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Citations de Terry Goodkind (631)


p.193.
- Même en l'absence d'informations spécifiques sur Six - à part celles de Shota - je sais que certaines personnes rêvent de détruire tout ce qui est bon dans le monde. La haine de la liberté, par exemple, les conduit à s'allier avec des gens qui partagent leur répugnance.
" Au fond, ces misérables vomissent la vie. Peut-être parce qu'ils se sentent incapables de relever les défis qu'elle leur présente... Refusant de voir la réalité en face, ils imaginent l'Univers comme ils voudraient qu'il soit. Au lieu de travailler dur, ils massacrent ceux qui s'échinent pour de bon. Créer étant épuisant, ils se résignent sans trop de peine à voler ce qui existe déjà.
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p.117.
Dans un système philosophique et religieux tel que l'Ordre Impérial, les contradictions étaient inévitables. Quand il fallait dissimuler les failles trop évidentes, une bonne couche de foi aveugle faisait en général l'affaire. Lorsqu'une ânerie était sacralisée, tous ceux qui la dénonçaient devenaient des hérétiques, et le tour était joué.
L'armée de l'Ordre avait justement envahi le Nouveau Monde pour éliminer les hérétiques.
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p.105.
Ce soir-là, pour être mieux compris par sa victime, Jagang avait fait une comparaison avec la façon dont il châtiait les gens qui lui déplaisaient. S'il les tuait, ça mettrait un terme à leurs souffrances, et les choses s'arrêteraient là. En revanche, s'il les soumettait à de lentes et longues tortures, ils finissaient par implorer qu'on les achève, une " faveur " qu'il s'empressait bien sûr de leur  refuser. Et tout au long de leur calvaire, il pouvait se délecter de leurs remords et de leur (tardif) repentir.
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p.103.
Culpabiliser les victimes était une des grandes stratégies de tous les individus ou groupes malfaisants. Quand on entrait dans ce jeu, on y perdait la partie, certes, mais avant tout son âme.
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p.72-3.
- Tu crois que nous sommes maîtres de notre vie ? Ruben, c'est une illusion !
- Non, affirma Richard avant de dévorer un nouvel œuf.
Léo tira sur la chaîne attachée à son collier.
- Que veux-tu que je choisisse ? Regarde autour de toi, Ruben : ces gens sont nos maîtres !
- Nos maîtres, ces moutons ? Ils ont choisi de ne pas penser par eux-mêmes et d'obéir aveuglément à l'Ordre Impérial. Dans ces conditions, ils ne sont pas maîtres de leur propre vie.
Léo le Roc secoua la tête, songeur.
- Parfois, tu dis d'étranges choses, Ruben... Je suis un esclave. C'est moi qui n'ai pas le choix, pas eux...
- Il y a des chaînes plus solides que celles qui nous retiennent ici, le Roc. Je tiens énormément à la vie, mais je serais prêt à la sacrifier pour sauver une personne que j'aime.
" Ces soudards, eux, ont choisi de se sacrifier pour une cause absurde qui produit exclusivement de la souffrance. En somme, ils ont déjà donné leur vie en échange du néant le plus absolu. Est-ce une démarche d'homme libre ou d'esclave ? La réponse tombe sous le sens. Ces types portent des chaînes, exactement comme nous.
- Ruben, j'ai résisté quand on m'a capturé, et j'ai perdu... Me voilà enchaîné à ce chariot. Et si j'essaie de me libérer, les soldats me tueront comme un chien.
Richard acheva méticuleusement d'écaler un œuf.
- Tout le monde doit mourir en silence, le Roc.
C'est la façon de vivre qui compte. Nous n'aurons qu'une vie, tous autant que nous sommes. C'est pour ça que chaque seconde est importante.
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p.450.
Grâce à la phraséologie de l'Ordre, les pires voleurs pouvaient se prendre pour des philanthropes et les tueurs en série imaginaient être des anges exterminateurs méritant d'être absous parce qu'ils avaient versé le sang de terribles corrupteurs de l'humanité.
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p.388.
Tenir une arme était exaltant parce que ça symbolisait la liberté - ou plus exactement, l'aptitude à décider seul du cours de sa vie. Armé, on n'était plus un innocent sans défense. S'il le fallait, on pouvait se battre et refuser d'être à la merci de ses ennemis. Bref, on cessait d'être l'éternel opprimé privé de moyens d'affirmer ses volonté.
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p.153.
" En enseignant aux gens la vertu de la foi, l'Ordre fabrique des légions de monstres prêts à mourir pour la cause et à tuer pour elle. Les vrais croyants détestent les athées ou les agnostiques. Il n'existe pas de tueur plus impitoyable, brutal et vicieux qu'un " défenseur de la foi " aveuglé par les théories fumeuses de l'Ordre. En conséquence, rien ne retient la main d'un tel exécuteur des basses œuvres. Il massacre d'un cœur léger, certain d'agir comme l'imposent le droit et la morale.
