend possession au sens propre du corps du jeune garçon dans sa phase “monstre mascotte”. Un moment hautement symbolique se dessine alors avec claire nue dans les entrailles du monstre. De plus, l’auteur nourrit son monde en y incorporant un mystère de plus autour d’une médaille que Claire a en sa possession. On apprend alors que cette dernière appartiendrait à un jeune homme qui sort (pour de vrai) d’une sorte de distributeur. En la lui rapportant, il accepte d’exaucer un vœux à la personne.
Dans ce premier tome, l’action est bien entendue présente et ne laisse que très peu de repos au lecteur qui devra jongler entre les questions qu’ils se posent et la relation particulière des deux adolescents. Shûichi est-il frappé par une curieuse malédiction ? Pourquoi Claire semble si désireuse de ne faire qu’un avec lui ? Quel secret détiennent les médailles éparpillées dans le paysage par le presque fantomatique jeune homme du distributeur ? Beaucoup de questions… et pour le moment très peu d’indices à se mettre sous la dent. C’est pour cela que je pense qu’une parution simultanée aurait été bénéfique au titre, donnant une plus grande vision du récit de TAKEDA.
Malgré cet épais brouillard autour de ce tome, le récit se laisse lire, notamment avec la fin se terminant sur un flashback des plus surprenant, et nous donne envie de connaître la suite. Il n’est absolument pas mauvais, loin de là, il est même plaisant mais souffre peut-être du fait que le lecteur reste du début à la fin dans le noir par rapport à la direction que peut prendre le récit. En tout cas, il ne prend pas le chemin des champs fleuris et tout le tralala du bonheur… non bien au contraire. C’est sombre, torturé et glaçant sans être horrifique.
Pour les petits curieux, sachez que le mot “Gleipnir” n’est pas une seule fois mentionné dans le tome, mais qu’en cherchant un peu on retrouve son origine dans la mythologie nordique. En effet, Wikipédia étant un bon ami, on peut y lire qu’il est “le lien maintenant le loup mythique Fenrir attaché”. Mais qui est ce loup ? Eh bien, il s’agit d’un loup gigantesque, né de l’union du dieu Loki et de la géante Angrboda, messagère du malheur. Il y aurait-il alors un lien entre cette mythologie et l’univers de Sun TAKEDA ? Mystère…
Le trait de Sun TAKEDA est fluide et angoissant. À plusieurs reprises le mangaka s’amuse à flirter avec la ligne séparant seinen d’action et conte urbain destiné à faire peur. La mise en scène est soignée et bénéficie d’un charadesign des plus abouti et dérangeant. Les gros plans sur le visage de la mascotte-monstre viendront perturber le lecteur qui ne saura pas s’il doit être apeuré ou émerveillé par le côté enfantin versus démon. L’action est dynamique est bien retranscrite, et les émotions des personnages sont palpables.
L’édition de Kana propose un beau travail dans la conception de la jaquette de Joachim Roussell et Eric Montéinos, qui respecte l’ouvre d’origine. La traduction est signée Rodolphe Gicquel, travaillant également sur les titres Gintama et le récent Batman and the Justice League. On peut aussi citer qu’il est celui qui a traduit le recueil “25 histoires d’un monde en 4 dimensions” de Leiji Matsumoto.
En conclusion, Gleipnir est un seinen troublant et angoissant jouant sur les maux des jeunes adolescents en y intégrant une mythologie monstrueuse. Les mystères entourant ce premier tome ne peuvent empêcher de venir titiller la curiosité (certainement malsaine aussi) du lecteur qui voudra connaître la suite de cette relation des plus dérangeante. Un bon début même si on attend de voir la suite pour juger des promesses dont regorge le titre.
Lien : https://lireenbulles.wordpre..
