Takuya Nakao

Un manga prometteur qui devrait séduire les jeunes lecteurs fans du genre. L’histoire se déroule au sein d’une école de magie, dirigée par des Paladins. Junk, le héros, est le fils de l’un d’entre eux. Il devra se soumettre avec ses camarades à une série d’épreuves au sein de cette école pour pouvoir aspirer à un grade supérieur de magicien. Dans le même temps, complots et trahisons, menacent l’équilibre du pays…



Black Shadow est un manga dynamique, qui, comme beaucoup de shonen, offre un bon mélange d’humour et de péripéties. Le personnage principal, Junk est un rebelle dans l’âme, il a du caractère et seule Iris semble pouvoir le canaliser un peu. Le premier tome permet de nous approprier l’univers et de découvrir l’esprit de la série.

J’ai trouvé l’idée que les baguettes viennent et soient créées par le sorcier lui-même intéressante et novatrice.



Ce premier tome de Black Shadow m’a fait un bon moment de lecture et j’ai trouvé l’univers et les personnages intéressants. J’ai envie de découvrir la suite pour voir comment Junk va évoluer et quelles seront les nouveaux dangers auxquels les héros seront confrontés. Le manga n’est pas sanguinolent, il est donc accessible dés le plus jeune âge.
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Black Shadow est une petite série qui ne cesse de me surprendre grâce à une exploitation de qualité d'un univers de shonen classique.



Après avoir découvert le héros, son passif, l'école où il va faire ses premières armes et les camarades avec lesquels il va grandir, l'auteur nous embarque cette fois vers LE problème qui ronge la société dans laquelle il vit : le fossé entre les Sorciers et les Sans-baguettes. Et quand je dis fossé, je suis gentille, je devrais plutôt parler de ségrégation voire de racisme envers les Sans-baguettes. C'est la cause toute trouvée que le héros va vouloir porter à bras le corps, lui, le Sorcier sans baguette qui peut donc faire le lien entre les deux univers.



Le mangaka développe tout son tome autour de cette question, faisant peu à peu monter la tension de manière classique mais maîtrisée et assez emballante, je l'avoue. Cela démarre tranquillement avec la rencontre d'un groupe de Sans-baguettes par Junk. Il est ainsi mis face à ce problème qui ronge leur société et il réalise combien on les traite injustement et combien la haine peut vite être attisée entre les deux groupes alors qu'il ne faudrait pas. C'est un chapitre humainement un peu dur mais lumineux car on voit enfin le héros se trouver une place.



La force de l'auteur ici, c'est de faire ensuite basculer son récit. Tandis que Junk découvre sa voie et se lance dans l'entraînement nécessaire pour l'atteindre aux côtés d'une paladin surprenante, des forces montent dans l'ombre. Et ces forces, ce sont les Vandalika, des hommes et femmes qui en ont assez de l'injustice frappant les Sans-baguettes. Ils souhaitent donc voir éclater une révolution et ce sont eux qui vont mettre le feu au poudre.



L'explosion est très bien mise en scène, sans en faire trop. Le lecteur assiste ici aux prémices d'une attaque de la ville d'un côté et de l'école des sorciers de l'autre. Bien sûr, nos héros vont se retrouver mêlés à ça mais ce sera pour le prochain tome, ce qui fait que j'ai hâte d'y être !



Ce développement un peu inattendu donne une nouvelle saveur au titre. On sent que Takuya Nakao cherche à étoffer son titre et il fait les bons choix. Oui, c'est classique mais c'est très bien fait et raconté. J'aime le choix du thème mis en valeur. J'aime l'énergie positive du héros et la voie qu'il se choisit. C'est un classique qui me parle.
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J’ai beaucoup aimé l’univers dépeint par l’auteur, les descriptions sont limpides, sommaires peut-être, mais suffisantes pour débuter cette aventure. La hiérarchie est aussi expliquée sans que l’on ne s’y perde. Les premières pages défilent lentement, mais l’auteur pose ses bases et j’ai apprécié cela. Passé cela, on rentre dans le vif du sujet et le rythme devient plus soutenu et je n’ai pas pu lâcher ma lecture.



La chronique complète sur Songe !
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Tout premier titre aussi bien en magazine qu'en volume relié d'un jeune auteur, Black Shadow était un shonen dont j'attendais la sortie. Avec son scénario basé sur un univers de Fantasy, où le héros se rebelle contre son destin le jour de l'examen lui permettant d'accéder au statut de sorcier, ça fleurait bon le classicisme mais un classicisme assumé.



