Tomohito Oda

Que ce soit en films, en romans ou mangas, les histoires d'aliens me font toujours un peu peur... Peur d'être déçue par la banalité de l'histoire, parce que j'ai l'impression qu'elles se ressemblent toutes. Mais je ne suis pas déçue avec ce manga. À voir ce que ça donne par la suite mais il y a beaucoup d'humour et, bien que l'histoire n'ait rien d'original, on se prend au jeu rapidement. De plus, la série n'est qu'en trois tomes, alors pourquoi ne pas tenter le coup jusqu'au bout ?



Shiho ne supporte pas l'injustice, et particulièrement la violence des plus durs sur les plus faibles. Personne ne sait que c'est pour ça qu'elle est toujours en train de taper... Du coup, elle passe pour la plus grande des racailles, crainte de tout le lycée.

Un jour, en prenant son bain, un alien s'écrase juste au-dessus d'elle avec son ovni, détruisant une partie du toit de la station thermale de la famille. Cet alien est le plus mégalo et le plus puissant de tous (à ce qu'il raconte), déterminé à détruire la planète Terre comme tant d'autres planètes. En commençant évidemment par exterminer Shiho, puisqu'il l'a sous son nez. Mais c'est sans connaître la jeune fille et son fort caractère... De plus, un autre alien ne tarde pas à s'écraser pas loin d'eux et, par la mesure de leur combat, Digiraoki Seko Omega, l'alien mégalo, se voit contraint de supporter une drôle d'antenne sur sa tête. Dès lors, sa force peut être contrôlée par quiconque possède la manette de cette antenne. Et Shiho compte bien profiter...



Une histoire banale sur le thème aliens, puisqu'ils n'ont aucun autre but que d'éradiquer l'espèce humaine, mais qui se démarque tout de même par son mélange d'humour et d'action. Personnellement, si au début ce premier tome ne m'avait pas convaincue plus que ça, j'ai finalement passé un très bon moment en compagnie de Shiho et Omega, deux personnages au fort tempérament qui changent des situations banales en situations plutôt drôles et explosives.

Un rebondissement, pas très inattendu certes, tombe tout de même au bon moment. On le voit venir à cause des réflexions d'Omega mais l'histoire prend un autre sens et ce n'est pas de trop.



Shiho est un personnage avec lequel on adhère tout de suite grâce à son fort caractère. Elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds, rien ne l'arrête, et ce n'est pas un alien qui lui dictera quoi faire !

Omega est tellement mégalo qu'il aurait pu être horripilant mais l'humour est assez bien dosé et tourné pour qu'il ne soit pas insupportable à suivre. De plus, il se fait tellement avoir à chaque fois qu'il est décidé à exterminer les habitants de la Terre, se retrouvant complètement ridicule, que son rôle n'est pas tenu au sérieux, ce qui ajoute un peu de légèreté à son caractère.



Un premier tome que j'ai adoré découvrir. S'il n'est pas original, on passe tout de même un très bon moment de détente, avec des personnages sympas à suivre autant par leur humour que leur personnalité. J'ai beaucoup aimé les dessins représentant les aliens, ils sont bien distincts, sans avoir une multitude de détails qui auraient pu les rendre "lourds" à regarder. Et pour ne rien gâcher, je dirais même qu'ils ont la classe... ! Un ensemble plutôt bon pour ce premier tome donc.
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« Komi cherche ses mots » est un manga sur l’anxiété sociale. Il est rare que ce sujet soit traité en bandes dessinées. Il a donc le mérite d’exister. Ce titre ne sera peut-être pas un best-seller shonen à la One piece. Il a été agréable à lire même si le scénariste caricature certaines scènes.

[Masquer]Komi souffrant du syndrome de l’anxiété sociale s’isole facilement et n’arrive pas à répondre dès qu’on lui parle. Elle aimerait se faire des amis. Grâce à l’intervention de Tadano, elle se livre peu à peu par écrit d’abord, a échangé quelques mots par la suite. Najimi qui s’avère être l’opposé de Komi lui pousse dans ses derniers retranchements et lui prépare des nouveaux défis pour surmonter son handicap...[/Masquer]

Une série vraiment très chouette !

Je vous en avais parlé lors de sa sortie et j'ai pris pas mal de retard depuis, j'ai été ravie de sortir 6 tomes d'un coup de ma PAL pour me faire un mini marathon en compagnie de Komi, Tadano et toute la bande !