Le premier chapitre s’ouvre avec Shûichi Kagaya, jeune élève dans un lycée d’une petite région un peu perdue, qui cache un lourd secret. Sans comprendre pourquoi ni comment, le jeune homme peut se transformer en monstre à la tête rappelant celle d’un crâne de panda et au corps ressemblant à celui d’un gros chien gris. Tentant de dissimuler cet étrange alter ego, Shûichi fait en sorte de continuer dêtre un adolescent normal, même si les changements de son corps l’inquiètent et le complexe. Un jour pourtant, son quotidien va se retrouver altéré quand il prendra le risque de se dévoiler en sauvant une jeune fille prise dans les flammes d’une maison. Cette jeune fille se nomme Claire Aoki, et menace le garçon de révéler son terrible secret à tout le monde…
Très vite on comprend pourquoi ce manga porte la mention “pour public averti”. Ce n’est pas pour les scènes violentes car il n’en possède pas plus qu’un seinen habituel, mais plutôt pour son atmosphère malsaine et oppressante. En lisant ce premier tome, on ne peut éviter de se sentir comme perturbé par ce qui s’y passe, et par le personnage de Claire. Même si elle se révèle être plus jeune que Shûichi, elle possède une maturité sexuelle très avancée et une force de manipulation dérangeante. Car oui, connaissant maintenant le secret du jeune homme, elle ne va pas se gêner pour le faire chanter. Ainsi, un jeu du chat et de la souris, sur fond hormones et de désirs commence entre eux, se met en place entre eux. À maintes reprises, Claire provoquera sexuellement Shûichi, quitte à avoir des gestes physiques déplacés.
Sun TAKEDA pose ici les bases d’un récit complexe et encore beaucoup trop mystérieux pour que l’on se fasse un véritable avis sur le scénario. Sur fond de symboles et de métaphores, l’auteur dresse des parallèle entre la transformation physique du corps lors de l’adolescence et celle du monstre que devient Shûichi. On peut aussi évoquer le fait que Claire, étant la plus humaine des deux, montre très vite des signes de tendance psychopathe voire sadomasochiste. Face à elle, Shûichi apparaît comme un garçon apeuré par les conséquences que pourrait avoir sa transformation en monstre sur sa vie. Finalement, le proverbe dit vrai : l’habit ne fait pas le moine.
Le côté malsain est poussé à son paroxysme quand Claire prend possession au sens propre du corps du jeune garçon dans sa phase “monstre mascotte”. Un moment hautement symbolique se dessine alors avec claire nue dans les entrailles du monstre. De plus, l’auteur nourrit son monde en y incorporant un mystère de plus autour d’une médaille que Claire a en sa possession. On apprend alors que cette dernière appartiendrait à un jeune homme qui sort (pour de vrai) d’une sorte de distributeur. En la lui rapportant, il accepte d’exaucer un vœux à la personne.
Dans ce premier tome, l’action est bien entendue présente et ne laisse que très peu de repos au lecteur qui devra jongler entre les questions qu’ils se posent et la relation particulière des deux adolescents. Shûichi est-il frappé par une curieuse malédiction ? Pourquoi Claire semble si désireuse de ne faire qu’un avec lui ? Quel secret détiennent les médailles éparpillées dans le paysage par le presque fantomatique jeune homme du distributeur ? Beaucoup de questions… et pour le moment très peu d’indices à se mettre sous la dent. C’est pour cela que je pense qu’une parution simultanée aurait été bénéfique au titre, donnant une plus grande vision du récit de TAKEDA.
Malgré cet épais brouillard autour de ce tome, le récit se laisse lire, notamment avec la fin se terminant sur un flashback des plus surprenant, et nous donne envie de connaître la suite. Il n’est absolument pas mauvais, loin de là, il est même plaisant mais souffre peut-être du fait que le lecteur reste du début à la fin dans le noir par rapport à la direction que peut prendre le récit. En tout cas, il ne prend pas le chemin des champs fleuris et tout le tralala du bonheur… non bien au contraire. C’est sombre, torturé et glaçant sans être horrifique.