Tout commence, dans le royaume d’Avista, un endroit où 12 grands généraux et éminents sorciers assurent la sécurité du peuple : les Paladins. Junk est le fils de l’un d’entre eux qui est l’incarnation du soleil. Il se sent donc constamment éclipsé par ce père illustre auquel il est censé succéder et il peine à trouver sa place. Alors, le jour de la cérémonie qui doit faire de lui un sorcier à son tour, le garçon se rebelle contre le destin ! Mais un événement tragique va le faire revenir sur sa décision et lancer l'histoire.



Avec un premier chapitre assez long, le mangaka pose le contexte de son histoire de la meilleure des façons. J'ai trouvé ce démarrage très bon, car dynamique et avec des thèmes classiques mais que j'apprécie autour de l'héritage et de la relation parent-enfant. En plus de nous y présenter les personnages, l'action et le drame sont au rendez-vous, ce qui accroche directe le lecteur. Les autres chapitres font un peu plus fades en comparaison, même si c'est normal après ce qui se passe au début.



Takuya Nakao est un jeune auteur, il semble donc avoir besoin de s'inspirer de ses prédécesseurs. Le premier fan de shonen qui lira ce titre trouvera très vite des références explicites à Naruto et DragonBall, ainsi que des dialogues un peu simplistes typiques des shonen d'aventure avec plein de bons sentiments. C'est mignon. Pour ma part, je n'ai pas détesté, ni adhéré, j'espère juste que l'auteur saura petit à petit s'en détacher pour laisser libre cours à son imagination.



Car son univers bien que classique pour un lecteur de Fantasy n'en est pas moins attractif. J'ai aimé la façon dont la magie fonctionne avec cette bille de pouvoir disponible en chacun qu'il faut ensuite transformer en baguette lors d'une cérémonie afin de prouver sa détermination. C'est plaisant également de voir des héros aux pouvoirs aussi variés au sommet du royaume pour le protéger, avec en-dessous d'eux des compagnies de sorciers dans lesquelles on ne peut entrer qu'après avoir surmonté plusieurs épreuves et examens à l'école des sorciers. J'ai beaucoup aimé toute cette hiérarchie qui est explicitée au fil du tome sans la moindre sensation de précipitation ou de bourrage de crâne comme parfois.



Le héros, lui, est un mélange de Naruto et Sasuke. Il a le côté naïf et les problèmes relationnels de l'un, et le côté sombre et dysfonctionnel de l'autre. Près de lui, sa meilleure amie est un peu une Sakura bis pour sa force herculéenne, mais ça s'arrête là, car c'est aussi une grosse pleurnicharde et une tête, même si elle ne l'a pas toujours très bien montré ici. Viennent ensuite les professeurs et Paladins qui restent encore à étoffer, sans parler de leurs camarades qui ne servent que de décors. Ce n'est pas l'élément qui m'a le plus marquée ici.



Du côté des dessins, nous sommes encore une fois avec un débutant et ça se sent avec un trait qui n'est pas sans rappeler d'autres auteurs de shonen (encore Naruto, mais aussi Fairy Tail et d'autres titres grands public). C'est fin, dynamique mais encore un peu lisse voire un peu rigide parfois lors des scènes d'action. Le vrai problème vient du manque d'utilisation des ombres et autres trames qui rendent le dessin et les cases un peu vides du point de vue couleur et texture. C'est perturbant quand on y prête attention.



Ce premier tome est assez prometteur, je l'avoue. Il a certes des petits défauts mais c'est imputable à la jeunesse de la carrière du mangaka, donc je comprends. Pour ma part, je suis assez séduite par l'univers et les enjeux et thématiques qui se dessinent. Je suivrai donc ce nouveau shonen avec plaisir.
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Hm...une lecture décevante, et pourtant, je ne connaissais pas ce shonen et je l'ai attaqué sans avoir lu le résumé.

Le style graphique m'a plu, j'ai aimé tous les petits traits, et la multitude de trames qui changent un peu de l'ordinaire. le design du héros aussi est plutôt charismatique, mais sa personnalité m'a agacée. Je n'ai pas compris ce revirement en quelques pages où l'on passe du sale gosse qui ne veut pas suivre la voix de son père à "je deviendrai comme lui". C'est très mal amené, on ne voit même pas pourquoi il ne voulait pas à la base... Et la mort du père ne suffit vraiment pas à justifier ce changement.