Y'a pas à dire la série est vraiment marrante et l'auteur très fort pour réussir à mettre à l'honneur une héroïne charismatique qui ne parle presque jamais ! Son objectif d'avoir un jour 100 amis est selon lui totalement irréalisable, mais en vrai pendant la lecture on s'en moque parce que toutes les personnes qu'elle rencontre sont marrantes et ont chacune une particularité. On avait de beaux spécimens dès le début mais pour la suite de sacrés zozos viennent encore allonger la liste : le mec à la tête de loubard qui souffre lui aussi d'anxiété sociale, le narcissique, la campagnarde, la mère poule... On se rend compte que malgré des personnalités variées chacun peut avoir un bon côté et puis que l'image que l'on revoit peut être très différente de ce que l'on est !

Un message que j'aime beaucoup.

En plus de ça, l'humour fonctionne très bien sur moi qui tape mes meilleurs rires de baleine à chaque tome, un plaisir !

Avec plus de 30 tomes au Japon, on a pas mal de retard à rattraper et j'espère encore plein de bons moments à passer et de joyeux lurons à rencontrer.


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Encore un titre dont j’attends la sortie toujours avec une grande impatience. J’aime tant l’histoire de Komi, surtout que je me retrouve beaucoup en elle, étant moi même de nature plus qu’anxieuse et encore plus socialement parlant. Alors forcément, cette histoire fait en quelque sorte écho en moi et je me reconnais beaucoup dans le personnage de Komi. À chaque fois, je meurs d’impatience d’avoir le prochain tome entre mes mains!



Dans ce septième tome, petit à petit, Komi rencontre de nouvelles personnes à l’école malgré ses difficultés à s’ouvrir aux autres. Son paisible quotidien se complique cependant lorsque les vacances d’hiver commencent. Comment inviter des amis à sortir, quand on a du mal à leur écrire ? Ses petits camarades prennent le relais : puisque Komi n’y arrive pas, c’est eux qui vont s’arranger pour la voir ! À la clé, sa première fête de Noël, ses premiers cadeaux venant d’amis et une visite au temple à la nouvelle année…



C’est très étrange ce que je vais dire mais quand je vois Komi évoluer comme ça, s’ouvrir de plus en plus et avoir des amis, ça me fait chaud au coeur. Je suis tellement contente pour elle, ça fait plaisir de la voir aussi contente. Même si elle est toujours aussi anxieuse et qu’elle ne communique que par écrit, elle s’est fait beaucoup d’amis et elle fait même des sorties avec eux. On voit qu’elle essaye de faire des efforts même si par moments c’est vraiment difficile pour elle. Mais elle peut toujours compter sur ses amis, ils ne la jugent pas et font toujours tout pour l’aider. Je trouve ça vraiment chouette parce que les gens ont tendance à ne pas comprendre ce genre d’anxiété et ils ont aussi tendance à nous pousser à faire des choses qui sont certes simples, mais pour les anxieux ça relève de l’impossible. J’ai vraiment beaucoup aimé le moment au temple, j’ai trouvé que c’était un bon moment et je l’ai même trouvé très beau! J’ai hâte de découvrir la suite!



Ce manga me touche particulièrement étant moi même anxieuse et ça fait du bien de voir un manga traité de ce sujet. Surtout que le thème est vraiment parfaitement bien abordé. J’aime énormément le personnage de Komi et je ne peux que m’identifier à elle. J’aime la voir dans son quotidien, entourée de ses amis, la retrouver confronté à diverses situations. De plus, on a pas mal d’humour et c’est une lecture plutôt légère. Bref, je suis fan de ce manga et j’attends la suite avec impatience.
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Pour Komi, depuis qu’elle a rencontré Tadano, la succession des premières fois est légion. Notre héroïne si drôle, touchante et attachante est bien partie pour réussir à se faire 100 ami. e. s ! Je continue de la suivre avec beaucoup de plaisir. C’est toujours aussi amusant à lire et très frais.



Dans cette suite qui se compose toujours de plusieurs saynètes, Komi va expérimenter son premier Noël en bonne compagnie ainsi que son premier anniversaire avec eux ! C’était très chouette à lire et j’ai beaucoup souri, autant par les copains et copines toujours aussi délirant. e. s que par les mimiques de notre chère Komi ! Et on en parle de la mère de cette dernière qui fait l’animation à elle toute seule ? Avec une famille peu encline à l’expansion, elle ne se laisse pas démonter et parle pour eux tous.