Pour les petits curieux, sachez que le mot “Gleipnir” n’est pas une seule fois mentionné dans le tome, mais qu’en cherchant un peu on retrouve son origine dans la mythologie nordique. En effet, Wikipédia étant un bon ami, on peut y lire qu’il est “le lien maintenant le loup mythique Fenrir attaché”. Mais qui est ce loup ? Eh bien, il s’agit d’un loup gigantesque, né de l’union du dieu Loki et de la géante Angrboda, messagère du malheur. Il y aurait-il alors un lien entre cette mythologie et l’univers de Sun TAKEDA ? Mystère…
Le trait de Sun TAKEDA est fluide et angoissant. À plusieurs reprises le mangaka s’amuse à flirter avec la ligne séparant seinen d’action et conte urbain destiné à faire peur. La mise en scène est soignée et bénéficie d’un charadesign des plus abouti et dérangeant. Les gros plans sur le visage de la mascotte-monstre viendront perturber le lecteur qui ne saura pas s’il doit être apeuré ou émerveillé par le côté enfantin versus démon. L’action est dynamique est bien retranscrite, et les émotions des personnages sont palpables.
L’édition de Kana propose un beau travail dans la conception de la jaquette de Joachim Roussell et Eric Montéinos, qui respecte l’ouvre d’origine. La traduction est signée Rodolphe Gicquel, travaillant également sur les titres Gintama et le récent Batman and the Justice League. On peut aussi citer qu’il est celui qui a traduit le recueil “25 histoires d’un monde en 4 dimensions” de Leiji Matsumoto.
En conclusion, Gleipnir est un seinen troublant et angoissant jouant sur les maux des jeunes adolescents en y intégrant une mythologie monstrueuse. Les mystères entourant ce premier tome ne peuvent empêcher de venir titiller la curiosité (certainement malsaine aussi) du lecteur qui voudra connaître la suite de cette relation des plus dérangeante. Un bon début même si on attend de voir la suite pour juger des promesses dont regorge le titre.
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Gleipnir propose un univers mystérieux et intriguant dont j'ai su apprécier l'originalité. Cependant la mise en forme me déplait trop pour que j'aie envie de continuer : trop de petites culottes, de plans malaisants et une ambiance dérangeante. Ce n'est pas pour moi. Dommage parce que les questions que posent le titre m'attiraient.
Shûichi et Claire (à la recherche de sa soeur) sont partis dans les collines, car c'est là que se trouveraient les médailles que le bel extraterrestre désire récupérer. Evidemment, ils ne sont pas seuls...
Vu qu'il vaut mieux ne pas aller là-bas seuls, ils contactent une bande dirigée par une jeune lesbienne qui flashe sur Claire. Pendant ce temps, Shûichi fait une conquête dans le groupe, une gamine-chat qui porte un casque de moto pour ne pas montrer ses oreilles (toutes les filles montrent leurs fesses, leur seins, leur "techa", mais mademoiselle fait la prude pour des oreilles...). Puis, pendant que Claire se fait doigter par la cheffe du groupe, Shûichi part à la recherche du portefeuille de la gamine-chat. Ils rencontrent un jeune gars qui ne paie pas de mine, mais dont le pouvoir est de faire apparaître deux titans maléfiques qui broient Shûichi dans sa forme de mascotte.
Des nymphettes à gros seins, des plans en contre plongé pour développer des gros plans sur des pubis imberbes moulés dans des culottes de lycéennes… faut enfermer l’auteur ou l'overdoser au bromure… et en plus faut lui apprendre à pondre un scénario… on en est réduit à des gros monstres qui se tapent dessus ou a des nus... Peu de contenu. Du lattage de gueule. Du nu féminin. Et souvent, les formes sont discordantes d'une case à l'autre.
Vu qu'il vaut mieux ne pas aller là-bas seuls, ils contactent une bande dirigée par une jeune lesbienne qui flashe sur Claire. Pendant ce temps, Shûichi fait une conquête dans le groupe, une gamine-chat qui porte un casque de moto pour ne pas montrer ses oreilles (toutes les filles montrent leurs fesses, leur seins, leur "techa", mais mademoiselle fait la prude pour des oreilles...). Puis, pendant que Claire se fait doigter par la cheffe du groupe, Shûichi part à la recherche du portefeuille de la gamine-chat. Ils rencontrent un jeune gars qui ne paie pas de mine, mais dont le pouvoir est de faire apparaître deux titans maléfiques qui broient Shûichi dans sa forme de mascotte.