Je n'ai pas bien saisi non plus les explications sur les sorciers sans baguettes/avec baguettes etc. Va savoir pourquoi, dès qu'il s'agit d'expliquer du lore dans un shonen, ça devient toujours indigeste. (Pitié prenez exemple sur One Piece, malgré la masse de contenu, on comprend tout, et c'est passionnant.)

Bref, c'est dommage il y avait pas mal de personnages charismatiques (Jean par exemple), mais l'histoire m'a paru mal maîtrisée.



Sansplus/20.

Après un premier tome engageant mais au classicisme assumé, ce deuxième opus suit le même chemin. Loin du premier chapitre qui semblait ouvrir la saga sur un duel avec des forces prometteuses, nous nous retrouvons plutôt avec un titre qui prend son temps pour construire sa mythologie, quitte à offrir pas mal de tranche de vie à la sauce fantasy.



Après leur petit exploit, nos héros sont invités à rencontrer le Prince du royaume, intéressé par ce nouveau sorcier sans baguette. Il prend vite ce dernier en grippe car il semble représenter tout ce qu'il déteste, à l'image de son père disparu. Nous voilà dans le schéma classique des opposés qui se détestent. Le prince et notre héros vont passer leur temps à ce chamailler dans ce tome devenant le moteur des modestes aventures qui vont avoir lieu. Ce n'est pas désagréable à voir mais je m'attendais à mieux. Seule l'arrivée d'un nouvel adulte, Allen Smith, pour mater ces jeunes chiens fous, m'a réveillée et un peu amusée ici, parce que ça fait du bien de voir quelqu'un essayer de leur mettre du plomb dans la cervelle. Mais c'est aussi assez attendu.



Nous enchaînons les scènes anecdotiques au palais puis à l'académie où nos jeunes sorciers vont régulièrement se disputer et créer des soucis. Le mangaka décide d'en profiter pour mettre également en avant les deux femmes du groupes : Mia et Iris, qui elles n'ont pas encore leur baguette et sont un peu à la traîne. Mais pourquoi faut-il que ce soit justement des femmes ? Ça m'agace un peu de les voir présenter au fond comme des demoiselles en détresse même si elles savent se battre. Je trouve tout de même intéressant à travers elle de découvrir le "madô", cet art martial magique basé sur l'énergie vitale de chacun. Cependant leurs moments de doute, leurs disputes, la quête un peu bête de Mia, tout ça m'a semblé bien fade et classique...



Ce tome toutefois se lit sans déplaisir. Le dessin et la mise en page restent dynamiques et modernes, avec des décors toujours aussi séduisants correspond à un imaginaire de high fantasy qui me plaît. La narration reste dynamique avec de l'humour et de la légèreté mais aussi des moments plus sérieux avec des personnages qui doutent et souffrent. L'auteur varie aussi les moments en intérieur et à l'extérieur, les scènes de disputes et celles de quête et de combat. Tout cela contribue à rendre la lecture fluide et pas déplaisante.



Ainsi, j'ai encore passé un moment de lecture agréable avec Black Shadow même si je regrette un classicisme de plus en plus assumé et donc un manque d'originalité dans le déroulé, ainsi qu'un manque d'enjeu plus important qui permettrait de faire décoller le titre et de le démarquer des autres.
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Intrigué quand je l'ai vu dans le rayon de mon livreur, j'ai finalement craqué!

Un premier tome très prometteur qui nous mets l'histoire en place plutôt rapidement.

J'aime l'idée que les baguettes, ce soit les sorciers qui les créés.

Junk a un sacré caractère et heureusement qu'Iris est là afin de le canaliser un peu.

Takuya Nakao propose un shonen toujours aussi classique qui flirtent avec les codes du genre initiés par ses prédécesseurs pour offrir un titre divertissant qui met bien en abyme le mal être lié au fait d'être différent des autres.



Le tome se découpe une nouvelle fois en deux parties distinctes où notre héros est au coeur de l'action. Il affronte dans un premier temps le clan des non-baguettes avant de participer au tournoi national organisé pour peut-être promouvoir un nouveau paladin.