Dans ce nouveau volume, nous avons droit à des batailles de boules de neige, des bonhommes de neige ou encore les achats de cadeaux avec le frère de Komi et tout un tas d’autres moments que j’ai pris plaisir à découvrir avec ce septième tome. J’ai également aimé le nouveau camarade de classe, Katai qui ne sait pas s’exprimer. Heureusement, Tadano semble savoir parler toutes les non-langues. Il est trop fort.



Le dernier chapitre nous montre un Tadano malade et une Komi infirmière au petit soin pour son ami. J’aime les petites touches mignonnes entre eux. On sent qu’il pourrait y avoir plus et que Komi apprécie vraiment beaucoup son camarade de classe.



Bref. J’ai encore passé un excellent moment en compagnie de Komi et ses ami. e. s toujours aussi peu singuliers ! Un manga qui continue d’être un très bon antistress pour moi, j’adore !
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Les troubles et difficultés de Komi sont toujours aussi bien tracées, et mention spéciale à son père. Dans son "malheur", elle a la "chance" d'être considérée comme une "déesse".

Katai fait son apparition, il ressemble à un voyou mais tout est plus compliqué. L'humour est mieux dosé dans ce tome, sauf au niveau de Yamai qui est toujours aussi gênante et peut donner envie de fuire le manga, ce qui serait dommage vu qu'on n'a pas souvent ce genre de thématique abordée et en plus correctement.



Dans ce tome, Komi va faire l'effort d'aller au karaoké avec ses amis, mais pourra-t-elle chanter ? Elle y était déjà allée avec sa famille.

Elle tient de son père, et ils sont aussi troublant que touchant quand ils leur faut de nouveaux vêtements, mais la mère de famille semble aussi doué que Tadano pour décrypter ce qu'ils veulent dire.



Les jeunes hommes en ébullition vont jouer à un jeu où ils fantasment une situation où ils sont avec une fille, c'est plutôt truculent, Komi leur semble toujours aussi inaccessible.



Katai débarque alors qu'il a été aux abonnés absents, avec ses airs de loubard, ce sourire qui fait peur, mais décidemment les apparences peuvent être bien trompeuses.



Quelques évènements de lycée, des moments à partager et Tadano qui encourage Komi à demander à d'autres personnes pour l'entraîner. Il sera également question d'examen de fin de trimestre et de révision, ainsi qu'un bar à chats.

Les difficultés de Komi sont toujours aussi bien représentées : la peur d'entrer dans un magasin, la difficulté de demander quelque chose, la crainte du rejet, etc.

Komi est toujours aussi craquante et progresse à son rythme, elle est plus à l'aise avec Tadano que d'autres. Les gens se trompent toujours face à certaines personnes et choses.



Une série qui vaut le coup pour Komi et ce qu'elle aborde : l'anxiété sociale.

Je suis très fan de ce manga, non seulement pour le thème qu’il aborde mais aussi parce que c’est un manga tout mignon et tellement adorable. Je passe toujours un excellent moment en compagnie des différents personnages que l’on côtoie. Je le dis à chaque chronique mais mettre en scène un personnage atteint d’anxiété sociale, je trouve ça tellement important d’en parler finalement! Surtout que certaines personnes peuvent penser que vous les prenez de haut alors qu’en fait vous êtes juste terrifié à l’idée de devoir parler à quelqu’un..



Dans ce sixième tome, après une fête du lycée riche en événements, Najimi veut finir en chanson ! Komi et ses camarades de classe se retrouvent donc au karaoké. La jeune fille aborde cette sortie entre la joie d’être avec ses amis et l’appréhension de chanter devant tout le monde… Arrivera-t-elle à surmonter sa peur ou bien cette soirée sera-t-elle un désastre pour Komi ?



Sans surprise, j’ai adoré dévorer ce tome ci. Tout comme les tomes précédents, j’ai passé un excellent moment en compagnie de Komi et les autres. Mais il y a quelque chose que je trouve génial dans ce tome. On va faire la connaissance de Katai, un lycéen qui arrive seulement en cours. La particularité de Katai? Il est lui aussi atteint d’anxiété sociale. Il peine a s’adresser aux autres, à avoir une conversation ou encore demander de l’aide à un professeur. Lui et Komi sont fait pour être ami pour le coup mais ce n’est pas aussi facile que cela. D’autant plus que Katai terrorise les autres de part son apparence, parce qu’avec son look il ressemble beaucoup à une racaille.. Ça m’a fait rire certaines scènes avec lui d’ailleurs, il est tellement maladroit dans ses paroles que ça peut clairement porter à confusion!