Des nymphettes à gros seins, des plans en contre plongé pour développer des gros plans sur des pubis imberbes moulés dans des culottes de lycéennes… faut enfermer l’auteur ou l'overdoser au bromure… et en plus faut lui apprendre à pondre un scénario… on en est réduit à des gros monstres qui se tapent dessus ou a des nus... Peu de contenu. Du lattage de gueule. Du nu féminin. Et souvent, les formes sont discordantes d'une case à l'autre.
Shûichi Kagaya est un lycéen somme toute banale, un peu réservé, un peu rêveur, jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il est capable de se transformer en une espèce de monstre mi-homme mi-mascotte, violente et aux pulsions perverses.
Un premier volume dont j'avais déjà lu quelques pages qui m'avaient pas mal intriguées. Le lecteur prend l'intrigue en cours puisque lorsque l'histoire débute, Kagaya est déjà capable de se transformer. Mais toute la question va être de découvrir comment et pourquoi !
Le personnage est plutôt attachant, paraît plutôt fort mentalement et stable. Tout de contraire de Claire Aoki, lycéenne très belle mais un peu psychopathe sur les bords et à la culotte souvent visible.
L'alliance des deux personnages est intéressant et, j'ai trouvé, plutôt constructif.
Le dessin est plutôt agréable, lisible et les personnages parfois amusants.
Pour l'instant, j'ai aimé ce premier volume. A voir pour la suite !
Un premier volume dont j'avais déjà lu quelques pages qui m'avaient pas mal intriguées. Le lecteur prend l'intrigue en cours puisque lorsque l'histoire débute, Kagaya est déjà capable de se transformer. Mais toute la question va être de découvrir comment et pourquoi !
Le personnage est plutôt attachant, paraît plutôt fort mentalement et stable. Tout de contraire de Claire Aoki, lycéenne très belle mais un peu psychopathe sur les bords et à la culotte souvent visible.
L'alliance des deux personnages est intéressant et, j'ai trouvé, plutôt constructif.
Le dessin est plutôt agréable, lisible et les personnages parfois amusants.
Pour l'instant, j'ai aimé ce premier volume. A voir pour la suite !
Gleipnir est un seinen manga qui lors de la lecture du tome 1 jouait beaucoup sur le mystère concernant la transformation en peluche géante de Shûichi, adolescent ordinaire et introverti, et sur celui de mystérieuses médailles donnant des pouvoirs à ceux en possédaient. Mais dès le second tome, le scénario de Sun TAKEDA bouleversait les idées que l’on pouvait avoir concernant la suite, pour nous servir un brin de science-fiction. Partis dans les montagnes des environs, Shûichi et Claire se lancent dans une aventure les amenant à rencontrer d’autres “monstres” aux pouvoirs divers et variés, et aux motivations très différentes. Depuis le départ, l’ambiance du manga est assez malsaine et gênante avec les nombreux sous-entendus saphiques et les cadrages du mangaka sur certaines cases. Pourtant, cet aspect sert intégralement le récit, et rien n’est gratuit juste pour faire plaisir au lecteur. Bien entendu, les amateurs seront ravis de voir Claire en maillot de bain, et les plans sur ses fesses, mais cela ne dérange pas plus que cela. Dans ce troisième tome, notre duo physiquement complémentaire rencontre de nouveaux personnages, qui pour le moment se présentent comme des alliés, mais dont certains n’ont pas l’air très digne de confiance. En formant un groupe, ils s’assurent de pouvoir avancer en se protégeant les uns les autres. Toutefois, les apparences sont souvent trompeuses et en pensant échapper à la gueule du loup on se retrouve finalement dans celle d’un autre animal bien plus pervers.
©Sun Takeda / Kodansha Ltd.
