Voyez-vous – a conclu mon chat, en s'allongeant devant la braise – le véritable bonheur, le paradis, mon cher maître, c'est d'être enfermé et battu dans une pièce où il y a de la viande.
Nous serons toujours là pour toi. Nous avons beau nous ressembler, tu as parfois des goûts différents des nôtres et nous n’y prêtions pas assez attention.
Aimons les bêtes, au nom de la fraternité et de la justice, pour honorer en elles la création, pour respecter l'œuvre de vie et faire triompher notre sang, le sang rouge qui est le même dans leurs veines et dans les nôtres.
Les caresses me semblaient fades, la mollesse de mon lit me donnait des nausées, j’étais gras à m’en écœurer moi-même. Et je m’ennuyais tout le long de la journée à être heureux.
« Un grand lièvre à l’air mélancolique se dresse parmi eux. Les lapins l’ont adopté quand il n’était qu’un levreau et l’ont élevé comme l’un des leurs. »