J’adore ce manga, chaque tome est un vrai plaisir à lire. Voir Komi s’épanouir de plus en plus comme ça, ça me rend heureuse pour elle. Comme si c’était ma petite soeur tiens! Elle est entourée d’amis qui la soutiennent mais surtout qui la comprennent. Ils sont attentionnés envers elle, font toujours en sorte qu’elle se sente bien. Elle qui voulait avoir des amis, désormais elle en a pas mal et en plus elle fait même des sorties avec eux. J’ai déjà hâte d’avoir le prochain tome entre les mains et surtout voir l’évolution de Katai! Je sens que ça va être intéressant à suivre.
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J’ai longuement hésité avant de me décider à lire ce cinquième… enfin longuement, genre deux jours. Le quatrième ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable.



Dès les premières pages, c’est bien passé : j’ai trouvé Onemine apaisante. Je ne me souviens pas d’elle, ni de qui elle est, ni de comment elle est arrivée dans l’histoire, mais j’étais contente qu’elle soit là. Et puis, gros plus : elle ne semble pas impressionnée par Komi et c’est une bonne chose… je crois.

On enchaîne sur un épisode reposant avec la tempête qui bloque Komi chez elle.

Puis c’est de nouveau la folie avec les préparatifs de la fête de l’école Itan. Et sans surprise (la couverture nous a donné un indice de taille), la 2nde1 décide d’organiser un atelier maid-café.



Heureusement, Najimi prend beaucoup de place dans le récit donc au lieu de rendre l’événement bizarre, il l’a juste rendu drôle et surtout joyeux.



Par contre, tout au long de ma lecture, je me suis demandée ce que j’allais dire sur ce cinquième tome et rien ne m’est venu de plus. Donc je vais m’arrêter là.

J’ai bien aimé ce manga, ce n’était pas transcendant, mais j’ai passé un bon moment.
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Ce manga fait parti de ceux dont j’attends toujours la sortie avec grande impatience! Et je finis toujours par le dévorer à sa sortie en un rien de temps. Et plus j’avance dans le manga, plus je suis sous le charme de cette histoire. Le thème de l’anxiété sociale c’est vraiment un thème qui me parle et ça me fait vraiment plaisir de le voir abordé dans une histoire comme ça. Je ne souffre pas autant que Komi mais par exemple parler à quelqu’un que je ne connais pas c’est très difficile pour moi, la plupart du temps je demande à mon entourage de le faire pour moi. Alors voir ce thème dans un manga je trouve ça vraiment génial!



Dans ce cinquième tome, la quête de Komi pour avoir 100 amis atteint son premier obstacle majeur : la jalousie ! Tadano et une fille appelée Onemine se voient beaucoup récemment, et Komi ne sait pas comment gérer ce soudain raz-de-marée de jalousie. Elle ne peut pas s’expliquer ce qui na va pas, alors elle commence à les espionner. A l’approche de la fête du lycée, ce fâcheux sentiment va-t-il entacher les préparatifs de cet événement réjouissant ?



J’aime toujours autant le personnage de Komi, je la trouve tellement mignonne et adorable. Je suis vraiment fan de son personnage mais surtout de son évolution! Parce qu’il faut bien le dire, notre chère Komi a bien évolué depuis le premier tome. Elle a de plus en plus d’amis, elle passe de plus en plus de temps avec eux, elle est toujours autant angoissée mais grâce à son calepin, elle arrive de plus en plus à faire certaines choses. J’ai adoré le moment de la fête du lycée. C’était tellement chouette de les voir tous unis comme ça pour faire leur maid café! Le contraste entre le vrai caractère de Komi et l’image qu’elle renvoie aux autres, ça me fait toujours autant rire. Tout le monde pense qu’elle prend les gens de haut, qu’elle est hautaine et même qu’elle se sert des autres, alors qu’en fait elle souffre d’anxiété sociale.. J’ai l’impression que la relation entre Komi et Tadano va commencer à évoluer petit à petit..



Encore une fois c’est un tome vraiment parfait qu’on a ici. C’est toujours un vrai plaisir de se retrouver plonger dans cette histoire. On voit les personnages évoluer, l’entourage de Komi évoluer. Elle se fait de plus en plus d’amis et ça fait tellement plaisir de la voir comme ça. Je suis limite contente pour elle comme si c’était une amie à moi. On la voit beaucoup plus épanouie maintenant je trouve. J’ai hâte de voir si sa relation avec Tadano va vraiment continuer à évoluer dans le bon sens.. Vivement la suite!
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Si il y a bien une chose qui me faisait assez peur avec ce manga c’est qu’a force ce soit trop redondant. J’avais vraiment peur de ça et peur de finir par me lasser alors que j’aime vraiment beaucoup ce manga. Je suis ravie de voir que ce n’est clairement pas le cas. On retrouve Komi dans beaucoup de situations différentes ce qui fait qu’on ne voit jamais la même chose et je trouve ça chouette. Ça permet vraiment au manga de se renouveler sans cesse et c’est très plaisant!