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p.150.
" Nous naissons dans le royaume des vivants, et c'est la seule réalité que nous connaissons. Comment osent-ils nous demander de sacrifier notre seule bien, la vie, en échange d'une promesse invérifiable ? Quelle audace insupportable les autorise à prétendre qu'ils savent tout du royaume des morts ? En l'absence de réelle expérience, qui nous dit que le monde des esprits, en admettant qu'il existe, n'est pas un royaume transitoire que nous traversons sur le chemin du néant absolu qu'est la mort ?
" Dans la même veine, comment la Confrérie de l'Ordre peut-il savoir ce que désire le Créateur ? Au fond, qu'est-ce qui lui permet d'affirmer qu'Il désire quoi que ce soit ? Ces gens savent-ils seulement si la Création est vraiment l'œuvre d'un esprit conscient doté d'une volonté et d'une mémoire ? Cette façon de représenter les choses paraît un peu trop... hum... anthropomorphique pour être honnête...
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p.121.
- Les personnes qui refusent de voir la réalité en face, quelles  que soient leurs motivations, détestent qu'on les arrache à leur rêve éveillé. Elles peuvent se montrer très violentes dès qu'il s'agit de défendre leurs fantaisies - souvent, elles réservent leur venin aux " prophètes de mauvaises augure " qui refusent simplement de mentir.
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p.104.
- Samuel est un lâche, dit-elle, et il se comporte en tant que tel. Les couards préfèrent souvent ne pas assister à la mort de leur victimes... Du coup, ils les laissent agoniser dans un coin...
- La souffrance est bien plus terrible..., dit Zedd. Il aime peut-être torturer moralement et physiquement ses victimes.
Shoah secoua la tête.
- Samuel est un poltron et un opportuniste. La cruauté ne le motive pas, car il ne pense qu'à lui. Les lâches ne planifient presque rien, cédant le plus souvent à leurs impulsions. Quand ils veulent quelque chose, ils le prennent...
" Samuel ne réfléchit jamais aux conséquences de ses actes. Lorsqu'un objet ou une vie lui plaît, il s'en empare. Redoutant la souffrance liée à l'épée, il tue " à moitié " avec elle, et ça lui suffit amplement. La personne souffre atrocement avant de s'éteindre ? Que voulez-vous que ça lui fasse, puisqu'il n'est pas là pour être témoin de son calvaire ? Loin des yeux, loin de l'esprit ! C'est comme ça qu'il a traité Chase.
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p.47.
Zedd coula un regard en biais à Cara, qui haussa les épaules et lâcha :
- Inutile de m'interroger ! Quand il se lance dans un discours de ce genre, je hoche la tête, je souris... et j'attends qu'une catastrophe nous tombe dessus.
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p.506.
Le devoir t'appelle, et tu ne peux pas te dérober.
Richard en avait plus qu'assez d'être ballotté au gré des événements. À bout de ressources, il éprouvait le sentiment d'avoir en permanence un pas de retard sur le monde - et au moins deux quand il s'agissait du sort de Kahlan. À force d'entendre tout à chacun lui dicter sa conduite, il enrageait que personne ne se soucie de ce qui importait pour lui. Ses proches voulaient l'empêcher de prendre sa vie en main. À les en croire, les prophéties avaient décidé pour lui.
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p.313.
- Parfois, le non-dit est plus important que ce qui est exprimé.
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p.263.
Le pouvoir des mots restait stupéfiant ! Lorsqu'on répétait assez longtemps un mensonge, il finissait par devenir plus incontournable que bien des vérités. À partir du moment où on proposait de penser à leur place, les êtres humains étaient disposés à gober n'importe quelles âneries.
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p.208.
- Aimer, c'est partager avec quelqu'un sa passion pour la vie. On tombe amoureux d'une personne qu'on juge exceptionnelle. Et qui incarne les valeurs auxquelles on tient le plus... L'amour est un des plus beaux cadeaux que puisse nous faire l'existence. Tu ne dois pas être embarrassée ou honteuse parce que tu aimes...
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p.183.
Depuis toujours, Richard détestait qu'on cherche à le consoler au lieu de faire face aux problèmes qu'il soulevait.
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p.162.
La liberté est difficile à conquérir et très difficile à perdre. L'indifférence, mes amis, est le plus sûr moyen d'en être dépossédé.
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p.142.
Comment pouvait-on pardonner à une amie qui vous traitait d'affabulateur ? Et comment se pardonner d'être incapable de convaincre quelqu'un qu'on ne mentait pas ?
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p.65.
Quand on ne combattait pas les méchants, on les cautionnait. Du coup, les éliminer devenait une manière d'honorer la vie et de reconnaître sa valeur. Car cela revenait à détruire des prédateurs qui existaient uniquement pour dénier aux autres leur droit à la vie.
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