L'attaque des non-baguette fut un moment surprenant et inattendu à ce stade de l'histoire qui offrit une belle évolution à chaque, puisque c'est dans l'adversité que nos jeunes héros repoussent leurs limites. Après ses camarades dans le tome précédent, c'est au tour de Junk ici qui va transcender son pouvoir avec l'aide involontaire d'un des sans-baguettes. On se retrouve dans le classique schéma du power-up au cours d'un combat, mais je dois avouer que j'aime assez le sens que ça prend ici avec un ennemi qui est tel un miroir déformant pour lui et un nouveau pouvoir qui ne fait que révéler ses faiblesses. Ça change un peu.



Le tournoi Mensour, lui, est plus banal par la suite et fait retomber un peu le soufflet. Après un passage introductif un peu lourd où l'on fait le tour des héros présents, l'action démarre dans une arène qui très vite se divise en mini-lieux de combats vus et revus avec une finalité qui l'est tout autant : se débarrasser du trop plein de participants pour se retrouver juste avec ce qu'il faut pour un nombre des combats limités ensuite dans le tournoi. Les figures phares sont sans surprise présentes et le vrai tournoi s'ouvre sur un duel qui se veut plein de sens pour le héros puisqu'il affronte l'un de ses meilleurs amis qui a une magie qui renvoie les attaques. C'est l'occasion de voir un peu, trop rapidement en fait, l'évolution des pouvoirs de Junk et d'assister à celle de Riot. C'est à nouveau bien fait mais archi classique.



De plus, le manque de profondeur du trait de l'auteur se fait de plus en plus sentir. Entre dessins manquant trop souvent d'ombres et de trames, décors absents ou à peine finalisés, un vide se fait cruellement sentir par rapport à ses confrères sur le même crédo. Même dans les dessins des personnages, qui pourtant sont la tête de proue de la série par leur variété et leur look, on sent de trop la jeunesse de l'auteur. Il manque vraiment quelque chose pour nous faire vibrer.



Ainsi bien qu'utilisant à bon escient les codes du genre, la série ne parvient pas vraiment à décoller pour vraiment sortir du lot. Elle rebrasse en boucle les mêmes thèmes sans les faire assez évoluer pour le moment et quand ça bloque, elle se réfugie dans les éléments scénaristiques vus et revus. Elle n'est pas désagréable à lire, loin de là, mais elle manque de fougue et d'originalité pour vraiment être marquante.
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J’ai entendu beaucoup d’éloges concernant cette série mais j’avoue que j’ai été un peu déçu...

Les illustrations sont sympathiques et dégage une certaine harmonie avec le scénario mais j’ai un peu de mal avec certaines finitions notamment au niveau des expressions du visage.

Le scénario est intéressant mais trouve qu’on rentre trop rapidement dans le sujet. De plus je déplore le manque de transition dans le déroulement du manga. Après la lecture est aisée et le déroulement des événements donne envie de découvrir la suite. A suivre...

Je remercie les Éditions Pika pour l’envoi de cette lecture. C’était un vrai plaisir de retrouver ce shonen. Même s’il reste très classique et que c’est du déjà vu, je prends beaucoup de plaisir à chaque fois à le lire !



Dans le dernier tome Alisa avait emmené Junk dans une taverne. Dans cette dernière, il rencontre comme lui, des personnes sans baguettes. Mais surtout, sans magie également.



Dans ce lieu, il va rapidement réaliser l’écart qu’il y a dans la société entre les magiciens et ceux qui n’ont pas de baguette et donc de magie. Les injustices sont énormes et c’est grâce à cela, que Junk va trouver son nouvel objectif. Il veut devenir le paladin qui réunira les deux camps !



J’aime vraiment le personnage de Junk. Je ne saurais même pas vous expliquer pourquoi, mais il a quelque chose qui me plaît beaucoup. J’aime les réflexions qu’il se fait, j’aime le voir évoluer. J’ai d’ailleurs extrêmement hâte de voir comment son pouvoir va se développer. Surtout une fois qu’il le maîtrisera un peu mieux !



En bref, c’est un quatrième tome qui me plaît toujours autant. Au départ, cette série étant plutôt classique pour un shonen, j’avais peur avec le temps de me lasser, mais pour ma part, ce n’est pas le cas. Je prends au contraire de plus en plus de plaisir à découvrir l’histoire.
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Cet été j'ai lu le premier tome de la saga "Black Shadow" de Takuya Nakao, paru chez @pika_edition !