Dans ce quatrième tome, on retrouve Komi qui, au fil des jours, se fait de plus en plus d’amis. Heureuse, un léger voile de tristesse s’abat néanmoins sur elle : les vacances sont sur le point de se terminer. Et pour la première fois de sa vie, elle aimerait qu’elles durent pour l’éternité. Toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin, et l’aube se lève sur un nouveau semestre! Un tourbillon d’émotions colorées va la submerger alors que commence la fête du sport.



Et c’est évidemment sans aucune surprise que j’ai, encore une fois, adoré découvrir ce tome. Je le dis à chaque chronique mais aborder le sujet de l’anxiété sociale comme ça je trouve ça vraiment génial. Et puis je trouve qu’il est abordé de manière juste. Ça nous permet de mieux comprendre les personnes atteintes de ce trouble qui n’est vraiment pas facile à vivre. J’aime tellement le personnage de Komi! Quand je la vois faire des efforts, c’est bête hein, mais je ressens de la fierté comme si c’était ma petite soeur! J’aime la voir se faire des amis, réussir à faire des choses qu’elle ne pensait jamais faire avant etc. J’aime surtout la façon dont ses amis la traite. Aucun jugement, aucune moquerie de leur part. Ils savent comment elle est, ils savent à quel point c’est difficile pour elle mais ils sont tout de même présent pour elle. Le fait qu’elle ne parle pas et qu’elle écrive ce qu’elle doit dire ce n’est en aucun cas un problème. J’ai vraiment beaucoup aimé voir à quel point ils la soutiennent.



Je suis déjà impatiente de découvrir ce que la suite nous réserve. J’attends avec impatience la suite de cette histoire. J’ai hâte de voir si Komi va se faire d’autres amis etc. Je n’ai toujours pas vu l’anime mais il va vraiment falloir que je m’y attaque, j’ai vraiment hâte de découvrir cette histoire à l’écran. Ce manga je trouve que tout le monde devrait le lire de part le sujet qu’il traite. Les gens qui sont vraiment très sociables ont tendance à vite oublier que tout le monde n’a pas autant de facilité qu’eux, qu’ils peuvent parfois nous mettre mal à l’aise sans le vouloir etc. Suivre l’histoire de Komi, ça nous permet vraiment de mieux comprendre les personnes qui souffrent d’anxiété sociale!
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J’avoue que je n’étais pas super motivée à lire ce troisième tome. O.K., j’avais bien aimé les deux premiers, mais sans plus et puis, j’ai trop en tête la série animée qui m’a saoulée. Je l’ai surtout acheté pour ma fille et l’ai lu dans la foulée pour pouvoir le lui filer rapidement.

J’avoue que j’ai été agréablement surprise par ce tome. Pour le moment, c’est mon préféré.



Komi continue à ne pas parler, malgré tous ses efforts, mais sa timidité maladive est trop forte. On suit principalement Komi et les autres interviennent occasionnellement.

C’est les vacances d’été, notre héroïne se sent seule et n’ose pas déranger ses nouveaux amis, mais Najimi n’a pas tant de scrupules (heureusement) et il l’invite à venir à la piscine avec la bande.

On la découvre également dans sa famille, entre celles qui sont extraverties et les introvertis qui ne pipent pas un mot.

Et on termine avec un festival d’été où Komi est de toute beauté dans son kimono.



L’auteur réussit avec brio à faire passer les sentiments de Komi au lecteur : je me suis sentie dépitée pour elle quand elle était seule et s’ennuyait ; mais lorsqu’elle était avec ses amis, elle était tellement bien et épanouie (à sa façon) que ça m’a apaisée.

En fait, je pense que ce qui m’a surtout plu, c’est le fait que ses copains complètement dingues sont peu présents, donc il ne prennent pas toute la place, ils n’envahissent pas l’espace de Komi, ils n’étaient pas étouffants comme dans les autres.



J’ai adoré ce troisième tome et je ne m’y attendais pas du tout.
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Après les examens, c’est le temps des vacances. Tout ce que traverse Shôko Komi est toujours magnifiquement capturé, ses doutes, ses angoisses, ses peurs, la difficulté de communiquer, dommage qu’un excès d’excentricité et des scènes sortis de nulle part gâchent tout.

