Car d’horribles siècles s’avancent. Demain, des drones surveilleront un ciel pollué de dioxyde, des robots contrôleront nos identités biométriques et il sera interdit de revendiquer une identité culturelle. (...) Homère, vieux compagnon d’aujourd’hui, peut chasser ce cauchemar post-humaniste. Il nous offre une conduite : celle d’un homme déployé dans un monde chatoyant et non pas augmenté sur une planète rétrécie.