Je dois dire que j'ai passé un bon moment même si il est vrai que le schéma reste fondamentalement classique pour un shonen. On retrouve un jeune héros mis à part des autres et qui va se retrouver avec des capacités singulières. Quoi que j'ai particulièrement apprécié le fait que notre héros soit déjà relativement fort ! Il est aussi drôle, attachant, rebelle et j'ai hâte de voir comment il va développer son pouvoir !



De plus, même si la trame reste, de prime abord, au vu de ce premier tome, "déjà vue", j'apprécie toujours de lire ce genre de manga qui permettent de passer un moment de détente, avec de l'humour, des personnages attachants, de l'action et des rebondissements, agrémenté de scènes de combats captivantes, de magie, de jeux de pouvoirs et des complots !



De surcroît, le trait de ce mangaka, que j'ai découvert à travers cette œuvre, est vraiment agréable à suivre.

En bref, je lirai la suite des aventures de Junk avec plaisir et j'attends avec impatience de voir si ce manga saura se différencier et tirer son épingle du jeu vis à vis d'autres œuvre assez similaire !
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Black Shadow T1 se révèle un livre agréable à lire, à l’intrigue de fond sans surprise mais mettant en scène un duo attachant que l’on a envie de suivre dans leur périple.
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Je remercie les Éditions Pika pour cette lecture. Encore une suite que j’attendais avec impatience. J’avais beaucoup aimé découvrir les deux premiers tomes pendant le confinement. En plus, le tome deux c’était terminé d’une façon plutôt stressante pour les personnages et j’avais hâte de voir ce qui allait se passer.



Mia a voulu aller chercher la Fleur de Clarisse, capable de déclencher la métamorphose. Pour ce faire, elle avait demandé à Junk de l’accompagner. Petit problème, c’est qu’une fois sur place ils sont pris au piège par des bandits.



On en était resté là sur ce premier tome. Ensuite, nous allons voir évidemment comment nos héros vont s’en sortir. Ce tome reste malgré tout plutôt calme par rapport aux deux précèdent. Mais comme il est abordé le sujet d’un futur tournoi de l’école dans ce troisième tome, je sens que de l’action est à venir.



En plus, on finit sur quelques choses de très intéressants. Junk va rencontrer une personne particulière et mon petit doigt me dit qu’elle sera importante pour son développement futur !



En bref, l’histoire reste toujours aussi prenante. Malgré un troisième tome un peu plus plat que les autres, ce manga continue de m’intriguer. C’est un shonen type, mais qui fonctionne bien et qui me correspond totalement. Je suis impatiente de voir ce que ce fameux tournoi pourrait nous réserver et surtout le fameux personnage que Junk vient de rencontrer ! 😉
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Ahhhh un manga qui parle de magie? C’est un manga fait pour moi! J’adore tout ce qui traite de la magie des sorciers et compagnie! J’étais sûre, en lisant le résumé, que ce manga allait me plaire et bien évidemment ça n’a pas loupé! J’ai tout simplement adoré! Je suis tombée complètement sous le charme de cette histoire et de ces personnages! Il me tarde vraiment de lire la suite car ce premier tome m’a vraiment plongé dans l’histoire et je veux découvrir la suite au plus vite!



On va suivre Junk, fils du Paladin Jean Whattear incarnation du soleil. Le royaume d’Astoria est régi par douze Paladins, ils protègent donc le royaume et ses habitants grâce à leur magie. Le problème de Junk? Il est l’ombre de son père, pour les autres il n’est que le Fils de.. Il va donc se rebeller parce qu’il en marre et refuse de devenir Paladin. Le jour de la cérémonie, où chaque sorcier fait ressortir la magie qui est enfoui en lui, des événements tragiques vont avoir lieu. Ces événements vont faire changer la mentalité de Junk et lui faire prendre une grande décision!



J’ai adoré le personnage de Junk, surtout au début. Son côté rebelle m’a beaucoup fait rire. C’est vraiment un personnage relativement drôle et j’aime beaucoup ça! J’ai beaucoup aimé aussi celui d’Iris! Une des seules à prendre la défense de Junk et une de ses seules amies d’ailleurs.