Ils ne sont ou égaux face aux examens mais ensuite c’est les vacances. Ils n’ont plus de raisons de se voir c’est sans compter Najimi. Piscine, aide à un petit boulot, festival.

C’est aussi l’occasion de faire plus connaissance avec la famille fort attachante de Komi et ses similitudes avec son père.

Tout reste difficile mais sur certaines choses y a des petites améliorations déjà.

Nouveau manga qui vient ici nous parler des troubles de l'anxiété en société. Au travers du personnage de Komi, jeune lycéenne rêvant de se faire des amies mais incapable de parler à qui que ce soit, le lecteur est amené, tout comme les autres personnages, à aller au-delà des apparences. Une série intelligente, douce et drôle qui prône l'empathie et l'ouverture d'esprit. Un pied de nez aux mauvaises langues qui pense que manga rime encore trop souvent avec violence, fantastique et sexualisation.

Komi est une très belle jeune femme, très attachante, toute gentille, pleine de bonnes volontés, ces expressions sont superbement capturés tout comme tout ce qui la trouble, les difficultés rencontrées.

Elle apparaît aux yeux des autres telle une déesse inatteignable, seulement ils se font des idées. Elle est atteinte de trouble de la communication, d'anxiété sociale et n'arrive pas à communiquer avec eux.

Les mots restent coincés dans la gorge et ne veulent pas sortir, les camarades comme les professeurs se trompent totalement. Et comme, elle a la "chance" d'être très belle, de bien présenter, d'avoir une très belle stature, ça passe, sinon on aurait risqué le harcèlement scolaire.



Tadano va être le seul et le premier à voir au-delà. La première fois qu'il discute avec Komi, il s'y trompe. Elle devient sa voisine de classe. Et un jour, tous les deux seuls dans la classe, il comprend.

Komi va réussir à lui sortir tout ce qu'elle a sur le cœur, ou plutôt écrire sur le tableau. C'est un peu plus facile d'écrire qu'à l'oral, sans que cela suffise forcément à chaque fois.

C'est un très bon moment, lisez bien le tableau noir, qui nous rappelle les soucis de communication que nous pouvons tous avoir, ainsi que de se comprendre de travers.

Komi lui expose son rêve avoir 100 amis, dit comme ça c'est un peu fou mais elle doit réussir à communiquer avec les gens pour vivre des choses comme les autres et son futur.

Tadano veut bien non seulement l'aider mais aussi être le premier. Pourtant, par moment, il oublie cela, comme s'il se trouvait indigne d'elle, mais la peine.



Par contre, ils sont dans un lycée très spécial, où les personnalités sont au-dessus du reste, ainsi ils sont tous assez barrés, excentriques et à l'extrême, c'est le point qui me pose souci personnellement.

Mais comme je ne me fais pas d'illusion et vu le sujet, je me doute que le succès est surtout dû à cela, qui nous peut nous faire déclencher des barres de rire. Si les lecteurs pouvaient apprendre et faire attention à certains

points au passage, et comprendre mieux Komi, ce serait totalement bénéfique.



Yamai qui adule Komi est celle que personnellement je ne peux pas supporter, pour moi elle va trop loin et c'est inacceptable.

Najimi est la personne aux antipodes de Komi, qui va facilement avec les autres, se nouent facilement et parle très facilement. Najimi est entre manipulateur et bonnes intentions. Sa première réponse est étonnante, et nous la comprenons mieux par la suite. Najimi n'hésite pas à mêler Komi, posé des tonnes de questions (bien trop), y aller franco, seulement attention les électrochocs ça passe ou ça casse, cela pourrait même faire tout le contraire. Il est aussi possible que ce soit pareil niveau lecteur ça va passer ou casser.

La suivante Himoko Agari, c'est mignon et intéressant quelque part qu'on en vient à ce que cela soit la suivante, a eu du mal à se présenter, a du mal à parler avec les autres, admire Komi, et plus quelconque physiquement

(elle ne s'est pas faite), a le trac, tremble en écrivant au tableau, etc. Une bonne candidate ? En effet, mais les débuts sont remplis de malentendus. C'est assez intéressant de voir l'influence de Komi sur elle. Le point

gênant à part de l'idolâtrer, c'est qu'elle se trouve uniquement digne d'être son petit chien. C'est hyper gênant et malsain, heureusement que Komi n'abuse pas des gens.