Sun TAKEDA présente des personnages aux transformations inspirées, rappelant parfois les monstres que l’on redoutait étant enfant, tout en imaginant aussi des protagonistes à l’apparence plus simpliste. Ici, j’ai particulièrement adoré Yoshioka, personnage pouvant comprendre les animaux. Elle est douce est aussi loyale et honnête que Shuîchi. L’alchimie entre les deux fonctionne tout de suite, pouvant donner lieu à une relation amicale ou plus bien plus saine que celle du jeune garçon et de Claire. Le dessin de TAKEDA est toujours aussi propre, avec un travail sur les décors rustiques contribuant à l’ambiance. Le charadesign reste soignés et très plaisant à la lecture, les expressions sont parlantes et les scènes d’action sont toujours aussi bien exécutées. En conclusion, ce troisième tome de Gleipnir fait avancer l’intrigue de manière intense sans précipitation. Les nouveaux personnages apportent de la diversité bienvenus et vont certainement peser dans l’exécution de la suite que l’on se réjoui de découvrir.
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©Sun Takeda / Kodansha Ltd.
Sun TAKEDA présente des personnages aux transformations inspirées, rappelant parfois les monstres que l’on redoutait étant enfant, tout en imaginant aussi des protagonistes à l’apparence plus simpliste. Ici, j’ai particulièrement adoré Yoshioka, personnage pouvant comprendre les animaux. Elle est douce est aussi loyale et honnête que Shuîchi. L’alchimie entre les deux fonctionne tout de suite, pouvant donner lieu à une relation amicale ou plus bien plus saine que celle du jeune garçon et de Claire. Le dessin de TAKEDA est toujours aussi propre, avec un travail sur les décors rustiques contribuant à l’ambiance. Le charadesign reste soignés et très plaisant à la lecture, les expressions sont parlantes et les scènes d’action sont toujours aussi bien exécutées. En conclusion, ce troisième tome de Gleipnir fait avancer l’intrigue de manière intense sans précipitation. Les nouveaux personnages apportent de la diversité bienvenus et vont certainement peser dans l’exécution de la suite que l’on se réjoui de découvrir.
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Claire et Shûichi sont dans la montagne pour trouver le plus de médailles possible. Cependant, s'il n'y a pas d'humains normaux, la ontagne regorgent de monstres....
Un 3ème volume dans la lignée des deux précédents. Dessin égal, personnages intéresants et intrigue mystérieuse.
A voir pour la suite.
Un 3ème volume dans la lignée des deux précédents. Dessin égal, personnages intéresants et intrigue mystérieuse.
A voir pour la suite.
Shûichi est capable de se transformer en mascotte géante et meurtrière. Claire connaît son secret et le gardera pour elle s'il l'aide à retrouver sa sœur. Mais pourquoi le jeune homme se transforme-t-il ?
Un second volume qui offre quelques réponse, mais évidemment pas toutes.
En tout cas, suffisamment pour avoir envie de lire la suite !
La relation entre les Shûichi et Claire devient plus amicale et tous deux deviennent plus attachants. Le dessin est au même niveau que pour le premier volume mais je regrette quelques vignettes imprécises ou un peu moins agréables que les autres.
Dans tous les cas, ce fut une bonne lecture et je lirai la suite !
Un second volume qui offre quelques réponse, mais évidemment pas toutes.
En tout cas, suffisamment pour avoir envie de lire la suite !
La relation entre les Shûichi et Claire devient plus amicale et tous deux deviennent plus attachants. Le dessin est au même niveau que pour le premier volume mais je regrette quelques vignettes imprécises ou un peu moins agréables que les autres.
Dans tous les cas, ce fut une bonne lecture et je lirai la suite !
Il peut se transformer en peluche géante. Elle utilise ses charmes et le chantage pour le posséder. « Gleipnir » est un bijou de perversité, psychédélique et psychanalytique.
Lien : http://www.lemonde.fr/les-en..
Lien : http://www.lemonde.fr/les-en..
On retiendra ici une série bourrée d'idées intéressantes, de thèmes perturbants et d'une ambiance assez oppressante, et valant sans doute le coup d'oeil malgré ses limites.
Lien : https://www.manga-news.com/i..
Lien : https://www.manga-news.com/i..
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