Ce premier tome, bien qu’il s’agisse d’un tome introductif à cet univers, est vraiment rempli d’actions! On assiste à des combats, et ce dès le début, on ne s’ennuie pas pendant ce premier tome. Le mangaka nous en donne juste assez pour qu’on ne s’ennuie pas et en même temps nous donner envie de continuer ce manga. J’adore l’univers proposé ainsi que les différents personnages.



Ce premier tome est pour moi une totale réussite. Il nous introduit parfaitement bien dans cet univers, nous en apprend juste assez pour attiser notre curiosité et nous donner envie de suivre la suite des événements. Il me tarde vraiment de découvrir le deuxième tome ce manga a su me captiver dès les première pages! C’est très prometteur!
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Un premier tome qui débute avec Junk, apprentie sorcier qui a du mal avec le fait de devenir paladin comme son père, le grand Jean Whattear "l'incarnation du soleil". Junk se considère comme l'ombre de son père mais l'admire plus que tout, c'est pour cela qui ne se sent pas a sa place en tant que paladin et qui n'est pas juste une simple rébellion d'un ado qui ne veut pas écouté son père comme le prouve son changement d'avis à la mort de son père. Junk malgré son jeune age fait preuve de maturité à décidé de prendre la place de son père et de vouloir protégé les gens mais on y voir aussi un caprice d'un ado qui na pas encore conscience des difficulté qui va devoir affronté dans la quête de devenir paladin. Bref un premier tome prenant et qui promet de grande chose pour la suite de cette aventure.

Je remercie les éditions Pika pour cette lecture. Un manga qui m’a beaucoup intrigué par sa couverture. Au premier abord, il promet pas mal d’action et heureusement. En l’ouvrant, mes attentes furent comblées !



On se retrouve dans le royaume d’Avista et nous suivons le personnage de Junk. Dans ce monde, il existe douze paladins qui protègent le royaume avec leur magie. Le père de Junk est l’un d’entre eux.



Son père représente le soleil et de ce fait, il s’est toujours senti comme l’ombre de ce dernier. Il souffre de cette impression de n’exister qu’à travers la popularité de ce dernier. C’est ainsi qu’il va se retrouver au jour de la cérémonie. Celle où chaque futur sorcier fait ressortir de lui la magie qui y vit, afin d’avoir sa propre magie et surtout baguette.



C’est là que Junk va décider de se rebeller, d’aller à l’encontre de ce que son père attend de lui et refuser de devenir un paladin comme lui. Pourtant, des évènements tragiques vont arriver lors de cette cérémonie. Des évènements qui vont pousser Junk dans ses retranchements et sans doute le faire changer de décision.



J’ai vraiment beaucoup aimé ce manga. Car malgré le fait qu’on nous introduit l’univers, on a, pas mal d’action et une superbe scène épique et belle dès le premier chapitre. J’ai vraiment été émue, alors que je connaissais à peine les personnages.



C’est ce que j’aime dans pas mal de shonen, ce sont ces combats, qui nous donnes envie de suivre l’histoire, d’en savoir un peu plus, afin d’avoir une dose d’épique supplémentaire.



En bref, c’est un premier tome qui m’a vraiment charmé. L’univers est intrigant, le personnage de Junk aussi. De plus, l’action est vraiment très présente et c’est captivant. On suit l’histoire et on arrive rapidement à la fin sans s’en rendre compte, au point qu’on est déjà déçu de ne pas pourvoir en lire plus. Un manga que je trouve prometteur !
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On poursuit cette série avec ce deuxième tome où l'on rencontre le prince Kamiya qui va devenir le rival de Junk.

Je le sens bien aussi pour qu'ils deviennent amis tous les deux.

D'un autre côté, on en apprends plus sur Iris; pourquoi elle est ce qu'elle est et pourquoi elle a dû mal à métamorphoser sa magica animae.

Encore un tome sympa!

La première demi-finale s'est terminée par la victoire de Junk malgré un match très violent et très disputé, c'est maintenant au tour de Kamiya de faire sa demi finale face à Shiro, lui aussi un sans baguette comme Junk! Là encore l'affrontement sera intense et incertain...
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Ça se lit, sans passion, sans grand plaisir, mais sans déplaisir non plus...ça se lit !
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Ça se lit sans déplaisir, mais ce n'est clairement pas ce qui va révolutionner notre approche des mangas...un tome plutôt sympa, vite lu et vite rangé.
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