Les difficultés de Komi sont superbement représentés. Si Tadano veut l'aider, il rencontre un problème de poids, les autres ne l'apprécient pas, pire lui en veulent d'être à côté de leur déesse en classe et d'oser s'adresser à elle. Il aurait pu fuir, mais il tient bon.



Pour une fois l'édition papier est plutôt qualitative : papier blanc, papier de bonne épaisseur. Ouf.



Pour Komi

Il y a quelques semaines, mes enfants ont voulu voir l’animé Komi cherche ses mots, sur Netflix, et ils ont adoré. Donc quand le manga est sorti la semaine dernière, je n’ai pas hésité à leur prendre les deux premiers tomes. Je me suis dépêchée de lire le premier pour pouvoir le refiler à mes loulous.



Komi est victime d’anxiété sociale au point de l’empêcher de parler avec des gens. Impossible dans ces conditions de nouer des relations d’amitié, pourtant, elle souhaiterait pouvoir communiquer avec ses camarades.

En très peu de temps, Tadano perce son secret, la raison de son silence. Et il l’aide à réaliser son vœu le plus cher : se faire 100 amis.



L’animé est vraiment fidèle en tout point à ce premier tome. À part le chapitre sur les jeux de société dont les règles sont détaillées, je n’ai pas vu de grande différence. Ça aurait pu m’ennuyer, mais ce n’est pas le cas. Ça s’est lu très vite : les chapitres sont courts et j’avais l’impression que ça défilait.



Komi est sympathique, d’autant que je comprends très bien son anxiété sociale : je n’en suis pas à son niveau, mais ma réserve maladive et ma peur de déranger font écho au caractère de notre héroïne… et puis, ça s’est aggravé avec les années, je n’ai donc eu aucun mal à m’identifier au personnage.

Elle m’a fait rire quand elle regarde les autres et fait passer des sentiments négatifs sans le vouloir. Ça le fait mieux dans l’animé : il y a la musique, le mouvement du visage et ça se transmet bien au spectateur ; dans le manga, l’intention y est, le message passe clairement aux élèves, mais en tant que lecteur, je ne l’ai pas ressenti.

Tadano est gentil et serviable et le pauvre en prend plein la tronche. Je l’aime beaucoup.

Najimi est un peu grave (un peu comme tous les élèves du lycée Itan), mais je l’apprécie énormément.

Celle qui me pose un sérieux problème, c’est Agari et j’avoue qu’elle me gâche même le plaisir… Komi veut être son amie, mais Agari refuse parce qu’elle préfère être son petit toutou… je veux bien que c’est pour rire, mais je ne trouve pas ça drôle du tout, c’est hyper malsain.



En ce qui concerne les dessins, ils sont chouettes, le style graphique de l’animé est assez proche.

Mon fils a feuilleté ce premier tome et trouvait qu’il y avait une trop grande différence, je ne trouve pas… OK, il manque la couleur, mais c’est tout.

C’était une lecture plaisante et rapide. J’ai bien aimé et je file de ce pas lire le second tome.
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J’ai beaucoup entendu parler de cette histoire lorsque l’anime est sorti. J’étais très curieuse mais je ne l’ai toujours pas regardé. Alors quand j’ai vu l’annonce de Pika pour la sortie du manga, je me suis dis que j’allais d’abord lire le manga avant de regarder l’anime. Je préfère fonctionner dans cet ordre que ce soit pour les mangas ou pour les romans d’ailleurs. Ce premier tome m’a complètement conquise! J’ai tout simplement adoré ce premier opus et je vais directement me jeter sur le second tome après avoir rédigé cette chronique. Je pense que je ne vais pas tarder à regarder l’anime parce que clairement je veux trop voir cette histoire à l’écran!



Dans ce premier tome, on découvre le personnage de Komi. Dès la rentrée elle ne passe pas inaperçue: la beauté si singulière de cette fille et son élégance délicate en font une véritable déesse vénérée de tous ses camarades. Mais en réalité, son mutisme n’a rien de raffiné pour elle. En proie à une terrible anxiété sociale, Komi tente en vain de briser le mur du silence et de communiquer avec les autres… Tadano, son voisin de classe on ne peut plus ordinaire, découvrira son secret et décidera de l’aider dans ses incommensurables efforts pour s’ouvrir aux autres afin de réaliser son rêve: avoir cent amis.



Qu’est que j’aime le fait de parler d’anxiété sociale dans un manga! Je trouve ça important d’en parler d’ailleurs, on en entend pas beaucoup parler alors qu’au final beaucoup de personnes en souffrent. Je me suis beaucoup identifiée à Komi, moi même ayant des gros problèmes de sociabilité, une énorme timidité maladive, une angoisse qui vient du plus profond de mes tripes quand il faut parler à quelqu’un que l’on ne connait pas et j’en passe. C’est tellement difficile, alors que pour certains c’est même plus que facile. Sur certains points, je me suis vraiment reconnue en Komi. Elle elle voudrait parler, elle a plein de choses à raconter mais les mots ne veulent jamais de sortir. Pour les autres, elle paraît hautaine, prends les gens de haut et intimide tout le monde. alors que pour elle c’est tout le contraire! J’ai beaucoup voir comment Tadano l’aide à réaliser son rêve, celui de se faire cent amis. Il a très vite compris son secret en la voyant et il va l’aider à s’ouvrir aux autres, à essayer d’avancer et de surpasser son anxiété. Et ça j’ai beaucoup aimé. Une belle amitié est en train de naître entre les deux.



Ce premier tome m’a entièrement conquise. Et je sens que je vais prendre tellement de plaisir à dévorer les tomes les uns après les autres au fur et à mesure de leurs sorties. Parler de l’anxiété sociale dans un manga, j’ai vraiment aimé. C’est important de pouvoir parler de choses comme ça, bien sûr on y apporte un petit vent de légèreté. Il me tarde de suivre l’anime, j’ai hâte de voir comment tout ça va être retranscris à l’écran. Une très très belle découverte en tout cas j’ai vraiment beaucoup aimé!
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Chose que j’ai également oubliée de préciser, la 4ème de couverture précise qu’il s’agit d’une série en trois tomes, ce que je trouve très pratique quand on ne connaît pas forcément la série !



En bref, la fin de la série permet bien de la conclure et offre même une ouverture vers de futures aventures que l’on ne peut que s’imaginer !



J’adore les œuvres qui se terminent de cette façon et permettent aux lecteurs d’imaginer leurs propres suites.

Le manga est toujours aussi plaisant à lire, et nos héros toujours aussi drôle, hélas il ne reste plus qu’un seul tome. Les gags présent sont toujours aussi drôle et Omega s’en prend encore plein la figure à cause de son manque de « délicatesse » si on peut dire ^^".

Cette série promet beaucoup de rires, même si pour le moment il ne semble pas y avoir de réel scénario (normal pour une série courte), à partir du tome 2 l'univers de la série s'élargi un peut plus !



Chronique complète sur mon blog :)
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Shiho Hoshino est une jolie lycéenne à l'âme de justicière. Elle ne supporte pas de voir quelqu'un pleurer et sa volonté de toujours défendre les plus faibles l'a desservie : ses camarades de classe la surnomment « la racaille » et même les professeurs semblent avoir peur d'elle.

Alors qu'elle se détend dans la station thermale de ses parents, après les cours, Digiraoki Seko Omega, un alien mégalo, percute le toit familial avec son vaisseau et déclare qu'il va réduire la terre en cendres.

Heureusement, un survivant d'une autre planète qu'il a précédemment détruite survient au même moment : il a inventé une machine capable de maîtriser Oméga afin de venger son peuple. Avant de pouvoir se servir de son joystick, l'alien est anéanti par Oméga et c'est Shiho qui récupère la télécommande.

Elle oblige alors Oméga à rembourser les dégâts qu'il a causés en payant en nature : il va devoir travailler dans la station thermale. Elle n'hésite pas à le malmener et à le frapper quand il la menace de la tuer ou critique sa coiffure.

Néanmoins, derrière les surnoms méprisants que les protagonistes se donnent mutuellement (Oméga appelle Shiho « vermine » et Shiho s'adresse à Oméga en utilisant le terme « digicode ») une véritable amitié se noue entre les deux solitaires : Shiho, repoussée par les jeunes de son âge, trouve enfin quelqu'un qui n'a pas peur d'elle et réciproquement.

A la fin du récit, alors qu'elle est tombée dans le piège de trois extraterrestres travaillant pour le compte d'une certaine Mme Condoraito, Oméga vient la sauver et on comprend qu'une certaine complicité les unit.

Un manga original en 3 tomes, précision qui n'est pas négligeable ! Le contenu et le graphisme sont plutôt réussis, les personnages, singuliers et attachants. L'ouvrage aborde en outre des thématiques intéressantes comme le manque d'amour, la maîtrise de la violence et des pulsions de mort, la protection des plus faibles.